Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
LCI
par Jérôme Vermelin
Si le film est une merveille sur le plan esthétique, bien plus sophistiqué que A Star Is Born d'ailleurs, c’est d’abord et surtout un film d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Point
par Florence Colombani
Un film d'une remarquable ambition esthétique et narrative, l'un des plus beaux de cette fin d'année.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Portrait d'un titan, créatif et destructeur, « Maestro » est une splendeur.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
De ce canevas à haute teneur tragique, Bradley Cooper tire un film majestueux, amplement déployé sur une vie qu’il semble envelopper d’une grande étreinte chaudement protectrice tout en la trouant d’ellipses béantes, pour ne la brosser finalement que par pointillés périphériques.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
"Maestro", film splendide et habité, dépasse en tout cas du cadre, et les espérances qu’on place par habitude dans le genre du biopic patrimonial, édifiant, postiché, enluminé. Un grand film qu’on est un peu sonné d’imaginer confiné exclusivement à l’écran branché sur Netflix [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Josué Morel
Un mélodrame assez splendide, qui marque la naissance d'un cinéaste : Bradley Cooper.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Ce qui pourrait ressembler à un gimmick, à la volonté d’un « jeune » réalisateur de prouver à ses illustres pairs (Martin Scorsese et Steven Spielberg ont produit Maestro, rien de moins) qu’on sait filmer, offre néanmoins de petits moments de grâce. Autant de preuves de la maîtrise certaine dont fait preuve Bradley Cooper.
Elle
par Ophélie Daguin
De et avec Bradley Cooper dans le rôle-titre, le biopic produit par Steven Spielberg passionnera même les profanes de la musique classique.
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
Inspirée et touchante, la biographie filmée que Bradley Cooper consacre à Leonard Bernstein est en réalité l’histoire d’un couple, puissamment uni malgré les crises.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Et le duo qu’il forme avec Carey Mulligan donne vie d’une manière à la fois naturelle et grandiose à cette odyssée intime au fil des décennies. Le tout renforcé par les musiques… de Leonard Bernstein. Évidemment.
Le Figaro
par Constance Jamet
Le comédien signe le portrait du compositeur de "West Side Story", à travers le prisme inattendu de son idylle avec sa muse et épouse. Un film moins classique qu'il n'y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
Peu à peu, chaque séquence nourrit le feu d’un secret et d’une émotion. C’est ce qui intéresse Cooper : les larmes du mélodrame, aujourd’hui si peu répandues dans le cinéma américain.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Benjamin Locoge
Deuxième film de Bradley Cooper, « Maestro » est un biopic officiel – validé par les descendants du chef d’orchestre, totalement convainquant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Marie Sauvion
Entre création et vie privée, Cooper a le bon goût de faire briller une Carey Mulligan déchirante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
Bradley Cooper organise avec brio son propre triomphe, et ouvre sa filmographie à la grande fresque classique hollywoodienne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Comme pour "A Star is Born", Bradley Cooper réalise un film magnifique visuellement et tristement bancal narrativement avec "Maestro".
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Adam Sanchez
Une œuvre glacée, figée, polie, séduisante à défaut d'être totalement brillante, teintée d'une certaine émotion sans jamais être enivrante ou bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par N. S.
Drôle de film, produit par Scorsese et Spielberg, que l’on croirait sorti des années 1950 : manière à la George Cukor de mêler l’intime et le spectacle, vernis d’époque qui nous tient à distance des émotions, écriture psychologisante, voire théâtrale, déléguant les subtilités aux interprètes (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Guillaume Bonnet
Portrait d’un homme sous influence, "Maestro" menace de se vider de sa substance dès que Bernstein sort de l’orbite de son épouse pour s’enfoncer dans les volutes seventies (drogues, homosexualité, égomanie), ses parts d’ombre et de lumière décomplexées, pour le meilleur et pour le pire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par Cédric Choukroun
Ce biopic de facture classique vaut pour les interprétations magistrales de Bradley Cooper et Carey Mulligan.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Si la mise en scène glisse du noir et blanc à la couleur, de la comédie au drame, d’une époque à une autre par des artifices visuels qui flirtent avec l’esbroufe, Bradley Cooper réussit un émouvant portrait du génie perpétuellement en ébullition [...].
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Après le magistral A Star Is Born, Maestro, grimaçant et superficiel, déçoit et agace.
