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CinÉmotion
Un duo d'acteurs plein de tendresses et de charmes à l'écran. La thématique de la maladie d'Alzheimer m'intéressait beaucoup mais au final elle est peu développée et sert simplement de contexte pour dérouler cette belle histoire d'amour. Je pense que le film est plutôt ciblé pour les "sexagénaires", de part la simplicité de son scénario, d'un rythme très lent et d'un développement des personnages peu approfondi, se contentant du minimum pour se recentrer complètement sur cette relation romantique et les émotions qui s'en dégagent. Cela reste mignon et délivre un magnifique message d'amour sur la vieillesse et que l'un n'empêche pas l'autre :)
Magnifique comédie romantique - peut être typée "séniors" - avec 2 superbes acteurs : Bruce Dern, Caroline Silhol. Claude simule la maladie pour se rapprocher de son grand Amour Lilian qu'il n'a pas réussi à vivre en son temps. Par contre Lily n'a pas échappé à cette horrible dégénérescence....Dit comme cela, ça peut sembler tristounet.... Pas du tout, bien que le rythme soit plutôt lent en première partie, l'émotion grandit petit à petit, avec de merveilleuses images de douceur et de tendresse, un peu d'humour aussi, de la fraîcheur avec la petite fille qui saura les surprendre - y compris nous ! Quel régal, quand Lilian se lève pour secourir le jeune acteur coincé sur sa tirade.... le miracle opérant.... Une très belle preuve que l'Amour ne s'éteint jamais !!**
Le sujet de départ n'est pas drôle mais le film n'est pas larmoyant , plutôt bienveillant et donc le traitement est bienvenu.
Par contre , rythme lent et film fait pour les personnes assez âgées
.
Par contre , rythme lent et film fait pour les personnes assez âgées
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Film qui n'est pas mauvais mais qui ne m'a pas emballé non plus ! Le début est lent, truffé d'humour un peu lourd et on peine à trouver l'émotion qu'on recherche puis on finit par s'y faire mais on n'arrive pas à s'attacher aux personnages ! L'histoire d'amour est peu évoquée, a manque de romantisme et de frissons et moi je me suis ennuyé... dommage !
Claude, malgré ses 80 ans, est toujours fringant, il continue même à travailler comme critique de théâtre et de cinéma.
Lorsqu'il apprend que son amour de jeunesse, une grande actrice française (Liliane), est atteinte de la maladie d'Alzheimer et est hospitalisée aux Etats-Unis, il se lance dans un défi un peu fou avec l'aide de Shane, son ami de toujours : se faire passer lui aussi pour malade de la tête afin d'entrer dans le même établissement qu'elle et tenter de l'aider un peu à lutter contre le mal qui la ronge avec de vieux souvenirs partagés jadis.
L'idée centrale du film, à la croisée d'un drame et d'une romance, est tout simplement bouleversante de tendresse et d'amour.
Le personnage de Claude, interprété avec une grande sensibilité par l'acteur Bruce Dern (le père de la célèbre Laura Dern), est très touchant dans sa quête d'une chose presque impossible : faire retrouver la mémoire à quelqu'un malade d'Alzheimer.
Il est dommage qu'une si belle histoire soit un peu "gâchée" par un scénario presque trop lisse et trop simpliste ainsi que par des personnages secondaires presque insignifiants.
Un beau film néanmoins sur la vieillesse et sur cette petite flamme qu'on appelle à tout âge l'amour.
Site CINEMADOURG.free.fr
Lorsqu'il apprend que son amour de jeunesse, une grande actrice française (Liliane), est atteinte de la maladie d'Alzheimer et est hospitalisée aux Etats-Unis, il se lance dans un défi un peu fou avec l'aide de Shane, son ami de toujours : se faire passer lui aussi pour malade de la tête afin d'entrer dans le même établissement qu'elle et tenter de l'aider un peu à lutter contre le mal qui la ronge avec de vieux souvenirs partagés jadis.
L'idée centrale du film, à la croisée d'un drame et d'une romance, est tout simplement bouleversante de tendresse et d'amour.
Le personnage de Claude, interprété avec une grande sensibilité par l'acteur Bruce Dern (le père de la célèbre Laura Dern), est très touchant dans sa quête d'une chose presque impossible : faire retrouver la mémoire à quelqu'un malade d'Alzheimer.
Il est dommage qu'une si belle histoire soit un peu "gâchée" par un scénario presque trop lisse et trop simpliste ainsi que par des personnages secondaires presque insignifiants.
Un beau film néanmoins sur la vieillesse et sur cette petite flamme qu'on appelle à tout âge l'amour.
