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    L'Amour Debout
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    17 critiques spectateurs

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    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    709 abonnés 3 080 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 décembre 2024
    L’amour debout entreprend de faire dialoguer une génération de jeunes adultes, arrivés au terme de leurs études pour la plupart ou engagés dans des petits boulots en attendant de voir leur talent reconnu, avec une capitale chargée d’Histoire dans laquelle s’inscrivent leurs histoires d’amour : Paris est parcourue par tous les personnages de sorte à composer une géographie sensible dans laquelle les quartiers résonnent avec les caractères, les projets et les orientations sexuelles de chacun. Le film est évidemment un hommage à spoiler: La Maman et la putain (Jean Eustache, 1973)
    puisqu’il associe aux relations marginales la projection à la Cinémathèque dudit long métrage en présence de Françoise Lebrun et du responsable de la photographie Pierre Lhomme, entrecoupées de références à divers auteurs et artistes et portées par les partitions de Schumann et de Ravel.
    Pourtant, la dimension métaréflexive du film nuit en partie à la spontanéité de son geste : théories et citations se suivent au contact d’une intelligentsia parisienne, proclamant que le cinéma « nous apprend des choses sur nous-mêmes » alors même que l’alchimie entre les comédiens suffisait à l’incarner à l’écran. Les séquences, qui sont autant de petites vignettes, manquent de développement. Dommage.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    327 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 juin 2024
    Une chronique sans ambition, sans saveur, qui ne raconte rien de consistant. avec des personnages peu attachants et des dialogues récités de façon vide. côté réalisation, on a une fâcheuse impression de voir un film des années 70!
    Thomas
    Thomas

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 février 2023
    Fade… Terne… Très mal joué… on se demande même si ce sont de véritables acteurs ou des amateurs…
    Dialogues inutiles.
    Sujet très mal traité.
    GIJoe
    GIJoe

    107 abonnés 592 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 décembre 2020
    Certains films à petit budget sont de vrais chefs d'oeuvre... mais pas celui là. Un des films les plus cheap que j'aie vus, que ce soit en termes de casting, de qualité de l'image, de mise en scène et de dialogues. Absolument insipide
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 768 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 octobre 2020
    Les personnages sont en carton et ne sont pas convaincants et vous ne vous en souciez pas du tous. On ne sait pas si le réalisateur a quelque chose à nous dire mais s'il le fait il ne sait pas comment le faire. L'Amour Debout est un film lent sans véritable histoire. Il y a une scène avec un homme supposé somnambule que l'écrivain aurait pu trouver drôle. La France a de bons réalisateurs mais Michaël Dacheux n'est pas l'un d'entre eux...
    Christophe V.
    Christophe V.

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mars 2020
    Interessant, on voit les intentions, les référence , mais c'est vraiment pas très bien joué, pas très bien monté, et pas très bien eclairè.....dommage , le propos méritait mieux.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 octobre 2019
    Qui a versé un centime pour financer un tel... J'allais dire film.... Mais ça n'en est même pas un.... Rien ! Des gens qui se filment et qui sont contents d'eux ! Fuyez ! Fuyez ! Impossible de mettre la moindre note
    Brady20
    Brady20

    6 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 juin 2019
    Un petit film d'auteur formidable ! Un ton très particulier ... hommage au cinema d'Eric Rohmer et à la nouvelle vague ... Et ô surprise de voir apparaitre dans le film une certaine Françoise Lebrun, la formidable Véronika de "La maman et la putain" ! Un film à voir ! :)
    David C
    David C

    9 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2019
    Beaucoup aimé ce film où j’ai retrouvé le Paris qui m’est proche, que ce soit le 19e ou les Batignoles, avec ses habitants qui viennent de partout et qui sont là pour des raison différentes. J’ai adoré la scène sur la vie de Verlaine, la guinguette du 14 juillet à Neuilly sur Marne... Pour les vrais cinéphiles ce serait du sous Rhomer, je ne le connais pas mais ça m’a donné envie de voir ses films.
    Gko
    Gko

