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1,5
Publiée le 20 septembre 2021
Nicolas cage capable du meilleur comme du pire, même si il faut reconnaître que le meilleur est loin derrière, toutefois Joe et récemment Pig était tout de même correcte, le moins que l'on puisses dires c'est qu'il n'es pas fainéant. Ce Prisoners of ghostland est difficilement regardable, le premier quart d'heure, je me suis vraiment demandé qu'est-ce que c'était que cette infamie, tant les situations étaient ridicules, les dialogues perchés et le jeux d'acteurs ignobles, puis s'en suit nôtre Nicolas Cage s'en allant gaiement sur son vélo habillé de sa combi de cuir explosive accomplir sa mission, lueur d'espoir je me suis ca va décollé, et malheureusement non. Le film fera preuve de médiocrité tout du long à un point que s'en es consternant. Aucun sens au scénario, mise en scène déplorable, acteurs totalement en roues libres. Difficile de comprendre comment Cage qui a quand même connu de grands reals, films, puisse accepter une tel daube à la lecture du scénario, ces problèmes financiers a eux seuls ne peuvent expliquer de tels choix. Quoiqu'il en soit vous pouvez passer allègrement votre chemin vous ne perdrez absolument rien.
Hero est un bandit solitaire fraichement sorti de prison par le gouverneur qui lui a promis la liberté s’il retrouvait sa fille adoptive. S’il venait à Hero de vouloir s’échapper, il s’autodétruirait puisque le gouverneur l’a affublé d’une combinaison en cuir explosive.
Il n’en fallait pas plus pour aiguiser l’appétit et émoustiller les fans de la première heure du réalisateur. Quand vous avez à l’affiche, un film de Sono Sion et Nicolas Cage dans le rôle-titre, inévitablement, le film se retrouve avec une hype d’enfer dès la parution du tout premier teaser. Une hype totalement injustifiée mais il faut croire qu’il en faut peu pour en exciter certains.
Tellement injustifiée qu’au bout des 5 premières minutes (!), j’ai bien dit 5, on découvre dans quel merdier on s’est fourvoyé. Le film avoisine les 120 minutes et on regrette déjà de s’être aventuré dans ce bordel filmique & halluciné. Un patchwork mêlant samouraï, western, post-apo, geishas & fantômes. Le tout, porté par un Nicolas Cage toujours aussi azimuté, engoncé dans sa combinaison explosive (une mini-bombe à chaque bras, une au cou et deux au niveau des testicules. Oh, qu’est-ce qu’on se marre ! *ironie*).
Prisoners of the Ghostland (2021) est une sorte de métastase accouchant d’un objet filmique en plein Japon féodal au cœur d’un village western, oscillant entre le post-apo à la Max Mad et le pinku eiga. Un melting-pot bordélico-foutraque, porté par un scénario consternant, pour ne pas dire chiant. En fin de compte, s’il fallait en retenir quelque chose, on pourrait se rabattre sur la superbe photo, de jolis décors et des cadres soignés (notamment dans le village des geishas), mais ce n’est pas ça qui va venir sauver le film du marasme dans lequel on s’est retrouvé.
A noter enfin, qu’il existe une version comic book édité chez Patriot Comic Books.
De Sion Sono j’ai vu le complètement barré Tokyo Tribe et puis il y avait Nicolas Cage en tête d’affiche je me suis dis pourquoi pas. C’est plutôt pas! Car clairement mis à part un vrai soin apporté aux décors et une bonne utilisation de ces derniers par le réalisateur pour donner un peu de relief au film il n’y a pas grand chose qui va. Nicolas Cage ne semble pas savoir ce qu’il doit faire et d’ailleurs le film donne l’impression de ne jamais savoir où il va et multiplie les scènettes pour arriver à durer une heure vingt avant d’expédier un final d’une dizaine de minutes qu’on a déjà dû voir une centaine de fois ailleurs. Bref ça ressemble plus à du Dtv alimentaire dont Cage nous habitue depuis des années qu’à une variation originale de New-York 1997 auquel il fera immanquablement penser.
un supplice a regarder !!! Sur 1h40, 1h15 a s'ennuyer grave suivit des 20 dernieres minutes avec un peu d'action,enfin... mais bon... Pour resumer un peu ma vision du film, je dirais que le scenariste a fait un cauchemard et en se reveillant, il s'est dit: tient je vais en faire un film, je note de suite sur un papier... En gros, ca ressemble a rien...
Difficile de ne pas être intrigué et excité à l'idée de voir Sion Sono et Nicolas Cage travailler ensemble. On ne présente plus le premier tandis que le second semble relever la tête depuis quelques films même si je ne les ai pas tous appréciés. Le réalisateur japonais n'a par contre pas écrit le scénario, ce qui est rare lorsqu'il est derrière la caméra et c'est ce qui explique surement certaines choses. "Prisoners of the Ghostland" est un fourre-tout pas possible, un gros bordel assumé. Un mélange des genres qui donne une sorte de western de science-fiction avec des samouraïs, le tout dans un univers post-apocalyptique. Au-delà du mélange des styles, on peut voir que de nombreuses cultures et époques différentes sont représentées. Des Samouraïs, des cowboys, des gens de notre époque, des personnes qui semblent tout droit venues d'un autre monde. Ça n'a vraiment aucun sens. Pour ce qui est de l'histoire, on suit le personnage de Nicolas Cage alors qu'il doit aller sauver une jeune femme prisonnière d'un monde étrange. Malheureusement, l'intrigue est aussi brouillonne que l'univers. Si la proposition est originale, "Prisoners of the Ghostland" est un film qui n'est jamais distrayant. En somme, ce n'est pas terrible du tout.
