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Jorik V
1 285 abonnés
1 952 critiques
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2,5
Publiée le 16 août 2020
Les grosses productions Netflix se suivent et ne se ressemblent pas. Après les divertissants et sympathiques films d’action « The Old Guard » le mois passé et « Tyler Rake » au printemps voici venu « Project Power ». Et c’est beaucoup moins satisfaisant ici. En guise de scénario, on nous propose un cocktail prometteur entre « Limitless » (pour la pilule magique), la saga « X-Men » (pour les super pouvoirs) et « Bright » de la même plateforme pour l’association des personnages. Sauf que cette alliage prometteur ne tient pas ses promesses et ne capitalise jamais sur son postulat pourtant plutôt intrigant et ouvert à plein de possibilités. On a juste droit à une banale course-poursuite entre méchants et gentils, ces derniers se rencontrant bien trop tard dans le film.
Le début a du mal à se mettre en route mais ensuite on se captive, un temps du moins, pour cette histoire de pilule qui décuple des pouvoirs venus du genre animal chez ceux qui la prennet (idée peu exploitée). Mais force est de constater que tout cela ne mène pas à grand-chose de très palpitant, « Project Power » se contentant d’enchaîner mollement les scènes d’action allant du réussi (celle dans les HLM avec l’adolescent en feu), au raté (le bouquet final d’un banal absolu) en passant par le frustrant (cette scène de bagarre dans la soirée dans la cave où on ne voit rien puisque filmé du point de vue d’une femme enfermée). De plus la logique narrative de l’évolution spatiale des personnages et de leur enquête n’est pas très au point et les méchants encore une fois chez Netlix très peu charismatiques.
La mise en scène est quant à elle tape à l’œil au possible apparaissant satisfaisante aujourd’hui mais très certainement ringarde dans quelques années, le duo de cinéastes enchaînant les prouesses technologiques à la mode et les couleurs criardes. On en a aussi un peu marre, au nom de la diversité, de voir des personnages féminins et afro-américains mis là juste pour dire de (comme dans « The Old Gaurd »). La volonté est louable, l’exécution apparaît désormais comme un triste passage obligé. On est content de retrouver le trop rare Joseph Gordon-Levitt mais il n’a que peu à jouer comme tous les autres protagonistes réduits à des étiquettes basiques. C’est le genre de film qui détend un samedi soir si l’on n’est pas ou peu exigeant mais on est loin des blockbusters que ce film veut égaler. Alors même si les effets spéciaux sont probants et quelques manifestations de pouvoir plutôt sympathiques on a déjà vu ça en mieux chez les mutants. Dispensable donc et surtout très peu surprenant.
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Netflix nous offre sa nouvelle super-production. Elle est aussi quelconque et peu surprenante que les précédentes. Le concept aurait pu permettre quelques scènes tendues mais il est peu exploité au profit de séquences d’action mal fichues aux effets spéciaux médiocres.
Comme souvent les productions netflix se veulent novatrices alors qu'elles recyclent des idées et thématiques en leur donnant une autre direction. Mais le résultat s'avère nébuleux, inabouti et excessif. Une fois de plus, ce Project power complotiste n'échappe pas à la règle, où l'action s'avère musclée et efficace. Pas vraiment transcendant, même avec deux têtes d'affiche de poids.
Un produit de masse tel qu'il en existe des centziebs. Les effets spéciaux et un casting menée par Jamie foxx rendent la chose digeste, mais on peut aussi s'en passer aisément
Très inspiré de « Limitless », « Project Power » n’arrive pas à sa hauteur. Le duo, que forment depuis quelques années Henry Joost et Ariel Schulman, voulait embrasser plus d’objectifs que Neil Burger dans son « Limitless ». Or, comme on le sait, qui trop embrasse, mal étreint. Les deux jeunes réalisateurs voulaient d’abord, à l’instar de Neil Burger montrer les effets spectaculaires d’une drogue et ses effets destructeurs. Les deux films y parviennent. Mais « Limitless » le fait de manière plus crédible. Le duo voulait aussi aborder un autre sujet : la chaîne commerciale du produit. Des fournisseurs, aux clients, en passant par les revendeurs. Mais avec la multiplication des intervenants, et plusieurs flous dans le scénario, l’intrigue devient un peu brouillonne, et patine un peu. Le duo voulait aussi faire passer de force, un message, porté par l’extrême gauche du Parti Démocrate. Le concept du racisme systémique. En gros, la société Américaine est organisée pour que les minorités ne réussissent pas. La phrase est d’ailleurs explicitement prononcée dans le film « le système fait en sorte que les jeunes femmes noires ne réussissent pas ». Et la solution apportée par les réalisateurs apparaît sous la forme d’une réplique prononcée par le héros est : « avec le Rap, toi, jeune noire tu pourras t’en sortir ». Outre son côté archi démagogique, le message est doublement erroné. Ce n’est pas la réussite scolaire des jeunes femmes noires qui pose problème dans la société Américaine, c’est celle des des jeunes hommes noirs. Le message attendu du héros à la jeune lycéenne noire, aurait dû logiquement être « arrête de vendre de la drogue, et concentre-toi sur tes études, puisque tu es intelligente. ». Engoncés dans leur politiquement correct démago, les réalisateurs négligent de soigner leur copie de manière réaliste, à l’image des scènes finales, totalement perchées.
