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    The Dead Don't Die
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    Nicothrash
    Nicothrash

    300 abonnés 2 964 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 mai 2019
    On le sait, le cinéma de Jim Jarmusch est assez singulier, c'est donc intrigué que j'attendais de le découvrir aux commandes d'un film de genre, et quoi de mieux que l'univers zombie pour y mettre un pied. Seulement voilà, l'ami Jarmusch a quelque 15 ans de retard avec sa comédie horrifique puisque Shaun of the Dead est passé par là et s'avère très compliqué à égaler. La direction d'acteur et l'univers du réalisateur aurait pu faire la différence mais ce n'est malheureusement pas le cas du tout, son métrage est d'un ennui profond et n'a clairement ni queue ni tête ! Le point de départ est pourtant assez intrigant et réussi mais après quelques minutes seulement, on s'enfonce toujours un peu plus dans une certaine léthargie avec des scènes interminables et des "gags" qui ne passent pas du tout. On notera deux ou trois scènes drôlatiques et des apparitions amusantes mais on reste surtout très en marge de l'idée originale de Jarmusch, tout est ici assez absurde mais aucunement drôle et on se demande sans cesse où il a voulu en venir. Sans grand intérêt au final.
    dibule
    dibule

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 mai 2019
    Une fois de plus BRAVO Jim ! Après les vampires d'Only Lovers Left Alive et son poétique Paterson, voici les Zombies. Comme toujours on se poile, on analyse la bêtise des communications des médias, la surconsommation à outrance, on bousille les codes d'Hollywood (je ne spoilerai pas, vous trouverez vous-mêmes). Même les acteurs se moquent d'eux-mêmes. Un film qui fait du bien.
    Je ne saurais que conseiller à ceux qui ont apprécié le film sans connaitre Jarmusch de creuser avec Only Lovers Left Alive, Broken Flowers, Down By Law, Dead Man.
    FaRem
    FaRem

    7 522 abonnés 8 881 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 août 2019
    Un film qui m'avait pas mal intrigué lors de l'annonce de sa sortie, mais qui n'est finalement pas du tout à la hauteur de mes espérances. Une comédie horrifique réalisée par Jim Jarmusch, qui est un réalisateur particulier avec un style bien à lui, pouvait valoir le détour et finalement c'est un film qui ne mérite même pas un coup d’œil. Le réalisateur, le casting, le genre, il y avait vraiment tout pour faire un bon divertissement, ce qui accentue la déception. Je suis resté de marbre pendant l'intégralité du film. Une ou deux scènes m'ont fait sourire, la première avec Iggy Pop notamment, mais à part ça, c'est le néant complet. On dirait un vieux film sorti 60 ans trop tard. J'ai réellement eu l'impression de voir l'un des premiers films de zombies. Pour une comédie horrifique, c'est un film raté dans les deux genres. On reconnait le ton du réalisateur avec son humour particulier, mais ça ne fonctionne pas ici. Le plus barbant est cette nonchalance constante. Entre le manque d'action, l'histoire inintéressante, les dialogues poussifs et les personnages mous du genou, on a juste envie de les secouer pour que ça s'anime un peu. Bref, il n'y a pas grand-chose à sauver dans ce film catastrophique qui est ennuyeux à mourir.
    Caine78
    Caine78

