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FaRem
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2,0
Publiée le 23 août 2021
Après la sortie de deux films "G.I. Joe" au cours de ces dernières années, voici venir un spin-off sur le personnage Snake Eyes. Du moins, il faut le dire vite, car le film est tellement formaté qu'on dirait un film d'action lambda qui n'a pas la moindre identité. Si l'on ne sait pas à l'avance ce que l'on regarde ou si l'on n’est pas familier avec l'univers d'origine, on peut difficilement savoir ce que l'on est réellement en train de regarder. Et le pire, c'est que cela n'a pas vraiment d'importance tant le film est sans saveur. Juste l'histoire classique d'un homme qui cherche à savoir qui a tué son père et qui va par la même occasion travailler pour des Yakuzas. Le film de Robert Schwentke est pauvre à tous les niveaux, tant au niveau de l'histoire que des scènes d'action. Si j'avais plutôt passé un agréable moment devant les films "G.I. Joe", j'ai trouvé ce film sans grand intérêt et jamais divertissant. Bref, un film qui n'est pas terrible.
“Snake Eyes” 2021, à ne pas confondre avec le long-métrage de Brian De Palma avec Nicolas Cage, est un spin-off des deux “G.I. Joe” de 2009 et 2013. Le film met en scène les origines du ninja solitaire. Sans surprise, le scénario avance de façon chronologique. La première partie liée aux origines, à l’entraînement et à la formation est néanmoins intéressante. La seconde se perd dans des combats filmés sans inspiration et sans fond dans l’écriture des dialogues. En bref, “Snake Eyes” est un film d’action mou où l’on peut rapidement s’ennuyer et qui s’adresse uniquement aux fans de la franchise. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Hollywood ne sait plus quoi inventer. Après les « Transformers » ou encore la bataille navale avec l’énorme bouse « Battleship » (on parle même du Monopoly ou de Barbie en film!), les producteurs avaient tenté de lancer une franchise à partir des figurines G.I. Joe. Cette idée avait accouché de deux films d’action décérébrés mais techniquement plutôt bien foutus, à prendre au second degré ou comme de la détente du samedi soir. Le premier était idiot mais super impressionnant niveau action tandis que le second jouait la carte du toujours plus de manière plus ou moins probante. Ils avaient rencontré un succès commercial relatif mais une volée de bois vert niveau critique. Dix ans après, voilà qu’on nous propose une origin story à partir de l’un des personnages les plus iconiques et mystérieux des figurines : la ninja « Snake Eyes ». Pourquoi pas… Oui mais non au vu du résultat qui se prend trop au sérieux et qu’on ne peut même pas prendre au second ou troisième degré.
Nous voilà donc embarqué au Japon pour découvrir comment cet homme, incarné par Ray « Dark Maul » Park dans les films précédents, a intégré les G.I. Joe. Et bien on peut dire que les scénaristes ne se sont pas vraiment creusé la tête au vu du résultat : d’une banalité confondante, le script nous propose le déroulé classique traumatisme d’enfance, infiltration, vengeance, révélation et abnégation. Saupoudré bien sûr de considérations morales à trois francs six sous. Dans ce « Snake Eyes », il n’y a jamais vraiment rien de surprenant ni d’innovant. Dommage, car un tel personnage aurait pu se parer d’une mythologie et d’une aura bien plus réussie que ce collage trivial d’influences qui transpire le déjà-vu à chaque séquence. On passera sur les clichés qui pullulent concernant le Japon tout comme le jeu des acteurs au ras-des-pâquerettes, hormis Henry Golding très investi et plutôt charismatique dans le rôle-titre. Le pire est le traitement réservé à deux des trois rôles féminins. Étonnant en pleine époque où les femmes prennent le pouvoir au cinéma. Samara Weaving en Scarlett a le second rôle le plus inutile vu dans un blockbuster depuis bien longtemps tandis que la méchante Baronne jouée par Ursula Corbero de « La Casa de Papel » est tout à fait ridicule, de la consistance du rôle à son interprétation. L’une comme l’autre a dû avoir pas mal de scènes coupées au montage! Quant aux autres seconds rôles ils sont tellement sacrifiés que cela en devient gênant (de Tony Todd à Iko Uwais).
