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jerome d
14 abonnés
535 critiques
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1,0
Publiée le 23 septembre 2021
un supplice a regarder !!! Sur 1h40, 1h15 a s'ennuyer grave suivit des 20 dernieres minutes avec un peu d'action,enfin... mais bon... Pour resumer un peu ma vision du film, je dirais que le scenariste a fait un cauchemard et en se reveillant, il s'est dit: tient je vais en faire un film, je note de suite sur un papier... En gros, ca ressemble a rien...
Nullissime et quasi incompréhensible. En fait je n'ai pas tout compris de l'histoire et ce n'est pas faute d'avoir essayé ! Que dire ? C'est brouillon, indigeste, grotesque avec des scènes qui oscillent entre le psychédélique et le nanars absolu. Si vous avez vraiment du temps à perdre et pas de mal de tête... Pourquoi pas !
Nicolas cage capable du meilleur comme du pire, même si il faut reconnaître que le meilleur est loin derrière, toutefois Joe et récemment Pig était tout de même correcte, le moins que l'on puisses dires c'est qu'il n'es pas fainéant. Ce Prisoners of ghostland est difficilement regardable, le premier quart d'heure, je me suis vraiment demandé qu'est-ce que c'était que cette infamie, tant les situations étaient ridicules, les dialogues perchés et le jeux d'acteurs ignobles, puis s'en suit nôtre Nicolas Cage s'en allant gaiement sur son vélo habillé de sa combi de cuir explosive accomplir sa mission, lueur d'espoir je me suis ca va décollé, et malheureusement non. Le film fera preuve de médiocrité tout du long à un point que s'en es consternant. Aucun sens au scénario, mise en scène déplorable, acteurs totalement en roues libres. Difficile de comprendre comment Cage qui a quand même connu de grands reals, films, puisse accepter une tel daube à la lecture du scénario, ces problèmes financiers a eux seuls ne peuvent expliquer de tels choix. Quoiqu'il en soit vous pouvez passer allègrement votre chemin vous ne perdrez absolument rien.
J'ai jamais mis de note aux films que j'ai vu, mais celui là mérite 0 même pas 0,5 ! C'est mon opinion subjective, mais pour moi, c'est une bouse cinématographique !!!!! Je ne sais pas s'ils avaient beaucoup de budget ou non, mais à un moment dans le film, il y a une rose, et ça se voit qu'elle est en plastique .... Enfin, j'attendais rien, et j'ai quand même été déçue !
Hero est un bandit solitaire fraichement sorti de prison par le gouverneur qui lui a promis la liberté s’il retrouvait sa fille adoptive. S’il venait à Hero de vouloir s’échapper, il s’autodétruirait puisque le gouverneur l’a affublé d’une combinaison en cuir explosive.
Il n’en fallait pas plus pour aiguiser l’appétit et émoustiller les fans de la première heure du réalisateur. Quand vous avez à l’affiche, un film de Sono Sion et Nicolas Cage dans le rôle-titre, inévitablement, le film se retrouve avec une hype d’enfer dès la parution du tout premier teaser. Une hype totalement injustifiée mais il faut croire qu’il en faut peu pour en exciter certains.
Tellement injustifiée qu’au bout des 5 premières minutes (!), j’ai bien dit 5, on découvre dans quel merdier on s’est fourvoyé. Le film avoisine les 120 minutes et on regrette déjà de s’être aventuré dans ce bordel filmique & halluciné. Un patchwork mêlant samouraï, western, post-apo, geishas & fantômes. Le tout, porté par un Nicolas Cage toujours aussi azimuté, engoncé dans sa combinaison explosive (une mini-bombe à chaque bras, une au cou et deux au niveau des testicules. Oh, qu’est-ce qu’on se marre ! *ironie*).
Prisoners of the Ghostland (2021) est une sorte de métastase accouchant d’un objet filmique en plein Japon féodal au cœur d’un village western, oscillant entre le post-apo à la Max Mad et le pinku eiga. Un melting-pot bordélico-foutraque, porté par un scénario consternant, pour ne pas dire chiant. En fin de compte, s’il fallait en retenir quelque chose, on pourrait se rabattre sur la superbe photo, de jolis décors et des cadres soignés (notamment dans le village des geishas), mais ce n’est pas ça qui va venir sauver le film du marasme dans lequel on s’est retrouvé.
A noter enfin, qu’il existe une version comic book édité chez Patriot Comic Books.
Difficile de ne pas être intrigué et excité à l'idée de voir Sion Sono et Nicolas Cage travailler ensemble. On ne présente plus le premier tandis que le second semble relever la tête depuis quelques films même si je ne les ai pas tous appréciés. Le réalisateur japonais n'a par contre pas écrit le scénario, ce qui est rare lorsqu'il est derrière la caméra et c'est ce qui explique surement certaines choses. "Prisoners of the Ghostland" est un fourre-tout pas possible, un gros bordel assumé. Un mélange des genres qui donne une sorte de western de science-fiction avec des samouraïs, le tout dans un univers post-apocalyptique. Au-delà du mélange des styles, on peut voir que de nombreuses cultures et époques différentes sont représentées. Des Samouraïs, des cowboys, des gens de notre époque, des personnes qui semblent tout droit venues d'un autre monde. Ça n'a vraiment aucun sens. Pour ce qui est de l'histoire, on suit le personnage de Nicolas Cage alors qu'il doit aller sauver une jeune femme prisonnière d'un monde étrange. Malheureusement, l'intrigue est aussi brouillonne que l'univers. Si la proposition est originale, "Prisoners of the Ghostland" est un film qui n'est jamais distrayant. En somme, ce n'est pas terrible du tout.