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Votre avis sur Black Panther: Wakanda Forever ?
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Je retiens de ce film le bel hommage à Chadwick. Sinon intrinsèquement ce film n'a pas bcp de qualités : pas d'enjeux, un scénario inexploité, des situations vus et revus, une longueuuuuuur qui provoque parfois l'ennui, des personnages secondaires sans charisme.
Franchement Suri qui devient la Panthère c'est le pompon. Elle ne sait pas de battre et se retrouve guerrière. La jeune scientifique est insupportable aussi. Heureusement Angela Bassett et Lupita Nyongo relève le niveau.
C'est la fin du Wakanda...
Franchement Suri qui devient la Panthère c'est le pompon. Elle ne sait pas de battre et se retrouve guerrière. La jeune scientifique est insupportable aussi. Heureusement Angela Bassett et Lupita Nyongo relève le niveau.
C'est la fin du Wakanda...
Je suis tellement déçu. Dans mon classement des Marvel, Black Panther est deuxième, c'est pour dire à quel point j'avais hâte du second film, mais malheureusement, je n'ai pas été convaincu. J'ai trouvé le tout début très bon, on perd pas de temps et on annonce la disparition de Black Panther en finesse, avec classe et sans artifices. Ensuite, l'histoire s'installe, et c'est pas mal, mais c'est affreusement long. C'est beaucoup de blabla, et des scènes longues avec les mêmes personnages, j'me suis ennuyé. La bande de méchants est pas mal, le Chef méchant est convaincant, mais c'est trop de montagnes russes et du coup à la fin, sans spoiler, j'me suis dit "pourquoi tout ca ?!". Je retiens surtout le début, le combat sur le pont que j'ai trouvé très novateur pour le coup: pas de musique, pas d'explosions à tout va... le combat final est sympa aussi, bien que classique. La scène finale est très belle. Mais malheureusement, trop de personnages sont laissés au second plan et malgré la durée du film, j'ai pas eu le sentiment d'avancer avec les personnages et les situations, du coup je trouve que c'est un gâchis bien triste.
Film anecdotique de 2h40, la suite de Black Panther est d'un ennui total. C'est mou, désincarné, sans consistance et surtout beaucoup trop long. Les scènes de combats sont illisibles, et ne dégagent aucun souffle épique. Pire que le premier volet, fallait le faire...
https://www.lavisqteam.fr/?p=66682
https://www.cineserie.com/news/cinema/black-panther-wakanda-forever-faut-il-rester-a-la-fin-du-generique-5497701/
https://www.cineserie.com/news/cinema/black-panther-wakanda-forever-decouvrez-namor-le-mechant-du-film-marvel-5497021/
https://www.cineserie.com/news/cinema/black-panther-wakanda-forever-qui-sont-les-midnight-angel-5498830/
https://hitek.fr/bonasavoir/black-panther-wakanda-forever-que-signifie-imperius-rex-slogan-namor-_1298
https://hitek.fr/actualite/marvel-10-pires-films-mcu-_49862
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Suite du "Black Panther" de début 2018, revoici nos super-héros africains de nouveau confrontés à une super menace venue des océans cette fois.
Comme il y a presque 5 ans et ce premier opus, le rendu final est coloré et agrémenté de belles scènes d'action.
Malheureusement, l'ensorcelant Chadwick Boseman disparu trop jeune (en 2020) méritait mieux que cette suite fadasse, longue et sentant le copié/collé de tellement d'autres Marvel.
2h42 d'un film fantastique sans accroche émotionnelle de mon côté : c'est bien regrettable !!
Ennuyeux !
Site CINEMADOURG.free.fr
Comme il y a presque 5 ans et ce premier opus, le rendu final est coloré et agrémenté de belles scènes d'action.
Malheureusement, l'ensorcelant Chadwick Boseman disparu trop jeune (en 2020) méritait mieux que cette suite fadasse, longue et sentant le copié/collé de tellement d'autres Marvel.
2h42 d'un film fantastique sans accroche émotionnelle de mon côté : c'est bien regrettable !!
Ennuyeux !
