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framboise32
158 abonnés
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1,5
Publiée le 8 décembre 2018
Pas grand chose à dire sur le film si ce n'est que aussitôt fini, aussitôt oublié. Les sujets multiples abordés finissent par nous lasser et par nous perdre. Le film s’essouffle et nous aussi. C'est poussif et caricatural. Dommage parce que Bérangère Krief est sympathique et naturelle. Mais c'est largement insuffisant. Les personnages autour d'elle, hormis Patrick Chesnais sont faibles
Que dire sur ce film, hormis que le casting n'arrive pas à sauver ce dernier. Absence totale d'originalité dans ce film, même les gags finissent par tomber à l'eau. Je ne sais que dire de plus, tellement j'ai été déçue de voir qu'on nous ressortais les mêmes clichés habituels sur la campagne, les parisiens, les élèves, les profs... Pourtant j'apprécie Bérengère Krief mais je n'ai pas du tout aimé son rôle ici. J'en suis à me demander comment ils ont pu accepter de tourner dans ce film. Dommage, il y a tellement de choses à dire sur le sujet autre que les clichés habituels.
Une jeune prof parisienne nommée dans un collège rural de Picardie... quelle originalité ! Pas besoin de spoiler, vous avez déjà le début et la fin dans la tête. Juré ! Au menu : peu d'humour et beaucoup de clichés. Visiblement, il ne reste plus du tout de jambon dans le frigo d'Anne de Pétrini. On peut attendre que le film passe sur M6 pour ne pas le regarder.
Ce film est un cliché sur les Parisiens (des bobos), sur les provinciaux (des ploucs consanguins). Ah oui, il y a une histoire d'amour, on la devine dès la 5ème minute du film et on sait que sa conclusion sera présentée juste avant le générique de fin. Entre on trouve pèle mêle des élèves qui sont tous à 80% débiles, des parents d’élèves catholiques (et donc forcément très peu ouvert d'esprit, forcément), un exploitant agricole à la pensée ancienne (c'est à dire du 18ème siècle)... Vous l'aurez compris, ce film est à côté de la plaque complet, ce n'est pas drôle, et ça met même mal à l'aise.
D'ailleurs jusqu'au bout ce film est faux, la pauvre héroïne se retrouve dans une forêt et caresse un faon, et la biche va "sauver" ce dernier sauf... qu'une biche reconnait soin petit à l'odeur, et caresser un faon c'est condamner à mort ce dernier car la mère ne le reconnaîtra plus.
Bon, seul bon point, Patrick Chesnais, très tendre et dont le rôle ne présente pas d'anomalie.
Finalement, on peut se contenter de la bande-annonce de l’école est finie. D’ailleurs, la bande-annonce offre quelques passages drôles, qui deviennent gênants une fois remis dans le contexte du film. Pour la simple raison que ce film n’est qu’un cumul grossier de clichés en permanence, aidé par une histoire prévisible dès la bande-annonce et qui n’offre finalement pas de passages drôles. Un film réellement bâclé qui est à peine supportable grâce à l’énergie presque sans fin que Bérengère Krief mets dedans.
Scénario vieillot, empilant les clichés et sans aucune originalité. Des acteurs qui font ce qu’ils peuvent malgré tout, avec un Patrick Chesnais qui sort du lot comme d’habitude. J’ai regardé jusqu’au bout donc le film n’est pas si mauvais mais il n’a aucun intérêt
Le synopsis et la bande annonce nous promettent une comédie drôle. L'idée de départ d'une jeune prof parisienne qui débarque à la campagne aurait pu être prometteur avec pourquoi pas un côté léger et drôle. Et bien c'est complètement raté ! C'est terriblement ennuyeux, en réalité on suit simplement la vie d'une prof et de ses élèves dans une classe, et.... c'est tout. Avec en prime une vision fausse de l'école rurale et aucun trait d'humour. 1 point pour le casting, 0,5 pour tout le reste. Je ne recommande pas !
Dommage pour les acteurs mais le cumul de clichés m'a mise mal à l'aise très vite. Autant dire qu'être provincial est visiblement présenté comme une tare ! Pêle-mêle on assiste à : - une maison digne des années 50 (et oui, en province on aime le papier à fleurs et des animaux empaillés !) sans internet (et oui, ça aussi on n'a pas !), - des nids de poule dans les routes (parce qu'à Paris les chaussées sont magnifiques !) - des élèves qui ne comprennent pas un mot d'anglais (ha ! pauvres paysans incultes !) - des parents soit cathos bornés soit qui ne veulent pas voir leurs enfants réussir J'en passe. Jusqu'à la fin j'ai pensé que ces clichés allaient être brisés... et non.
