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    La Zone d'intérêt
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    Jean-Luc Riviere
    Jean-Luc Riviere

    6 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 mai 2024
    Il paraît que ce film est inspiré du roman de Martin Amis dont il utilise le titre. A part le nom du protagoniste principal du film, je ne vois franchement pas le rapport. Je relisle livre après avoir vu le film, me disant que mes souvenire de lecture me trompent mais non. En ouverture une interminable musique funèbre du début, commentaire du titre et d'un fondu au noir qui suit avant que le film commence, 5 minutes pour mettre dans l'ambiance sans doute. Et ensuite ? Rien le vide, la vie quotidienne de la famille du bourreau en chef, de sa famille et de ses enfants. Et rien d'autre. Certes on aperçoit de temps à autre les cheminées d'Auschwitz mais seule la belle-mère du chef du camp d'extermination semble sentir les odeurs émanant des cheminées, spoiler: ce qui lui fait prendre la fuite sans avertissement
    (il fallait bien un Allemand qui réprouvait ce qui se passait, j'imagine). Pesant, prétentieux, inutile, un produit de la zone cinématographique sans intérêt.
    Alasky
    Alasky

    353 abonnés 3 423 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2024
    Gris et glacial dans sa mise en scène, ce film est fait de non-dits et je peux tout à fait comprendre qu'il ne soit pas accessible à tous ; on entend l'horreur des camps alors que cette famille nazie se la coule douce juste à côté ; film important réservé aux initiés, aux cinéphiles que l'expérimental ne rebute pas. Des scènes font froid dans le dos, notamment les scènes de fin avec Auschwitz aujourd'hui.
    Marie Josée G.
    Marie Josée G.

    7 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mai 2024
    J’attendais de voir ce film depuis près d’un an, avec une impatience grandissante. Je viens de le regarder , pour la deuxième fois en deux jours et ... je me suis, à nouveau, endormie, ce qui ne m’arrive JAMAIS !
    Quelle immense déception !
    L’idée est excellente, quoique un peu réchauffée si on a lu Hannah Arendt et suivi la polémique suscitée par le concept de la "banalité du mal" . Les moyens employés sont plutôt bien utilisés , que ce soient les bruits de fonds permanents, la musique discordante, les lueurs des fours crématoires, le nez froncé et les fenêtres closes avec précipitation suggérant l’invasion du havre de paix par l’odeur pestilentielle des cadavres se consument ou les cendres répandues à terre. Les acteurs sont très bons, les décors et les costumes soignés, la photo sublime et le propos clair. Il manque juste ... un scénario !
    Cela, finalement, ne m’étonne pas tant que ça car je me suis infligée, un jour, la lecture du mémoire autobiographique de Rudolf Hoëss, qu’il a rédigé avant d’être exécuté et ce fut une épreuve, tant c’était ennuyeux et vide. Ce film, qui le met en scène, l’est tout autant, comme si la vacuité du personnage avait déteint sur l’œuvre, bien qu’elle se veuille forte et marquante.
    Jonathan Glazer a eu beau multiplier les artifices pour suggérer l’horreur de cette cohabitation entre la barbarie la plus absolue et la banalité la plus terre à terre, comme il n’y a, en réalité, rien à raconter, on ne peut pas se sentir touché par ce qui se passe sur l’écran. Ces gens sont petits et sans aucun intérêt, ils ont vécu de l’atrocité comme si ils étaient des fantômes, sans affect ni empathie, simplement préoccupés par la propreté de leur logis, l’harmonie de leur jardin, la docilité de leurs enfants, bref, des parangon de banalité. On ne parvient même pas à les haïr tant ils sont insignifiants. Difficile donc de les associer à cette barbarie sans nom. C’est un peu comme avec Eichman, apparu si terne et borné à son procès qu’on avait les plus grandes difficultés à l’associer aux crimes qu’il avait commis.
    D’aucuns prétendent que c’est justement cette morne vision de l’existence qui rend les actes de ces gens plus terribles encore. Peut-être ... Toutefois, tout cela ne fait pas un film, car il n’y a rien à dire, à comprendre, à ressentir sur le vide ...
    Malgré une maîtrise évidente des moyens techniques dont il a usé, Jonathan Glaser a oublié l’essentiel : tenir compte des émotions. Certains semblent en avoir éprouvé en visionnant son film, mais ils s’extasient plutôt sur l’art de suggérer en usant de tout ce dont il disposait, que sur la densité de l’histoire, la psychologie des personnages, l’intérêt du scénario ...
    Au fond, tout dépend de ce que l’on attend d’une œuvre cinématographique.
    Personnellement, celle-ci m’a laissée de glace...
    arnaudg
    arnaudg

