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    Casablanca
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    341 critiques spectateurs

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    cylon86
    cylon86

    2 509 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2016
    C'est bien simple, qu'on l'aime ou non, "Casablanca" représente la quintessence du cinéma hollywoodien romantique, ici dans toute sa splendeur. C'est quand même l'histoire folle d'un film que personne n'avait prévu aussi marquant : il y a eu des changements de casting, de réalisateur et le scénario évoluait au fur et à mesure du tournage. Et pourtant le résultat est là, grandiose. Dans le fourmillement du cinéma hollywoodien, "Casablanca" est assurément l'un des classiques à ne pas manquer. On pourrait passer en revue toutes ses qualités, cela ne suffirait pas à donner une idée du résultat final, œuvre de propagande regorgeant de thèmes universels, de personnages riches et attachants venant transcender ce qui n'était finalement qu'un film de plus dans l'effort de guerre du cinéma américain. Et pourtant "Casablanca" est tellement plus. Humphrey Bogart a beau avoir tourné "Le Faucon maltais" un an avant, c'est ici que naît son mythe. Romantique désabusé, il se cache sous un vernis de cynisme mais n'en est pas moins un grand sentimental, prêt à aider ceux qui viennent à son café. Évidemment, la beauté d'Ingrid Bergman viendra chambouler toute cette routine de volutes de fumée, de magouilles et de derniers verres avant d'aller dormir. Elle vient rappeler à Rick/Bogey une autre époque, celle où le bonheur existait. Drame romantique dont on ne se lasse pas, "Casablanca" dégage un charme fou, renforcé par la magnifique photographie en noir et blanc, par la savante mise en scène de Michael Curtiz, technicien hors-pair, par la richesse de ses dialogues et de ses personnages. Il n'y a rien de trop dans le film, tout est impeccable jusque dans les moindres seconds rôles, de Claude Rains à Peter Lorre en passant par Sidney Greenstreet. On a rarement fait mieux à Hollywood et pour cause, personne n'a su comment reproduire le tour de magie qui s'est produit sur le tournage du film.
    gregnalex
    gregnalex

    2 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 août 2008
    Je m'attendais à un grand film et j'ai été déçu.

    Le film a sûrement beaucoup vieilli mais le scénario m'a ennuyé malgré une ambiance intéressante.
    Misoramengasuki
    Misoramengasuki

    63 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mai 2014
    On peut pinailler sur pas mal de choses. Le scénario qui pédale parfois dans la semoule (mais qui est solide dans ses grandes lignes), le côté héroïque assez pesant (on est en pleine guerre); un Paul Henreid falot. Mais toutes ces réserves s'évanouissent en deux secondes dès que l'on voit Bogart débarquer avec sa veste blanche et sortir deux répliques de son ton sarcastique. Et quand Ingrid Bergman apparaît dans sa robe blanche et que retentissent les notes de "As time goes by", le temps s'arrête. On est là, bouche bée et les larmes aux yeux, devant cet instant d'éternité du cinéma hollywoodien: les notes de piano qui s'égrènent, la voix de Dooley Wilson, cette femme d'une classe et d'une beauté inimaginables, sublimée par la magnifique photo d'Arthur Edeson. Et face à elle, Bogie, sa douleur, son cynisme, sa violence de façade... Un moment de grâce absolue, de ceux qui ont fait l'histoire du septième art. On peut ajouter que Claude Rains est remarquable, peut-être le seul élément authentiquement dans l'esprit français d'un film qui véhicule beaucoup de clichés; et que Michael Curtiz n'a pas volé son Oscar de meilleur réalisateur. Mais encore une fois: "You must remember this / a kiss is just a kiss / a sigh is just a sigh / the fundamental things apply / as time goes byyyyyy" et les yeux d'Ingrid, forever.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 juillet 2008
    Un film sur la seconde guerre mondiale, pendant celle-ci et qui annonce la défaite du nazisme et une bouteille d'eau de Vicht symboliquement jeté à la poubelle, Casablanca est un film mythique, il restera toujours un des chefs d'oeuvre du septième art.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 juillet 2008
    Un film culte, avec l'une des plus belles histoires d'amour du cinéma, incarnée par de fantastiques acteurs. Plus de soixante ans après, ce film reste d'une beauté inouie, et un grand classique du cinéma. Peu importe que ce soit la première ou la centième fois que l'on regarde ce film, l'émotion reste intacte, la beauté originale de ce film aussi...
    SYNEPHIL
    SYNEPHIL

