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    Une Sirène à Paris
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    Cinévore24
    Cinévore24

    342 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mars 2020
    Un petit film, poétique et musical, rempli de belles idées, et ce malgré une intrigue un peu maigre et des rebondissements un peu faiblards.
    VOSTTL
    VOSTTL

    96 abonnés 1 937 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 mars 2021
    Je ne vais pas m’éterniser : rien ne fonctionne dans cette fable. La sirène elle-même, le couple Duvauchelle - Lima. Je n’ai cru en rien ! Il y a des films pour enfants auxquels je crois, là, rien de rien comme chanterait la môme Piaf ! Certes, la photo, les décors et accessoires sont sympas, très colorés ; c’est agréable à l’oeil, mais malheureusement le récit ne m’a aucunement touché et c’est là le souci. Un gros plouf !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 août 2020
    Jolie petite histoire à la française. Atypique, mais hélas qui n'as pas su susciter mon intérêt. Les décors et les musiques sont sympa. Le panel d'acteurs, les décors donnent au divertissement ce petit côté fantastique, irréel.
    Léa Wayne
    Léa Wayne

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2020
    Adaptation fidèle au roman pour 95% du film ! Un Duvauchelle excellent et belle découverte de Maryline Lima douce et dangereuse sirène. Mention spéciale au zazou de Nicolas Ullmann et coup de coeur pour l’incroyable Rossy de Palma !

    Histoire d’amour certes mais il faut en capter les nuances et sous-tons, bien moins naïf qu’il n’y parait sur fond de drame, apprendre à gérer un deuil, une rupture, puiser ses forces dans la poésie et redécouvrir le panache.

    Merci pour ce beau film
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 janvier 2021
    Il est futé, Mathias Malzieu. Il écrit un livre. Quand il n’y a pas assez de monde pour le lire, il en fait un album avec Dyonisos. Quand il n’y a pas assez de monde pour l’écouter, il mélange les deux et en tire un film. On tremble rien qu’à l’idée que Bernard Werber, autre membre de la Ligue de l’Imaginaire, puisse faire pareil. Les premières minutes se déroulent très mal : on a l’impression que les acteurs peinent à trouver le ton juste, que Malzieu aurait plus inspiré d’en faire un film d’animation, à l’instar de ‘La mécanique du coeur’. Puis, comme on comprend qu’il s’agit d’un conte de fées moderne, on accepte ce ton incertain comme faisant partie intégrante du concept. ‘Une sirène à Paris’ est une histoire d’amour inter-espèces : ça a l’air un peu sale présenté comme ça mais je vous assure que c’est tout sauf le cas et qu’on trouvera cette romance enfantine entre un chanteur au coeur brisé et une sirène qui tue sans le vouloir, au choix, mignonne tout plein ou complètement neuneu. Si les chansons de l’album se font discrètes, Malzieu renoue avec cet éternel Paris de quais de Seine illuminés par des lampions, chic et toc, dont on a eu le temps de se lasser depuis qu’on regarde des films de Jean-Pierre Jeunet. Au moins son obsession des objets vintage et son exostalgie frénétique y apporte-t-elle un petite touche personnelle, et c’est déjà ça de pris.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 13 mars 2020
    Vraiment bof, j'ai trouvé Nicolas Duvauchele assez attachant comme d'habitude dans ses films mais là sirène pas du tout, j'en pouvais plus d'entendre ses paroles bébêtes et ennuyeuses, je pense pas que dans la réalité beaucoup d'hommes tomberaient amoureux d'elle mon dieu, elle a enlevé toute la beauté du filmk
    Ciné-13
    Ciné-13

    118 abonnés 1 070 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 mai 2021
    Un monde enchanté, décalé, théâtral et beaucoup foutraque.
    Rouges, jaunes, oranges, roses,... avec Rossy et Lola en reines de Paris.
    Irrésistibles : Duvauchelle en crooner roller, Tchéky Kario en père batelaur-patron du "flower burger", Rossy De Plama en voisine protectrice se mêlant de tout...
    Il va tout faire pour remettre la sirène "sur pied".
    La visite touristique Paris by night en touk-touk vaut le détour.
    Des saynètes musicales colorées vintage se succèdent avec de belles compositions originales.
    Et les larmes finales spéciales de la sirène nous amadoueront les plus coriaces.
    Du bonheur dans cette société de brutes...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 mars 2020
    J'ai beaucoup aimé le film, comme j'ai aimé le livre de Mathias Malzieux, comme j'aime le cd.
    Un seul bémol, j'aurai aimé que tout au long du film on entende les chansons de Dionysos.
    Décors magnifiques, les acteurs sublimes...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 décembre 2020
    SORTIE DVD/BLUE RAY : « UNE SIRÈNE À PARIS », UN CHANT D’AMOUR POÉTIQUE QUI RÉSONNE AUSSI COMME UNE VIEILLE RENGAINE !

