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    The French Dispatch
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    3,3
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    334 critiques spectateurs

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    SUZY AND MEE
    SUZY AND MEE

    143 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 novembre 2021
    Il parait que ce film est une déclaration d'amour au journalisme ...! et c'est vrai que ça ressemble à du journalisme : les images, belles et racoleuses, se chassent les unes les autres dans un feu d'artifice qui finit par être interminable et soporifique ... au final, on n'aura rien retenu et été ému par pas grand chose ( exception faite de l'histoire des radis ...!! et de Léa Seydoux en surveillante pénitentiaire...!) ... un peu comme si on avait passé une journée devant BFM non?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 novembre 2021
    Pour une bonne séance dodo c'est parfait. Ca part dans tous les sens, Anderson s'est fait plaisir, ca se sent, et nous on prendra plaisir à ne surtout plus aller voir de Anderson...
    fonceur
    fonceur

    4 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 novembre 2021
    Une très forte recherche de couleurs et d'ambiance, dans le même genre qu'Amélie Poulain. Mais le film pêche énormément par son manque de clarté: tout va trop vite, on n'arrive pas à suivre les rôles, les situations, même les noms des personnages. On aurait dit que le réalisateur essayait de rentrer dans un film de 2 heures de quoi mettre dans 4 heures. On en ressort frustré.
    Sosa
    Sosa

    9 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 novembre 2021
    The french dispatch : Ennui et le nom du village où se déroule cette histoire, c'est un village bien évidemment fictif.
    Ennui c'est ce que j'ai ressenti assez vite dès le premiers acte et qui a perduré jusqu'à la dernière minute.
    C'est d'une beauté glacial, c'est magnifique et froid, Wes Anderson essaie de nous transmettre des messages mais je ne suis manifestement pas la cible

    Chaque plan pourrait être une splendide photo, image d'un cinéma sans vie.

    Gros point négatif : certains personnages alterne entre français et anglais, si bien qu'on s'y perd, arrivé un moment je ne comprenais plus les personnages qui parlaient en français nettement dans le deuxième acte où ils crachent leurs textes comme si le but étaient de rendre leurs discours incompréhensible même pour les français.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 novembre 2021
    Très bon film avec des successions d'histoire toutes plus déjantés et drôles les unes que les autres ! Avec en toile de fond des critiques que ce soit des manifestations étudiantes ou du marché de l'art moderne. Coloré et bien réalisé je ne peux que vous le conseiller
    Oliv_78
    Oliv_78

    36 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2021
    Une déception, forcément. Mais à la mesure de l’affection et de l’intérêt qu’on porte à ce cinéaste inventif, imaginatif. Une fois de plus il nous emporte dans son imaginaire si singulier, souvent attachant par le regard qu’il porte sur les gens, sur des personnes simples. Et on continue d’être fan de ses images, de véritables tableaux qui s’enchaînent. Alors qu’est ce qui ne fonctionne pas cette fois? La fantaisie qu’on apprécie tant chez Wes Anderson est toujours présente mais il manque l’humour et surtout le fil conducteur qui en ferait un film et non une succession de saynètes. On repense à ce genre ancien qu’on appelait « film à sketches ». Anderson vaut mieux que cela. Son univers est présent, intact, original, peuplé de tous ces personnages singuliers (et de tous ces acteurs qui paraissent sous-utilisés). Et on attend avec impatience qu’il reprenne le fil d’un scénario qui nous redonnera le goût de replonger dans son univers.
    kyu f
    kyu f

    97 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 novembre 2021
    gros bordel , j'ai vu le film en vo et je crois bien que c'ets le seul film que je regrette d'avoir vu en vo . tout va a 100 a l'heure , sa pète le crâne . on a quelque histoires bien construite sans plus , l'utilisation de la couleur est une seul fois bien utilisé de touts les segment . et sa me sortait du film d'avoir des personnages qui parlait en français pour en avoir d'autre qui répondent en anglais . je ne comprenait pas l'intérêt mais absolument pas . thé french dispatch est un film légèrement brouillon qui laisse dans l'indifférence .
    Tom37
    Tom37