    47 abonnés 1 134 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 juin 2008
    Une des + belles histoires d'amour du cinema avec un couple mythique qui illumine l'ecran de tout son talent.Le contexte de la seconde guerre mondiale et toutes les tensions qui en decoulent est un parfait ecrin pour developper cette love story sur fond de patriotisme .Il faut quand meme bien reconnaitre que cette oeuvre n'atteint des sommets que lors de la presence des 2 "stars" car malgré le talent du reste du casting ,cette histoire de visas volés n'a rien de tres exceptionnelle mais les scenes du couple illegitime sont d'une telle puissance et d'une beauté sans egale (merci au noir et blanc somptueux ,a l'eclairage magique des visages et aux violons qui bercent ces instants de grace) Bogart dans son imper ou son smoking blanc et Bergman le regard empli de larmes ,le tout sur l'air de la marseillaise ,ca fait definitivement partie de ces grands moments magiques qui font aimer le cinema et toutes les emotions qu'il procure.
    Appeal
    Appeal

    156 abonnés 569 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 juillet 2012
    Film de propagande alliés pendant la seconde guerre mondiale, Casablanca est resté, encore aujourd'hui. Très bien considéré au point même qu'il soit le second film pour lequel les cinéphiles mentent le plus souvent (classement établis a propos des gens qui déclarent avoir vu des films qu'ils n'ont pas vus), le film est également considéré comme le 3ème plus grand chef d'oeuvre de tout les temps selon l'American Film Institute. Tant de statistiques cachent-elles quelque chose? Non, au contraire. Casablanca est un film qui mérite en effet une grande considération. Tout comme Le Dictateur de Chaplin, Casablanca est un film réalisé pendant la seconde guerre mondiale qui évoque la seconde mondiale. A la différence du premier, celui-ci n'adopte pas une position comique ou satirique mais s'avère très hollywoodien mais aussi très réaliste, si bien Casablanca a très bien vieillit et reste sur le fond très crédible contrairement au premier. L'histoire prend place dans la ville marocaine dirigé par le régime de Vichy. Casablanca est alors une ville recherché pour permettre aux européens d'obtenir un visa pour le Portugal et ainsi partir pour les Etats-Unis. Se déroulant quasi dans le huis-clos du Rick's Café, une boite de nuit tenue par un américain qui vivait en France avant l'occupation, le lieu accueil une clientèle cosmopolite, où se côtoie représentants français et nazi, mais aussi résistants, réfugiés espérant un visa pour les Etats-Unis et locaux de Casablanca. Rick, le propriétaire, ex engagé dans des causes comme la guerre d'Espagne contre les fascistes, est un homme amer et rangé ne pensant plus qu'à son business, se mêlant guère des affaires se déroulant dans sa boite. Jusqu'au jour où Ilsa, une femme dont il était tombé éperdument amoureux, débarque accompagné de son mari Victor, grand resistant tchèque, deux ans après s'être quitté. Ceux-ci souhaitent se rendre aux Etats-Unis pour poursuivre le combat contre les nazis, mais ne peuvent obtenir leur visa à cause d'un imprévu. Seul Rick peut leur permettre de gagner le vol, mais si ils les aident, il perdra une nouvelle fois l'amour de sa vie, Ilsa. La force incroyable de ce film vient de son couple a l'écran, l'un des plus mythiques du cinéma, Humphrey Bogart et Ingrid Bergman. Cette dernière est sublime et gracieuse, émouvante; Bogart lui, dégage un charisme extraordinaire en homme amer ironique et classieux. Superbement écrit, le scénario et les personnages tournent autour de la contradiction entre amour et engagement, mais d'une façon bien plus complexe qu'il pourrait y paraître, abordant à la fois de grands thèmes humains avec beaucoup de nuances et thèmes politiques. Certaines scènes sont grandioses, notamment la scène du chant de la Marseillaise, qui nous transporte par sa puissance et son engagement. Et l'intérêt porté aux résistants, surtout ceux de la France Libre, et cela en temps de guerre, nous passionne. Mieux encore, Casablanca n'a pas pris une ride (hormis pour la qualité de la bande sonore), de part la classe éternelle du couple à l'écran mais aussi des dialogues, remplis d'humour noir et éminemment engagés qui le compose.
    Yoloyouraz
    Yoloyouraz

