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    Possessor
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    66 critiques spectateurs

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    malioth
    malioth

    41 abonnés 309 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 avril 2021
    Grosse déception. Scénario original prometteur mais qu''est ce qu'on s'ennuie! Me suis rarement autant ennuyé. Excellent film pour s'endormir autrement c'est faible, très faible.
    Ufuk K
    Ufuk K

    515 abonnés 1 471 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 avril 2021
    " Possessor" réalisé par Cronenberg fils, récompensé par le Grand Prix au dernier festival de Gérardmer est une franche déception pour moi . En effet j'ai trouvé l'histoire trop confuse, trop complexe et difficile d'accès pour réellement avoir de l'enthousiasme devant ce film, même si l'ensemble est original, avec un montage très esthétique et un tandem Andrea Riseborough et Jennifer Jason Leigh qui fonctionne bien. Frustrant dans son ensemble.
    brunocinoche
    brunocinoche

    91 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2021
    Brandon Cronenberg prouve avec ce deuxième long métrage qu'il est bien le fils de son père. On retrouve le même gout pour un univers fantastique cauchemardesque, pour une fascination pour tout ce qui touche à l'organique et une originalité de ton dans la narration.
    Entre "scanners" ou "existenz", on retrouve les thèmes de la manipulation du cerveau et l'utilisation ultime des nouveaux moyens de communication.
    Expérimentale à souhait, la mise en scène consiste essentiellement à une déformation des images et des sons et le résultat est impressionnant, compensant un budget limité.
    Public non averti, passez votre chemin, le film n'est pas forcément aimable et certaines scènes tombent quand même dans l'abus du gore.
    Mais Cronenberg Jr est un cinéaste à suivre, si il ne démarque pas de son père, il se démarque d'une certaine démarche conventiionnelle qui uniformise un peu trop en ce moment le cinéma dit de genre.
    Vador Mir
    Vador Mir

    257 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 février 2023
    Scénario beaucoup trop ambitieux pour un réalisateur inexpérimenté, on passe de maladresses en maladresses, avec un violence graphique incontrôlée. Brendon essaye d'adopter le même style organique son père David Cronenberg, mais ça ne fonctionne pas.
    Le scénario est pourtant excellent on aurait aimé voir le même film mais réalisé par quelqu'un d'autre.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    688 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 avril 2021
    Le fils de David Cronenberg offre un thriller fantastique d'anticipation plutôt bien mené. Il signe un film radical sur l'usurpation d'identité, et sur le morcellement de l'individu. Tout en gardant une certaine finesse d'écriture.

    https://www.justfocus.fr/cinema/critique-possessor-quand-brandon-cronenberg-se-prend-pour-son-paternel.html
    Jake S.
    Jake S.

    81 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2021
    On pourra dire ce qu'on veut, le fils de David Cronenberg est parti pour nous en mettre plein les yeux ! "POSSESSOR" est une expérience cinématographique à part entière qui nous laisse tout pantois même quelques heures après le visionnage. Choquant, oppressant et cauchemardesque, j'ai rarement vu un film qui manie aussi bien l'ambiance "glauque" que l'on cherche à véhiculer dans les thrillers et films à suspens.

    En allant de plans filmés en travers des buildings aux scènes de nu/gore très fréquentes et sans filtres, le film se focalise considérablement sur des effets de mise en scène SF atypiques mais s'appuie également sur une réalisation très "posée", très propre qui s'apparenterait presque à du Fincher au niveau du grain et des mouvements de caméra. Non pas que le scénario soit basique mais je dirais que ce n'est pas la qualité première ou l'élément qu'on retiendra. Il fallait bien s'attendre à ce que le corps de l'homme dans lequel Tasya se transfère finisse par réagir au vu des circonstances. D'autre part, des intrigues où les riches paient des sociétés secrètes pour prendre encore plus de pouvoir ou bien pour assouvir des pulsions ce n'est pas nouveau. Un film comme "Hostel" de Eli Roth, non moins choquant, pourra nous rappeler cette perversité de la caste riche sous un angle de vue quasi similaire.

    Cela dit, le concept du transfert de corps lui est intriguant et reste une éventualité à prendre en compte dans notre future proche. Les clones, la miniaturisation de notre société ou encore l'Intelligence artificielle font que l'homme va se substituer à la science. Toutes les possibilités sont à prendre en compte et j'ai apprécié la façon dont le film décide de l'aborder avec ce côté "serial-killer" de l'ombre.