Pour que l’école soit finie, il faudrait d’abord qu’elle ait commencé. Car que voyons-nous ici de l’école, sinon le bâtiment, la cour, la salle des professeurs et la salle de classe, le plus souvent traversée de boulettes de papier – certainement les photocopies des manuels scolaires distribués quelques minutes auparavant –, le conseil de classe, les pots d’arrivée et de départ, petits biscuits et champagne grossier ? Le film est une surface lisse sur laquelle glissent tous ses enjeux, de la mobilité des jeunes enseignants envoyés malgré eux dans des villes voire des académies qu’ils n’ont pas choisis à la difficulté de transmettre et de se faire respecter par sa classe, de l’identité apatride du professeur entre deux horizons – celui dont il vient, celui où il doit être – à la cohabitation avec un couple âgé dont la femme souffre de pertes de mémoire. Il était pourtant fort pertinent de rejouer en mode mineur le choc des cultures depuis la salle de classe vers la maison habitée avec ses propriétaires, occasion d’une double et parallèle adaptation. Mais non, les deux microcosmes ne s’influencent jamais, sinon lorsqu’il s’agit d’accueillir le séduisant professeur de mathématiques dont la seule preuve de sa fonction réside dans la règle pour le tableau qui dépasse de son sac à dos. Car des enseignants on nous en présente beaucoup, enseignants que nous ne voyons jamais enseigner, seulement se plaindre, photographier les copies de leurs élèves pour rigoler un bon coup, s’amouracher sur le quai de la gare. Que l’école devienne à ce point un prétexte à la romance la plus sirupeuse écœure autant que le personnage féminin qui l’anime, Parisienne insultante pour Paris et la Picardie qu’elle vulgarise de son simple regard. S’il fallait trouver une réussite à L’École est finie, ce serait celle-ci : déplacer la vulgarité souvent associée au cadre régional – la province, vaincue à cause de sa boue, ses maisons en brique, sa rusticité environnante, son Kevvin avec deux v pour la beauté du geste, tout cela est bien connu ! – en direction de cette enseignante à peine titularisée à qui l’on ne confierait même pas des animaux à garder. À l’image de la production tout entière, aussi mal mise en scène que bêtement écrite, n’ayant visiblement que peu mis les pieds à l’école, et jamais encore au cinéma.
L’idée était bonne, le sujet aurait pu être même intéressant (voir déjà vu) ... mais l’écriture du film reste beaucoup trop sommaire et au final on s’ennuie un peu. Bérangère Krief qui jusque là a pu avoir des seconds rôles assez bien interprétés ne convainc pas du tout dans ce film. Décevant !
Une comédie un peu datée, pas finaude et bourrée de clichés. Une classe de 18 élèves, une méconnaissance totale du fonctionnement d'un collège, des personnages stéréotypés et des vannes qui sentent le réchauffé. Vraiment très moyen.
Excessivement mal interprété par l'ensemble des acteurs et à l'intrigue d'une linéarité déconcertante, le film est très peu crédible et très maladroit. La caricature des zones rurales poussée au centuple fera pourquoi pas rire les citadins (ceux qui croient faussement à ces clichés), mais pour les autres, il faut redoubler de courage face au rythme mou du genou, à la romance culcul devinée dès le départ, au final très niais, et à des gags de niveau "en-dessous de la moyenne". La classe comporte également son lot de clichés : la gothique, la première de classe, le cancre, l'intello en malêtre (qu'on devine à chaque fois rien qu'en un coup d'oeil, les vêtements étant adaptés à l'identification, soit des caricatures sur pattes), et l'entraide inattendue de deux filles que tout oppose reste certainement l'unique bon point qu'on distribue au film. Le discours moyenâgeux des parent campagnards de l'intello est assez maladroit et (je me répète) caricatural (pas de réel argument, et joué sans grande conviction par les acteurs, on reste de marbre devant la scène). Bref, un énième film sur les profs et les élèves, qui n'obtient pas les félicitations du jury car il ne semble pas croire en lui-même une seule seconde... Recalé.
Tristement désastreux : rien ne sauve le film...Tel un très mauvais téléfilm, les pires clichés sur les profs et les élèves , un manque complet de réalisme pour de nombreuses scènes rendues malencontreusement comiques, une image floue pour les prises de vue lointaines, un scénario navrant. Comment ne pas se rendre compte de ce que l'on offre à voir ? Quelle déception...
Je ne sais pas dans quelle catégorie classer ce film mais une certitude c'est qu'on n'en entendra pas parler longtemps car ni le scénario ni le jeu des acteurs ne rend le film distrayant. PLV : à réserver aux fans de l'humoriste