Site CINEMADOURG.free.fr
Bien sûr, on n'y croit guère. Bien sûr, la fin en queue de poisson -comme souvent la fin de vie... Bien sûr c'est une bluette un peu facile sur un thème pa très bien traité. Mais deux acteurs si élégants, Caroline Silhol et Bruce Dern. Une "petite" larme n'est pas loin de perler à l’œil en finale.
Remember Me est grossièrement un téléfilm chic. Le métrage manque cruellement d'âme, de personnalité et de créativité. Une romance platonique portée par une mise en scène, une écriture et un montage qui frisent le zéro.
https://www.cineserie.com/critiques/cine/remember-me-un-telefilm-haut-de-gamme-a-eviter-3712027/
https://www.cineserie.com/critiques/cine/remember-me-un-telefilm-haut-de-gamme-a-eviter-3712027/
Yves G.
Journaliste septuagénaire retraité, Claude (Bruce Dern) est veuf. Il vit en Californie près de sa fille, en pleine crise conjugale, et de sa petite-fille. Il n’a jamais oublié Lilian (Caroline Silhol), son amour de jeunesse, une actrice française dont il apprend qu’elle est atteinte de la maladie d’Alzheimer.
Pour la rejoindre dans la luxueuse maison de retraite où elle est installée, il invente avec son vieil ami (Brian Cox) un stratagème pour s’en rapprocher.
Le vieillissement de nos sociétés le laissait augurer : le quatrième âge est désormais un sujet cinématographique à part entière. Bien après "Dernier amour" de Dino Risi qui avait flairé le filon dès 1978 et "La Maison du lac", on voit s’accumuler les films qui ont pour héros des vieillards alzheimerisés ou sur le point de l’être.
Le sujet peut être traité de bien des façons. Sur un mode dramatique, sans rien cacher de l’inéluctable déréliction qui ne manquera pas de frapper ses protagonistes : c’est l’insoutenable "Amour" de Haneke, le bouleversant "Daddy Nostalgie" de Bertrand Tavernier, "Loin d’elle" de Sarah Polley adapté d’une nouvelle de Alice Munro, "Still Alice" ou le dernier Lelouch en date, "Les Plus Belles années d’une vie". Ou en racontant au contraire, sur un mode plus léger, un ultime sursaut de vie, la dernière virée que ces retraités s’autorisent comme un ultime pied-de-nez à la mort qui rode : "Sans plus attendre" avec Jack Nicholson et Morgan Freeman, "Last Vegas", "L’Échappée belle", "Indian palace", "Les Vieux Fourneaux", "Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire" ou le tout récent "Citoyens du monde".
Ces films-là peuvent prendre les formes les plus diverses : le polar ("Red", "Braquage à l’ancienne", "Cortex"), la comédie française pas drôle ("Mon petit doigt m’a dit," "Sales gosses") et même le dessin animé "(La Tête en l’air").
"Remember me" vient s’ajouter à cette longue liste sans qu’on comprenne bien sa plus value. Il ne s’agit pas vraiment d’un film comique, même si le stratagème, passablement crédible, qu’invente son héros pour rejoindre sa belle essaie sans y réussir de faire rire. Ce n’est pas vraiment un film dramatique non plus tant son inéluctable conclusion – Alzheimer est à ce jour incurable – est mièvrement euphémisée. Bref c’est un film complaisant. Ou, pour le dire autrement, un film raté.
Pour la rejoindre dans la luxueuse maison de retraite où elle est installée, il invente avec son vieil ami (Brian Cox) un stratagème pour s’en rapprocher.
Le vieillissement de nos sociétés le laissait augurer : le quatrième âge est désormais un sujet cinématographique à part entière. Bien après "Dernier amour" de Dino Risi qui avait flairé le filon dès 1978 et "La Maison du lac", on voit s’accumuler les films qui ont pour héros des vieillards alzheimerisés ou sur le point de l’être.
Le sujet peut être traité de bien des façons. Sur un mode dramatique, sans rien cacher de l’inéluctable déréliction qui ne manquera pas de frapper ses protagonistes : c’est l’insoutenable "Amour" de Haneke, le bouleversant "Daddy Nostalgie" de Bertrand Tavernier, "Loin d’elle" de Sarah Polley adapté d’une nouvelle de Alice Munro, "Still Alice" ou le dernier Lelouch en date, "Les Plus Belles années d’une vie". Ou en racontant au contraire, sur un mode plus léger, un ultime sursaut de vie, la dernière virée que ces retraités s’autorisent comme un ultime pied-de-nez à la mort qui rode : "Sans plus attendre" avec Jack Nicholson et Morgan Freeman, "Last Vegas", "L’Échappée belle", "Indian palace", "Les Vieux Fourneaux", "Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire" ou le tout récent "Citoyens du monde".
Ces films-là peuvent prendre les formes les plus diverses : le polar ("Red", "Braquage à l’ancienne", "Cortex"), la comédie française pas drôle ("Mon petit doigt m’a dit," "Sales gosses") et même le dessin animé "(La Tête en l’air").