    6 088 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juin 2020
    Ce n'est pas le premier Jim Jarmusch que je voie et pourtant, je ne sais toujours pas si j'aime ce réalisateur. Si je lui reconnais un talent évident, je ne suis jamais captivé, l'exceptionnel « Broken Flowers » excepté. Pourtant, cela commençait plutôt bien : un ton posé, léger, en décalage mais pas trop avec ce que l'on peut attendre d'un film de genre, exploitant habilement son décor et ses personnages, ayant tous un rôle à jouer, surtout avec un tel casting (Bill Murray, Adam Driver, Tilda Swinton, Chloë Sevigny, Steve Buscemi, Danny Glover, pour ne citer qu'eux, sans oublier une Selena Gomez particulièrement touchante ici). On pourra trouver cette mise en place trop longue, j'ai aimé prendre contact avec cet univers, faire connaissance avec chaque protagoniste, l'arrivée des morts-vivants apparaissant, de façon assez étrange, presque comme moins intéressante que le reste. Je n'irais pas jusqu'à écrire « rajoutée », l'intrigue s'articulant largement autour de l'événement, mais c'est à partir de cette invasion que l'œuvre commence à se répéter, perdre de son intérêt. On a l'impression que tout ce qui intéressait Jarmusch, y compris sur le fond (écologie et donc planète menacée, solitude des êtres, consumérisme), celui-ci l'a posé dès le départ, n'ayant plus tant de choses à raconter par la suite, malgré un indéniable talent pour filmer spoiler: (à ce titre, la traversée en voiture de la ville infestée est aussi soignée que longuette)
    . Dommage, les nombreuses références étaient sympas, comme la chanson de Sturgill Simpson, accompagnant élégamment l'œuvre et lui donnant son titre : un joli potentiel ayant toutefois du mal à tenir la distance, et ce malgré un final plutôt inattendu, étrangement apaisé où le cinéaste se plaît brièvement à jouer de spoiler: la mise en abyme et même à partir dans un trip « science-fiction »
    pour le moins surprenant, que l'on trouvera fun ou grotesque selon l'approche qu'on en a. Frustrant.
    traversay1
    traversay1

    3 147 abonnés 4 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mai 2019
    Jim Jarmusch l'a dit : il ne goûte pas tellement les films de zombies, bien moins intéressants comme personnages que les vampires, par exemple, ce en quoi on ne peut lui donner tort. Alors pourquoi The Dead Don't Die ? Pour vitupérer pêle-mêle contre l'Amérique de Trump, la société de consommation, l'usage immodéré des smartphones qui nous transforment de facto en non-vivants. Oui, un peu, mais de façon nonchalante, à la Jarmusch, on reste cool quand même, on ne va pas s'énerver pour autant même si on a quelques doutes sur l'évolution du genre humain. The Dead Don't Die n'est pas fondamentalement un film sérieux, le scénario en est d'ailleurs bâclé (voyez ce qui arrive à Tilda Swinton) et les dialogues jouent sur la répétition d'un certain nombre de phrases (Ca va mal finir) pour susciter les rires, sans que ce soit un franc succès. Vague hommage au genre zombiesque, le film a surtout été une bonne occasion de se faire un tournage entre potes, en arrosant d'un peu de sauce-tomate ces joyeuses retrouvailles. En gros, c'est une version américaine de Nous finirons ensemble de Guillaume Canet, déguisée en comédie loufoque et horrifique. Ces goules d'atmosphère ne se prennent pas au sérieux et le meilleur moyen d'apprécier, avec modération, le nouveau Jarmusch, est de faire de même avec un film pas désagréable en définitive parce qu'il y a quand même une mise en scène correcte mais qui ne marquera ni le Festival de Cannes 2019 ni la carrière du réalisateur de Down by Law.
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    169 abonnés 1 427 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2019
    Une curiosité pour ce film qui a ouvert le festival de Cannes et dont le thème ne ressemble pas du tout à ce qui est présenté d'ordinaire à cet événement. Mais j'ai tout de suite compris pourquoi. Très atypique, déjanté mais qui tient la route. On ne compte plus les clins d'oeil, les mises en abîme réussies et l'interprétation sans faute des acteurs qui se font vraiment plaisir.
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    121 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 mai 2019
    Fait inhabituel sur la Croisette, c’est un film de zombies qui a assuré l’ouverture du festival de Cannes ! Fait moins inhabituel, il s’agit du dernier film de l’américain Jim Jarmusch qui a décroché le grand prix du jury du même festival en 2005 pour le savoureux Broken Flowers. Le fait de voir l’un des meilleurs réalisateurs contemporains s’emparer du film de zombies était un projet pour le moins alléchant, bien que le genre soit fortement représenté au cinéma (et pas que) depuis quelques années. Il y avait toutefois de quoi être confiant vu la manière avec laquelle le cinéaste a su brillamment revisiter certains genres dont notamment le western avec le sublime Dead Man. Un réalisateur au style unique et inventif aux manettes, un casting XXL avec plusieurs de ses acteurs fétiches, une sélection à Cannes : tous les ingrédients étaient réunis pour un film de qualité. Il ne manquait plus finalement qu’à trouver la bonne recette pour éviter l’indigestion à laquelle nous avons malheureusement (presque) le droit…