    "Possessor" s'apparente finalement à une série B plus qu'osée qui nous frappe de plein fouet ; j'espère pour vous que votre estomac sera bien accroché. La lignée Cronenberg pourra-t-elle être assurée par Brandon ? L'avenir nous le dira !
    ffred
    ffred

    1 691 abonnés 4 014 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 février 2021
    Deuxième film de Brandon Cronenberg (fils de). J'avais beaucoup aimé Antiviral son premier opus. Celui-ci est différent, même si on ressent toujours la patte du père, et même peut-être plus encore. D'entrée une scène choc qui donne le ton. Jusqu'au bout la violence et le gore seront là. L'ambiance est particulière, tour à tour stressante, angoissante, effrayante. Il ne faut pas décrocher sous peine de se perdre en route. Le tout est un peu alambiqué mais nous tient en haleine tout de même jusqu'au dénouement. L'ensemble est fait avec une certaine virtuosité, où rien n'est laissé au hasard, de la direction artistique à la direction d'acteur. Andrea Riseborough et Christopher Abbott sont impeccables. Avec aussi Sean Bean et Jennifer Jason Leigh (vu chez le père). Un passage réussi au deuxième film pour le réalisateur même si je reste un peu sur ma faim. Tout de même un film qui sort de l'ordinaire et qui reste en mémoire un moment encore après l'avoir vu.
    eldarkstone
    eldarkstone

    215 abonnés 2 073 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 février 2021
    Un Thriller froid et lent, qui ne surprend vraiment jamais, qui s'essouffle dans ses longs dialogues et scènes ...
    Vitriol
    Vitriol

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2021
    Un scénario qui cherche à nous perdre mais qui se tien bien. Certaines scènes sont très graphiques avec une photo que j'aime beaucoup et une BO qui correspond bien au rythme du film. Tire un peu en longueur à certains moments quand même.
    Victor A.
    Victor A.

    63 abonnés 388 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 janvier 2021
    Brandon Cronenberg semble avoir les mêmes obsessions que son père (Parasite, gore) mais pas forcément le même immense talent. Bien filmé, le film ressemble à un épisode de Black Mirror mais trop fouillis et pas assez clair pour nous cueillir totalement. Le film aurait mérité d'être raccourci de 10 minutes et d'aborder plus le tiraillement des deux entités dans le même corps.
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 janvier 2021
    Nous pouvions le sentir revenir plus grand et plus ambitieux, à la suite d’un « Antiviral » qui a manqué de nous convaincre totalement. Pourtant, Brandon Cronenberg se dresse de nouveau devant nous, avec un récit plus modeste, mais qui gagne en efficacité. Il aura bien laissé mûrir cette thématique de la perte de contrôle et il s’amuse encore à cultiver la violence corporelle. En reposant son intrigue sur le développement de personnage, il nous dévoile cette face cachée qui faisait cruellement défaut dans son précédent long-métrage et qu’il aura certainement mise au point dans son dernier court-métrage « Please Speak Continuously and Describe Your Experiences as They Come to You », dont le titre parle de lui-même. Toutefois, ne nous fions pas aux a priori les plus primaires, à commencer par une fastidieuse comparaison avec son paternel, qui a déjà renforcer son empreinte dans nos esprits.

    Et c’est avec cette ironique transition qu’il revient hanter ses nouveaux sujets avec une technologie loin d’être délirante, mais qui bâtit un lien solide avec les différentes formes de piratages que l’on peut rencontrer aujourd’hui. Bien entendu, Cronenberg amorce son analyse avec une radicalité à en scier nos rétines. C’est alors avec une fascination morbide qu’il nous entraine dans une hallucination d’une grande violence et d’une grande froideur. A l’image de ses premières minutes, il tente de démunir sa pièce maîtresse d’une compassion sans faille. La tueuse à gage Tasya Vos (Andrea Riseborough) dégage une aura des plus perverse, en piratant le libre-arbitre et donc l’intimité de ses victimes. Elles et toutes les cibles du système sont balayées d’une équation simpliste et très démonstrative. Mais ce constat nous révèle également ces moments de flottement et d’égarement, comme si nous n’étions plus maître de notre vie, comme si nous avions perdu le contrôle sur ce qui nous rendait vivant et humain.

    L’intrigue resserre alors son étau sur la profonde mélancolie de Vos, qui ne cherche pas à la cultiver, loin de là. Elle cherche à s’en débarrasser pour qu’elle puisse mieux renaître dans les cendres de ses victimes, dont elle devra posséder le corps et la personnalité. La question même de l’hôte confronte donc la légitimité de cette dernière à sa propre humanité. Ce que l’on comprend rapidement réside dans cette colère que l’on refoule et qui décuple l’instinct meurtrier, dévorant ainsi des citoyens frustrés et désarmés par leur propre progrès technologique. Que reste-t-il d’autre qui le rendrait libre aux yeux de ceux qui chassent pour des motivations plus obscures, mais surtout plus égoïstes ? Plus grand-chose de toute évidence. Sans harmonie, pas de survie. Le film signe avec une malice angoissante le déphasage d’une femme, incapable de régner de sa propre conscience et surtout dans un monde trop cruel et physiquement instable.