"Remember me" vient s’ajouter à cette longue liste sans qu’on comprenne bien sa plus value. Il ne s’agit pas vraiment d’un film comique, même si le stratagème, passablement crédible, qu’invente son héros pour rejoindre sa belle essaie sans y réussir de faire rire. Ce n’est pas vraiment un film dramatique non plus tant son inéluctable conclusion – Alzheimer est à ce jour incurable – est mièvrement euphémisée. Bref c’est un film complaisant. Ou, pour le dire autrement, un film raté.
Quelle belle histoire, originale et tellement bouleversante ! La mise en scène est assez plate mais le scénario et l’interprétation – qui respire l’amour des personnages – font que l’on passe un très bon moment. Enfin, l’affiche française est beaucoup plus belle et dans le ton que l’américaine plus codifiée et sans inspiration.
J’ai trouvé que c’était une bonne comédie dramatique romantique. Elle est assez simple, mais reste agréable à voir. Au départ, le synopsis m’avait fait penser à N'OUBLIE JAMAIS (2004), et même si la trame possède des similitudes, on n’est pas dans le même registre émotionnel. Le film est court, 1h20, donc forcément, pas énormément développé. Tout va se passer rapidement, sans prendre le temps de bien explorer chaque protagoniste. Surtout qu’en plus de l’histoire principale, une secondaire va être mise avec la petite-fille. Je ne sais pas si c’était une tentative de parallèle avec ce qui était arrivé à son grand père, mais je n’ai pas trouvé que ça apportait une valeur ajoutée. A cause de sa durée et de ses deux trames, cette romance ne se laisse pas le temps de se créer. Pourtant, j’ai ressenti un certain attachement aux deux protagonistes. Ils sont mignons et on rêve d’une happy end. L’émotion ne sera pas extrêmement forte, mais suffisante pour avoir envie de les voir heureux. Bruce Dern réalise une belle performance, tout comme la Française Caroline Silhol. A noter que le personnage joué par Brian Cox, apporte un humour qui est le bienvenu. Il y a aussi des passages vraiment amusant quand Bruce Dern simule sa maladie. Par contre, les scènes sentimentales sont à mes yeux un peu ratées. Elles sont mal rythmées et sont malheureusement à rallonge.
Très joli film plein d'émotion, de tendresse et de rires avec un casting 5 étoiles ! à ne pas rater!
Remember Me est encore un autre grand drame humain potentiel massacré en essayant de plaire à tant de gens qu'il finit par perdre toute son mordant. L'histoire parle de relations et de la façon dont les résultats de nos actions peuvent se répercuter de manière profonde mais imprévisible. Elle utilise une violence assez dramatique au début de l'intrigue apparemment pour charger le conflit émotionnel. Plus tard au fur et à mesure que l'intrigue se déroule on finit par se demander pourquoi ils se sont donné la peine car s'ils avaient coupé les 5 premières et dernières minutes elle aurait tenu toute seule probablement de manière encore plus plausible. Un fils talentueux (bien sûr) presque séparé d'un riche homme d'affaires sort avec la fille fougueuse d'un ex-flic pour se venger mais tombe amoureux. Ajoutez à cela quelques incidents familiaux interpersonnels, une introduction très dramatique et une fin encore plus imprévisible et dramatique pour donner à l'histoire un aspect mystique et vous obtenez le résultat escompté. L'émerveillement face à la richesse est toujours présent la rébellion n'est rien d'autre que de tirer sur le devant de la scène l'idée que les gens pourraient être plus intéressants que la richesse et les privilèges...
J'ai d'abord eu peur que ça soit longuet comme pas possible. Mais finalement, au bout de 15-20 minutes, après que les choses se soient installées, la magie opère. C'est sans retenu, mais avec une réelle surprise, que l'on s'émeut à suivre la rencontre de Claude et Lily. Beaucoup de poésie ici, tout est fait avec grâce. Au final, le film est un joli pied de nez à la maladie d'Alzheimer. On peut par contre apporter un petit bémol : j'ai senti peu d'émotions entre les acteurs lors des flashbacks de Claude et Lily, ou tout du moins, pas autant qu'entre Claude et Lily du présent (vous comprendrez).
Bon film, pas fantastique mais sympathique à regarder un dimanche où tout autre soir de la semaine.
Drôle et émouvant mais pas crédible
Drôle et émouvant mais pas crédible
Un film tendre et profondément humain.
Un sujet étonnamment bien construit qui ne gâche son scénario par du sensationnel mais touche par son intimité avec la vieillesse et le sentiment amoureux au delà des âges.
Un sujet étonnamment bien construit qui ne gâche son scénario par du sensationnel mais touche par son intimité avec la vieillesse et le sentiment amoureux au delà des âges.
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