    85 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 avril 2024
    Beaucoup de mal à comprendre l’intérêt de ce film, très bien joué et réalisé, mais dans lequel il ne se passe rien. Il est compliqué de prendre un sujet comme celui-ci pour en faire du vide. La banalité et la normalité de cette famille est montrée, avec l’invisibilisation par l’image de ce qui se passe derrière cette maison, tout en laissant certains sons. On s’attend à plus quand on voit le fil conducteur du film, mais c’est un ensemble très décevant.
    Timigne migne
    Timigne migne

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 avril 2024
    Pour citer un auteur que j’adore « l’important ce n’est pas l’univers mais ce qu’on y raconte » Bastien J.M Martins. En effet la seule chose que ce film m’a fait passer c’est un waouh ! du décor sonore sauf que après il ne se passe rien c’est une décoration d’intérieur sans maison, il n’y a qu’un seul conflit dans le film et il n’est même pas en lien avec le propos en plus d’être résolu en 5 minutes. On peut facilement enlever 1h au film et ne rien perdre car seul la fin et le début sont un minimum intéressant. Ce film nous laisse un goût amer car : Il y a du potentiel, les acteurs sont bons, bien dirigés, l’ambiance sonore est incroyable mais tout le reste n’est pas présent, il n’y a ni péripétie ni résolution. Il y a une conclusion mais elle n’est pas satisfaisante car aucune question dramatique n’a été posée au préalable. Bref un film inoubliable pour comment il nous montre ce qu’il ne faut pas faire pour raconter une histoire.
    Paulin Brun
    Paulin Brun

    26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 avril 2024
    Délicat sujet que celui du nouveau film de Jonathan Glazer (le rare réalisateur d’une poignée de films très remarqués, dont Under the skin en 2013). Comme toujours pour ce qui touche à l’holocauste, on ne sait pas trop définir où se situe la limite du montrable, du fictionnable, du raisonnable ou du bon goût. La proposition de Jonathan Glazer a beaucoup fait débat à Cannes. Le réalisateur choisit une forme assez « objective », à la limite du documentaire (évidemment, reconstitué, joué par des acteurs, donc une fiction), pour faire émerger ce sentiment d’anomalie, de vertige absolu qu’on peut avoir face à ces événements et à leurs protagonistes.

    Il a été beaucoup reproché à Glazer de ne pas franchir la limite du camp, de ne pas montrer le camp. A cela, deux justifications me semble-t-il. La première est que le sujet de Glazer, c’est la maison, et c’est la famille dans la maison. Ce n’est pas tellement les faits qui se déroulent à côté, mais plutôt les faits qui se déroulent à côté des faits qui se déroulent à côté. La femme de Rudolf Höss vit dans une sorte de déni par rapport aux crimes commis à côté de chez elle. La deuxième réponse, et on y reviendra, c’est que son déni est feint, car elle ne peut pas échapper aux faits commis dans le camp. Même si elle ne franchit pas le mur de son jardin, elle vit dans l’ambiance sonore du camp, qui ne laisse rien ignorer et elle vit entourée de nombreuses domestiques captives dont elle connaît le destin. Le scénario est donc réduit à l’essentiel, installer les différents protagonistes dans cette contradiction géante, avec pour corrolaire la grande question : « comment est-ce possible? » que le film suscite de la première à la dernière image dans l’esprit de son spectateur.


    Cette installation, Jonathan Glazer la réalise très prudemment. Le film est d’une fidélité stricte à la réalité. La maison et le jardin sont reconstitués à l’identique, dans les paysages polonais bucoliques que Lanzmann filme longuement dans Shoah. Le dispositif de Jonathan Glazer a consisté à positionner dans la maison une dizaine de caméras, en plan large, pour laisser les comédiens déambuler sur es longues séquences quasi improvisées. La mise en scène qui en résulte est très originale, peu de gros plans, peu de visages de comédiens, peu de champ contre-champ. D’où une impression de documentaire ou de caméra de surveillance. En résulte une distance avec les personnages qui est plutôt bienvenue.