Et niveau cascades, fusillades, combats et autres séquences spectaculaires me direz-vous, car c’est bien pour cela qu’on vient voir ce type de blockbuster de série. Et bien rien à se mettre sous la dent, c’est tout aussi déjà-vu que le reste. Hormis quelques plans sympas disséminés dans des séquences d’action au final peu nombreuses, comme celui sur tous les personnages se battant contre le vilain à la fin ou la séquence à moto, rien d’excitant, de novateur ou de surprenant. Le vieux routard et honnête faiseur hollywoodien, Robert Schwentke (l’excellent « R.E.D. » ou « Flight Plan »), n’a rien de bien fou à filmer et semble aussi désintéressé que le spectateur par ce qu’il doit mettre en scène. Bref, un film à gros budget bien triste et générique qu’on oublie aussi vite sorti de la salle après deux heures de léthargie où seuls les décors du Japon viennent un peu nous gâter l’œil.
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Dès le début ça n'est pas très compréhensible notamment lorsque notre héros passe de la cage à l'usine alors qu'un caïd lui propose un job pour ses prouesses sur le ring ?! Ensuite, sans doute pas ni naïf ni idiot il sait pour qui il bosse mais il risque son job et surtout sa vie pour un parfait inconnu ?! Ensuite le récit s'avère très classique mais devient malgré tout plus efficace surtout grâce au "triumvirat" du clan qui vole presque la vedette aux deux personnages centraux. Le pire est sans doute l'évolution des deux personnages centraux, Snake Eyes n'apprend finalement pas grand chose au sein du clan, ne semble pas gêné outre mesure par la déloyauté qu'on lui impose à l'insu de son plein gré, tandis que son ami chef du clan change de personnalité et de destin en une demi-seconde ! À la fin, le film tombe dans l'écueil habituel : pourquoi mettre en place une bataille rangée alors qu'il suffit au yakuza d'utiliser seul son pouvoir pour gagner en quelques minutes ?! Ben non, palabres inutiles et batailles armées superflues permettent de combler les minutes du film et de trouver ainsi une solution pour que les gentils gagnent. Lassant... Site : Selenie
A ne surtout pas confondre avec l'excellent Snake eyes de De Palma, ce prequel - spin-off, aux GI.JOE centré sur le personnage du même nom est un film d'action sans personnalité, sa se laisse suivre mais aussitôt vue aussitôt oublié. Il a tout du parfait film de commande, un scénario lisse au possible, des scènes d'actions correctes mais aseptisées, vous ne verrez jamais une goutte de sang dans des combats aux sabres on es très loin du fun d'un Ninja assassin, et une distribution à peine passable, mais tout cela n'est guère étonnant venant d'un real comme Schwentke. Le premier film réalisé par Stephen Sommers a défaut d'être un chef-d'oeuvre avait au moins le mérite d'être un minimum divertissant ce qui n'est même plus le cas ici.
Un film de baston pur et dur, sans intérêt ni surprises, avec des acteurs et des scènes de bien mauvaises qualité, qui n'a rien à voir du tout avec la saga G.I Joe d'origine, et c'est bien dommage ...
Gamin je jouais au GiJoe, j'ai été biberonné aux films de ninjas et l'association Andrew Koki / Iko Iwais était délectable. Le film a douché tous mes espoirs. C'est insipide, aseptisé, le héros manque cruellement de charisme, les combats sont mal chorégraphiés et des Japonais traditionnels qui parlent anglais ça a fini de me saouler. Restent quelques belles images.
Entre pudeur excessive, sorte de pudibonderie et grand foutoir tardif à la 90', le réalisateur de Red ne satisfait personne. Une Origin Story ratée pour un personnage en devenir. L'esprit G.I Joe n'y est pas. Et bien que les films n'étaient pas d'une grande réussite, ils nous manquent déjà.
Je me suis rarement autant ennuyé dans un film d'action. On ressent une impression d'un film fait par un ordinateur, aucune originalité, dans les plans, les séquences, le scénario, les personnages, les dialogues, tout, absolument TOUT est lisse, sans aucun relief ni personnalité. Le truc à éviter à tout prix!
Film d'action époustouflant à couper le souffle sans répit. L'histoire est simple et le film est magnifiquement tourné avec une belle chorégraphie des combats. Je recommande.