    Le film « Une sirène à Paris », du réalisateur français Mathias Malzieu, dont la sortie en salles avait été le 11 mars 2020, mais qui, à cause de la fermeture des salles de cinéma, dans le cadre du confinement dû à la pandémie de covid-19, n’a pas eu le temps d’être exploité suffisamment au cinéma et est, du coup, ressorti au premier jour de réouverture des salles obscures, sort, ce jour, en DVD et blue ray.

    Ne vous l’ayant pas présenté, ni lors de sa sortie effective, ni le 22 juin dernier, nous profitons de l’occasion qui se présente pour vous en parler aujourd’hui.

    SYNOPSIS

    Crooner au cœur brisé, Gaspard s’était juré de ne plus retomber amoureux. Quant à Lula, jolie sirène, elle n’a que le chant pour se défendre des hommes, en faisant s’emballer leur cœur jusqu’à l’explosion. Lorsque la Seine en crue vient déposer Lula au pied du Flowerburger, la péniche-cabaret où chante Gaspard, c’est un mini-tsunami qui va bouleverser leur existence. Lui, l’homme qui a souffert d’avoir trop aimé, et elle, la créature qui n’a jamais connu l’amour, vont apprendre à se connaître. Et à chanter d’une même voix…

    Avec une sortie le 11 mars 2020, mais de très courte durée pour cause de fermeture des cinéma, dans le cadre du confinement qu’à connu la France, de mi-mars à mi-mai, à cause de la pandémie du covid-19, et resorti le 22 juin 2020, parmi le petit nombre de films disponibles dans les salles obscures pour leur réouverture, le film de Mathias Mahzieu « Une sirène à Paris », sort « enfin », en DVD et blue ray, aujourd’hui, mardi 15 septembre 2020, soit après un report de 13 jours par rapport à la première date indiquée.

    Une fois encore Mathias Malzieu nous emmène dans son univers poético-onirique, comme il avait si bien réussi à le faire avec son précédent film « Jack et la mécanique du cœur », qui était une adaptation de son propre roman éponyme. Mais, si encore cette fois, l’écrivain nous propose la retranscription d’un de ses romans – celui sorti l’année dernière (2019) aux éditions Albin Michel -, dans une version cinéma, l’enchantement est très nettement moins grand pour cette « Sirène à Paris ».

    Pourtant, « Une sirène à Paris » a, (presque) absolument, tous les ingrédients pour nous émerveiller autant que « Jack et la mécanique du cœur »…à l’exception d’un en particulier, qui est, en plus, le plus essentiel, à savoir : l’originalité du sujet !

    Une histoire d’amour non déclarée verbalement et sensée être impossible, entre un homme qui, profondément blessé par la perte de son dernier amour en date, est devenu insensible au chant d’amour d’une sirène qui, de son côté ne veut pas qu’il meure à cause d’elle, comme il est obligé d’advenir pour tous les hommes qui croisent son chemin, mais dont on comprend très très vite qu’elle se bat et s’interdit d’en tomber, elle-même, amoureuse ; Une telle histoire, donc, c’est « bien joli »…mais que c’est banal de par la quantité d’histoires de cette sorte déjà racontée et qui finit par sortir par les yeux, tant on en a plus rien à espérer d’inattendu, où il suffit juste d’un peu de « pratique de la logique scénaristique » pour voir tout venir, même plusieurs minutes à l’avance, et dont l’un des pires ennemis à sa capacité de surprendre est sa bande-annonce qui nous raconte, en deux minutes, déjà tout ce qu’il se passe d’essentiel en 1h42 de film !

    Même en mettant de côté l’idéalisation de l’amour comme bonheur absolu et nécessaire, ainsi que le fait que, en ce qui nous concerne, nous nous échinons à expliquer que l’amour n’est rien d’autre que le pire esclavage – car la plus puissante drogue existante au monde – et que, de ce fait, l’amour est tout ce qu’il y a de plus surfait au monde (ce qui nous met dans la même situation initiale que le héros du film), « Une sirène à Paris » a quelques trop gros défauts.

    Tout d’abord, Mathias Malzieu semble ne nous servir qu’un dérivé de « Jack et la mécanique du cœur » – même bien plus que de sembler en être qu’une suite.

