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Rythmé, pas mal joué, on sourit assez souvent, mais ça s'arrête là. Le genre de film qui ne se regarde qu'une fois.
Dolemite is my name est un biopic haut en couleurs et décalé mettant en scène l'exubérante ascenscion de Rudy Ray Moore un aspirant humoriste aussi sympathique que grossier qui parviendra à devenir un vrai phénomène de la blaxspotation.
Servi par un casting de revenants, Wesley Snipes et surtout Eddie Murphy en tête, Dolemite dépeint le portrait sincère d'un homme rêvant de grandeur mais surtout de comédie et trouvant le succès comme Eddie Murphy le récupère.
Servi par une bande-son jazzy et funky digne des seventies, Dolemite is my name est un hommage frais et hilarant à une époque bénie du cinéma bis et à un humour décalé.
Passé relativement inaperçu en France notamment car la personne dépeinte par le biopic n'est pas tellement connue en France, le film de Craig Brewer est amené à devenir culte parmi ce type de film et je vous invite à le découvrir pour connaitre un personnage généreux qui ne vous laissera surement pas indifférent !
Servi par un casting de revenants, Wesley Snipes et surtout Eddie Murphy en tête, Dolemite dépeint le portrait sincère d'un homme rêvant de grandeur mais surtout de comédie et trouvant le succès comme Eddie Murphy le récupère.
Servi par une bande-son jazzy et funky digne des seventies, Dolemite is my name est un hommage frais et hilarant à une époque bénie du cinéma bis et à un humour décalé.
Passé relativement inaperçu en France notamment car la personne dépeinte par le biopic n'est pas tellement connue en France, le film de Craig Brewer est amené à devenir culte parmi ce type de film et je vous invite à le découvrir pour connaitre un personnage généreux qui ne vous laissera surement pas indifférent !
Audrey L
Éloignez les oreilles innocentes (ne regardez pas ce film avec vos grands-parents ou jeunes enfants) car Dolemite Is My Name ne compte pas censurer l'homme à qui il rend hommage : Rudy Ray Moore qui, pour obtenir son quart d'heure de gloire, a tout misé sur la vulgarité extrême de son personnage Dolemite, et le buzz dans la communauté Noire en a fait une super-star. Sa popularité le poussera à se décliner dans le domaine de la musique et du septième art, créant l'un des premiers grands films de blackploitation de l'Histoire du cinéma, rien que ça. C'est cet étonnant homme qu'Eddie Murphy (truculent) nous fait découvrir de A à Z, déstabilisant quand on fait face aux premières phrases de Dolemite (le nombre de grossièreté est surprenant... Scorcese approves.) puis attachant quand on voit le bonhomme derrière le personnage, plus réservé et seulement désireux de ne pas finir à la rue. On meurt littéralement de rire devant la conception de son film, fait de ninjas Noires en minijupes, balles tirées dans tous les sens, de voitures qui explosent, de tripes tirées à la main, de scène de sexe "légèrement" exagérée (ce qu'on a ri)... Du cinéma de série B comme on les aime aujourd'hui, mais qui en 1975 ne s'adresse qu'à son public-cible : adulé par les "Frères et Sœurs" (Noirs) qui rient à en pleurer, boudé par les Blancs qui se pincent le nez devant tant de médiocrité technique (les critiques l'ont flingué plus vite que dans le film lui-même). De notre côté, on a maintenant bien envie de voir ce petit bijou de la blackploitation, on fonce le chercher dès les images d'archives finales qui nous en montrent quelques bribes (et font le parallèle avec la version "en cours de tournage" que l'on vient de voir, très ressemblante). On sent tout l'amour pour ce cinéma bis, fauché, basé sur l'humour de son public, et on plaint le personnage du réalisateur blasé d'assister à ce désastre joyeux tandis que Dolemite est convaincu du caractère formidable de ce qu'il tourne... Son enthousiasme nous gagne, et l'on peut facilement se rincer l’œil sur les plans qui nous montrent des affiches des films cultes du genre (Blacula, par exemple) dans les bureaux des producteurs (on prend un calepin et on note les titres), ou ont la patience de nous montrer les trucages des films (comment sont réalisées les explosions ou les tirs de balles...), un vrai chant d'amour au cinéma en général, en plus de celui qui défend bec et ongles la série B. La vulgarité extrême est son originalité, mais Dolemite n'en est pas moins un personnage attachant, et son film-hommage porté avec envie par Eddie Murphy nous donne une furieuse soif de films de blackploitation.
Très bonne surprise que ce film avec Eddie Murphy et Wesley Snipes, 2 acteurs excellents mais qui n'ont pas fait que des chefs d'œuvre...
L'histoire de Dolomite, chanteur, humoriste et acteur américain peu connu en France est retranscrite ici avec brio à travers un film tendre, drôle et coloré !
L'histoire de Dolomite, chanteur, humoriste et acteur américain peu connu en France est retranscrite ici avec brio à travers un film tendre, drôle et coloré !