    36 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 février 2019
    J’ai donc été voir L’Amour Debout de Michael Dacheux. J’y allais pour soutenir ce qu’on me vendait comme un premier film héritant de la grâce d’un Rohmer et d’un Truffaut. Ça flairait le frais émoulu FEMIS mais il faut soutenir le jeune cinéma Français. L’autre argument étant que cela semblait l’anti-thèse de Épouse moi mon pote, j’entrais donc en salle, résolu à me montrer bienveillant face aux possibles imperfections auxquelles on pouvait s’attendre. Après tout quel bonheur ce serait de découvrir un jeune prodige en devenir. Ce ne fut hélas pas le cas, d’autant que renseignements pris, Michaël Dacheux semble avoir au moins deux fois l’âge de Xavier Dolan lorsqu’il tourna J’ai Tué Ma Mère. Et il à déjà conçu un moyen-métrage dont les deux personnages, deux garçons, se nommaient Clarinette et Piano. Le film se fragmente en quatre parties, suivant quatre saisons, et donc se déroule sur une année. Déjà sur 12 mois, aucun des personnages n’aura une réelle évolution si ce n’est que ceux qui commencent à baiser entre eux au cours du film s’installeront gentiment dans leur couple. La fille qui est guide touristique au début on ne sait pas trop si elle a changé de métier à la fin par contre elle rentre dans une chorale de musique contemporaine qui se produit avec des fleurs sur la tête et chante des ritournelles saugrenues. Dès le début du film elle a rompu avec le personnage principal qui fait irrésistiblement penser à Gaston Lagaffe avec son allure de feignasse procrastinante. Elle le décrit comme un dingue de Jean Eustache qui cite des passages entiers de ses dialogues mais on est bien obligé de la croire sur parole parce que... Bref elle ne l’aime plus. On lui donne bien raison, mais à la place elle s’éprend d’un quinca qui vit sur un bateau (« il est marié? » demande-elle, on lui répond: « Non: il est musicien. » ce qui est pour le moins une réponse inattendue) Et au cours du film elle le rappelle, genre, elle le rallume, la gourgandine. Une inconstance qui n’est pas exploitée durant le film. Au demeurant elle s’habille très mal et ne sait pas se maquiller mais très vite on s’aperçoit que c’est le cas de tous les personnages, genre c’est même pas chez kiloshop que l’habilleuse est passée mais chez kilomoche. Ou alors ils ont une contrainte, en allusion à la vogue du pull moche pour Noël. Par contre c’est bien dans une friperie qu’ils ont dû acheter leurs cadrages parce que pas un seul plan n’est totalement parfait, il y a toujours un truc qui cloche, un figurant parasite, une bagnole, un montage à la louche ( sauf les quelques secondes du baiser sous la douche mais dont les dernières secondes portent à sourire) . Pareil pour les dialogues, on sent que certaines répliques se voulaient écrites ( même si on suspecte une improvisation dans certains passages, tant les voix sonnent