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    The French Dispatch
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    334 critiques spectateurs

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    Ninideslaux
    Ninideslaux

    85 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 octobre 2021
    ​        Vous avez vu la B.A. du film? Vous l'avez trouvée géniale, et elle vous a donné  vraiment envie de vous précipiter à la première séance? Stop! n'allez pas plus loin.  C'est ce qu'il y a de mieux.
          Le film, lui, est une épouvantable daube, complètement  indigne de Wes Anderson, sauf à considérer qu'il a complètement pété les boulons  (ca doit être le cas) et qu'il se prend maintenant pour Dieu le Père, pour qui l'Almanach Vermot tient lieu de Bible.
           A la mort d'Arthur Howitzer (Bill Murray qu'on est toujours heureux de voir), le réacteur du French Dispatch, quatre de ses journalistes racontent leur meilleur souvenir de métier. The French Dispatch est l'annexe d'un journal du Kansas, consacrée à la vie d'une grande petite ville française, Ennui-sur Blasé (on est prié de se chatouiller les aisselles). Successivement, on a : une parodie de la flambée de l'art contemporain; une parodie des révoltes étudiantes soixante-huitardes; une parodie des feuilletons policiers télévisés et... tiens, j'en ai oublié un, je devais dormir. Car on s'em......, et d'une force! Tout est lourdingue, attendu, téléphoné.... Certes, les décors sont chiadés, les images souvent sophistiquées... mais à quoi bon?
          Au passage, on peut apprécier quelques beaux morceaux   d'acteurs: Benicio del Toro en assassin psychopathe /peintre   abstrait, Adrien Brody en marchand d'art et Lea Seydoux, la   gardienne de prison /muse qui dispatche généreusement ses   moelleux charmes intimes; puis, ce sera Frances McDormand,   la   reporter qui penche dangereusement, (du point de vue son   objectivité) pour Timothée Chalamet le leader /joueur d'échecs   de la révolte étudiante. 
        Mais vous verrez passer aussi Willem Dafoe, Elisabeth Moss, Christopher Waltz, Tilda Swinton, Edward Norton, etc, etc.... chacun dans son petit numéro de cirque, n'éveillant jamais l'intérêt. C'est un assemblage, une succession de riens. A fuiiiiir!!!!

    Sans rancune
    Sans rancune

    4 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2021
    À ne pas manquer ! Wes Anderson nous éblouis encore, après The Grand Budapest Hotel. Je pense qu'il n'y a plus besoin de vanter l'univers visuel de Wes Anderson, pourtant ce film m'a apparu encore comme plus enrichi.
    Lolipop
    Lolipop

    13 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2021
    Film inclassable. Très beau. Frances McDormand et Tilda Swinton crèvent l'écran. Récit cependant décousu et inégal avec quelques longueurs, il faut s'accrocher. Mais je ne regrette pas de l'avoir vu. Le film vaut le détour. On ressort quand même de la salle en ayant la sensation d'avoir vu quelque chose de grand.
    Le D.
    Le D.

    209 abonnés 949 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 octobre 2021
    "The French Dispatch" est un film que j'ai trouvé pas énormément bien. J'ai trouvé l'histoire intéressant mais mal structurée et on si perd facilement. Par contre le casting est très sympa.
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    349 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 octobre 2021
    Me voici revenu de l'avant première de THE FRENCH DISPATCH le dernier film de Wes Anderson.
    Ce film qui devait être projeté en 2020 à Cannes fut finalement reporté à l'édition 2021 et sort finalement sur nos écrans.

    Le film a choisi un découpage similaire au rubricage d'un magazine ( on pense très fort à THE NEW YORKER) l'un des phares du journalisme américain.

