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1,5
Publiée le 21 juillet 2020
La saga Leprechaun n'a jamais vraiment brillé et ce n'est pas ce nouveau volet qui se veut la suite du 1er opus sortie en 93 qui va changer la donne. Scénario et réalisation au rabais, acting niveau amateur. Mieux vaut arrêté là cette saga en souffrance.
La modernité n'habille pas mieux cet énième épisode. Cette version Insta' teenager du Boogeyman aurait pû susciter l'envie de redécouvrir le personnage facétieux et maléfique, il n'en sera rien. L'humour et les meurtres résonnent très mal dans ce studio, au décors de vieille ferme, et les jeunes acteurs semblent avoir été casté dans le couloir.
J’adore les films d'épouvante mélangés à de la comédie, et ici c’est très réussi. Pour vous situer la franchise LEPRECHAUN pour ceux qui ne la connaissent pas, le premier était sorti en 1993. Pour anecdote, il était l’un des premiers longs-métrages de Jennifer Aniston. Aujourd’hui, on en est déjà au 8ème. Cependant, celui-ci sera la suite directe de l’original. C’est le même principe qu’avait fait HALLOWEN. J’étais vraiment curieux de voir ce que pouvait donner un film d’horreur avec la petite créature issue du folklore irlandais et à ma grande surprise ça marche vraiment bien. Ce petit monstre est génialissime. Son design pour un film de ce genre est parfait mais son grand point fort est dans son humour noir. Il massacre avec plaisir les hommes qui se mettent entre lui et son or avec toujours le petit mot pour rire. On sent une joie malsaine dans ses actes qui régalent. C’est son sadisme qui le rendra drôle. Vous l’aurez compris, on aura donc à faire à un film vraiment gore. L’hémoglobine va couler à flots. Ce n’est pas de l’horrifique où on sursaute, mais plus comme FREEDY où on se délecte des différentes morts et du « monstre ». Côté acteurs, aucune performance n’est mémorable. On veut juste qu’ils meurent et on pourrait mettre n’importe qui à la place, cela serait la même chose. Si les autres sont de la même trempe, il faut vraiment je me les procure.
"25 ans après les événements du film original de 1993, le leprechaun est ravivé de nos jours par un groupe de sororités qui le réveillent sans le savoir tout en démolissant une cabane pour y construire un nouveau pavillon de sororité". N'ayant vu aucun de ses prédécesseurs (au nombre de 6, avec un reboot en plus, je me suis renseigné), c'est avec un œil neuf que je délivre cet avis, qui ne pourra évidemment pas faire de comparaison. Présenté comme un film d'horreur comique, les deux genres sont validés : parfois sanglant - mais on a déjà vu plus de faux sang se répandre dans d'autres productions -, il est indéniable qu'il s'agit d'un film d'horreur, et un film d'horreur qui emprunte au registre comique avec son monstre à la fois grotesque et moqueur. Ce côté comique pourrait déplaire aux fans de réalisations horrifiques plus "sérieuses", qui se concentrent plus sur les bouts de chair qui volent partout que sur tout autre aspect. L'intrigue est assez classique et c'est joué assez correctement pour ce qu'il y a à faire, dirais-je. J'hésite presque à lui accorder trois étoiles. Etant loin d'être un expert des films d'horreur, je pense que celui-ci mérite au moins la moyenne.
Sans aucune prétention, le film honore son cahier de charges en proposant quelques petites scènes gores réussies et un humour maîtrisé qui ne tombe jamais dans le potache. En revanche, l'absence de Warwick Davis se fait ressentir dans le rôle du leprechaun. N'attendant rien de ce film, on en ressort au final agréablement surpris.
Bon sûr et certain c est pas le film du siècle mais si on aime l humour décalé et le gore c est pas si désagréable. Bien évidemment c est un peu crétin mais encore une fois soyons sérieux ce film n a pas non plus la prétention de concourir aux Oscars. On peut comme moi y prendre un petit plaisir limite coupable mais au moins on ne s ennuie pas.