    Comme dit plus haut, la caméra ne passe pas (sauf à une exception) la barrière du camp. Mais on ne quitte ni n’oublie jamais la violence d’Auschwitz. Déjà, la maison baigne dans un fond sonore permanent, un mélange de vrombissement industriel, de flammes, de gémissements, de cris atténués… Qui installe un malaise permanent. On se représente sans arrêt les violences commises dans le camp, et d’ailleurs certains personnages n’y échappent pas, comme celui de la mère d’Edwige, qui finit par quitter la maison sans explication. Par ailleurs, les ingénieurs et les commandants sont présents à l’écran, discutent de rendements et d’innovations industrielles. On comprend, malgré la fadeur du personnage, que Rudolf Höss est ‘l’homme de poigne’, architecte du succès de la solution finale, le meilleur bourreau de toute l’Allemagne nazie. Difficile de reprocher à Glazer de faire un film « révisionniste ».


    L’originalité du regard de Glazer est son choix de personnage central. C’est en effet Edwige Höss (Sandra Hüller, la meilleure actrice du moment semble-t-il) qui est au centre de notre attention. Elle est la femme du bourreau et la mère de famille, et le personnage le plus étrange et glaçant de ce récit. Cette femme construit un véritable bonheur dans le jardin d’Auschwitz. Elle ne semble pas être atteinte par l’usine de mort qui est à 20 mètres de sa maison, et même quand le devoir appelle son mari à un autre poste plus important, elle refuse de le quitter. La personnalité de cette mère de famille est assez trouble. Elle est complice évidemment (elle sait tout), on la voit avoir des gestes obscènes quand elle met du rouge à lèvres trouvé dans un manteau de fourrure récupéré parmi d’autres objets précieux. On l’entend discuter avec ses copines des diamants à traquer jusque dans les dentifrices. Elle est bourreau elle-même quand elle menace les détenues à son service de finir dans la cheminée juste à côté. Le personnage qui l’éclaire sous un jour un peu différent est celui de sa mère, dont la présence ouvre de nouvelles pistes d’explications (femme de ménage antisémite, qui nettoie des maisons juives avant la guerre, qui a les larmes aux yeux devant la réussite sociale de sa fille mais qui finalement elle, ne supporte pas la proximité du camp). Face à cette mère, on sent pour la première et seule fois une petite réticence de Edwige à parler de ce qui se passe derrière le mur.

    La suite sur legoutducine.home.blog
    Jupii
    Jupii

    121 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2024
    RÉACTION À CHAUD.
Première grosse déception de 2024. Mais malgré tout, je vais m'efforcer de dire les bons côtés de ce film. Nous nous retrouvons voisins d'un camp de concentration pendant la Seconde Guerre mondiale et pourtant. Tout au long du film, il ne se passe rien d'impactant, il n'y a aucune attache des personnages, aucun jeu d'acteur qui sort du lot. Il y a quelques scènes qui m'ont marqué et elles sont très courtes. L'enfant qui entend le juif se faire attraper pour s'être battu pour une pomme. La réunion où on explique à Rudolf le fonctionnement des chambres à gaz. Il n'y a aucune attache au scénario, à l'histoire, ni même à la famille qui l'a suivie du début à la fin. Aucune émotion comme je l'espérais. Le seul bon point pour moi, c'est l'immersion dans la maison, grâce essentiellement au positionnement des caméras, mais surtout grâce au son. J'admets que c'est une expérience auditive unique dans le registre du « film de guerre », à tel point qu'au même titre que la famille, nous nous habituons au terrible bruit du camp de concentration. Première déception, mais il y a des choses à tirer de la réalisation.
    Juz69007
    Juz69007

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juin 2024
    Un film qui porte sur l'Histoire. Deux mondes séparés par leur modes et leurs cruautés. Un montage de cette maison et un entrain à vivre une vie comblée à côté du camp des horreurs et des atrocités. Cinématographiquement c'est magnifique. C'est un film qui a justement beaucoup d'intérêt et qui peut toucher toutes les sensibilités. En espérant que ça aide à rappeler et également à mieux tourner une page. Ce n'est pas un simple musée ou une fiction ce camp tel la vie de la maison d'à côté qui paraît tellement déconnectée. Un film à ne pas rater !!
    bel air
    bel air

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 avril 2024
    Un film vraiment pas interessant et ennuyeux du debut à la fin, pour ne montrer des choses que l'on connait dejà. Je ne vois aucun interet à ce film.
    Santu2b
    Santu2b

    252 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2024
    Cinéaste rare, Jonathan Glazer s'avère par ailleurs inclassables. Dix ans se sont en effet écoulés entre "Under the skin" et "La zone d'intérêt qui représentait un défi majeur. Centré sur la figure de Hoss et sa famille, le film s'inscrit dans une logique purement lanzmanienne. Le camp est en effet constamment mis à distance . Il y a des longueurs mais "La zone d'intérêt" demeure un objet cinématographique passionnant dans lequel la suggestion se voit poussée à l'extrême. Une vie extrêmement banale et ennuyeuse défile sous nos yeux si bien que le spectateur se trouve ainsi fréquemment pris au piège d'un désir de voyeurisme. Le film constituera à coup sûr une date dans la représentation de la Shoah au cinéma.
    Fkf
    Fkf