    34 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 juin 2008
    Superbement photographié et interprété, ce cliché de Casablanca est comme une image inoubliable.
    Julien D
    Julien D

    1 196 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mai 2013
    Ce chef d’œuvre est avant tout un grand moment de cinéma rocambolesque de par sa création. Imaginez en effet un grand réalisateur partir, en pleine seconde guerre mondiale, dans une zone particulièrement politiquement instable avec de grands acteurs. Après ça, l'écriture de son scénario se fera jour après jour en faisant face aux autorités locales de cette colonie de la France occupée en représentant parfaitement la vie commune difficile entre français libres et soldats allemands tout réussissant à mêler habilement les genres, naviguant sans baisse de rythme entre le thriller d’espionnage, le drame passionné et le film noir. Michael Curtiz y filme avec virtuosité des scènes inoubliables dans lesquelles les interprétations de Humphrey Bogart, d'Ingrid Bergman et de Claude Rains sont justes plus que jamais, rendant leurs personnages irrésistibles, en particulier dans sa mythique conclusion tout bonnement bouleversante.
    dougray
    dougray

    238 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2016
    Classique des classiques du 7e art, "Casablanca" ne m’avait jamais paru plus attrayant que ça, malgré une iconographie très reconnaissable et une place dans le Panthéon des cinéphiles qui avait un peu tendance à titiller ma curiosité. Et je ne peux, aujourd’hui, que comprendre l’admiration qu’on peut avoir pour ce "Casablanca" qui est, effectivement, un petit bijou ! Pour peu qu’on accepte de laisser de côté les travers un peu vieillots du film (à commencer par les dérapages romantico-gnagnan avec sa musique qui s’envolent et ses flash-backs poussiéreux), on ne peut qu’être transporté par l’exotisme d’une intrigue qui nous ramène en pleine Seconde Guerre Mondiale dans un lieu inhabituel, qui parait loin du conflit mais où on croise des Nazis à chaque coin de rue et, accessoirement, un lieu de transit privilégié pour les résistants désireux de rejoindre les Etats-Unis. Ce cocktail explosif met instantanément le film sous tension (et ce dès les premières minutes) et aurait pu être traité de façon assez académique… si les scénaristes n’y avait pas greffé une histoire d’amour et, surtout, un choix cornélien qui va s’offrir au héros, Rick Blaine. Et, là encore, l’histoire aurait pu rester assez convenue si elle n’avait pas été traité sous l’angle cynique et désabusé de cet expatrié américain campé par un Humphrey Bogard tout simplement époustouflant ! L’acteur incarne à lui seul toute la cool attitude, qui a, depuis, été si souvent imité, avec sa cigarette constamment allumée, son intégrité morale dépourvue de tout militantisme politique, son refus de se laisser aller à la moindre émotion, son regard détaché ou encore sa classe de chaque instant (ah le costume blanc). Bogard bouffe, donc, l’écran, mais il se trouve un compagnon de jeu tout aussi impressionnant en la personne du génial Claude Rains dans le rôle du Capitaine vichyste Renault. Ce personnage est l’opposé parfait du héros (opportuniste, épicurien, menteur…) mais est tellement conscient de ce qu’il est qu’il réussit, par un incroyable tour de passe-passe, à être monstrueusement sympathique aux yeux du public. Il faut dire qu’il représente une certaine "tolérance" française face aux pratiques locales en opposition à la rigueur allemande, ce qui n’est pas anodin en 1942, lorsque le film est sorti. L’évolution de chacun de ces deux personnages est un modèle d’écriture et démontre que les films des années 40 pouvait être riches sur le plan de la complexité des personnages. spoiler: A ce titre, la scène finale ("je crois que ceci est le début d'une merveilleuse amitié") est une véritable merveille et sans doute l’un des meilleurs fins d’un film de cette époque, qui souffraient, la plupart du temps, d’un final expédié.
