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    La Zone d'intérêt
    Note moyenne
    4,1
    40 titres de presse
    • Bande à part
    • Culturopoing.com
    • Dernières Nouvelles d'Alsace
    • Ecran Large
    • Franceinfo Culture
    • L'Humanité
    • L'Obs
    • La Voix du Nord
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Figaro
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Monde
    • Le Parisien
    • Les Fiches du Cinéma
    • Libération
    • Marie Claire
    • Ouest France
    • Paris Match
    • Transfuge
    • Télé 7 Jours
    • Télé Loisirs
    • 20 Minutes
    • CNews
    • Elle
    • La Septième Obsession
    • Le Point
    • Les Inrockuptibles
    • Rolling Stone
    • Sud Ouest
    • Télérama
    • aVoir-aLire.com
    • Cahiers du Cinéma
    • CinemaTeaser
    • La Croix
    • Les Echos
    • Critikat.com
    • Culturopoing.com
    • Marianne
    • Première
    • Télérama

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    40 critiques presse

    Bande à part

    par Anne-Claire Cieutat

    Une œuvre d’une puissance sidérante et durable.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    Culturopoing.com

    par Vincent Nicolet & François Armand

    POUR - Ce regard sur une apparence de normalité, en réalité corrompue et cynique, provoque le malaise et confère au film toute sa force. C’est aussi à nous que Jonathan Glazer s’adresse en fin de compte, pour sonder notre propre rapport à l’Histoire et ses atrocités, interroger notre sensibilité et éventuellement réveiller notre indifférence. D’évidence, quand le souvenir n'est plus suffisant, ressentir peut devenir nécessaire.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Dernières Nouvelles d'Alsace

    par Nathalie Chifflet

    Un film monstrueux, radical, glaçant, sur l'Holocauste. 

    Ecran Large

    par Antoine Desrues

    Comment résumer en une poignée de lignes un tel électrochoc, dont la densité ne cesse de s'affirmer à chaque visionnage ? Au-delà de l’intelligence de sa mise en scène, "La Zone d’intérêt" est un chef-d'œuvre de viscéralité, de ceux qui restent en vous longtemps après la séance. Un grand film sur l’indicible de la Shoah, et un grand film tout court.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    Franceinfo Culture

    par Jacky Bornet

    Jamais la Shoah n'a été évoquée avec une telle ascèse : bouleversant.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    L'Humanité

    par Cyprien Caddeo

    L’expérience sensorielle convoque les images que le film relègue au hors-champ. La Zone d’intérêt bascule par moments au bord de l’insoutenable, et elle se doit de l’être : cela constitue la preuve de la volonté du réalisateur d’éviter à tout prix la mise en spectacle, bien que le long métrage développe incontestablement une esthétique.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    L'Obs

    par François Forestier

    S’éloignant considérablement du roman de Martin Amis (qui ne nomme pas les bourreaux dans son livre), Glazer montre les vrais personnages, les vrais lieux (le film a été tourné sur le site même). Cinéaste des fractures de la réalité, il a mis neuf ans à filmer cette histoire, à laquelle il donne une incroyable densité.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    La Voix du Nord

    par Christophe Caron

    On en sort terrassé par cette succession de séquences puissantes, dont quelques parenthèses d’un onirisme crépusculaire, qui disent la banalité du mal absolu et le choc d’un trauma encore enfoui.

    La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

    Le Dauphiné Libéré

    par Nathalie Chifflet

    Le Britannique Jonathan Glazer signe un chef-d’œuvre obsédant sur la banalité du mal : l'horreur génocidaire à quelques mètres d'une vie tranquille bucolique. 

    Le Figaro

    par Eric Neuhoff

    Grand prix au dernier Festival de Cannes, le film de Jonathan Glazer restitue la vie de la famille du commandant d’Auschwitz avec une sérénité glaçante.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Journal du Dimanche

    par Stéphanie Belpêche

    Un chef-d'œuvre d'une puissance narrative et formelle inouïe qui provoque la sidération.

    Le Monde

    par Véronique Cauhapé

    Cadrages d’une rigueur maniaque, composition géométrique, fixité des plans, découpage au scalpel. Le dispositif mis en place par Glazer – dix caméras fixes postées à plusieurs endroits – place sous contrôle chacune des pièces de la maison et ce qui s’y joue.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Le Parisien

    par Renaud Baronian

    Atroce, certes, éprouvant, sans aucun doute, exceptionnel et marquant, assurément… Un film immense.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Les Fiches du Cinéma

    par Nicolas Marcadé

    À travers une expérience inconfortable et troublante, Jonathan Glazer donne à côtoyer la banalité du mal.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Libération

    par Olivier Lamm

    Plutôt que de filmer la banalité du mal, Jonathan Glazer raconte la banalité de qu’on en fait. Ce qu’on a échoué à en faire par le passé, ce qu’on ne manquera pas à échouer d’en faire dans le futur, puisque l’histoire du film sur la Shoah ne fait que commencer.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Marie Claire

    par Emily Barnett

    Aussi glaçant que virtuose.

    Ouest France

    par Philippe Lemoine

    Une œuvre majeure sur la mécanique de la déshumanisation.

    Paris Match

    par Fabrice Leclerc

    Implacable dans sa forme, véritable leçon de cinéma sensoriel, alors qu’avance l’inexorable horreur, le film ne se relâche jamais.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Transfuge

    par Serge Kaganski

    Puissant, inconfortable, "La Zone d'intérêt" de Jonathan Glazer représente remarquablement la "banalité du mal", cet éternel et vertigineux miroir dérangeant de notre humanité.