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La phase 4 du Marvel Cinematic Universe m’a relativement déçu, donc j’attendais plutôt ce film en espérant voir un film plus que correct (car je trouve que Marvel se repose trop sur ses lauriers). En tout cas, je trouve que ce deuxième film “Black Panther” est vraiment moyen même si je trouve qu’ils reviennent légèrement plus vers les bases de Marvel ; par contre, il y a pas mal de choses à revoir.
Selon moi, j’ai l’impression que la réalisation retrouve celle du premier film avec beaucoup d’éléments de la culture sud-africaine ; or là, Ryan Coogler ajoute une autre culture, celle des maya et des atlantes. Et la mise en scène réagit en conséquence ; et cela se ressent dans la musique qui est vraiment bien remixée. Ensuite, le cadrage est très bien maîtrisé et les plans sont assez incroyables et certains sont impressionnants. Sinon, je trouve que les effets spéciaux sur les plans larges sont magnifiques ; par contre, les nouveaux costumes que l’on découvre lors du final sont trop ressemblants à des costumes de Power Rangers. Et je trouve que la lumière est également trop faible dans les séquences sous-marines, ce qui a pour conséquence des plans trop sombres où il est impossible de distinguer les décors.
Le scénario est assez classique ; effectivement, le récit n’est pas si prévisible mais les événements sont logiques et après coup sont assez faciles. Mais la comparaison entre les deux peuples (Wakanda et celui de Namor) a un gros potentiel ; surtout que les lieux sont assez originaux et ils sont très bien exploités. D’autant plus que les personnages ; que ce soit les anciens ou les nouveaux ; sont très chouettes à suivre et sont très attachants, surtout qu’ils ont de bonnes évolutions et un développement plus que complet. Juste certains passages m’ont donné la sensation de remplissage : notamment la plupart des séquences de Martin Freeman et la scène post-générique qui sert juste d’acte de présence.
Je vais quand même recommander ce film car même s’il ne fait pas trop avancer la saga Marvel, je trouve que ce film a une vraie patte et on sent la réalisation de Coogler et le scénario est très intéressant et cela me donne envie de revoir les personnages de Riri Williams et Shuri. Inutile de préciser que le film est un bel hommage à Chadwick Boseman mais l'hommage n'est pas non plus imbuvable ; il est bien jaugé.
Selon moi, j’ai l’impression que la réalisation retrouve celle du premier film avec beaucoup d’éléments de la culture sud-africaine ; or là, Ryan Coogler ajoute une autre culture, celle des maya et des atlantes. Et la mise en scène réagit en conséquence ; et cela se ressent dans la musique qui est vraiment bien remixée. Ensuite, le cadrage est très bien maîtrisé et les plans sont assez incroyables et certains sont impressionnants. Sinon, je trouve que les effets spéciaux sur les plans larges sont magnifiques ; par contre, les nouveaux costumes que l’on découvre lors du final sont trop ressemblants à des costumes de Power Rangers. Et je trouve que la lumière est également trop faible dans les séquences sous-marines, ce qui a pour conséquence des plans trop sombres où il est impossible de distinguer les décors.
Le scénario est assez classique ; effectivement, le récit n’est pas si prévisible mais les événements sont logiques et après coup sont assez faciles. Mais la comparaison entre les deux peuples (Wakanda et celui de Namor) a un gros potentiel ; surtout que les lieux sont assez originaux et ils sont très bien exploités. D’autant plus que les personnages ; que ce soit les anciens ou les nouveaux ; sont très chouettes à suivre et sont très attachants, surtout qu’ils ont de bonnes évolutions et un développement plus que complet. Juste certains passages m’ont donné la sensation de remplissage : notamment la plupart des séquences de Martin Freeman et la scène post-générique qui sert juste d’acte de présence.
Je vais quand même recommander ce film car même s’il ne fait pas trop avancer la saga Marvel, je trouve que ce film a une vraie patte et on sent la réalisation de Coogler et le scénario est très intéressant et cela me donne envie de revoir les personnages de Riri Williams et Shuri. Inutile de préciser que le film est un bel hommage à Chadwick Boseman mais l'hommage n'est pas non plus imbuvable ; il est bien jaugé.