faux et l’intonation de guingois, servis par de nombreux surjeux, notamment par monsieur Sourcil épilés très vite exaspérant) mais ces répliques finissent comiques. Comme lorsque la même fille pleure d’un oeil obstinément sec, tout en s’apercevant que sa collocatrice depuis des mois est en fait hôtesse de l’air (cherchez pas) Quant à Gaston Lagaffe, il squatte chez un beau garçon vierge, qui se souvenait de lui avec émotion depuis le lycée, mais ne le touche jamais, même s’il lui avoue avoir fait « des trucs sexuels avec des garçons » et que son hôte l’invite dans son lit dès le jour où ils se rencontrent. Par contre Lagaffe se tapera un jeune homme aux sourcils bizarrement épilés, voisin de palier d’une vieille dame ingrate ( elle les vire de chez elle comme des malpropres alors qu’ils ont montré un canapé jusqu’à chez elle) Je passerai sur les soirées repas entre amis où des tas de gens dansent le jerk sur du Colette Magny, si si. Et pour finir, à défaut de réussir son hommage à Rohmer ou Eustache, le film contient, comme un niveau caché de jeu vidéo, un subplot nous menant à évoquer un autre cinéaste français. Je vais m’y attarder car je crois qu’il symbolise la lourdeur du film. En effet, le garçon vierge déclare le premier soir qu’il peut avoir des crises de somnambulisme. En seconde occurrence du thème, on l’aperçoit endormi en caleçon monter puis descendre une échelle, okay. Selon la grammaire du scénario on se dit que la troisième fois découlera sur quelque chose, on espère un ressort dramatique, un événement qui chamboulera le film et électrochoquera toute cette tribu de personnages en quelque sorte somnambules dans la vacuité de leur vie. On se dit après tout c’est peut-être ça la clef, le sens du film. Et soudain, au détour d’une soirée de jerk sur du Colette Magny, ( oh j’oubliais : on a aussi droit à une scène de madison, nouvelle vague oblige, allusion à Bande à Part « bravo Monsieur [Dacheux], ça c’est du meuble! ») le garçon vierge probablement épuisé par Colette Magny s’en va se coucher puis Lagaffe l’aperçoit s’en allant fantômatiquement vers la forêt dans la nuit. Lagaffe alerte ses amis, il est somnambule, et tous le suivent dans la forêt. Quelques plans plus tard le garçon vierge s’assoit sur une souche, car, non non non il n’était pas somnambule, il se promenait avec un casque écouteur. C’est LE gag du film. Les autres sont tout surpris. Et alors il y a une réplique sublime, prononcée sur un ton agacé : «  Ah ben si on ne peut plus se promener tranquille! » À ce moment on saisit l’hommage involontaire fait ànul autre que Max Pécas, maître spécialiste des gags qui tombent à plat.
    Tout comme tombe à plat l’ultime séquence du film, la fille sort de la piscine et regarde un truc hors champ, CUT, voilà c’est fini. Combien de film ont fait ça, une fausse conclusion, une fausse fin ouverte.
    Petitgraindesable
    Petitgraindesable