    Qu'est ce que THE FRENCH DISPATCH ?
    Un hommage à une France oubliée, celle des "30 glorieuses" et d'une certaine insouciance.
    La France, ses moeurs et ses marottes (cuisine, culture et politique) imaginée par des américains du Texas ou du Midwest qui n'y ont pas mis les pied et l'ont rêvée par ses films et la presse...
    Un exercice de style et une célébration du cinéma indépendant américain (Les Frères Coen , Tarantino..) dont les acteurs fétiches font partie de la pléthore des interprètes (Frances Mc Dormand, RIP Bill Murray)
    Un hommage au journalisme d'investigation et c'est là où le film m'a convaincu. Il rend ses lettres de noblesses au journalisme et à ces articles qui au final empruntent une autre direction que le sujet qu'ils sont censés couvrir. Très bien vu.
    Pour le reste on a droit à la moulinette de WA ce qui donne :
    Paris est devenu Ennui-Blasé, les"poulets" (flics) se "mettent à table" pour déguster une exquise cuisine, et Lea Seydoux pose totalement nue (au moins elle aura tout fait au cinéma) pour un Bénicio Del Toro qui sert de symbole d'un certain snobisme du milieu de l'art.
    Le film incarne à lui même cette mise en abime.
    Et au final The French Dipatch est encore une fois un objet à l'esthétique appuyée et reconnaissable entre 1000 ( c est un Wes Anderson comme on dit c'est un Dali...).
    Pourtant...je me suis ennuyé à partir de la moitié du film - est ce que ce film n'est pas plus fait pour les américains qui idéalisent la France que pour nous... - ....je pense que je ne le revisionnerai pas, même s'il est bourré de milles petites allusions et détails (on sent l'influence de Jacques Tati dans certaines scènes puis d'autres plans font penser à Godard... un magasin s'appelle "Masculin Féminin".. et j'ai du manquer pas mal d'autres clin d'oeil).
    Surtout deux choses m'ont un peu déçues. Pour un film sur la France et au casting partiellement français (La Seydoux, Mathieu Amalric, Cécile de France, Guillaume Gallienne, Hyppolite Girardot..) c 'est presque un crime d'avoir fait jouer Timothée Chalamet en anglais.
    De plus c'est un film composé à 99% d'acteurs blancs (Wasp on dirait) et qui se permet de citer James Baldwin dans son générique de fin....
    Vous l'avez compris, j'ai davantage retenu une esthétique de façade qu'un propos très profond.
    A vouloir trop étreindre....
    laurent joulin
    laurent joulin

    52 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 octobre 2021
    Un film drole poetique absurde loufoque à la photographie entre le bonbon acidulé et un nour et blanc nostalgique . C est jubilatoire
    geralink
    geralink

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 octobre 2021
    une merveille de poésie, beau, drôle, un cast de dingue j'ai passé un merveilleux moment. merci wes anderson
    kiki3364
    kiki3364

    38 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 octobre 2021
    Je sors de ma séance déçu... Wes Anderson a fait du Wes Anderson car oui, visuellement c'est très beau, très cadré, millimétré, on sent le travail énorme qu'il y,a derrière les caméras. Anderson a clairement marqué The French Dispatch de son empreinte mais malheureusement, c'est creux.
    Il y a un gros vide scénaristique que même la mise en scène, aussi soignée soit-elle, n'arrive pas à rattraper. Et de fil en aiguille, ce vide scénaristique met en lumière la chose qui ressort le plus de The French Dispatch : son univers visuel. Sauf que cela ne rend pas le film meilleur car très vide, cela devient pesant et lassant.
    Peut être que d'autres apprécient mais je trouve que Wes Anderson reste trop dans le contemplatif, et même avec un casting pareil, le résultat final souffre d'un manque de relief... dommage !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 décembre 2021
    En réalité il y a peu de choses à dire sur le dernier Wes Anderson, si ce n'est que c'est du Wes Anderson. Le cinéaste pousse son style unique que l'on connait maintenant si bien à son paroxysme, paroxysme que l'on croyait déjà atteint il y a 7 ans avec son désormais culte "Grand Budapest Hotel". Il s'essaye au film à sketch en reliant ses histoires avec une thématique commune : les mœurs et la mélancolie qui s'en découle, histoires qui trouveront un écho au sein des journalistes du French Dispatch. Si le film passe très vite, il parvient à prendre le temps de pleinement raconter les différentes histoires, introduire des protagonistes très attachants jusqu'à arriver à une résolution émotionnelle marquante. En dépit de la mélancolie constamment présente, l'humour est plus présent que jamais. Cela est dû à un travail minutieux de l'écriture et des dialogues, ainsi que certains détails amusants qui trouvent leur écho dans une situation toute autre. Sous couvert d'un divertissement de haute qualité, "The French Dispatch" bénéficie de l'immense talent de Wes Anderson à jouer avec les codes du cinéma pour rendre concret l'abstrait : et vas-y que je démonte les décors en direct, et vas-y que je passe d'un ratio à un autre, et vas-y que je passe du noir et blanc aux couleurs pastelles, et vas-y que je passe d'une langue à une autre, le cinéaste fidèle à lui-même parvient à rendre réel l'abstrait et donc toucher à la quintessence-même du Septième Art. "The French Dispatch" est un vrai film de cinéma, un projet unique d'une richesse déconcertante ne débouchant sur aucun ennui, où n'importe qui peut s'identifier à n'importe quel personnage. Wes Anderson livre là un film pour tout le monde aux valeurs universelles, un film adorable qui ne fait que confirmer mon énorme amour envers ce cinéaste et l'énorme talent de ce dernier. Il passe glorieusement le cap symbolique des 10 films avec une nouvelle merveille au compteur. Jusqu'où ce doux rêve va s'arrêter ? Je n'en sais rien mais je n'ai pas hâte.
    Elyze LE
    Elyze LE