    Comme dans son premier long métrage, le réalisateur nous parle d’un « enfant qui n’a pas le droit d’aimer sous peine de mourir ». Car, Gaspard – le « héros » de « Une sirène à Paris » -, n’est vraiment qu’un gamin dans le corps d’un quarantenaire ! Ne se déplaçant qu’en « rollers » (ce qui n’est plus à la mode depuis déjà bien longtemps), vivant dans un appartement surchargé de jouets (y compris pour les bains des tout petits), de figurines en tout genre, d’un livre d’images de type « pop up »…et jusqu’à une mini télé pour gosse qui connecte à son…magnétoscope, ce «faux adulte » a un caractère, une personnalité totalement immature ! D’ailleurs, sa conception de l’amour – qui n’est, en réalité que de « l’amour du sentiment amoureux », tombant sans cesse « profondément amoureux », même le temps d’une histoire de quelques jours – est bien celle d’un « non-adulte qui s’accroche à ses « petites joies d’enfants », avec ses « joujous » et même la technologie de cette époque, devenue obsolète – et de l’imaginaire qui va avec – qui sera toujours un imaginaire sans génie, comme ne l’est que celui de tout enfant.

    Comme dans « Jack et la mécanique du cœur », Mathias Malzieu nous ressert même le fait que cet enfant tombe amoureux d’une chanteuse ! Ici, c’est une « chanteuse par obligation », puisqu’il s’agit d’une sirène, mais le résultat est le même !

    Autres points communs entre les deux films du réalisateur. Tout d’abord, le film d’animation (« Jack et la mécanique du cœur » était un film d’animation à cent pour cent et, dans « Une sirène à Paris », ce sont les génériques du film – début et fin…plus un des « effets spéciaux » – qui sont du cinéma d’animation). Mais, pour le coup, cela apporte une bonne partie de la poésie que l’on trouve dans « Une sirène à Paris »…car, oui, il y en a tout de même… Autre point commun entre les deux films de Mathias Malzieu…son premier film, ni plus ni moins ! En effet, à un moment de « Une sirène à Paris », il passe, pour occuper sa naïade, le film « Jack et la mécanique du cœur », dont des passages nous sont, tout autant mis devant les yeux, « plein écran » ! Pour qui ne connais pas ce premier film de Mathias Malzieu, bien sûr, ça passe très bien, mais, pour qui connais déjà ledit film (comme c’est notre cas), cela donne un sentiment de « coup de promo gratuite, et ce dans tous les sens du terme !

    Tout ce dont nous avons parlé jusqu’à présent constitue les grands reproches que nous faisons à ce nouveau film de Mathias Malzieu. Mais, comme nous l’avons indiqué, avant de passer en revue tous ces éléments négatifs, « Une sirène à Paris », a, pourtant, presque tout pour être un vrai bon film !

    En tout premier lieu, nous citerons l’extraordinaire photographie (le travail de lumières du film), de Virginie Saint Martin, la directrice de la photographie. C’est par l’excellence de la photographie que ce film arrive à donner, principalement, sa poésie, par les atmosphères qu’il crée, nous conduisant, pour le coup, véritablement, dans un univers féerique, « sortant des espaces de lumière » que le monde réel ne peut offrir – même le fait qu’il y ai une sirène dans un monde tout ce qu’il y a de plus concret ne contribue pas autant à la féerie du film !

    Ajoutons à cela la justesse des interprètes (il faut dire que l’équipe artistique est, pour ses rôles principaux, de haute volée ! Entre Nicolas Duvauchelle – à la filmographie impressionnante et si fournie – qui interprète le rôle de Gaspard (le héros), Romane Bohringer, sorte d’antinomie du héros -, Tchéky Karyo dans l’exercice difficile du personnage secondaire interprété par un acteur au talent tant reconnu devant, néanmoins, « servir » l’interprète principal, et l’unique Rossy de Palma qui est, pour nous, celle qui apporte le véritable plus, à ce film, tant elle irradie de son génie. Et puis, en plus de cela, il y a, bien sûr, l’interprète de Lula, la « fameuse » sirène, qui est Marylin Lima, actrice que l’on peut dire prometteuse, tant elle arrive si bien à permettre de comprendre les pensées et, surtout, les sentiments de son personnage, alors qu’elle passe tant de temps dans l’eau – et, particulièrement dans des baignoires, devant, de ce fait, jouer principalement avec le haut de son corps – d’autant qu’elle n’a vraiment que le minimum du minimum de texte durant toute la première moitié du film.

    Nous pourrions aussi ajoutez le talent du réalisateur – car, si l’auteur nous a déçu par le contenu de l’histoire, Mathias Malzieu sait donner de la magie à son film, par un « je ne sais quoi », qui complète la poésie du film, peut être du à cette « intuition », plus que « impression » d’un peu de Boris Vian dans sa façon d’apporter de l’irréel, du rêve, dans un monde tout ce qu’il y a de plus commun et courant, lui.

    Enfin, « Une sirène à Paris », toutes ces choses dont nous avons traité ici, ça donne le meilleur de Jean-Pierre Jeunet et de Michel Gondry..Ce qui n’est pas la moindre des choses !

