Avis sur Les Mines du roi Salomon

Très bon ancien film. Un bon scénario, de bons acteurs, des images superbes compte tenu de la date de sortie du film. A voir ou revoir.

Un film d'aventure sur les terres d'Afrique passionnant réalisé par Compton Bennett et Andrew Marton !!! On peux reprocher à ce long métrage quelques clichés vu dans d'autres films du genre depuis, je pense à "Indiana Jones" ou "Crocodile Dundee" par exemple, à savoir l'histoire d'un aventurier, qui connait bien les lieux Africains et ses dangers, accepte pour une grosse somme d'argents d'aider une femme instable à la jungle pour retrouver son mari disparu. Divers épreuves les attendent, des serpents, crocodiles, tribues Africaines, déserts, montagnes à escalader jusqu'au dénouement final. Un film divertissant avec de beaux paysages, l'apprentissage des cultures et de la nature, j'ai bien aimé en gros. Stewart Granger est excellent dans la role du guideur au coté de la belle Deborah Kerr en demoiselle en détresse. Datant de 1951, ce long métrage fait à l'époque en Technicolor vieillit bien, avis aux amateurs.

Superbe film d'aventure dans la tradition du genre. Des paysages magnifiques et un exotisme dépaysant. Tous les ingrédients sont là et on apprécie le talent avec lequel le film nous est offert. Stewart Granger viril et Deborah Kerr toujours aussi resplendissante forment un couple glamour comme il se doit. Le scénario classique reste efficace car creuse le sillon de belle façon. Sans aucun doute un des meilleurs film du genre et de l'âge d'or.

Les superbes paysages africains, les animaux sauvages dans leur environnement naturel, les tribus avec leurs guerriers aux visages bariolés aux penchants cannibales et quelques aventuriers qui partent à la recherche d’un disparu et d’un hypothétique trésor… Ajoutez à cela Stewart Granger au meilleur de sa forme et aux tempes grisonnantes toujours aussi irrésistibles accompagné de Deborah Kerr aux cheveux de feu et à la poitrine arrogante, le tout dans le contexte colonial anglais de la fin du XIXe siècle, et vous avez là tous les ingrédients du film d’aventures africain dont ce film pourrait bien être le paradigme éternel. Certes la réalisation n’a rien de génial mais les images en technicolor parlent toutes seules dans ce contexte magique qui ressuscite notre âme d’enfant via la figure légendaire d’Allan Quatermain. On se laisse porter, on vibre aux rebondissements d’un scénario qui n’est pas si simpliste qu’il en a l’air et on en ressort émerveillé et prêt pour partir à l’aventure… Le mérite principal du cinéma sera toujours de faire rêver !

Bon petit film d'aventure à l'ancienne qui a évidemment vieillit mais qui a su conservé un certain charme, peut être est-ce la beauté des paysages africains ?, la présence de Déborah kerr ? ou la classe de Stewart Granger ? enfin je ne sais pas mais cette version des aventures d'Allan Quatermain reste tout a fait convenable et fait honneur au légendaire aventurier Anglais.

Un film qui ne manque pas de charme, une aventure du Vieil Hollywood avec un scénario classique (parfois cliché) mais au second plan une belle romance à l'ancienne qui m'a séduite avec en toile de fond les terres brulées d'Afrique. D'autant plus que le casting est convainquant, que c'est bien réalisé avec de magnifiques paysages et que le rythme est très fluide. Pas grand chose à dire, j'aime ce film.

Evidemment daté, mais ce film a le charme d'un vieux bordeaux bonifié par le temps. Tout le charme du cinéma américain d'aventures des années 50, avec ses codes et conventions qu'on n'utilise plus depuis belle lurette est présent dans ce beau film, idéal pour un visionnage familial (si les enfants ont moins de 12 ans...).
Stewart Granger est très charismatique et n'est pas pour rien dans la réussite de ce qui reste encore à ce jour la meilleure version filmée des mines du roi salomon.