    A lire sur le blog

    Pour résumer le film simplement, on pourrait dire que l’on assiste pendant quasiment une heure à un condensé du style Jarmusch pur avant de s’enliser petit à petit dans un propos balourd teinté d'une bonne dose de déjà vu. The dead don’t die a la particularité finalement d’être un film de zombies qui est bien meilleur… quand il ne parle pas de zombies. La première moitié du film fait la part belle à la présentation des personnages et de l’univers du film, un petit coin paumé de l’Amérique rurale. Et on y retrouve là le Jarmusch qu'on aime avec ses protagonistes décalés, sa mise en scène aux petits oignons et son humour pince-sans-rire qui fait mouche à plusieurs reprises. Il est agréable de se laisser porter par ce rythme lancinant dans cette petite ville qui nous rappellerait presque **Twin Peaks** avec sa galerie de personnages pittoresques et suffisamment caractérisés pour prendre un grand plaisir à les suivre. Tout cela fonctionne bien durant la première bonne moitié du film avec le lancement de plusieurs histoires parallèles dans un contexte où le monde semble proche de basculer dans le chaos. Et après, hélas, tout s'empire.

    Le défaut majeur de ce film réside en réalité dans son absence totale de subtilité. Jarmusch semble vouloir revenir à une forme du film de zombies qui arborait une dimension politique et contestataire, comme a pu le faire par le passé **George Romero** dont l'ombre plane sur toute la durée de The Dead don't die. Que ce soit dans la critique des médias et de la société américaine déjà subtilement présente dans La Nuit des morts vivants ou dans cette charge virulente contre la société de consommation dans Zombie (Dawn of the dead), on y retrouve là tout le propos développé par Romero il y a quelques décennies. Jarmusch va finalement se servir de cette base pour l'actualiser dans le contexte de l'Amérique de Trump et y ajouter la thématique du péril écologique accentué par la course effrénée aux profits. Si cela ne me gêne absolument pas sur le papier, le fait est que le traitement de ces thématiques laisse songeur tant le cinéaste ne fait preuve d'aucune finesse à bien des égards.

    Il n'y a pas tant de différences entre les morts-vivants errant dans les allées du centre commercial de Dawn of the dead et ces zombies qui miment leurs anciennes habitudes dans le Jarmusch. Les morts ressuscités ne sont que le reflet de leurs actions antérieures, caractérisées par leur superficialité et le vide existentiel. Mais quand Romero se contente de laisser la scène parler pour affirmer son propos, Jarmusch l'appuie encore davantage en explicitant tout bien lourdement de manière à ce que le spectateur comprenne de quoi il en retourne. Très surprenant et décevant venant de la part d'un cinéaste qui a toujours fait preuve jusque là de subtilité et de poésie dans son cinéma. On ne se le cachera pas, voir l'ancienne alcoolique zombie réclamer un verre de vin est tordant. Mais le tout marche pendant un temps jusqu'au point où les ressorts deviennent usés et redondants.

    Cette lourdeur caractéristique peut néanmoins s'expliquer par la dimension meta du long-métrage. Les indices étaient déjà disséminés sporadiquement dès le début du film et dès le deuxième tiers on sent que cet aspect devient prépondérant dans le récit. "The world is perfect... Pay attention to the details" comme le dit **RZA** qui interprète le rôle du livreur d'un camion WU-PS, fusion du Wu-Tang Clan et d'UPS. Un détail qui prête à sourire quand on le capte du premier coup d'oeil mais qui devient balourd dès que la caméra et les dialogues insistent dessus. Ce sera malheureusement à l'image de tout le reste, on insiste bien fortement sur les détails à un tel point qu'il n'y a pas forcément de plaisir à tous les trouver tant les références sont directes et explicites.