    Sans égaler les prestations de ces deux monstres, le reste du casting est, également, très réussi avec une Ingrid Bergman troublante en beauté atypique, un Paul Henreid impeccable en chef de résistance droit dans ses bottes (ce qui le différencie considérablement du héros) et le formidable Peter Lorre en escroc minable. Enfin, le réalisateur Michael Curtiz nous livre une mise en scène élégante, qui sait jouer avec le noir et blanc (les jeux de lumières sont très réussis) et s’autorise quelques moments plus légers spoiler: (le capitaine Renault qui fait fermer le tripot "clandestin"… mais qui récupère ses gains)
    qui donne définitivement à "Casablanca" une note indéfinissable. Film de guerre ? Comédie romantique ? Film de gangster ? Le film est un peu tout à la fois et s’offre une véritable plus-value grâce à la richesse de ses personnages. "Casablanca" n’a pas usurpé sa flatteuse réputation.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 mars 2008
    Casablanca s'embellit dans la durée, afin de s'élancer dans un final très réussit. Certaines scènes sont d'une intensité remarquable, comme celle du chant de la Marseillaise, par-dessus l'hymne allemand chanté dans la salle du night club. Un film évidemment symbolique, et impérissable.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 mars 2008
    Le cinéma Hollywoodien dans toute sa splendeur avec le couple Bergman/Bogart au panthéon du 7ème art,un divertissement qui est devenu inusable,play it again Sam!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 mars 2008
    Un classique absolu. Filmé en pleine seconde guerre mondiale, "Casablanca" fait preuve d'un réalisme hallucinant sur son sujet. L'histoire, la musique, le casting et la remarquable scène finale sont autant de caractéristiques de ce chef d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 mars 2008
    Casablanca, certainement le plus grand film de l'âge d'or de Hollywood. Le couple Bogart/Bergman est l'un des plus mythique de l'histoire du septième art. De plus le film n'a pas pris une ride grace à sa magnifique photographie en noir et blanc. Et que dire de ses répliques cultes comme "Here's looking at you kid", "We'll always have Paris" (repris dans Manhattan de Woody Allen). La chanson As time goes by est superbement interprété. En somme un véritable chef d'oeuvre qui ravira tous les cinéphiles!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 février 2008
    Un film culte ! Le jeu des acteurs est parfait aussi bien celui des rôles principaux que des seconds, le duo Bogart-Bergman est magnifique, la réalisation est parfaitement maîtrisée du début jusqu'à la fin, des scènes qui ne s'oublient pas (la Marseillaise chantée dans le bar et la fin du film totalement inattendue)... Le film, tourné pendant la Guerre traite étonnamment bien des enjeux de ce conflit alors qu'il ne vient que tout juste de commencer (l’action se passe en 1941). Un chef d'œuvre qui n'a pas pris une ride.
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