    Qui plus est, voir, de temps en temps, un film français qui ne soit, ni du « réalisme social militant », ni « le récit commun de monsieur-tout-le-monde » – ce qui est devenu un pari courageux, depuis vingt ans, dans le cinéma hexagonal -, ça mérite tout de même bien d’être vu et apprécié pour ce qu’il arrive à apporter de bon et rafraîchissant !

    Christian Estevez

    N.B.: critique publiée sur le site de "FemmeS du Monde magazine" le 15 septembre 2020.
    Imane Ify
    Imane Ify

    31 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 septembre 2020
    Quel bonheur de voir ce film magique et de se retrouver plongée dans l' univers féerique de Mathias Malzieu.
    Le casting est réussi et même les personnages secondaires ont une belle partition à jouer.
    Et surtout j'apprécie la démarche naïve assumée pour être au plus près des sentiments, sans cynisme aucun.
    Dommage que ce film soit sorti la semaine d'annonce de nouvelles restrictions sanitaires toutes les 48h, mais sa magie m'a accompagnée pendant les premières semaines de confinement.
    leotain
    leotain

    9 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2020
    Ce sera mon dernier film vu en salle avant le confinement... D'un point de vue cinématographique, je ne dirais pas qu'UNE SIRENE A PARIS est un très bon film mais si on oublie les petits défauts et qu'on se laisse emporter par l'univers foisonnant de mille détails dans les costumes et décors de Mathias Malzieu, on passe un bon moment. Et quelque part, c'est déjà vraiment bien.
    Ciné2909
    Ciné2909

    69 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 juin 2020
    On connait l’artiste Mathias Malzieu d’abord via son groupe Dyonisos mais il a aussi porté la casquette de réalisateur avec son film d’animation Jack et la mécanique du coeur. C’est avec un grand plaisir qu’on plonge de nouveau dans son univers particulier comme en témoignent les scènes qui se déroulent à bord du Flower Burger. Cette atmosphère haute en couleurs ne parvient malheureusement pas à nous faire oublier une histoire peu emballante. Heureusement d’ailleurs que Rossy de Palma est là pour apporter un peu d’animation car le duo Marylin Lima / Nicolas Duvauchelle lui peine à convaincre. Sans un couple en symbiose, la magie peut difficilement s’opérer et au final Une sirène à Paris nous fait surtout plonger dans une certaine déception.
    patosud26
    patosud26

    105 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mars 2020
    C'est du Mathias Malzieu, tout crachés, c'est beau, c'est coloré, magique et poétique, et ça pourrait presque être un film pour enfants, mais seulement presque. Parce qu'il y a quand même une sirène qui tue sans scrupule, spoiler: il y a quand même une femme, qui vient juste d'annoncer à son homme qu'elle attend un bébé, qui devient folle de douleur et de désespoire quand celui-ci est tué par la sirène qu'il tentait d'aider. Et il y a aussi le héros, sympa au premier abord, mais qui finalement, ne s'intéresse pas trop aux crimes commis par la sirène et veut juste la garder avec lui, même captive, car elle lui demande à plusieurs reprises d'être remise à l'eau et à chaque fois, il repousse.

    Est-ce que c'est un bon film. Ca sent le Malzieu, mais pas le meilleur, pas du meilleur gout, spoiler: sauf si on ferme les yeux sur les meurtres et la séquestration.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 mars 2020
    Merci à Mathias Malzieu et toute l'équipe pour ce film exceptionnel !
    J'ai adoré le livre (dans ma pile "à relire et relire encore" !!) et à l'annonce de la sortie du film, il était certain qu'il me fallait le voir dès sa sortie !
    Je voulais retrouver les surprisiers, revivre ce que j'ai ressenti dans le livre, Mathias Malzieu et son équipe m'ont offert bien plus que cela. C'est un vrai film de surprisier !
    Une oeuvre fidèle au livre tout en s'en démarquant grâce à la magie du cinéma. Ce film a une identité propre, c'est une oeuvre magnifique, poétique, romantique, musicale, drôle,... merveilleusement exceptionnelle ! Les musiques sont le miroir de nos sentiments, les personnages sont lumineux, drôles, poignants (bravo les acteurs, casting parfait), les décors laissent rêveur, les surprisiers sont une famille, une façon de vivre.
    Du Mathias Malzieu dans toute sa splendeur, merci d'avoir fait exploser mon coeur !
    Gabriel Tabarini
    Gabriel Tabarini

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 mars 2020
    C'est une merveille! En tant que passionné de sirènes j'ai été ravi! Mathias Malzieu est un producteur de génie, il nous transporte dans sa magie, ça fait énormément de bien! 1h40 de pure bonheur à voir et à revoir! La sirène est sublimement bien interprétée, elle me fait pensé à des moments à Ariel de par son innocence et son superbe sourire! Je le conseille vivement!!!
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