AlloCiné
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Votre avis sur The Silencing ?
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Il y a eu tellement de facilités dans l'intrigue et d'actions non motivées et de décisions stupides des personnages. Et même quelques incohérences flagrantes dans le scénario qui sont impossibles dans cette histoire. Malheureusement la performance certes décente de Nikolaj Coster-Waldau n'a pas pu sauver le film. J'ai également été très déçu par la performance d'Annabelle Wallis que j'avais beaucoup apprécié dans Peaky Blinders. Elle parvient à avoir l'air de s'ennuyer alors qu'elle tient un tueur en joue. Le shérif leur tire dessus afin de protéger celui qu'elle pensait bêtement être son frère. La nouvelle se répand mais rien ne lui arrive et soudain Nikolaj Coster-Waldau et elle deviennent bizarrement partenaires pour essayer de trouver le vrai tueur ce qui n'a aucun sens. Le seul point positif de The Silencing est la beauté de ses paysages...
Le film est prenant mais beaucoup trop d'incohérences .
spoiler: Le blessé d'une balle dans le ventre qui va mieux dès la séquence suivante. La shérif qui tire sur le héros et n'est pas inquiété. Et on ne saura jamais pq le tueur mutile ses victimes à la gorge.
spoiler: Le blessé d'une balle dans le ventre qui va mieux dès la séquence suivante. La shérif qui tire sur le héros et n'est pas inquiété. Et on ne saura jamais pq le tueur mutile ses victimes à la gorge.
Ce film n'a absolument aucun sens. Les twists sont improbables et alambiqués. Le scénariste raccroche bien piètrement les wagons. Les explications sur les motivations du tueur sont l'exact contraires de convaincantes.
spoiler:
On ne sait pas pourquoi il mutile ses victimes à un endroit spécifique. La shérif tire sur un gars mais ressort libre
. Euuuh what the f*ck ?! Mal conçu, mal ficelé, mal fini. A fuir absolument
. Euuuh what the f*ck ?! Mal conçu, mal ficelé, mal fini. A fuir absolument
FaRem
Rayburn, un chasseur repenti à la recherche de sa fille disparue, est témoin d'une scène où une femme est pourchassée dans la forêt par un homme. Alors que la ville est secouée par une série de disparition, il n'y pense pas à deux fois et se lance à la poursuite de cet homme... "The Silencing" est un petit polar sympathique qui tient en haleine jusqu'au bout. Sur la forme, le film n'est pas aussi maitrisé que pouvait l'être "D'Ardennen", le premier film de Robin Pront puisqu'il y a moins de tension et que l'ambiance est moins pesante, mais c'est suffisamment bien fait pour être plaisant à suivre. Cependant, l'histoire fait plus penser à une intrigue d'une série policière type "Esprits criminels" qu'à celle d'un film de 90 minutes. Les raccourcis sont nombreux dans le scénario de Micah Ranum, au même titre que les facilités, mais rien de très grave. Ce n'est pas un film inoubliable, mais "The Silencing" est un thriller qui est pas plutôt pas mal.
Un bon polar avec ses nombreux défauts mais qui tient en haleine tout le long. La durée certainement trop courte donne des cicatrisations express, des rencontres fortuites, des raccourcis ou des non réponses à gogo. Si ca faiblesse reste la mise en scène, le scénario lui tient sacrément bien la route. 3/5 !!!
Un bon petit polar, simple et efficace. Ne pas rechercher une intrigue alambiquée. "The silencing" fait partie de ces films qui, tout en étant de bonne facture, ne se démarque pas par une imagination débordante. C'est du classique mais ça tient assez bien la route pour assurer un minimum de divertissement. A noter l'excellente prestation de Nikolaj Coster-Waldau.
Une chasse à l'homme associée à une enquête plutôt réussie, l'histoire a une intrigue assez forte et on a pas le temps de s'ennuyer. Plusieurs rebondissements la rendent intéressante et haletante. Les personnages sont charismatiques et jouent bien, voilà une bonne soirée en perspective!
Un bon petit film, tournée dans des beaux paysages, une histoire qui tient la route jusqu'au dénouement...