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 octobre 2021
    Vu en avant-première hier soir et c'est évidemment du pur Wes Anderson ! Certains adoreront d'autres détesteront. J'ai personnellement beaucoup aimé. Le film est découpé en 3 parties un peu inégales (peut être le seul défaut du film). La 1ere histoire avec Benicio Del Toro, Adrien Brody et Léa Seydoux est vraiment excellente. L'esthétisme est juste dingue comme toujours avec Wes et le casting est tout simplement ahurissant (pas le souvenir d'avoir déjà vu un casting aussi garni dans un film...). En bref, j'ai passé un excellent moment !
    DanDan
    DanDan

    87 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 avril 2022
    Wes Anderson fait du Wes Anderson...en France...dans une ville fictive qui s'appelle Ennui ( en vrai Angoulême)..et c'est vrai des fois c'est l'ennui car les 3 histoires qui forme ce film ne sont pas très linéaire dans la narration donc on s'y perd un peu..et c'est dommage...car la chorale d'acteurs américains et français sont incroyable de part leur jeu si différents...on pense aux films de Woody Allen des années 90...Néanmoins ce film a le mérite d'être très différent des autres films du réalisateur..on a annoncé une suite qui se tourne maintenant et c'est tant mieux..à découvrir avec curiosité...
    Paul J
    Paul J

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 octobre 2021
    Wes Anderson n'aura pas réussi à m'emmener dans son univers que j'aime tant. On se perd, on s'ennuie, et on est presque soulagés quand ca se termine. La forme est évidemment extrêmement bien travaillée, mais rien ne reste de ce film.
    Critiques d un passionné
    Critiques d un passionné

    88 abonnés 177 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2021
    THE FRENCH DISPATCH est le nouveau film de Wes Anderson, un réalisateur à l’univers reconnaissable au premier regard et si particulier. Les fans, dont je fais partie, retrouveront ce qu’ils aiment chez lui.
    La mise en scène stylisée et ultra léchée, avec des plans magnifiques, pensés dans le moindre détail. On retrouve son obsession pour la symétrie, le côté rétro avec les costumes, les décors, et des couleurs pastelles (même si ici une grande partie est en noir et blanc).
    On a le droit à ces personnages désaxés et maladroits
    Et puis il y a cet humour, avec son côté décalé, burlesque, très cartoon (voir bande dessinée avec ces nombreux plans fixes), jusque dans les décors avec leur côté « carton-pâte ».
    Visuellement c’est somptueux, bourré d’idées et il se dégage cette ambiance si particulière au réalisateur qui fonctionne toujours.

    Le film est divisé en trois parties indépendantes, et comme c’est souvent le cas avec les films à sketches, ils sont inégaux. Mais surtout, le fait de ne pas avoir le temps de développer ses personnages et ses enjeux (c’est pourtant souvent une des qualités du cinéma de Wes Anderson), et bien le film perd énormément en émotion et en profondeur. Pire, cette succession de sketches, fait que l’on n’est moins emporté par l’histoire, et je dois avouer, que malgré les qualités de l’œuvre, j’ai parfois trouvé le temps long (ironique, quand on sait que le réalisateur à choisit comme lieu à son histoire la ville fictive d’Ennui-sur-blasé…)

    On a le droit à un casting fou avec une trentaine d’acteurs et actrices issus du gratin hollywoodien et français. C’est simple, je n’ai pas souvenir d’avoir déjà vu un casting aussi impressionnant. Mais là aussi, le souci est qu’à cumuler ses personnages, il ne prend pas le temps de les approfondir, certains faisant juste de la figuration. Et là encore l’émotion que les personnages dégagent en pâtit. Le film arrive tout de même à offrir quelques beaux moments, comme ce segment avec Benicio Del Toro et Léa Seydoux qui est certainement la meilleure partie du film.

    Bref,
    Est-ce que c’est un bon film : OUI, visuellement très riche, plein d’inventivité, d’énergie et d’humour…
    Est-ce que j’ai été déçu : OUI, car c’est à mon sens une œuvre mineure du réalisateur qui nous a souvent habitué à de Grands films.

    https://www.facebook.com/CritiquesCinemaetFestivaldAvignon
    Cinévore24
    Cinévore24

    349 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2021
    Arthur Howitzer Jr., le rédacteur en chef du célèbre journal "The French Dispatch", décède subitement. Pour lui rendre hommage, un choix d'articles qui ont fait la gloire du journal sont réédités pour l'occasion, avant que la rédaction ne ferme ses portes définitivement.

