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ptitmayo
37 abonnés
969 critiques
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1,0
Publiée le 27 mars 2008
Quand John Woo s'essaye au film de guerre, c'est pas une grande réussite.
Le scénario, hormis l'idée de départ, est assez désolant tant il est peu fourni, tant les dialogues sont ridicules et surtout tant certaines scènes niaiseuses sous forme de gros clichés tentent en vain de nous soutirer des larmes.
Il faut dire que Nicolas Cage n'est pas brillant dans un rôle où il n'exprime rien à l'écran. De plus, John Woo ne met pas beaucoup de panache dans sa réalisation soporifique, sauf pour les combats où le rythme tient en haleine bien que des bombes pêtent un peu n'importe où et n'importe comment.
Ce film de guerre est assez insignifiant en général.
Après avoir réalisé le second volet de Mission : Impossible (2000), le cinéaste Chinois John Woo se lance dans un tout nouveau registre pour lui, le film de guerre, avec Windtalkers - Les Messagers du Vent (2002). Woo rend ainsi hommage à des héros méconnus de la Seconde Guerre Mondiale, les Navajos (des amérindiens). La principale erreur du film ici, est son histoire, trop simpliste, par réellement passionnante, le destin de plusieurs indiens enrôlés chez les marines pour défendre les Etats-Unis. Bien sur, on échappe pas aux fameux dérapages, entre américains et indiens, discrimination raciale oblige ! On sait rapidement ce qu’il adviendra, ils deviendront les meilleurs amis à la fin de la guerre (cliché habituel). L’autre erreur trop imposante, la dimension psychologique apportée au film par la prestation de Nicolas Cage. Trop répétitif, trop exagérée, qu’il en vient à faire trop d’ombres aux autres, que ce soit Christian Slater, Peter Stormare, Noah Emmerich ou encore Mark Ruffalo. Toutefois, on saluera la mise en scène lors des séquences de batailles, efficaces et réussies dans la plupart des cas, de quoi captiver le spectateur durant plus de deux heures.
Un film de John Woo qui passe complètement à côté de son sujet en dépit de grandes espérances et d'atouts considérables. Le cinéaste de The Killer et de Volte/face disposait de tout pour réussir un grand film. Des comédiens capables, un budget conséquent, une grande autonomie, des thèmes qui lui tiennent à coeur, un contexte historique dramatiquement puissant... De tout, sauf d'un scénario à hauteur des ambitions. Car surl a description de l'amitié d'un soldat américain et du Navajo dont il doit protéger le code radio des Japonais, ne surnagent que les clichés les plus éculés du film de guerre, des comédiens figés, des scènes de bataille tâtonnantes.... Handicapé par un script faiblard, John Woo régresse par rapport à Une balle dans la tête, tableau mille fois plus impressionnant d'un conflit qu'il exécute en 1990.
Bon film de guerre, débarquement au japon, stratégique, avec une réalité de la guerre évidente, un nicolas cage pas spécialement bon, mais des sentiments qui reposent en globalité sur le film. A voir.
Certes un film de bonne qualité mais qui a du mal à se démarquer des autres productions du genre, et l'originalité au niveau du scénario mis en avant ne fait pas tout. On sent toujours la p'tite touche John Woo, ce qui n'est pas un mal, mais on a l'impression d'avoir déjà vu ça une multitude de fois. Cela dit, bon divertissement, de l'action, des bons sentiments, de l'hémoglobine, un coktail parfait, mais ô combien banale.
En plus des nombreuses scènes d'action, ce film rend hommage aux Indiens qui ont aussi participé à la Seconde Guerre mondiale dans les rangs de l'armée américaine.
Un fait tres peu connu de la seconde guerre mais Woo avait apparement besoin de son film de guerre on retrouve un tres bon Cage neanmoins et des scenes assez sympas mais il manque l'etincelle apparement a decouvrir quand meme.
Un bon film de guerre signé John Woo. L’action ne s’arrête jamais, parfois des moments humains et le film nous montre toute la boucherie et l’horreur de la guerre. Le casting est impressionnant, tous les acteurs sont excellents : Nicolas Cage en tête, Adam Beach, Peter Stormare, Noah Emmerich, Mark Ruffalo, Brian Van Holt, Martin Henderson, Christian Stater, Jason Isaacs ou encore la présence de l’actrice Frances O’Connor. La musique de James Horner est super.
Un bon film de guerre, signé par un John Woo ici particulièrement inspiré. Les scènes d'action sont littéralement impressionnantes, et le scénario se révèle au final assez passionnant, sur l'une des facettes les moins connus de la seconde guerre mondiale. On regrettera alors seulement un coté un peu mélo, notamment avec le coté psychologique du personnage de Nicolas Cage (excellent au demeurant), qui alourdit un peu l'ensemble. Reste une oeuvre d'une grande puissance, qui se révèle au final hautement recomandable. Du bon cinéma.
Aprés avoir fait des films de commandes aux Etats-Unis comme "Chasse à l'homme", "Broken Arrow", "Mission Impossible 2 " et surtout l'excellent "Volte Face", John Woo, cineaste de génie qui a fait ses preuves en Asie avec notamment le cultissime "The Killer" avec Chow Yun Fat, a carte blanche de la part des studios Hollywoodiens qui lui mettent 100 millions de Dollars sur table pour réaliser un film de guerre sur des soldats Indiens combattant pour le drapeau Américain contre les Japonais, qui ont pour mission de donner des codes par radio pour que l'artillerie puisse voir les données exactes pour envoyer des bombes, sans que les Japonais n'arrivent a décrypter, ce qu'on appelait autrefois des soldats "Navajos". Nicolas Cage et Christian Slater ont pour mission de protéger deux d'entre eux. Mais les soldats Indiens ont du mal a se faire accepter dans le camp Américain de ressemblance avec le clan Ennemi....C'est pas mal mais sans plus!!! Ce film ne ressemble pas aux autres longs métrages de John Woo ou les scènes de batailles et de combats sont réels et non chorégraphiés. Le défaut du film vient du personnage principal incarné par Nicolas Cage, un torturé de la guerre qui a de vieux démons d'avoir perdus, sous son commandement, des soldats et qu'il se remémore tout le film son acte passé, ce qui devient lourd et agaçant. Ce film aurait mérité mieux malgré quelques scènes émouvantes et une réalisation soigné. Un John Woo assez moyen.