    La farce dans laquelle glisse petit à petit le film peut être interprétée comme étant la conséquence de cette dimension meta qui entoure le film. J'ai l'impression que l'ami Jim a un contentieux avec le cinéma actuel, sa vacuité, son non-sens et sa qualité d'écriture. Cela pourrait expliquer notamment ce coup "non prévu dans le script" ou encore l'histoire avec les enfants qui ne trouve étrangement pas de conclusion. Serait-ce là une analogie visant la qualité des fictions actuelles, ce qui expliquerait le discours ultra explicatif du personnage de l'ermite campé par **Tom Waits** sur la fin? Mystère. Les intentions de Jarmusch ne sont pas claires et quand même bien ce serait le cas, le fait est que cette conclusion de film est balourde et dessert un propos déjà vu.

    Sans qualifier le film de navet, l'ensemble est tout de même très décevant et assez moyen. La première moitié du film présente son lot de qualités et les personnages sont assez remarquables grâce notamment à leur écriture et, bien sûr, à leurs interprètes. C'est un plaisir de voir évoluer cette joyeuse troupe qui propose des instants vraiment drôles entre **Tilda Swinton** qui marche comme un robot et campe un personnage hautement perché, **Bill Murray** et son impassibilité face au chaos ou encore **Adam Driver** dont la seule scène de conduite est hilarante au possible. Ce dernier prouve d'ailleurs une fois encore qu'il a typiquement la carrure pour être un acteur "jarmuschien" avec son physique atypique ainsi que sa voix chaude et grave. Son rôle n'a pas la même envergure que dans le précédent film du cinéaste **Paterson** (qui était pour le coup une belle réussite et une oeuvre majeure de son auteur) mais il est tout de même réellement plaisant et attachant ici.

    Un sentiment contrasté donc sur un film qui présentait de belles promesses et une vision nouvelle d'un genre qui a connu une déferlante dans la culture populaire ces dernières années. La forte dose d'absurde et d'étrange est malheureusement peu inspirée, fonctionnant sur quelques scènes et laissant circonspect sur d'autres. Le capital sympathie véhiculé par les comédiens, l'écriture et la mise en scène dans cette bourgade paumée est néanmoins bien présent. Dommage que l'ensemble soit autant submergé par la lourdeur, à l'image de cette ville submergée par les zombies.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 18 août 2019
    Un film de zombies un peu gore mais surtout très parodique, où le 2d degré vire rapidement au je-m’en-foutisme le plus assumé. C’est comme un sorte de Twin Peaks saison 3 dont Jarmusch, grand adepte de la forme sans fond, n’aurait retenu que quelques gimmicks stylistiques et une critique paresseuse du monde comme il va. Ça pourrait laisser indifférent, mais avec un casting pareil et plus d’une dizaine de films au compteur pour le réalisateur, ça a plutôt tendance à agacer.
    nokidoki
    nokidoki

    65 abonnés 549 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2019
    Je ne sais pas ce qui est le plus bizarre, que ce film soit un drôle de film sur les zombies ou bien que ce soit Jarmusch qui réalise un film qui ne fait pas partie du genre qu'il pratique.
    Bref, on ne peut pas dire que cela soit un film d'épouvante tellement on s'amuse des situations plus saugrenues les unes que les autres. Je dirai que c'est une comédie q'un autre genre.
    Anne M.
    Anne M.

    64 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 juin 2019
    C’est un peu pour prendre le contre-pied des critiques négatives que je mets une excellente note à « the dead don’t die ». Ceci dit, je l’ai trouvé excellent. J’ai été complètement réceptive à l’humour décalé et au ton très « cool » de ce dernier film de Jim Jarmusch, de plus ses zombies sont très réussis.

    Il m’a fait penser à l’excellent « Shaun of the dead », en moins optimiste.

    Centreville est une petite ville typique du cinéma US perdue dans la campagne américaine, avec son motel, sa quincaillerie, son « Diner » et ses habitués, son poste de police, sa station service et ses pompes funèbres. Jim Jarmusch écrit un film chorale autour de plusieurs personnages : l’équipe de flics, le fermier grognon, les serveuses, le geek cinéphile, les jeunes en difficulté, le client du bar, les touristes hipsters, le propriétaire du motel, l’étrange responsable des pompes funèbres. Un peu à part, un vagabond, amateur de Melville vit seul dans la forêt et observe la vie de la ville avec ses jumelles.