    Télé 7 Jours

    par Julien Barcilon

    Du plus grand crime de l’Histoire, Jonathan Glazer ne nous montre presque rien, mais par un travail remarquable sur le son et une mise en scène distillant le malaise, en restitue l’indicible horreur en convoquant notre mémoire collective.

    Télé Loisirs

    par Thomas Colpaert

    Un des films les plus intenses de l'année.

    20 Minutes

    par Caroline Vié

    Jonathan Glazer étouffe le spectateur qu’il invite à réfléchir sur la notion d’inhumanité. Si le message est parfois surligné et que l’ensemble se montre quelque peu poseur avec un dispositif qui serait plus à sa place dans un musée d’art contemporain, il ne fait aucun doute que La Zone d’intérêt est un film important.

    La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

    CNews

    par La rédaction

    Une vraie leçon de cinéma.

    La critique complète est disponible sur le site CNews

    Elle

    par Françoise Delbecq

    Un huis clos à la fois glaçant et profondément émouvant sur la banalité du mal.

    La Septième Obsession

    par Jérémie Oro

    Un cinéma d’une glaçante force évocatrice.

    Le Point

    par Jean-Luc Wachthausen

    Ici, l'horreur est presque invisible et la campagne, si belle. Terrifiant.

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Les Inrockuptibles

    par Ludovic Béot

    Puisque l’idée de confiscation et d’effacement du réel est au cœur même du projet nazi, tout enregistrement produit nécessairement une déréalisation des images. Déréaliser ce réel, c’est donc scruter au plus proche la nature de l’entreprise d’extermination.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Rolling Stone

    par Sophie Rosemont

    Avec La Zone d’intérêt, excluant la moindre manifestation pathétique, Glazer affirme une dextérité formelle clinique, aussi déroutante que fascinante, d’un réalisme parfois hanté de la poésie d’un déporté, entrecoupé de séquences en négatif où l’on suit les sorties nocturnes d’une jeune résistante.

    La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone

    Sud Ouest

    par Julien Rousset

    Sidérant et dérangeant.

    La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest

    Télérama

    par Jacques Morice

    POUR : L’expérience a ceci de vertigineux qu’elle enferme et ouvre à la fois sur un abîme d’obscurité.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    aVoir-aLire.com

    par Gérard Crespo

    Un regard singulier sur la Shoah, privilégiant le hors champ et confirmant l’originalité du cinéma de Jonathan Glazer.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Cahiers du Cinéma

    par Jean-Marie Samocki

    Glazer renverse alors les partis pris de représentation : l’image fixe la Genèse alors que le son recherche l’Apocalypse. Il invente une partition musicale extrêmement sophistiquée, où les cris, les détonations, les voix, les murmures possèdent une matérialité nouvelle.

    CinemaTeaser

    par Aurélien Allin

    Un geste de mise en scène aussi fort et radical que redondant.

    La Croix

    par Stéphane Dreyfus

    Ces expérimentations formelles ne sont-elles pas déplacées dans ce contexte ? C’est peut-être ce que s’est dit Jonathan Glazer qui, par une habile pirouette temporelle, montre aussi les objets conservés au musée d’Auschwitz-Birkenau : chaussures, lunettes et photos des 1,1 million de personnes assassinées par le commandant Höss et ses hommes. Soit la terrible réalité en plein champ de la caméra.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Les Echos

    par Adrien Gombeaud

    Le réalisateur de « Birth » s'attaque au thème du génocide des juifs d'Europe. Il parvient à composer un objet esthétique soigné, au service d'un message assez convenu.

    La critique complète est disponible sur le site Les Echos

    Critikat.com

    par Josué Morel

    L'idée est théoriquement passionnante mais dans les faits pas sans limites, notamment car Glazer a la naïveté de croire que la puissance indépassable du hors-champ suffit à rendre vertigineuse la description du quotidien des Höss.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Culturopoing.com

    par Timothée Fauque

    CONTRE - "La Zone d'Intérêt", comme tous les projets de Glazer, s’offre donc comme un fascinant objet théorique, qui ne raconte rien hormis l’intelligence de son idée et de son dispositif. Pire : qui nous persuade de notre intelligence et, faisant mine de la questionner, nous rassure en fait sur notre porosité et notre habituation au Mal. C’est presque odieux tant c’est chic. Une grande installation, de celles dont on s’émeut entre deux flûtes de champagne durant toute la Biennale.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Marianne

    par Olivier De Bruyn

    Avec ses plans fixes qui enregistrent les scènes bucoliques – repas opulents, baignades enjouées, promenades au potager –, Glazer, lecteur attentif de Hannah Arendt, entend probablement nous entretenir de l’effroyable banalité du mal, mais il nous renseigne surtout sur ses ambitions de petit maître de l’image, obsédé par son dispositif implacable.

    La critique complète est disponible sur le site Marianne

    Première

    par Guillaume Bonnet

    Le film s’accable lui-même d’une double peine : à la fois scolaire (les manuels du hors champ, de l’infilmable et de la banalité du mal récités par cœur) mais contredisant maladroitement sa propre doxa théorique en alignant les effets de sens, de rime et de choc, comme on checke une liste de courses au supermarché.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Télérama

    par Guillemette Odicino

    CONTRE : Le cinéaste utilise, certes, le hors-champ de manière radicale, et, reconnaissons-le, particulièrement dérangeante. Mais l’on peut aussi se demander si ce n’est pas le choix de la… facilité. Quoi de plus malin, en effet, que de se braquer sur la banalité du mal en son jardin, de réduire la machine de mort à une partition sonore, pour ne pas avoir à montrer ce qui se passe de l’autre côté ?

    La critique complète est disponible sur le site Télérama
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