La suite du très réussi Black Panther était attendue. Attendu aussi par la perte de l'acteur incarnant avec brio le Black Panther.
Comment faire une suite sans le personnage principal ? Comment rendre crédible une disparition non prévue dans l'univers si prévoyant de l'industrie Marvel ?
La chose n'était pas aisée et on peut féliciter la direction prise par le réalisateur qui se révèle très mélancolique et très digne de ce qu'incarnait Black Panther.
Malheureusement, l'histoire patine un peu trop dans ce mélo et la rivalité que subit le peuple du Wakanda face à un nouveau peuple venant d'une sorte d'Atlantide ne convainc pas du tout. Le méchant est inutile et pas du tout charismatique comme pouvait l'être Michael B. Jordan dans le 1er opus.
On ne comprend pas bien ce que cette histoire apportera pour la phase 5 hormis la présentation d'un nouvelle super héroïne, là aussi, pas du tout crédible.
Bref : un film fait et dédié à la mémoire de Chadwick Boseman... qui manque terriblement !
Comment faire une suite sans le personnage principal ? Comment rendre crédible une disparition non prévue dans l'univers si prévoyant de l'industrie Marvel ?
La chose n'était pas aisée et on peut féliciter la direction prise par le réalisateur qui se révèle très mélancolique et très digne de ce qu'incarnait Black Panther.
Malheureusement, l'histoire patine un peu trop dans ce mélo et la rivalité que subit le peuple du Wakanda face à un nouveau peuple venant d'une sorte d'Atlantide ne convainc pas du tout. Le méchant est inutile et pas du tout charismatique comme pouvait l'être Michael B. Jordan dans le 1er opus.
On ne comprend pas bien ce que cette histoire apportera pour la phase 5 hormis la présentation d'un nouvelle super héroïne, là aussi, pas du tout crédible.
Bref : un film fait et dédié à la mémoire de Chadwick Boseman... qui manque terriblement !
Cinememories
La trentième du MCU achève une phase 4, loin d’avoir convaincu. Les promesses s’accumulent dans des pochettes surprises qu’on aura vite fait d’oublier. Cependant, ce second volet, emmené par Ryan Coogler baigne dans le deuil de Chadwick Boseman, un spectre dans une œuvre qui cherche alors à se raccrocher au programme initial. Il n’est pas étonnant d’y voir un hommage, d’une sincérité qu’on ne peut contester, mais au-delà de cette réalité blessante sur la disparition du comédien, il est également apaisant de voir une suite nourrie par l’envie de progresser, dans tous les sens du terme. Il s’agit toujours du principal reproche à une saga, qui piétine sur ses propres gags ou ses caricatures les plus grossières pour en tirer une aventure passablement stimulante. Si ce film ose montrer un peu plus d’humanité dans une première partie plutôt élégante dans sa pudeur, il continue malgré tout de traîner ses mauvaises habitudes quand il s’agit d’opposer les héros à une menace, loin d’égaler un Killmonger percutant.
Pas de T'Challa donc. Ou du moins, pas comme on le pense, afin de justifier la transition, étant donné le visage connu, qui viendra renfiler le costume de la panthère noire du Wakanda. Pourtant, le port de cette armure n’a pas à être l’enjeu du récit, qui offre avant tout de l’espace à ses personnages féminins, afin de s’épanouir et d’en démontrer la pertinence, dans un monde qui n’a pas besoin d’hommes pour reconstruire une nation et l’unifier derrière sa culture. À ce jeu-là, le film mérite autant notre attention que notre réflexion, notamment sur la question d’une figure iconique, à exhiber comme modèle à suivre. L’intrigue nous montre ainsi la vie, là où le premier volet était avare dans la représentation des peuples wakandais et de leurs coutumes, qui s’arrêtent sur des cérémonies de succession. Ici, il y a alors toutes les raisons d’y revenir, mais le constat blesse quand on sort des sentiers endeuillés. Dommage que l’on ne cesse de régresser, jusqu’à nous resservir une origin story à rallonge pour une Shuri (Letitia Wright) à l’aise pour porter les griffes, mais pas assez pour encaisser l’héritage qu’on lui impose.