    Entièrement tourné à Angoulême et ses environs (qui devient ici la ville fictive d'Ennui-sur-Blasé), le nouveau film de Wes Anderson nous transporte à travers une histoire de tourisme à vélo, de peinture carcérale, de soulèvement de la jeunesse ou encore d'enlèvement aux accents culinaires.

    S'entourant à la fois de son casting habituel, tout en dévoilant une nouvelle génération d'acteurs talentueux, ce "French Dispatch" est à l'image de son réalisateur : un nouveau joyau visuel.

    Wes Anderson pousse toujours plus loin les possibilités que peut lui offrir le cinéma, en remplissant l'image autant qu'il peut tout en tentant de rester le plus clair possible dans ce qu'il veut montrer.
    Mélange de décors réels et de décors récrées entièrement en studios, de couleurs et de noir & blanc, de format 4/3 et de format cinémascope, combinant les arts du cinéma, du théâtre, mais aussi de la bande dessinée, le metteur en scène et son impressionnante équipe technique nous gratifie (une nouvelle fois) d'une œuvre plastiquement dingue, méticuleuse, ou rien n'est laissé au hasard et tout ce qu'on peut voir à l'écran a sa place et son importance.

    Hommage direct au cinéma français (qu'Anderson a toujours admiré) où sont convoqués les films de Tati, de Renoir ou encore de la Nouvelle Vague, ce nouveau récit est riche visuellement (sans aucun doute son film le plus poussé à ce niveau-là), mais également verbalement. Entre voix directes et voix-off, les informations qu'on nous communique, les faits qu'on nous raconte se déroulent à un rythme souvent (un peu trop) frénétique, si bien qu'on ne peut pas toujours pleinement profiter de chaque plan qui s'offre à nous.

    Et très vite, un choix est à faire : doit-on regarder le film, où le lire/l'écouter ? Admirer les images ou suivre les sous-titres ?

    Car ce travail d'orfèvre, cette mise en scène ciselée au détail près, c'est à la fois la force/la particularité de ce film, mais aussi, quelque part, sa limite : submergé d'images (qui ressemblent à des tableaux) et d'informations en continu, nous voilà presque un peu frustré de n'avoir pas eu le temps de profiter pleinement de ce qui était à l'écran et d'être passé à côté de certaines choses.

    On est à la fois émerveillé et désarçonné devant ce spectacle visuel et foisonnant où chaque plan équivaut à une idée de mise en scène et se déroulant à un rythme effréné, dans le fond comme dans la forme. Ce "French Dispatch", de par sa richesse et son inventivité disproportionnées, nous fait parfois passer un peu à côté de ce qu'on nous raconte, tellement on est happé par ce qu'on veut nous montrer.

    Le genre de film qui méritera un futur revisionnage pour pouvoir pleinement saisir ces différentes histoires, ces différents témoignages, et ce qu'il y a derrière ceux-ci.
    Mais pour le moment, me voilà un peu comme un gosse dans un TGV : j'en ai pris plein les yeux visuellement (et à ce point-là, c'est assez rare de nos jours), mais je suis aussi passé à côté de certains éléments tellement le train va vite.
    Naughty Doc
    Naughty Doc

    925 abonnés 443 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 septembre 2021
    Après une sacrée lancée qualitative, The French Dispatch fait un peu objet de pas en arrière


    attention, on tient encore une fois un film à la fabrication méticuleuse dont seul Anderson a le secret : clairement on est face à un travail d'orfèvre dans le choix des cadrages, la direction des acteurs et surtout une direction artistique aux ptits oignons qui sent bon la baguette de pain et la bicyclette (ça sent encore l'Oscar pour Stockhausen)


    Mais le souci vient de la structure quasi anthologique du récit (calquée sur la structure d'un journal avec nécrologie, articles, etc) avec évidemment une qualité variable suivant les mini-histoires


    Toute la 1e partie est vraiment bonne, avec cette présentation du journal et d'Ennui-sur-Blasé (petite ville pittoresque de la France du XXe).

    S'ensuivent ensuite 3 gros morceaux : l'un en prison avec Benicio Del Toro, Adrien Brody et Léa Seydoux (le meilleur), un autre dans un contexte de révolte étudiante (Timothée Chalamet et Frances McDormand excellents) et le dernier auprès de la police dans une cocasse histoire d'enlèvement (Jeffrey Wright porte tout ce segment).


    Très verbeux, avec des belles idées à intervalles réguliers (dont un chouette passage animé comme dans une BD franco-belge), ce récit éclaté manque d'un soupçon de liant et de fibre émotionnelle (chose pourtant présente dans des films comme The Grand Budapest Hotel, l'Ile aux Chiens, Moonrise Kingdom...).


    Le cast est exemplaire (les centraux comme les cameos de luxe), et ça reste un chouette Wes Anderson
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