    En somme, dans un élan de violence loin d’être banalisée, servie par une violation de la vie privée omniprésente, « Possessor » fait le point sur la vitalité d’individus conditionnés à obéir. La prise d’otage cérébrale devient alors le siège de toute cette psychanalyse, qui repousse les limites d’un sujet plutôt simple et le complexifie au rythme des battements des cœurs qui s’éteignent. Il s’agit sans doute d’une continuité réfléchie, sachant que le réalisateur a préféré s’attarder sur le concept de corps étranger, qui aura certes un caractère moins viral, mais qui évoluera fatalement vers la même chute autodestructrice.
    Acidus
    Acidus

    716 abonnés 3 707 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 janvier 2021
    Brandon Cronenberg marche assurément dans les pas de son père David. On avait déjà pu s'en apercevoir dans son premier long métrage, "Antiviral", et cela se confirme avec "Possessor". Les thématiques abordés sont proches de celles de son paternel avec cette prédilection pour le rapport au corps et à la technologie avec cette dimension psychologique importante. Toutefois, le talent n'est pas héréditaire et le fiston n'arrive pas à convaincre. "Possessor" présente les mêmes qualités et défauts qu' "Antiviral" : concept initial attrayant mais un problème de rythme entrainant des longueurs et un scénario qui fait du surplace. Le cinéaste ne réussit pas à faire ressentir au spectateur la descente aux enfers du protagoniste, cette progression dans la violence et sa tension psychologique. Les lenteurs n'arrangent pas les choses. La bonne intention ne suffit pas. En espérant qu'il fera mieux pour son troisième long métrage.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 172 abonnés 7 494 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 janvier 2021
    Tasya Vos est membre d’une organisation secrète qui, grâce à des implants cérébraux, lui permettent d’habiter le corps de diverses personnes et ainsi, de commettre des meurtres sous d’autres identités. Mais un beau jour, Tasya va se retrouver coincé dans l’esprit d’un de ses hôtes et cela va se retourner contre-elle.

    Alors que son premier long-métrage était loin de convaincre, force est de constater qu’une fois de plus, son film ne laissera pas indifférent. De par son histoire et surtout, sa violence graphique. Dans la lignée de son thriller d’anticipation Antiviral (2012), Brandon Cronenberg revient avec un second long-métrage dans la lignée de son père, à savoir un film d’horreur très organique, flirtant avec le thriller futuriste.

    On ne saura rien de cette organisation ultra secrète, idem concernant le personnage de Tasya. La mise en scène se veut sobre et contemplative, ses personnages manquent de profondeur et l’intrigue (assez simpliste) se veut faussement alambiquée.

    Reste au final, une mise en abime intéressante, une plongée dans l’horreur qui nous offre quelques instants violents très bien amenés (et qui risqueront de choquer, notamment dans la version uncut, spoiler: avec la séquence de l’enfant
    ). Comme on dit « jamais deux sans trois », on espère bien se tromper et pouvoir, la fois prochaine, être enfin pleinement séduit par Brandon Cronenberg.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Derleth
    Derleth

    20 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2021
    on reconnait bien l'influence paternelle de David Cronenberg dans ce thriller horrifique, avec les machines de transfert au look presque organique, l'aspect froid du film. Cet attrait pour l'horreur organique avec ces corps qui fusionnent entre eux dans la scène du rêve du personnage masculin possédé par cette tueuse, Tasya. C'est un bon point pour ce film, mais qui est plombé par cette ultra violence inutile et ce fleuve de sang qui parcoure les scènes d'action. Dommage, et on regrettera un peu aussi le côté alambiqué, glauque, et dérangeant de l'intrigue.
    Skrzypczaktony13
    Skrzypczaktony13

    4 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 janvier 2021
    Quand on suit les traces de son père, c'est sûr " du sang c'est pas de l'eau! !" ....
    Film très viscéral et gore avec une petite pointe de science-fiction, les scènes de violence sont vraiment dérangeantes et nauséeuses...
    Sinon le scénario a.un petit goût de déjà vu donc pas de surprise à ce niveau ...a voir une fois mais ce n'est pas un chef-d'oeuvre pour moi .
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