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vindiesel
4 abonnés
126 critiques
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0,5
Publiée le 8 mai 2020
Ce film n a aucun sens ... comment peut lier un film sur l adolescence et le sex de cette maniere . veritable film pornographique donc interdit au moin de 18 et non 16ans biensur comme d habitude on va trop loin dans le sex osé ! Comparez ce qui est conparable biensur .... La nudité de la femme est completement censuré lorsqu on peut appercevoir juste un vagin ! et pourtant c est exactement la meme chose chez l homme ! Bizare il n y a aucunne egalité homme femme dans le cinema !
Voilà un film gay chilien aussi bizarre qu'étrange. Vie, amour et mort de deux frères qui se découvrent gays à l'adolescence. C'est sexy, sensuel, noir, sombre, glauque, sans espoir et totalement pessimiste. De secrets de famille en scènes choc, le tout finit par être totalement fascinant. Et ce qui ne gâte rien, des acteurs aussi beaux que convaincants. Une vraie curiosité venant une fois de plsu d'Amérique du sud. Une découverte.
Le cinéma du genre sud-américain a décidément tendance à prendre beaucoup de temps pour raconter quelque chose. Outre des intentions floues de drame familial et d'acceptation (ou non) de sa sexualité, il n'y a vraiment pas grand grand-chose de consistant dans ce récit! Un prétexte pour filmer la nudité sous une forme glauque. De plus, le même acteur incarnant deux frères différents à 13 ans d'intervalle, ça ne passe pas!
Un des films les plus étranges que j’aie pu voir, entre homosexualité refoulée, tensions incestueuses et pulsion de mort sur fond de fêtes de Noël dans une famille chilienne dysfonctionnelle (c’est le moins qu’on puisse dire!). Un concentré de noirceur et d’érotisme explicite qui vaut surtout pour son onirisme croissant, dans la lignée du cinéma de João Pedro Rodrigues et proche d’une tradition sud-américaine du réalisme magique. Malheureusement, la réalisation et surtout l’écriture souffrent d’un fort sentiment d’amateurisme, qui n’est que partiellement compensé par la singularité du projet et de ses partis pris esthétiques. Pour résumer, on oscille sans arrêt entre le profond et le superficiel, entre le poétique et le ridicule.