De ce fait, l’intrigue souffre d’une grande confusion, entre deux sous-intrigues, où le passé et l’avenir de font pas bon ménage. Les maladresses inhérentes au cahier des charges, cadenassé par les studios aux grandes oreilles, qui rejette le colonialisme, alors qu’il se jette dedans avec une hypocrisie déconcertante. Que l’on assiste à une représentation plus riche du pays, à échelle humaine ne devrait même pas être un exploit à ce stade, mais une norme qu’il convient de dépasser. Et de la même manière, Coogler et son co-scénariste Joe Robert Cole ne parviennent pas à trouver le compromis idéal, sachant l’immense carrefour narratif que constitue ce film dans l’entièreté de la franchise. C’est pourquoi l’irruption d’un empire subaquatique a quoi nous frustrer ou désespérer, au choix, quant à la qualité de son leader, homme-poisson volant sans écaille ou charisme. Cette dispute politique ne tourne alors qu’autour de prétextes foireux, comme dans le but de dégraisser l’intrigue, alors que cela provoque l’effet inverse. Le vibranium devient plus que jamais une marque et la cité de Tokalan, un miroir du Wakanda.
Sans plus. Ce regrettable constat s’empile avec les précédents et « Black Panther : Wakanda Forever » n’échappe pas à la sentence, malgré un son ton, indéniablement plus tragique et mélancolique. Le réalisateur s’efface de nouveau pour ne laisser que la confusion et un brin de suffisance spectaculaire en surface. Le spectateur est alors baladé entre deux parties distinctes, qu’il devra gratter pour atteindre le noyau dur d’un récit bien maigre. Les studios doivent également gérer le baby-boom de ses futurs héros en devenir, qui sature la narration et bien plus encore. L’ombre de Boseman a beau apporter plus de force, le film manque cruellement de nous émouvoir ou de nous divertir dans son milieu, et n’a rien d’autre à faire que de scinder son épilogue, témoignant toute la superficialité d’une production qui n’a pas autant d’âme ou de personnalité que sa dernière idole, qui avait au moins la décence d’unifier le public derrière lui.
Pas de T'Challa donc. Ou du moins, pas comme on le pense, afin de justifier la transition, étant donné le visage connu, qui viendra renfiler le costume de la panthère noire du Wakanda. Pourtant, le port de cette armure n’a pas à être l’enjeu du récit, qui offre avant tout de l’espace à ses personnages féminins, afin de s’épanouir et d’en démontrer la pertinence, dans un monde qui n’a pas besoin d’hommes pour reconstruire une nation et l’unifier derrière sa culture. À ce jeu-là, le film mérite autant notre attention que notre réflexion, notamment sur la question d’une figure iconique, à exhiber comme modèle à suivre. L’intrigue nous montre ainsi la vie, là où le premier volet était avare dans la représentation des peuples wakandais et de leurs coutumes, qui s’arrêtent sur des cérémonies de succession. Ici, il y a alors toutes les raisons d’y revenir, mais le constat blesse quand on sort des sentiers endeuillés. Dommage que l’on ne cesse de régresser, jusqu’à nous resservir une origin story à rallonge pour une Shuri (Letitia Wright) à l’aise pour porter les griffes, mais pas assez pour encaisser l’héritage qu’on lui impose.
De ce fait, l’intrigue souffre d’une grande confusion, entre deux sous-intrigues, où le passé et l’avenir de font pas bon ménage. Les maladresses inhérentes au cahier des charges, cadenassé par les studios aux grandes oreilles, qui rejette le colonialisme, alors qu’il se jette dedans avec une hypocrisie déconcertante. Que l’on assiste à une représentation plus riche du pays, à échelle humaine ne devrait même pas être un exploit à ce stade, mais une norme qu’il convient de dépasser. Et de la même manière, Coogler et son co-scénariste Joe Robert Cole ne parviennent pas à trouver le compromis idéal, sachant l’immense carrefour narratif que constitue ce film dans l’entièreté de la franchise. C’est pourquoi l’irruption d’un empire subaquatique a quoi nous frustrer ou désespérer, au choix, quant à la qualité de son leader, homme-poisson volant sans écaille ou charisme. Cette dispute politique ne tourne alors qu’autour de prétextes foireux, comme dans le but de dégraisser l’intrigue, alors que cela provoque l’effet inverse. Le vibranium devient plus que jamais une marque et la cité de Tokalan, un miroir du Wakanda.