Avec ce project power, on se retrouve malheureusement avec un film typique des long métrage que l'on peut trouver sur la plate-forme de streaming Netflix. C'est à dire un film certes bien réaliser mais un scénario plat qui met pas en valeur l'idée de départ qui etaot pourtant pas mal ( les capsules de drogue transformant le consommateur pendant 5 mn en homme surpuissant).
Voici avec Project Power un énième film Netflix qui envoie du lourd dans le casting et dans le synopsis mais qui oublie de faire un film crédible et bien construit. Le potentiel de départ est là mais tout est sans queue ni tête, sans explications, sans raison, avec beaucoup de raccourcis dans le scénario et avec une conclusion trop facile. Il y avait pourtant matière à faire mieux avec ce matériau mais le rendu est bien trop fainéant. Dommage de gâcher ainsi le talent de ces 2 têtes d'affiches.
Comme beaucoup de films Netflix ca commence bien et ca fini mal. C'est beau et bien filmé mais le scénario est absolument abracadabrantesque. Au final au bout d'1h ca tourne en rond en mode tir au pigeon. C'est domamge car il.y avait matière a mieux. Au rayon quand-même reconnaître que la bande son est vraiment tip-top, pour le coup rien a dire.
Nouveau Netflix que du beau monde dans les acteurs. Mais le récit ne m'a pas paru intéressant. Je l'ai regardé comme on a plaisir à voir un téléfilm. Vu, mais pas envie de le revoir. Je m'attendais à mieux. Bon, globalement, il est vrai que le nouveau long-métrage du tandem Ariel Schulman/Henry Joost ("Nerve", "Viral") ne va pas briller par la folle originalité de son intrigue, les mystères autour des motivations du personnage de Jamie Foxx ou des fournisseurs de la drogue entretenus dans la première partie sont très prévisibles et, schématiquement, le déroulement du récit se résume assez vite à la construction d'une alliance improbable entre les trois héros pour faite tomber une organisation tentaculaire à la la façon de plusieurs niveaux d'un jeu vidéo bourré d'action.
Un film assez indigeste, car s'il a le mérite de proposer un scénario peu conventionnel, le reste est quand même très maladroit. Certains pouvoirs sont sympa à voir mais sans plus, et la sauce a, par conséquent, bien du mal à prendre. Les personnages sont plats et les rebondissements vraiment pas folichons. Une produit Netflix une nouvelle fois assez moyenne qui vaut avant tout par son esthétique.
Décevant et très moyen. Synopsis alléchant, casting prometteur mais dès les premières images, on comprend que le scénario est construit façon Marvel avec un déroulé bien ennuyeux. 2./5 !!!
Netflix à tous de même la fâcheuse tendance à être très régulier sur la médiocrité. C'est pourtant pas faute d'avoir fais appel à des réals reconnues ainsi que nombre d'acteurs relativement bons, mais à chaque fois on se retrouve avec un film trèèès moyen au scénario bancal, sans originalité et finalement déjà oublié alors que le générique finale n'es même pas terminé, que ce soit The Old guard, Extraction, 6 underground ect... C'est toujours la même soupe. Project power n'échappe pas à la règle, histoire peu intéressante qui se base sur une seule idée qui de surcroît à déjà été traité ailleurs à peu de choses près, scènes d'actions peu inventives saupoudré de quelques plans au ralenties histoire de stylisé le tous et hop emballée c'est pesé génétique de fin. Une fois de plus une production décevante malgré son casting intéressant.
Production Netflix avec un casting alléchant et un synopsis intriguant, Power bénéficie d'une réalisation de bonne facture, et parvient à donner une certaine personnalité à son environnement, qui m'a rappelé un certain "Strange Days": une pilule aux effets variables apparaît sur le marché, confère à ses consommateurs des pouvoirs potentiellement dangereux, et transforme la société en sorte de champ de bataille quasi pré-apocalyptique. Dans ce contexte sympathique, auquel on peut ajouter la présence bienvenue d'acteurs afro-américain dans les premiers rôles, Power développe une histoire et des péripéties qui malheureusement se montrent assez banales, et qui ne tente jamais de sortir des sentiers battus. On assiste donc à un film générique, acceptable mais sans véritable surprise, et qui ne cherche pas à transcender son sujet.
De part des séries comme ses film (The old guard par exemple), Netflix nous avait habitué à la qualité. Project power n’a pas cette qualité. C’est beaucoup trop américain (gentil/méchant) avec une histoire qui traine à se montrer et des personnages dont on ne s’attache que relativement peu, la performance des acteurs n’aidant pas. Le concept des pouvoirs tirés de la nature était intéressant mais n’est pas du tout exploité et même disproportionné. Un film divertissement mais il y avait mieux à faire.