Pas compris les mauvaises notes pour un film léger et souvent drôle. OK, c’est pour ados mais je me suis laissé prendre au jeu malgré mes 53 ans. Du gore qui fait sourire. Agréable moment de détente. spoiler: Le Leprechaun a acquis ma définitive sympathie quand il a jeté cette insulte pour les pieds que sont les crocs :-)
mis à part deux trois scènes un peu sanglantes, ce film n'a aucun interet, il est absolument bidon et sans surprises, les personnages, très mal joués, sont risibles ...
Le début peut laisser présager quelque chose de pas trop mauvais n'ayant jamais vu d'autres films sur Leprechaun que celui-ci. Mais on comprends très vite qu'il s'agit d'une daube. Par pitié, quand on n'a aucune idée, on ne prend surtout pas sa plume pour écrire une bouse pareille.
Meme si l'idée de relancer la saga n'est pas déconnante, le film a du mal à trouver le ton qu'il faut (entre humour et épouvante). On a droit à quelques repliques et situations bien trouvé, mais le casting est vraiment pas génial. Il manque le coté "souhait réalisé qui se retourne contre la personne" dans les premiers épisodes. Bref un retour raté
Que Leprechaun Returns soit l’un des volets les plus corrects de la longue saga – l’œuvre originale compte à ce jour sept suites, ce n’est pas rien – n’en fait pas pour autant un bon film, tant ses aînés souffraient d’une indigence de scénario et de mise en scène susceptible de rehausser ce huitième opus qui propose un retour aux sources, se pensant comme une suite directe du premier film. Nous retrouvons la maison isolée qui occupait tant Jennifer Aniston, ainsi que son petit bois alentour où il fait bon courir en poussant des cris. Ce téléfilm produit par Syfy – ce qui ne constitue jamais un gage de qualité, loin de là – délaisse la puissance mythique de l’antagoniste pour le changer en bourreau ultraviolent, cultivant ainsi les séquences gores plutôt réussies, quoique fortuites, au détriment de l’écriture des personnages qui, comme souvent dans ce type de productions, sont des clichés sur pattes. La bonne idée de Leprechaun Returns est de ne jamais se prendre au sérieux, n’hésitant pas à tourner en dérision le poncif de la fille traumatisée par la disparition de sa mère via l’intervention d’un spectre tenant ses boyaux dans une main, avant de les maintenir dans du film plastique. Voilà qui est tout à la fois macabre et rigolo ; dommage que le reste se contente d’appliquer le cahier des charges de ce genre de séries Z, glanant des idées à droite à gauche – le monstre qui sort de la cave inondée provient du premier volet de It, sa démultiplication en petits bonshommes du troisième film de la saga The Evil Dead. Absence de mise en scène, prestations peu convaincantes, notamment celle du leprechaun lui-même qui échoue à faire rire ou susciter l’effroi – l’acteur a changé, il est moins doué –, travail de la lumière repoussant au service d’un divertissement qui enchaîne les exécutions sanguinolentes avec panneaux solaires, arroseurs automatiques et drone télécommandé. Au menu, moult tripes et cerveaux éclatés, sans réflexion aucune.