Du très très classique film de serial killer sur fond d'homme meurtri portant une ancienne blessure familiale, le tout servi par un excellent Coster-Waldau (qui vaut décidément bien mieux que simple "ancien de GOT") et la parfaite Annabelle Wallis. Sinon, bon ben on a déjà vu tout ça mille fois, souvent en mieux, aucune originalité et il n'y a pas de quoi se relever la nuit mais on passe quand même un bon moment.
Etonnant comme une recette trop bien maîtrisée, dans un cadre trop familier, en arrive à ne plus être la garantie d'une soirée ciné ordinaire mais réussie et serait plutôt du genre à faire pousser un soupir las. Dans 'The silencing', tout est bien rangé à la bonne place : l'homme solitaire et taciturne, jamais remis de la disparition de sa fille ; la shérif récemment promue trop soucieuse de bien faire, au point de couvrir les conneries de son frangin le kassos, le tueur masqué qui chasse ses victimes comme si elles n'étaient que du petit gibier,...il n'y a rien à redire à la mise en scène, tendue et efficace, ni au choix des acteurs (quoique certains aient pu de prime abord sembler un peu fades pour leurs rôles, mais tous s’en tirent finalement très honnêtement) et, si on pense avoir démêlé toute l'intrigue au bout d'une demi-heure, le scénario se charge de vous balader sur quelques fausses pistes et voies de garage avant de se résoudre à abattre ses cartes. Qu'est ce qui coince avec 'The silencing', alors ? Rien. C'est un polar de bonne facture, de la “qualité américaine”. C'est juste que voici quelques années, Robin Pront, réalisateur belge prometteur, avait vraiment séduit avec son polar poisseux 'D'Ardennen' : on avait beau n'en être séparé que de quelques dizaines de kilomètres, les décors et les figures de la nuit anversoise ou des Ardennes reculées dégageaient une étrange sensation d'exotisme et de mystère...alors que ces grandes forêts du nord-ouest américain, ces flics, ces fermiers bourrus et ces trafiquants de meth, que je ne rencontrerai jamais de toute mon existence, j'ai l'impression de les connaître par coeur.
Vu The Silencing avec Nikolaj Coster-Waldau c'est pas le film de l'année sa reste assez brouillon voir même des incohérences mais sa reste un Thriller juste qu'il faut pour être efficace ⭐⭐
Le film n'est pas franchement mauvais, car on a envie de connaitre le chasseur/tueur. Mais il y a énormément de situations illogiques et de réactions invraisemblables. L'ensemble de ces attitudes aberrantes et absurdes décrédibilisent ce film. Néanmoins on ne lâche pas prise, donc le réalisateur a plus ou moins correctement fait le job.
Petit thriller à l'ambiance brumeuse et humide , presque glauque.... Le scénario a des airs de déjà vu et le héro Nikolaj Coster-Waldau
spoiler:
se remet bien vite d'une blessure par balle , il porte même une personne sur des km
.... Mais une enquête dans le milieu forestier ,entourés de chasseurs bien ruraux, ça coure pas les rues ni les écrans .... Il y a des facilités : spoiler: (comment la flic sait où retrouver Rayburn enlevé par le tueur dans cette forêt ? )
et la fin est un peu rapide , spoiler: "on est quitte"
. je rigole en lisant des commentaires spoiler spoiler ! , spoiler: le meurtrier n'est pas inconnu c'est le légiste qu'on voit dés la 10ième minute et il opère ses victimes pour les rendre muettes
... point
.... Mais une enquête dans le milieu forestier ,entourés de chasseurs bien ruraux, ça coure pas les rues ni les écrans .... Il y a des facilités : spoiler: (comment la flic sait où retrouver Rayburn enlevé par le tueur dans cette forêt ? )
et la fin est un peu rapide , spoiler: "on est quitte"
. je rigole en lisant des commentaires spoiler spoiler ! , spoiler: le meurtrier n'est pas inconnu c'est le légiste qu'on voit dés la 10ième minute et il opère ses victimes pour les rendre muettes
... point
C’est un polar qui tient en haleine sans briller par son scénario ou son interprétation. Nikolaj Coster-Waldau (Jaime Lannister dans Game of Thrones) fait le job, c’est classique et efficace, comme les scènes de forêt. Des invraisemblances ternissent cependant le scénario.
Les images et Nikolaj Coster-Waldau rendent le film interessant. L'intrigue, sans etre mauvaise, manque de travail. Le tout donne un film moyen et assez interessant pour le regarder jusqu'au bout. C'est deja ca.
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