    Une chanson country rythme le déroulement du film : « the dead don’t die ». Le casting m’a bien séduite.

    Des phénomènes étranges viennent perturber la quiétude de la ville : le soir la nuit ne tombe pas, tous les animaux disparaissent, les fourmis ont un comportement étrange. On apprend par la TV que l’axe de la Terre s’est déplacé suite à la fracture polaire.

    Mais surtout, les morts commencent à sortir de leur tombe et à dévorer les habitants. Ces zombies retrouvent chacun les attitudes névrotiques et consommatrices qui les caractérisaient de leur vivant : les drogués aux anxio crient « Xanax », « Xanax » devant la pharmacie, d’autres avec leurs smartphones essayant de capter du réseau …

    Le film est réalisé et joué avec une nonchalance que j’ai adorée (propre à Jim Jarmusch), ponctuée par la marche lente des zombies, distillant un pessimisme perçu même par les acteurs. Seul l’humour évite le désespoir et rares sont ceux qui trouvent le salut. Un très bon film de genre avec beaucoup de personnalité.

    Mon blog : larroseurarrose.com
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    78 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2019
    Convoquant un casting impressionnant – Bill Murray, Adam Driver, Tilda Swinton, Chloë Sevigny, Steve Buscemi, Danny Glover, Caleb Landry Jones, Iggy Pop, Tom Waits, Selena Gomez,... – Jim Jarmusch revisite le film de zombies en se faisant plaisir de A à Z. Mêlant angoisses existentielles de fin du monde liée à la folie humaine et troisième degré assumé, The dead don’t die est souvent drôle, parfois un peu long, mais jamais sérieux. Cet hommage assumé à George Romero vaut d’abord et surtout pour sa galerie de personnages tous plus dingues les uns que les autres.
    Elodie R
    Elodie R

    1 abonné 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juin 2019
    Énorme ! En dehors de tout code, décalé à souhait et de l’humour noir à volonté. Que du bonheur mais effectivement pour un public averti ou avec un minima de recul sur la société...
    FlecheDeFer ..
    FlecheDeFer ..

    39 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 mai 2019
    Mouais... Original, ça c'est sûr, mais que c'est lent! Alors bien sûr il est évident que c'est voulu, mais quand même, c'est mou et souvent vide (l'absence de musique est particulièrement frappante) avec un casting 5 étoiles qui ne sert finalement pas à grand-chose. L'humour décalé tombe parfois juste, parfois non, les personnages font du decorum (mais les zombies aussi) et la critique transparente des dérives écologiques et commerciales ne va finalement pas bien loin, ce d'autant plus que le film se sent obligé de bien nous expliquer en mots le double-sens du scénario dans la séquence finale, ce qui n'est jamais bon signe... Au final un bel exercice de style mais c'est à peu près tout.
    Estonius
    Estonius

    2 563 abonnés 5 258 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 janvier 2020
    Ces gens qui se mettent en tête de combattre la société de consommation (concept fourre-tout) en faisant du cinéma m'exaspèrent ! Espèrent-ils vraiment obtenir un résultat ? Bref Jarmusch s'est mis en tête d'intellectualiser le cinéma de zombie et se plante dans tous les compartiments. Nous avons en tête d'affiche Bill Murray dont l'attitude dans le film, voix et comportement font plus penser à Droopy qu'à quelqu'un d'autre; Tilda Swinton est ridicule, et les autres sont insignifiants, c'est lent à mourir, ça digresse sans arrêt, ça prend son temps avec des plans qui ne servent à rien et quand ça veut faire gore, ça devient ridicule, sans parler de la bande son exaspérante ni de l'humour que je cherche encore. Bref autant revoir un bon Roméro
    Lucile F
    Lucile F

    17 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 mai 2019
    Prétentieux et creux
    Référence aux grands que Jarmusch n’est plus
    N’est pas Tarantino ni Les Cohen qui veut
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
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