    21 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 février 2019
    Beaucoup aimé. Attachant, subtil, sensible. Très juste au fond. Je m'y suis bien sentie. Les films français m'attirent peu depuis que certains grands anciens ont disparu, auxquels le réalisateur se réfère du reste. Bien joué de surcroît. Oui, un film juste sur la vie comme elle va, de toute éternité, mais ancrée dans le présent.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 février 2019
    Un petit bijou, tendre, beau, simple. La vie comme elle est, deux ex-amants et leur parcours, des relations qui naissent et qui se créent. Une romance simple, à la Rohmer, et c'est dans cette simplicité que le film trouve sa force.
    Un Paris magnifiquement filmé, où l'on va à la Cinémathèque et on vit dans le 19e ou le 20e.
    Marc R
    Marc R

    17 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 février 2019
    Véritable catastrophe. Alors même que j'y suis allé en étant très mitigé et réticent, le "film" a quand même réussi la prouesse de me décevoir, m'ennuyer et m'énerver à l'extrême ! Même si le film ne dure qu'1h20, le temps passe très lentement, et je me suis trop souvent tellement ennuyé que j'avais envie de fuir. Le problème numéro 1 est que le "film" est infesté de dialogues et de scènes d'une banalité et d'une inutilité affligeantes. Qui par exemple pourrait être intéressé par le fait que les branches d'un quelconque arbre sont mal coupées, ou qu'une habitante ait besoin d'un nouveau canapé ? A l'inverse, plusieurs éléments clés sont absents : le personnage principal a un rapport avec un garçon, mais le film ne montre pas comment l'attraction et la drague se sont faites, ce qui a pourtant un lien direct avec le sujet. Le film ne montre pas non plus comment, quelques semaines après, les deux personnages se rencontrent (seule leur rencontre est montrée, pas ce qui se passe avant). Non content d'offrir la plupart du temps un contenu inutile et hors sujet, ce que nous montre le film est particulièrement laid. Les gens sont mal habillés, souvent vieux et moches, les couleurs sont ternes et délavées, y compris l'été. Les scènes montrant Paris (monuments, nature etc.) sont peu engageantes, avec des couleurs ternes, une caméra statique à l'écoeurement, et pas de vues d'ensemble. Si l'objectif est de montrer Paris et ses monuments, il faudrait peut être songer à des plans larges et des vues aériennes. Le jeu des acteurs, s'il est possible de les appeler ainsi, est très souvent médiocre. Ils donnent l'impression de réciter un texte, de manière très scolaire. La technique est aussi défaillante, avec de trop nombreuses scènes quasi noires où l'on ne voit donc rien. Il faudrait songer à étudier quelque chose qui s'appelle l'éclairage, et à utiliser des caméras qui captent un peu mieux la lumière. Le son est lui aussi souvent assez médiocre et désagréable, avec des bruits parasites à souhait, comme la circulation du périphérique, le brouhaha des gens, le vent etc.. En plus d'énerver, ces bruits polluent et détournent l'attention du message et des choses importantes. Une scène par exemple se déroule dans un musée, et un enfant fait tourner des manettes qui génèrent un bruit agaçant qui ne permet pas de se concentrer sur le regard du personnage et de tenter de deviner ce qu'il peut ressentir. Son ressenti et son regard sont pourtant clés (en lieu avec son attirance pour les hommes). Ce film se considère comme intellectuel, avec sa litanie de références de noms (pas des plus connus) et d'anciennes pseudo gloires, mais il ne faut pas confondre pseudo intellectualisme et fausse poésie avec la vraie réflexion et l'art. Réciter un dictionnaire n'est pas synonyme de connaissance ou d'intelligence !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 2 février 2019
    on va voir un petit film pour être surpris par son audace et on se retrouve avec un sous-rohmer des années 1990, avec ses amourettes, et un sous-techiné des années 1980, avec ses histoires de "monter à paris"... d'un ennui abyssal... à quoi bon l'avoir sortir en salle ? mystère
    velocio
    velocio

    1 324 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 janvier 2019
    Originaire des Landes, le quadragénaire Michaël Dacheux a connu la « montée » à Paris, l’arrivée dans le milieu du cinéma, en fait un peu tout ce qu’il raconte dans "L’amour debout", son premier et très prometteur long métrage. Un film qui faisait partie de la sélection ACID au dernier Festival de Cannes.
    Ce n’est pas dans n’importe quelle famille du cinéma français que Michaël Dacheux vient mettre ses pas : il s’agit de celle qu’on a coutume d’appeler La Nouvelle Vague et, parmi les réalisateurs rattachés à cette famille, l’influence la plus évidente est celle d’Eric Rohmer, en particulier dans sa période des Contes des quatre saisons : dans le jeu des comédiens, dans le récit du film, dans ce parcours initiatique de Léa et de Martin, avec les atermoiements amoureux de ces deux jeunes adultes et les difficultés rencontrées pour trouver leur place dans la société. Ce n’est sans doute pas un hasard, mais plutôt un clin d’œil, si "L’amour debout" se déroule justement sur quatre saisons ! Toutefois, on ne peut manquer de penser aussi à Jean Eustache, avec la séquence du film où Martin va assister à une projection de "La maman et la putain" à la Cinémathèque, une projection présentée par Frédéric Bonnaud en présence de Pierre Lhomme, le Directeur de la photographie du film, et de Françoise Lebrun, l’actrice principale.
    Pour son premier long métrage, Michaël Dacheux a donc fait le choix de se positionner parmi les descendants de la Nouvelle Vague et, plus particulièrement, de Eric Rohmer. On retrouve chez lui, non sans une certaine émotion, le charme absolument pas démodé de ces histoires dont la profondeur se cache derrière une apparente légèreté. Après ce premier film réussi, on suivra attentivement la carrière de Michaël Dacheux.
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