Une petite pépite qu'il faut voir.
Un Eddie Murphy sublime loin d'un prince à New York 2, je vous garantie une très belle surprise en ce début d'année.
Bon visionnage 😀
Un Eddie Murphy sublime loin d'un prince à New York 2, je vous garantie une très belle surprise en ce début d'année.
Bon visionnage 😀
J'aimé revoir Eddie Murphy et Wesley Snipe, très surprenant et drôle dans un rôle comique. Passées ces retrouvailes le film modeste, moyennement drôle, juste un peu long.
Une vraie belle idée de parler de cet acteur peu connu en France en tous cas des films des années 70 . Eddy Murphy est juste incroyable dans le rôle. C est bien réalisé et intéressant sur cette époque. Un bon film .
Vu aujourd'hui sur Netflix, Dolemite Is my name est un excellent divertissement ! On retrouve ici un Eddie Murphy au sommet de sa forme, qui arrive à être fun sans surjouer, contrairement à dans d'autres films comiques où il joue comme Norbit par exemple. Enfin, l'ambiance du film est excellente, notamment la soundtrack, et c'est hyper plaisant de voir une bande de potes tout faire pour s'en sortir par leur propre moyen. Le film rend parfaitement compte de la discrimination qu'il y avait pour les noirs, mais ne tombe jamais dans le film politique un peu ennuyeux avec un discours très moralisateur. C'est juste un homme déterminé qui fait tout pour vivre de sa passion et s'amuser ! Et effectivement, il y a tellement une bonne énergie dans ce film qu'on ne peut que passer un bon moment devant. Après bien sûr, ce n'est pas un chef d'œuvre et il y a quelques défauts, principalement le côté dramatique qui n'est pas assez appuyé lorsque Dolemite se prend un énième refus. Mais hormis cela, c'est un très sympathique divertissement que je vous conseille sur Netflix ! 3,5/5
C'est un magnifique film sur la persévérance après un début vraiment faible qui a du en démotiver plus d'un. Le casting est vraiment réussi, Wesley Snipe est méconnaissable et absolument formidable et drôle, Eddie Murphy est au sommet de son art. Je n'ai pas du tout ni compris ni adhéré aux blagues salaces et vulgaires mais c'est aussi ce qui fait l'intérêt du film. La musique, les costumes, la mise en scène rend toute l'expérience très cohérente et immersive. Le côté absurde de cette histoire de réussite personnelle et collective est bien si bien traité que bien qu'il s'agisse d'un film qui aborde un sujet sérieux et sensible (la réussite d'un noir dans un industrie de blancs), le divertissement est à son comble.
J'adore j'adore j'adore !!! Ce film est tout simplement génial. Tirée d'une histoire vraie, "dolemite is my name" suit le schéma narratif que beaucoup de biopic ont comme "Bohemian Rapsody". C'est à dire un début où personne ne croient en les protagonistes mais qui au fur et à mesure arrivent à percer et tout se déroule comme dans un conte de fée. Hormis ce schéma narratif récurent ce film est tout simplement génial. Très bonne musique et ambiance que les acteurs arrivent à nous transmettre font que le spectateur ne s'ennuie jamais.
Fêtons le cinéma
Ce n’est pas un hasard si Dolemite Is My Name est scénarisé par Scott Alexander et Larry Karaszewski, spécialisés dans l’écriture de biopics axés sur des personnages excentriques et marginaux, constamment à la croisée du génie et du mystificateur, dont la passion pour leur art est telle qu’elle occasionne une démesure contaminant tous les niveaux : acteurs survoltés, prouesses esthétiques, scénario foisonnant. Ed Wood (Tim Burton) en constitue certainement la réussite la plus étincelante, tout comme Man on the Moon et Larry Flynt (Miloš Forman). En s’attaquant à l’une des figures les plus importantes de la Blaxploitation, courant culturel afro-américain qui ne bénéficie en France que d’une médiatisation toute relative, les deux scénaristes présentent d’emblée leur protagoniste principal comme un rêveur prêt à tout pour concrétiser son rêve : quémander le DJ pour diffuser ses chansons, obtenir des crédits pour financer ses projets, s’approprier un ancien hôtel devenu repère de drogués et d’alcooliques, mettre à contribution ses amis. Rudy Ray Moore est, comme tous les héros de Scott Alexander et Larry Karaszewski, un héros ambigu, pris entre sa soif de réussir et son absence de génie. Tout part d’un principe très simple : regarder celui ou celle qui a réussi et se dire « pourquoi pas moi ? ». Dans la salle obscure d’un cinéma projetant un Billy Wilder, Moore détourne le regard, se met dos à l’écran pour regarder la source lumineuse chargée d’images que diffuse le projecteur. Un Noir attiré par la lumière. Un Noir soucieux de représenter sa communauté sur grand écran, de filmer la beauté des corps noirs, les spécificités d’un humour volontiers vulgaire. Aussi la démarche a priori individuelle d’un homme rejoint-elle l’aspiration communautaire, fait-elle signe vers le collectif, se charge-t-elle d’une couleur politique essentielle et réinjectée avec une intelligence rare. Car Dolemite Is My Name réussit à revenir aux fondements de la Blaxploitation tout en composant une œuvre divertissante, fort drôle et touchante, une œuvre de cinéma sur le cinéma. Eddie Murphy y trouve un nouvel avatar burlesque qu’il campe à la perfection : après avoir joué un acteur harcelé par des extraterrestres puis remplacé par son frère jumeau – dans le génial Bowfinger –, il trouve un rôle au niveau de son talent, un personnage qui, comme lui, voit les choses en grand, aspire à la célébrité mais souffre, entre autres, de la critique de ses films. À ses côtés, la ravissante Da’Vine Joy Randolph et un Wesley Snipes à contre-emploi des plus désopilants. Dolemite Is My Name bénéficie d’une réalisation élégante qui articule bien fiction et mise en abyme de la fiction – le film dans le film –, rendant ses scènes lisibles, construisant un comique dans la durée et la répétition. Porté par un scénario intelligent, il s’impose comme l’un des meilleurs biopics vus depuis longtemps et offre à la Blaxploitation un hommage à la fois vibrant et touchant.