Comme toujours lorsqu’il est question de réanimer une franchise moribonde, il faut impérativement feindre d’avoir oublié les suites toutes pourries qui ont inondé les bacs de DVD en solde ces vingt dernières années, et reprendre les choses au moment où les films ‘Leprechaun’ signifiaient encore quelque chose pour quelqu’un, à savoir l’épisode fondateur de 1993. Pour être honnête, Ce Leprechaun fondateur n’était même pas un truc célèbre, ni même un chouette film d’horreur, mais un inoffensif nanard dont l’unique titre de gloire était d’avoir immortalisé les premiers pas de Jennifer Aniston à l’écran. D’ailleurs, si la misérable dernière sortie en date (‘Origins’ en 2014) tranchait avec les habitudes et tentait de s’imposer comme un véritable film d’épouvante avec une créature monstrueuse, ici, c’est le nabot rouquin en tenue folklorique qui est de retour, bien décidé à récupérer son or et à suriner tout le monde au passage. Comme dans les Gremlins ou plutôt comme dans les Critters si on tient compte de l’aura du résultat, ce ‘Leprechaun’ ne lésine pas sur le gore mais c’est du gore qui tâche, purement ludique et inoffensif, puisque ce nouveau film, comme l’original, est à aborder comme une comédie horrifique, avec un croque-mitaine un peu ridicule qui n’hésite jamais à en sortir une bien crade...et c’est là que le bât blesse, évidemment : la tentative de faire un film à l’esprit Eighties tombe complètement à plat, le lutin ne dit jamais rien qui puisse arracher un rictus amusé, l’ensemble est épouvantablement mal écrit et c’est tout juste si quelques explosions sanglantes viendront secouer le spectateur somnolent face à cette mauvaise soupe, presque aussi nulle que les derniers ‘Puppet master’ qui, eux, ont le mérite d’être parvenus à conserver un petit côté con et mal élevé.
Assez agréablement surpris, autant le dernier remake en date était d'un blasant absolu tant il voulait tendre à quelque chose de plus concret que celui ci retourne aux sources des premiers films: le fun. La principale qualité de ce Leprechaun Returns est nous amuser, ce qui n'est pas une si mince affaire, bien qu'il mette un certain temps à dévoiler son jeu, car la première partie semble tellement nous embourber dans un petit slasher chiant et cliché que la méfiance est de mise. Puis vient le farfadet, tournant autour de cette petite sororité écolo avant de basculer dans ses parenthèses gores savoureuses comme on aime (l'acteur réussi même l'exploit de faire oublier Warwick Davis), le personnage féminin principal est d'ailleurs assez convaincant, bien que son passé reste un peu trop flou, rendant le scénario friable. Il en est de même pour plusieurs points, notamment en ce qui concerne le butin caché, mais bizarrement on finit par s'en foutre et on se laisse aller au surréalisme, dans un ton quasi burlesque qui fonctionne. Le réalisateur se permet même de tourner en dérision la cause écologique, ou encore le cinéma d'auteur (qu'il décapite symboliquement), on remarque des idées bien senties, il est juste dommage que cette vraie-fausse suite ne croit pas entièrement en son potentiel, restant dans sa fidèle allégeance aux petites séries B du crépuscule des années 80.
Voilà une saga horrifique qui compte désormais 8 épisodes et dont je connais que le très mauvais Leprechaun Origins. Il y avait donc une certaine appréhension à découvrir ce film qui reprend en fait la suite du premier épisode sorti en 1993. La surprise avec Leprechaun Returns c’est qu’il lorgne davantage vers la comédie que vers le film d’horreur. Je vous rassure, il y a quand même de beaux moments gores mais on a plus tendance à se marrer. Certains dialogues sont grotesques, les victimes se prennent en selfie avec leur bourreau et le Leprechaun s’amuse même à chevaucher un drone. Il ne va pas me laisser un souvenir impérissable mais il m’aura bien fait marrer malgré tout !
Curieux film mélangeant humour noir et gnome sanguinaire. De bonnes choses, il y a peu de scènes gores mais elles se posent là et savent nous surprendre à défaut de nous effrayer. L'actrice principale Taylor Spreitler joue très bien et son physique un peu atypique ne nuit en rien. La jolie blackette de service, Pepi Sonuga nous livre également une prestation survitaminée. Le monstre interprété par un nain est très réussi. Le scénario est un peu facile, mais bon, il existe, quant à la réalisation, elle est très inégale flirtant parfois avec l'amateurisme.