    18 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 avril 2024
    Un film magistral d'une force rare. Comment évoquer l'horreur sans la montrer, dire l'indicible. De ce qui se passe dans le camp on n'a que les sons. On ne voit que le bonheur apparent d'une petite famille. La maison est belle, jardin, piscine, potager, personnel (des témoins de Jéhovah en captivité), tout respire le bonheur alors que le pire est là, juste de l'autre côté du mur. La mise en scène est tout aussi glaciale que cet exterminateur en chef, passionné par son "métier" spoiler: au point de dire, lorsqu'il se retrouve dans une grande salle de réception avec du beau monde, "le plafond est trop haut pour que je puisse les gazer tous"
    . Pratiquement que des plans fixes, avec plusieurs caméras placées comme des caméras de surveillance. La vision de ce film ne laisse pas indemne et nous hante ensuite.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    105 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2024
    Dix ans après son fascinant Under the skin, qui marqua les années 2010, le cinéaste britannique Jonathan Glazer signe son grand retour dans cette adaptation du roman de son compatriote Martin Amis. Tourné en langue allemande, La zone d’intérêt prend pour cadre la maison familiale de Rudolf Höss, commandant du camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz-Birkenau, qui a pour particularité d’être mitoyenne de l’usine à mort dans laquelle périrent plus d’un million de personnes, en grande majorité des Juifs. Œuvre construite sur la puissance du hors-champ – le film raconte la vie quotidienne et banale de Höss (Christian Friedel), sa femme (Sandra Hüller) et leurs enfants dans leur maison comprenant un immense jardin fleuri, à quelques mètres de l’horreur absolue. Mis en scène avec maestria, sans fioriture aucune, ce film qui marie musique angoissante et montage au cordeau offre aussi quelques séquences d’inspiration expérimentale, qui illustrent la face B de la mainmise des nazis sur les esprits, à savoir les actes de résistance. Malgré une dernière demi-heure au cours de laquelle Glazer s’éloigne de son dispositif, l’affaiblissant un peu, ce film bouleversant et nécessaire nous rappelle la tentation humaine de l’aveuglement, y compris devant l’ignominie, pour créer ou préserver son petit confort.
    Claude WOLFS
    Claude WOLFS

    47 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 avril 2024
    "Zone d'Intérêt" offre une perspective singulière sur l'histoire de l'Allemagne nazie, se démarquant des récits conventionnels sur la Shoah. Plutôt que de se concentrer exclusivement sur les événements historiques, le réalisateur plonge au cœur du quotidien des hommes et femmes nazis, révélant ainsi une dimension jusqu'alors peu explorée au cinéma. Cette approche subvertit la notion d'impossibilité de représenter la Shoah, en démontrant que ce qui semble indescriptible peut être exprimé à travers le son, notamment par le biais de bruits de fond oppressants.
    La mise en scène déploie une mécanique fascinante, offrant une expérience sensorielle inédite qui évoque un sentiment de sidération et d'électrochoc chez le spectateur. Par un minimalisme symbolique, le film parvient à susciter l'horreur sans recourir à des images choquantes, préférant explorer les mécanismes du déni et de la perception au sein de la machine nazie.
    Cette fresque familiale est à la fois splendide et fascinante, transcendée par des moments expérimentaux qui repoussent les limites du genre du biopic. À travers une maîtrise parfaite, le film expose avec un réalisme glaçant la banalité du mal, plongeant le spectateur dans l'ordinaire déconcertant d'une société déshumanisée.
    Babs Hellot
    Babs Hellot

    3 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 avril 2024
    Ce film méritait la Palme d'Or à Cannes. Du vrai grand cinéma, où chaque élément fait sens: le son, les décors, le cadrage... Implacable et vertigineux.
    Salomé HOURADOU-EKAMBI
    Salomé HOURADOU-EKAMBI

    3 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 avril 2024
    Un film qui ne vous laisse pas indifférent.
    Les jeux de sons nous plonge dans l'horreur de cet époque mais aussi la banalité de cette famille.
    spoiler: Les plans fixent instaure un climat pesant et observateur,
    on est pas avec eux dans la maison mais on les regarde on observe leur vie dans cette maison.
    Par moment très dur à regarder.
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