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DreamyFramesSeeker
10 abonnés
19 critiques
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2,5
Publiée le 18 novembre 2024
Ce film m’a intrigué par son esthétique audacieuse et ses décors sublimes. Samurai Town, un mélange improbable de traditions japonaises et d’influences occidentales, donne vie à un univers visuel frappant. Cependant, malgré cette richesse visuelle et l’ambition stylistique de Sion Sono, le rythme décousu et l’intrigue désordonnée peinent à captiver. Nicolas Cage est à la hauteur de son excentricité habituelle, mais le scénario manque de tension et d’impact. C’est une œuvre qui fascine autant qu’elle désoriente, mais l’absence de cohérence narrative laisse une impression mitigée, rendant l’ensemble plus fascinant à regarder qu’à apprécier pleinement.
Je crois que c'est la première fois de ma vie que je ne parviens pas à tenir jusqu'à la fin d'un film, le "on ne sait jamais, ça peut devenir intéressant", n'a pas été assez effort face à la médiocrité qui m'était exposée.
on se dis bon, c'est un univers apocalyptique ok, ça n'a ni queue ni tête ok, on ne comprend rien ok, c'est mal joué ok, ça fait genre mad max raté ok, mais peut être que tout ça va avoir un sens à la fin, que le dénouement va être grandiose, que le twist final va se révélé magistral, mais non ! même pas !
c'est la différence entre un bon réalisateur comme Terry Gilliam et celui de ce film, dont j'avoue que je n'irais même pas voir son nom, il faut avoir du génie pour faire des films comme celui ci et les réussir, là le génie n'est pas là ! et il n'arrive jamais !
une belle perte de temps inutile, y a tellement de meilleurs films perchés 1000 fois au dessus de celui-ci que je vous conseille de ne pas perdre votre temps comme j'ai perdu le miens
Sion Sono est un cinéaste fascinant et on a la garantie que le film qu'on va voir ne va ressembler à rien de connu. Je n'ai vu à ce jour qu'une minorité de ces œuvres et ça va du très bon au bof bof. Vu les retours critiques, "Prisoners of the ghostland" semble même atteindre l'horrible, mais j'ai quand même tenté le coup sachant que je verrais forcément quelque chose de très particulier. Et c'est vrai que c'est franchement pas terrible, le scénario est d'un ridicule total, mais il y a quand même quelque chose d'assez fascinant qui se dégage de ce chaos qui n'a ni queue ni tête. Si je ne peux pas dire que j'ai passé un bon moment devant "Prisoners of the ghostland", je ne peux pas dire que ça a été un calvaire. Toutefois je ne recommanderais à personne de voir ce film.
Univers complètement barré, anticonformiste, d'un genre totalement cauchemardesque dans le sens propre du terme .
On a l'impression de regarder un cauchemar sans queue ni tête sur un écran et non dans notre sommeil , et pour ça c'est juste grandiose .
Si vous regardez ce film avec des lunettes bien propres de pseudo critique cinématographique bien rangé au col repassé , passez votre chemin , vous ne comprendrai pas les 95% du film . Si vous le regardez avec des lunettes qui voient a travers les lignes vous vous verrez la qualité de ce film sorti directement des songes .
Mais restons réaliste ce n'est pas un film pour tout le monde.
mal joué, tt es bizarre au pont de ne pas réussir à être captiver tellement c est mauvais ,tin j avais pas le souvenir de Nicolas Cage si mauvais, une daube
Prisoners of the Ghostland est un film réalisé par Sion Sono et sorti en 2021. Ce long métrage complètement barré est agréable à suivre. Ses principales qualités sont la photographie, superbe, avec des décors somptueux, ainsi que des scènes de combat (notamment dans le dernier tiers du film) qui sont vraiment bien chorégraphiées et prenantes. Il faut également noter le one-man-show délivré par Nicolas Cage, qui agrémente son personnage de touches d'humour qui font du bien dans ce film (spoiler: notamment son départ en vélo pour retrouver Sofia Boutella ou encore l'exposition de son testicule à cause de sa combinaison ). En revanche, le film souffre d'un scénario brouillon et d'une narration qui vient parfois casser le rythme du métrage qui aurait mérité un grain de folie supplémentaire pour aller au bout du délire ainsi que de certains acteurs légèrement en surjeu qui peuvent agacer (notamment le Gouverneur). C'est un divertissement intéressant à regarder pour les fans de Nicolas Cage et/ou de Sion Sono. Les autres trouveront ça nanardesque.