Dans de tels décors naturels avec en plus des populations locales, il n’est pas envisageable de procéder à un tournage idyllique dans lequel on pourrait faire tout ce que l’on veut. Compte tenu de toutes les contraintes ce film est exceptionnel, il se regarde comme un formidable livre d’images de notre enfance, ceux qui veulent y voir autre chose seront forcement déçus. Impossible d’oublier la tribu des Watusi et le premier Alan Quatermain auquel Stewart Granger a donné vie, il est à la fois humain et surhumain par sa façon d’aborder les différentes situations auxquelles il est confronté. Déborah Kerr tient son rôle avec sobriété, elle montrera plus tard dans sa carrière l’étendue de son talent. La mise en scène est talentueuse, soignée mais nécessite le grand écran pour la ressentir. Tant de beaux films sont passés inaperçus à la télévision, il faut sans cesse le répéter.

Adapté d'un roman célèbre, ce film est la plus belle version parmi les nombreuses qui l'ont abordé, c'est le prototype des films d'aventures exotiques africains dont le catalogue est constitué d'une succession de périls, de bêtes sauvages, de pièges, du décor hostile et de tribus indigènes menaçantes qui deviendront des clichés repris par nombre d'autres films du même genre ; déjà, le film héritait tout ça des vieux Tarzan des années 30 et 40. Le couple Deborah Kerr / Stewart Granger n'échappe pas non plus à la convention hollywoodienne de ce type d'aventures, mais le film n'est pas sans charme, grâce à de splendides images tournées au Kenya, au Tanganyika et dans l'ancien Congo belge. Ainsi, il n'est pas seulement un petit film d'aventure tourné dans un coin de studio, mais une véritable carte postale de l'Afrique telle qu'on se la représentait en 1950, et les scènes se déroulant chez les Watusi, ainsi que les nombreux plans d'animaux lui donnent un réalisme assez rare pour l'époque dans ce type de films.

Un des films ayant marqué mon enfance. Le célèbre aventurier Allan Quatermain s'enfonçant au coeur des contrées inexplorées de l'Afrique. Qu'y découvrira-t-il, les sources du Nil, des mines de diamant, des peuplades inconnues ?

Un film assez surfait, bien loin des chefs d'oeuvre que sont Scaramouche ou encore Les Contrebandiers de Moonfleet. Certes, l'ensemble est très agréable et c'est un bon petit moment de cinéma qui nous est offert (magnifiques paysages africains), mais ce film manque n'a pas vraiment de style. On ne sent pas une grande mise en scène, et provoque en même de temps un manque de relief et d'intérêt général, surtout que le scénario est tout de même bien mince, et que les péripéties sont balayés toujours en quelques secondes. Reste la beauté de Deborah Kerr et la formidable présence de Stewart Granger. Ca reste un peu court...

Un bon film d'aventures à l'ancienne, avec un excellent duo Stewart Granger-Deborah Kerr. L'histoire est agréable, la réalisation laisse la place aux magnifiques paysages africains, avec des images de toute beauté. Le tournage du film fût un vrai défi à l'époque...

Un Tintin au Congo à la mode de chez Hollywood, contenant évidemment le cliché du couple opposé amoureux, des tribus noires. Les acteurs y participent aussi, Stewart Granger nous fait penser à John Wayne, Deborah Kerr s'insère dans le rôle très connu de la femme opposée au héros mais qui est amoureuse de lui quand même ( on ne sait pas pourquoi )

Malgré la splendeur des paysages africains et le charisme du duo Deborah Kerr-Stewart Granger, ce film n'a pas réussi à me capter. La faute à une mise en scène lourde, loin de la légéreté de chefs d'oeuvre comme "Scaramouche", et totalement impersonnel. Les rebondissements ne sont pas extraordinaires et un peu d'humour n'aurait pas nui à l'ensemble.

Revu avec plaisir Les Mines du roi Salomon, un beau film d'aventures hollywoodien certes il a pris un coup de vieux mais le charme opère toujours, l'ensemble est désuet et manque de péripéties pourtant Les Mines du roi Salomon est agréablement divertissant mais il y a aussi le couple Kerr/Granger qui passe très bien à l'écran.