    21 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 novembre 2021
    Très déçu. Ca fait un moment que je ne m'étais ennuyé de la sorte au cinéma. Problèmes de narration, de scénario ? Aucun des trois récits, avec pourtant chacun des thématique et références différentes, ne m'a vraiment intéressé. L'image et la mise en scène sont toujours très travaillés mais j'ai trouvé le rendu trop froid. Les idées et situations originales sont là mais aucunes ne fait mouche. Où sont passés la fantaisie, les histoires à la fois cocasses, touchantes et humaines des films précédents ?
    maxime ...
    maxime ...

    252 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 novembre 2021
    The French Dispatch vu ce matin en salle à tout de la recette d'un chef. Le soucis c'est que l'entrée, le plat et le dessert sont servis dans la même assiette. Le résultat est relevé, digne d'un festin copieux, trop ...

    J'avais vu The Grand Budapest Hôtel dans de même condition, au cinéma donc, je n'ai pas eu le coup de cœur cette fois. Rien de trop grave.
    Manoël LAURENT
    Manoël LAURENT

    3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 novembre 2021
    presque deux heures d'ennui ferme, pourtant il s'agit d'un de mes réalisateur favoris (vivant)
    j'ai l'impression qu'il cherche à recycler une forme qui fonctionne très bien chez le bobo Parigot moyen,
    alors qu'il est plutôt connu pour savoir surprendre le spectateur, j'espère qu'il tirera la leçon de son erreur.
    Oui ce film était bien plus chiant que la pluie, mais il faut lui laisser une chance de faire mieux la prochaine foi
    donc j'irai quand même voir le suivant
    freia
    freia

    1 abonné 35 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 novembre 2021
    Quelques belles images, long et ennuyeux. Le village porte bien son titre : ennui. ce que j'ai trouvé réussi : le dessin animé Mais ce n'est qu'un bref passage.
    Hugo Melmoth
    Hugo Melmoth

    4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 novembre 2021
    Malgré des dialogues parfois longs, c'est un nouveau chef-d'œuvre que nous propose Wes Anderson. Dans son film, le style passe parfois avant même l'histoire : c'est un film d'arts et essais incroyable. Plans de caméra, montage, casting, décors... Tout ceci a été préparé avec brio, se rapprochant presque de la perfection.
    paopao2
    paopao2

    16 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 novembre 2021
    Ce Wes Anderson est comme un gâteau au chocolat trop sucré: on n'a pas envie d'aller au bout. Trop d'acteurs, trop de détails, trop de forme et pas assez de fond, beaucoup de choses gratuites voire anecdotiques. Ce n'est pas long mais j'avais hâte d'arriver à la fin.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    118 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 novembre 2021
    Du Wes Anderson bien reconnaissable, très graphique. Les tableaux sont intéressants mais d'inégale longueur; les choix de couleur, noir et blanc, l'humour, l'absurde, tous les ingrédients sont là. Il y règne malgré tout une ambiance légèrement morose. Personnellement, je préfère Grand Budapest Hotel, même si on passe un moment sympathique devant FDranch Dispatch.
    Charles R
    Charles R