LCI
Si le film est une merveille sur le plan esthétique, bien plus sophistiqué que A Star Is Born d'ailleurs, c’est d’abord et surtout un film d’acteurs.
Le Point
Un film d'une remarquable ambition esthétique et narrative, l'un des plus beaux de cette fin d'année.
Les Echos
Portrait d'un titan, créatif et destructeur, « Maestro » est une splendeur.
Les Inrockuptibles
De ce canevas à haute teneur tragique, Bradley Cooper tire un film majestueux, amplement déployé sur une vie qu’il semble envelopper d’une grande étreinte chaudement protectrice tout en la trouant d’ellipses béantes, pour ne la brosser finalement que par pointillés périphériques.
Libération
"Maestro", film splendide et habité, dépasse en tout cas du cadre, et les espérances qu’on place par habitude dans le genre du biopic patrimonial, édifiant, postiché, enluminé. Un grand film qu’on est un peu sonné d’imaginer confiné exclusivement à l’écran branché sur Netflix [...].
Critikat.com
Un mélodrame assez splendide, qui marque la naissance d'un cinéaste : Bradley Cooper.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce qui pourrait ressembler à un gimmick, à la volonté d’un « jeune » réalisateur de prouver à ses illustres pairs (Martin Scorsese et Steven Spielberg ont produit Maestro, rien de moins) qu’on sait filmer, offre néanmoins de petits moments de grâce. Autant de preuves de la maîtrise certaine dont fait preuve Bradley Cooper.
Elle
De et avec Bradley Cooper dans le rôle-titre, le biopic produit par Steven Spielberg passionnera même les profanes de la musique classique.
La Croix
Inspirée et touchante, la biographie filmée que Bradley Cooper consacre à Leonard Bernstein est en réalité l’histoire d’un couple, puissamment uni malgré les crises.
Le Dauphiné Libéré
Et le duo qu’il forme avec Carey Mulligan donne vie d’une manière à la fois naturelle et grandiose à cette odyssée intime au fil des décennies. Le tout renforcé par les musiques… de Leonard Bernstein. Évidemment.
Le Figaro
Le comédien signe le portrait du compositeur de "West Side Story", à travers le prisme inattendu de son idylle avec sa muse et épouse. Un film moins classique qu'il n'y paraît.
Le Monde
Peu à peu, chaque séquence nourrit le feu d’un secret et d’une émotion. C’est ce qui intéresse Cooper : les larmes du mélodrame, aujourd’hui si peu répandues dans le cinéma américain.
Paris Match
Deuxième film de Bradley Cooper, « Maestro » est un biopic officiel – validé par les descendants du chef d’orchestre, totalement convainquant.
Télérama
Entre création et vie privée, Cooper a le bon goût de faire briller une Carey Mulligan déchirante.
aVoir-aLire.com
Bradley Cooper organise avec brio son propre triomphe, et ouvre sa filmographie à la grande fresque classique hollywoodienne.
Ecran Large
Comme pour "A Star is Born", Bradley Cooper réalise un film magnifique visuellement et tristement bancal narrativement avec "Maestro".
GQ
Une œuvre glacée, figée, polie, séduisante à défaut d'être totalement brillante, teintée d'une certaine émotion sans jamais être enivrante ou bouleversante.
L'Obs
Drôle de film, produit par Scorsese et Spielberg, que l’on croirait sorti des années 1950 : manière à la George Cukor de mêler l’intime et le spectacle, vernis d’époque qui nous tient à distance des émotions, écriture psychologisante, voire théâtrale, déléguant les subtilités aux interprètes (...).
Première
Portrait d’un homme sous influence, "Maestro" menace de se vider de sa substance dès que Bernstein sort de l’orbite de son épouse pour s’enfoncer dans les volutes seventies (drogues, homosexualité, égomanie), ses parts d’ombre et de lumière décomplexées, pour le meilleur et pour le pire.
Télé 2 semaines
Ce biopic de facture classique vaut pour les interprétations magistrales de Bradley Cooper et Carey Mulligan.
Télé 7 Jours
Si la mise en scène glisse du noir et blanc à la couleur, de la comédie au drame, d’une époque à une autre par des artifices visuels qui flirtent avec l’esbroufe, Bradley Cooper réussit un émouvant portrait du génie perpétuellement en ébullition [...].
CinemaTeaser
Après le magistral A Star Is Born, Maestro, grimaçant et superficiel, déçoit et agace.