Eddie Murphy est de retour avec ce biopic de Rudy Ray Moore dans cette comédie d'action follement années 1970. Murphy a enfin trouvé un personnage dans lequel enfoncer vraiment ses dents et Murphy savoure chaque instant ou il habite ce personnage joyeux et étrangement charmant. Un personnage naïf qui cherche désespérément à simplement s'exprimer comme un artiste du peuple et pour le peuple. Murphy est drôle, charmant et touchant comme personnage héroïque imparfait. Il mérite toute les éloges pour ramener cette histoire à la vie. Dolemite Is My Name a un casting talentueux et des costumes merveilleusement loufoques des années 70. Ce film est parfois horrible et parfois touchant mais il mérite toute votre attention. Il se délecte des joies de raconter une histoire qui mérite d'être racontée, d'être savourée et appréciée par quiconque cherche une évasion mondaine ou cyniques...
Très ennuyeux pas pu rester jusqu au bout meme si les acteurs font de leur mieux je n ai pas réussi à m accrocher ni à l histoire ni à l humour décalé afro-américain
Dolemite Is My Name est un biopic très agréable à regarder et relativement captivant dans la mesure où je n'ai pas vu les 2 heures passer. L'histoire de Rudy Ray Moore est extrêmement touchante et n'est autre qu'une ode à tous ceux qui ont des rêves et qui souhaiteraient les réaliser malgré les embûches et les personnes qui ne croient pas en eux. J'ai particulièrement apprécié le jeu d'Eddy Murphy qui signe son come back avec un film aussi inspirant. Le personnage de Dolemite et plus particulièrement la performance de Rudy Ray Moore m'a particulièrement plu, car elle est sans rappeler le rap et ses nombreuses punchlines soutenues par une superbe rythmique comme présentée dans le film. Cette performance rappelle aussi énormément le stand-up que nous connaissons aujourd'hui et qui s'est démocratisé depuis très récemment finalement. Aurait-il été précurseur de ces deux styles ? En tout cas ça laisse admiratif !
Seul petit bémol quant au film, il aurait peut-être été bien de présenter le personnage dans son intimité (voir un peu plus la personne qu'il était avec son entourage, sa famille, etc.). Car en fin de compte, pour un biopic nous en apprenons presque plus sur le personnage de Dolemite que sur celui Rudy Ray Moore lui-même (bien sûr, ceci est un poil extrapolé). Sa relation avec Queen Bee méritait selon moi d'être plus approfondie même si le but du film à mon avis n'était pas vraiment de présenter la personne qu'était Rudy Ray Moore, mais plus de présenter ses accomplissements et montrer à quiconque regardant ce film, qu'il faut toujours croire en ses rêves et se battre pour les voir se concrétiser.
Seul petit bémol quant au film, il aurait peut-être été bien de présenter le personnage dans son intimité (voir un peu plus la personne qu'il était avec son entourage, sa famille, etc.). Car en fin de compte, pour un biopic nous en apprenons presque plus sur le personnage de Dolemite que sur celui Rudy Ray Moore lui-même (bien sûr, ceci est un poil extrapolé). Sa relation avec Queen Bee méritait selon moi d'être plus approfondie même si le but du film à mon avis n'était pas vraiment de présenter la personne qu'était Rudy Ray Moore, mais plus de présenter ses accomplissements et montrer à quiconque regardant ce film, qu'il faut toujours croire en ses rêves et se battre pour les voir se concrétiser.
Agréablement surpris. Le personnage est une vraie réussite. Un côté tocard mais sérieusement engagé et fiable. Les acteurs sont vraiment bien, le film est bien rythmée. Ça m'a fait plaisir de revoir Eddie Murphy et Wesley Snipes dans un bon film.
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