    53 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 novembre 2021
    Découvrir un nouveau film de Wes Anderson, c’est toujours aller au-devant de l’inconnu, du loufoque parfaitement maîtrisé et d’une esthétique à vous dilater les mirettes. De ce point de vue, le dernier opus du maître de l’étrange ne déroge nullement à la règle. Cette fois-ci, Wes Anderson opte pour le film à sketches : quatre chapitres en forment la structure narrative, correspondant à autant de reportages signés par les journalistes d’une dépêche franco-américaine, The French Dispatch of the Liberty, Kansas Evening Sun.
    Une petite ville française au nom qui en dit long sur la gaieté qui y règne – Ennui-sur-Blasé – en constitue le cadre : dans la réalité, il s’agit d’Angoulême dont le choix n’est peut-être pas sans rapport avec un certain festival internationalement connu qui s’y déroule et qui ne peut qu’intéresser vivement le cinéaste, amateur comme chacun sait de BD et de dessins animés.
    Des quatre sketches présentés le deuxième est de loin le plus séduisant et le plus loufoque. Un dangereux psychopathe (Benicio del Toro) incarcéré dans la prison locale se révèle être un peintre aussi étonnant que fécond. Seulement voilà : son génie ne parvient à s’exprimer que lorsque sa gardienne (Léa Seydoux) pose devant lui entièrement nue. N’en disons pas davantage : il y a de quoi se réjouir. Le second sketch explore un passé explosif, celui de mai 68. La jeunesse y trouve son compte, en particulier sur le plan sexuel : Timothée Chalamet, une fois de plus, est parfaitement convaincant face à une Frances McDormand dont le rôle peut surprendre, mais les surprises sont de rigueur chez Wes Anderson. Enfin le quatrième sketch, tout en rassemblant des acteurs aussi émérites que Mathieu Amalric, Jeffrey Wright ou Steve Park, se perd dans les méandres d’un polar qui a de quoi lasser même si tous les procédés techniques sont utilisés avec brio, y compris le dessin animé auquel s’adonne le cinéaste avec un infini plaisir.
    Car c’est bien là que le bât blesse : trop c’est trop. Trop de virtuosité fatigue. Wes Anderson est un virtuose qui peut tout se permettre : à tous les coups il gagne. Mais voilà : tout ce défilé d’images qui circulent à toute allure finit par sonner désespérément creux. Si les sketches du prisonnier psychopathe et de mai 68 ont de quoi séduire, le dernier s’étire en longueur et cesse d’intéresser le spectateur. D’autant que le rythme du film ne permet pas au spectateur de souffler. On a du mal à se faire à cette exigence qui fait se succéder des tableaux toujours impeccablement construits à une vitesse grand V, ce qui exclut toute possibilité de contemplation. Or, avouons-le, nous aimons par-dessus tout contempler les plans cinématographiques, surtout lorsqu’ils sont de qualité comme c’est ici le cas. On ressort de la séance un peu comme si l’on avait vu un immense tableau baroque chargé de mille et un personnages mais dont finalement on ne peut rien retenir.
    Dommage car la distribution a de quoi faire des envieux parmi la gent cinéaste. Bill Muray en rédacteur en chef, voilà qui nous plaît, de même que tous ceux dont il a été question précédemment, auxquels il faut ajouter Adrien Brody (dans le rôle d’un galeriste), Christoph Waltz, Owen Wilson… N’en jetez plus : comme pour tout, Wes Anderson ne fait pas dans la demi-mesure. Cette surcharge d’acteurs n’a finalement rien de bon, certains rôles apparaissant comme de simples clins d’œil ou comme des caprices de cinéaste comblé.
    En revanche, on ne peut qu’apprécier cet hommage que Wes Anderson rend à la culture française et en particulier à son cinéma. De Tati à Renoir, en passant par la Nouvelle Vague mais aussi par les maîtres français du polar cinématographique, le cinéaste américain ne cesse de multiplier les références plus ou moins explicites.
    Bref, si Wes Anderson demeure un artiste atypique, diantrement intelligent et prodigieusement doué, si son souci d’esthétisme ne saurait être remis en cause, on ne peut que souhaiter pour un prochain film qu’il renoue avec la délicate poésie de Moonrise Kingdom qui nous avait tant séduits voilà près de dix ans. Mais pour cela il doit d’une part se faire plus modeste dans ses ambitions et surtout renouer avec un rythme qui permette au spectateur de profiter pleinement des merveilleux tableaux qu’il compose.
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