Dans la catégorie debile et n importe quoi Nicolas Cage marque à nouveau des points. Cette fois la dimension d une autre dimension est assumée... certes ... mais ça reste un nanar intersidéral. Si vous voulez voir un film surnaturel sur un ensemble de points, pas déçu du voyage... en revanche on est très loin du 'bon' film d'action avec un scénario qui a du sens ... on ne peut qu imaginer que nous restons dans les séries des mauvais films de cet acteur lui permettant de maintenir (on ne sait comment) son train de vie ou de payer ses impôts
Y a une petite ambiance non pas anxiogène mais joliment bizarre. Et puis "Prisoners Of The Ghostland" ne cherche pas du tout à être anxiogène. L'histoire démarre très bien mais plus le film avance plus ça tangue entre un récit bon et mauvais qui devient parfois répétitif sans être ennuyeux. Les personnages sont d'un cliché sans intérêt. Les musiques accompagnent moyennement le long-métrage, je m'attendais vraiment à une bande-son incroyablissime... Les dialogues se superposent avec un peu de mal mais il y a une petite "lumière" qui aide les dialogues à être meilleurs. Il y a des effets spéciaux bobs mais d'autres faisant très "latex" si vous voyez ce que je veux dire. Nicolas Cage est toujours très bon dans son habituel rôle d'homme sérieux censé faire rire. Sofia Boutella m'a à peu près convaincu.
Pour être anticonformiste c'est vraiment anticonformiste ! Ça fait du bien de sortir du "politiquement" (cinematografiquement ?) correcte. C'est comme une super gnôle, on secoue la tête en s'exclamant: put... elle est bonne celle là !
On le sait depuis quelques années maintenant, la présence de Nicolas Cage dans le casting d'un film est plutôt un mauvais présage. Toutefois, un autre nom m'intrigue ici: celui du cinéaste japonais Sion Sono. Voici une alliance des plus curieuses. Le résultat de cette collaboration est malheureusement catastrophique.
Commençons par l'unique point positif de ce "Prisoners of the Ghostland": son esthétique visuelle. C'est bien le seul élément qui permet de le distinguer ce long métrage d'une série Z lambda. Le reste n'est qu'une vaste blague. J'en ai vu des films mauvais et ridicule dans ma vie mais rares sont ceux qui ont réussi à me mettre autant mal à l'aise avec un nombre impressionnant de scènes gênantes. Les acteurs jouent comme des pieds, l'intrigue s'embourbe dans des directions faussement alambiques mais vraiment brouillonnes, le ton décalé n'est absolument pas maîtrisé et les longueurs se font cruellement ressentir.
Un calvaire ! Ne faites pas comme moi à vous infliger cette épreuve !
Ma première incursion dans la filmographie du réalisateur japonais Sion Sono et un film dont je n'attendais rien et qui ne m'avait attiré que pour la présence au casting de Nicolas Cage et Sofia Boutella. Même ainsi, un long-métrage totalement barré, franchement bordélique mélangeant horreur, western et film de samouraïs et vaguement inspiré par "New York 1997" de John Carpenter pour son anti-héros envoyé dans une contrée mystérieuse et hostile pour une mission de récupération. Un véritable OVNI cinématographique sans consistance ni ligne directrice, indigeste et ennuyeux à part un dernier segment plus intéressant. Une sensation désagréable, plus embarrassante que dérangeante, d'une nullité affligeante.
Je viens d arrêter le film j'ai tenus 45 minutes... Mais bon sang c est quoi ce truc... Ca n a ni queue ni tête, cage est impeccable comme souvent, mais l univers est too much dans le mauvais sens du therme... Je n ai pas réussis à kiffer la moindre minute su film, les combats sont ridicules également... Grosse déception alors que la bande annonce promettait un truc de ouf...
Sion Sono est un cinéaste fascinant et on a la garantie que le film qu'on va voir ne va ressembler à rien de connu. Je n'ai vu à ce jour qu'une minorité de ces œuvres et ça va du très bon au bof bof. Vu les retours critiques, "Prisoners of the ghostland" semble même atteindre l'horrible, mais j'ai quand même tenté le coup sachant que je verrais forcément quelque chose de très particulier. Et c'est vrai que c'est franchement pas terrible, le scénario est d'un ridicule total, mais il y a quand même quelque chose d'assez fascinant qui se dégage de ce chaos qui n'a ni queue ni tête. Si je ne peux pas dire que j'ai passé un bon moment devant "Prisoners of the ghostland", je ne peux pas dire que ça a été un calvaire. Toutefois je ne recommanderais à personne de voir ce film.
À la fois, délire décousu et délice graphique abondant. On pense immédiatement à Turbo Kid lorsque Héro enfourche son vélo, mais on s'aperçoit trop vite qu'il ne sait pas où il doit se rendre. Ghostland est ainsi fait; De petits bouts édulcorés et de gros pansements via son découpage disgracieux. Un N.Y97 onirique grossier.
Un film post-cataclysmique qui semble sorti d'un autre âge du type Mad Max. Autant la mégalomanie d'un certain goût artistique décadent sinon démentiel, que l'empreinte japonaise et celle du western américaniste, le méchant a tout du général sudiste vicieux ou le goût prononcé pour le gore font un méli mélo qui a peu de chance de plaire sinon à des fans du réalisateur ou de celui ou ceux qui sont à l'origine de ces délires. C'est une forme d'art dans le plus mauvais sens du terme tellement naïf dans son inconséquence que ce n'est même pas mauvais respectant certains codes assez convenus tel un Nicolas Cage mis en vedette avec quelques acolytes d'occasion dans un pseudo manichéisme au mysticisme opaque et une populace plutôt amorphe omniprésente dans une présentation débilitante, cela c'est très moderniste, qui réagit béatement à une oppression ou un désir de liberté.