Il y a des tas de combats au sabre mais aucune goutte de sang. Ça m'a frappé dès le début. On n'est pas dans Ninja Assassin. Dommage. Snake Eyes, pour autant, ne m'a pas déplu. C'est un film d'action comme tant d'autres qui se laisse regarder si on n'est pas trop regardant. Il y a beaucoup d'action. Et l'histoire de Snake Eyes se laisse suivre. Il est ivre de vengeance. Puis, on sent qu'il a besoin de se poser, de se trouver une famille. Il évolue. Ses convictions sont vites remises en cause. Là où c'est intéressant, c'est que Tommy, bien qu'il ait, lui, un foyer, ne sait bientôt plus où va sa loyauté. Au clan auquel il appartient ? En vérité, ce sont tous deux des loups solitaires. Snake Eyes est riche en combats et j'ai bien aimé retrouver Iko Uwais plus connu pour sa participation à The Raid qui vient donner quelques pains. Pas assez à mon goût mais bon. Maintenant quant à savoir si on aura la suite des aventures de Snake Eyes et Storm Shadow...
Ben ça casse pas trois pattes à un canard, le héros à le charisme d'une moule, le pauv Iko Uwais star du raid est complètement sous exploité et Storm Shadow ne fait pas asiatique mais plutot bien caucasien, le scénario avec le potentiel de départ est aux fraises, bref c'est dans l'ensemble plutot raté, niveau rtl9 un dimanche pluvieux l'après midi.
Si je veux être franc, je ne suis absolument pas fan des 2er films ni de la franchise. Je l'attendais que pour une seule et unique raison. Ceux qui me connaissent ont déjà la réponse... ANDREW KOJI. De la superbe série Warrior. Une des meilleurs série actuellement en cours (Saison 3 l'année prochaine). Ce mec a un talent et un charisme monstre.
Du coup, de le voir dans son 1er long métrage (et j'espère pas le dernier) dans un gros blockbuster (avant Bullet Train, avec Brad Pitt svp, sortie Avril 2022). Sonne comme une évidence pour moi. J'ai donc été impatient de voir le Monsieur.
Franchement, je crois qu'il sauve la majorité du film. Non pas que le long métrage soit mauvais. Malgré des défauts, qui pourtant était facilement évitable.
À commencer par les scènes d'action/combats. On a d'un côté des acteurs martiaux comme Andrew Koji et Iko Uwais, et d'autres comme Henry Golding qui a passé des mois à s'entrainer (et le gars a fait du bon boulot). On a embauché en prime le génial Kenji Tanigaki pour les chorégraphies. Regarder les films Kenshin, et vous aurez une petite idée.
Donc avec tout cela, normalement on aurait un film d'action plus que carré qui en jette un max, on est d'accord ? Sauf que non. Car à Hollywood, la mode de la Shaky Cam n'a pas était encore bannie. Malgré des élève qui ont tout compris et sont respectueux (Chad Stahelski par exemple). D'autres s'évertuent à vouloir continuer à filmer et tout gâcher avec ce rendu...Merci les gars.
Alors que l'équipe devant et derrière est d'excellentes factures, même la photo est vraiment jolie, et capture bien Tokyo et ces environs. On la doit à Bojan Bazelli (The Lone Ranger, A. Cure for Life, Pete's Dragon).
Du coup, on se retrouve avec un monstre hybride. On a quelque chose qui se tient grace à certains combat et personnage (Andrew Koji fume tout le monde...Littéralement aussi). Et Iko Uwais bien que très secondaire apporte beaucoup. Avec un univers intéressant du clan Arashikage. Le personnage d'Akiko est aussi un très bel atout, l'actrice Haruka Abe apporte beaucoup au film et a son personnage.
Seulement, le tout est gâché par une Origin Story peu passionnante (et le perso de Golding assez fade). D'ailleurs, je comprends carrément Tommy (Koji) qui en devient presque le véritable antihéros du film. Autre point négatif, un trou géant en milieu de métrage, plus de rythme plus rien. Et bien sûr la moitié des combat gâché par la façon de filmer le tout.
Quelle déception. Tout de fois, j'ai quand même trouvé le tout distrayant et assez fun dans ce final (qui vire au fantastique) avec un Andrew Koji explosif, qui aurait dû avoir son propre film solo. La véritable star du film, c'est clairement lui. Et mine de rien, j'ai eu ce que je voulais. Donc le film ne se vautre pas totalement. Merci Andrew Koji.
Si le partis pris de rebotter la franchise plus sérieusement est un atout non négligeable, côté scénario ça reste toujours aussi peu emballant et Henry Golding n'a tout simplement pas les épaules pour être le personnage principal.