Sans plus. Ce regrettable constat s’empile avec les précédents et « Black Panther : Wakanda Forever » n’échappe pas à la sentence, malgré un son ton, indéniablement plus tragique et mélancolique. Le réalisateur s’efface de nouveau pour ne laisser que la confusion et un brin de suffisance spectaculaire en surface. Le spectateur est alors baladé entre deux parties distinctes, qu’il devra gratter pour atteindre le noyau dur d’un récit bien maigre. Les studios doivent également gérer le baby-boom de ses futurs héros en devenir, qui sature la narration et bien plus encore. L’ombre de Boseman a beau apporter plus de force, le film manque cruellement de nous émouvoir ou de nous divertir dans son milieu, et n’a rien d’autre à faire que de scinder son épilogue, témoignant toute la superficialité d’une production qui n’a pas autant d’âme ou de personnalité que sa dernière idole, qui avait au moins la décence d’unifier le public derrière lui.
Dik ap Prale
Des vagues déferlantes à l'articulation tautologique d'une durée 2h40, avec pour seul espoir un hommage à la hauteur, non pas du personnage qui laissera son costume à d'autres bien évidemment, mais à Chadwick Boseman toujours habité même chez Marvel; Irremplaçable depuis un traitement sublime accordé par Ryan Coogler. Cette suite très attendue, malgré les transformations apportées depuis la disparition de l'acteur, est altérée par le pullulement imposé par la firme.
Namor subit cette confusion entre attente d'un public pour un personnage disparu et des figures devenues stériles sous l'impulsion d'un Studio qui ne veut plus s'arrêter.
La durée n'arrange rien et le sentiment d'être dans une pataugeoire côté direction entre choix artistique et choix financier laisse le Wakanda telle une terre devenue malheureusement stérile.
Namor subit cette confusion entre attente d'un public pour un personnage disparu et des figures devenues stériles sous l'impulsion d'un Studio qui ne veut plus s'arrêter.
La durée n'arrange rien et le sentiment d'être dans une pataugeoire côté direction entre choix artistique et choix financier laisse le Wakanda telle une terre devenue malheureusement stérile.
Avis mitigé. Il y avait de grosses attentes derrière ce Black Panther 2. Évidemment le décès de Chadwick laisse orphelin ce super-héros charismatique. Le film a un bon scénario même si la crédibilité est parfois mise en cause. 2h45 qui s'enchaînent bien pas de lenteurs mais le fond du film n'est pas là. Il manque quelque chose pour créer l'engouement et ça manque de moments épiques comme Marvel sait si bien le faire. C'est dommage. On sort de la salle avec un manque, ce petite truc explosif qui donne des frissons. Les combats sont plutôt bons pourtant. Le premier volet reste clairement au dessus. Ce film va rentrer dans la famille des "second volets qui font flop" :s
« Black Panther : Wakanda Forever » constitue un vibrant hommage au regretté Chadwick BOSEMAN. Le film possède un aspect dramatique plutôt réussi avec de nouveaux antagonistes intéressants et efficacement introduits. Tenoch HUERTA livre une très belle performance dans le rôle de Namor. Malheureusement, la prestation de Letitia WRIGHT reste en-dessous. Elle n’a pas encore les épaules assez larges pour succéder au Black Panther original. Le film comporte quelques longueurs, avec un schéma narratif vraiment lent. Heureusement, il y des scènes de combat plutôt efficaces. Le film n’est en aucun cas une catastrophe, mais il est loin d’être aussi bon que son prédécesseur.
Je ne sais que penser de cette histoire de wakanda super évolué pour un pays africain mais ce qui est sûr c'est que sans Chadwick cette suite et ridicule et peu crédible et pleine de cliché, on a maintenant une Iron girl et une princesse combattante et scientifique.