On le sait depuis quelques années maintenant, la présence de Nicolas Cage dans le casting d'un film est plutôt un mauvais présage. Toutefois, un autre nom m'intrigue ici: celui du cinéaste japonais Sion Sono. Voici une alliance des plus curieuses. Le résultat de cette collaboration est malheureusement catastrophique.
Commençons par l'unique point positif de ce "Prisoners of the Ghostland": son esthétique visuelle. C'est bien le seul élément qui permet de le distinguer ce long métrage d'une série Z lambda. Le reste n'est qu'une vaste blague. J'en ai vu des films mauvais et ridicule dans ma vie mais rares sont ceux qui ont réussi à me mettre autant mal à l'aise avec un nombre impressionnant de scènes gênantes. Les acteurs jouent comme des pieds, l'intrigue s'embourbe dans des directions faussement alambiques mais vraiment brouillonnes, le ton décalé n'est absolument pas maîtrisé et les longueurs se font cruellement ressentir.
Un calvaire ! Ne faites pas comme moi à vous infliger cette épreuve !
Ce film semble indiquer que Nicholas Cage est sans doute frappé par la même maladie que Bruce Willis, et que ses héritiers comme ceux de Bruce Willis prostituent jusqu’à la corde leurs géniteurs pour en récupérer le maximum avant une fin définitive … il y a tant à dire qu’on ne sait par où commencer…le jeu est absent, on a oublié de recruter le scénariste, c’est un traquenard pour quiconque aime le cinéma. Si vous avez déjà filmé un anniversaire ou une fête de l’école sur votre vieux caméscope, méfiez vous vous pourriez vous imaginer réalisateur après avoir vu cette daube.
Sion Sono, réalisateur punk, contempteur de la modernité japonaise sous couvert de films fauchés appartenant autant à la sphère dramatique qu’à celle du Genre et de l’érotisme, est quelqu’un de difficile à suivre mais il est fréquent que ses films laissent une forte impression par leur radicalité. Pour une première expérience américaine, il coulait de source qu’un réalisateur de l’extrême ne pouvait que s’associer avec l’acteur de l’extrême qu’est Nicolas Cage. Pour une fois nanti de moyens confortables - même le Bis américain est plus friqué que le blockbuster japonais - Sono s’adonne cette fois à quelque chose de plus ludique, qui en dit moins et qui en fait plus, une sorte de’ New york 1997’ revisité par un Japonais dingue. J’aurais aimé être enthousiaste car je fait partie de ceux qui ont conservé quelques uns de ces fameux souvenirs des anciens films de Sion Sono, qu’il s’agisse de ‘Suicide club’ ou de ‘Love exposure’. En outre, l’univers envisagé, entre western post-apo, chambarâ et sentaï, s’il ne transpire pas l'aisance technique et financière, n’en restait pas moins très intéressant car résolument improbable, et on peut compter sur quelques idées bien tarées - et parfois bien irritantes - de Sono pour égayer l’atmosphère. Malheureusement, ces bases intéressantes sont au service d’un script rigoureusement incompréhensible, en dehors de sa structure de départ (“héros sauve meuf dans univers bizarre”). C’est bien simple, j’ai essayé, me suis endormi, ai retenté l’affaire, succombé à nouveau et ai laissé tomber sans pouvoir déterminer s’il y avait une structure globale pas franchement passionnante ou si le film fonctionnait sur une sorte de flux de conscience sous acide. C’est dommage car Nicolas Cage était bon, bon comme peut l’être un acteur de calibre supérieur égaré dans un casting de figurants et de cachetonneurs et qu’il avait, pour une fois, été traité par un coiffeur qui respecte le cheveu.
À la fois, délire décousu et délice graphique abondant. On pense immédiatement à Turbo Kid lorsque Héro enfourche son vélo, mais on s'aperçoit trop vite qu'il ne sait pas où il doit se rendre. Ghostland est ainsi fait; De petits bouts édulcorés et de gros pansements via son découpage disgracieux. Un N.Y97 onirique grossier.
spoiler: Vous aimez les boules de chewing gum de toutes les couleurs ? Juste parce que c'est beau à voir, vous êtes prêt à regarder une machine se faire exploser sous tous les angles pendant au moins 1minutes ? On dit que le ridicule ne tue pas mais là à elle seule cette scène représente tout le nanar qu'est le film. Les personnages n'ont pas de saveur, et c'est mal joué.