Si vous avez 2h30 a tué allez-y.
Si vous avez 2h30 a tué allez-y.
Objectivons
Si je reprochais au précédent Panthère noire "trop de clichés sur les traditions africaines", non seulement je trouve qu'on pourrait ressortir la même remarque à cette suite, mais l'aggraver avec les aztèques. Également, j'ai trouvé que le scénario était parfois poussif et tombait dans la facilité.
Enfin, comme un ami me le faisait remarquer pendant le visionnage, "pourquoi les wakandais et les aztèques n'ont rien fait pour lutter contre l'esclavage (en Afrique, pour les wakandais) et le massacre de leur peuple (pour les aztèques)" ?
...
Enfin, comme un ami me le faisait remarquer pendant le visionnage, "pourquoi les wakandais et les aztèques n'ont rien fait pour lutter contre l'esclavage (en Afrique, pour les wakandais) et le massacre de leur peuple (pour les aztèques)" ?
...
Black Panther 2 sans le regretté Chadwick Boseman en rôle principal. Prise de risque de Marvel de continuer de la sorte ; Mais sa ne les a pas empêcher de nous sortir la suite de Black Panther. Resultat : C est plus que moyen. Non pas à cause du manque de Chadwick Boseman (le film n est pas mauvais a cause de ça et heureusement) mais a cause de pleins de details qui gâche le film . A commencer par le scénario : Incohérences ; Facilité scénaristiques qui arrange le scénario afin a sa sauce. Realisation très devncevante. Alors oui, ce genre de film ce n'est pas le point le plus important mais là c est vraiment la cata : Entre les scènes cut ×100 + les scènes abusives en ralenti... il y a quand meme quelques points positifs : les acteurs/actrices s en sortent pas mal (par contre faut pas abuser pour les nominations aux oscars) ainsi que les musiques et la BO de Rihanna.
Conclusion : Film Potentielle gâché
Conclusion : Film Potentielle gâché
Cette suite de The Black Panther n'a pas la même énergie que le premier volet. Le dynamisme s'épuise au fur et à mesure des 2h40.
Comment arriver à faire son deuil ? Que faire de son arme la plus précieuse, enviée par le reste du monde ?
Des interrogations intéressantes à l'intérieur de cette suite plutôt basique et inutilement étirée (2h44!), réitérant les qualités et les défauts de son prédécesseur.
Un face-à-face entre deux nations (le Wakanda et Talocan, représenté par Namor) s'étant retiré du reste du monde qui aurait gagné à être moins laborieuse (notamment à cause de certains persos et certaines sous-intrigues inutiles) et à ne pas retomber dans certains travers du cahier des charges habituel.
Un film qui évite le piège du voyeurisme malvenu et du larmoyant quant au décès de Chadwick Boseman (dont la présence manque à ce second volet), mais cherche à complexifier artificiellement une intrigue qui ne brille pas vraiment par son originalité.
Doté d'une mise en scène assez soignée mais au style parfois poseur, un 30e film du MCU coincé entre hommage sincère et divertissement coloré ayant les yeux plus gros que le ventre. 5,5/10.
Des interrogations intéressantes à l'intérieur de cette suite plutôt basique et inutilement étirée (2h44!), réitérant les qualités et les défauts de son prédécesseur.
Un face-à-face entre deux nations (le Wakanda et Talocan, représenté par Namor) s'étant retiré du reste du monde qui aurait gagné à être moins laborieuse (notamment à cause de certains persos et certaines sous-intrigues inutiles) et à ne pas retomber dans certains travers du cahier des charges habituel.
Un film qui évite le piège du voyeurisme malvenu et du larmoyant quant au décès de Chadwick Boseman (dont la présence manque à ce second volet), mais cherche à complexifier artificiellement une intrigue qui ne brille pas vraiment par son originalité.
Doté d'une mise en scène assez soignée mais au style parfois poseur, un 30e film du MCU coincé entre hommage sincère et divertissement coloré ayant les yeux plus gros que le ventre. 5,5/10.
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