Chilly Gonzales - Shut up & Play the Piano : Critique presse
Chilly Gonzales - Shut up & Play the Piano
Note moyenne
2,7
7 titres de presse
Transfuge
L'Humanité
L'Obs
Les Fiches du Cinéma
Première
Le Monde
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Transfuge
par Damien Aubel
[...] brillant docu [...].
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le film se calque sur l’univers du bougre en retraçant son parcours sur un mode un peu foutraque. Bilan correct pour un docu pas indispensable qui prêche surtout les convaincus.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ce documentaire est une introduction parfaite à l'œuvre abondante et versatile de ce pianiste émérite, ce showman excentrique, habité par le doute et la mégalomanie, qui navigue du rap au classique, collabore avec Drake, Daft Punk, Arielle Dombasle ou Jane Birkin et a créé son école de musique éphémère, le Gonzervatory.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Un premier film enthousiasmant et électrique, hommage à une personnalité flamboyante, qui pourra néanmoins laisser les amateurs sur leur faim.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Michaël Patin
Soit le rêve de tout acteur et l’idée maîtresse de Shut Up And Play The Piano, documentaire cannibalisé par son sujet (c’est presque un autoportrait) où l’accès au réel est une manière comme une autre – mais pas la moins efficace - de perpétuer la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le documentaire autour du pianiste rappeur se refuse à explorer ses zones d’ombre.
Télérama
par Erwan Perron
« Si vous êtes fan de ma musique, il va vous falloir apprendre à me détester », prévient celui qui a collaboré avec les Daft Punk ou la chanteuse Feist. Il fait bien de nous prévenir : ses traits d’humour, ses charges contre les journalistes et ses provocations sexuelles ont la légèreté d’un tank américain.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Transfuge
[...] brillant docu [...].
L'Humanité
Le film se calque sur l’univers du bougre en retraçant son parcours sur un mode un peu foutraque. Bilan correct pour un docu pas indispensable qui prêche surtout les convaincus.
L'Obs
Ce documentaire est une introduction parfaite à l'œuvre abondante et versatile de ce pianiste émérite, ce showman excentrique, habité par le doute et la mégalomanie, qui navigue du rap au classique, collabore avec Drake, Daft Punk, Arielle Dombasle ou Jane Birkin et a créé son école de musique éphémère, le Gonzervatory.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film enthousiasmant et électrique, hommage à une personnalité flamboyante, qui pourra néanmoins laisser les amateurs sur leur faim.
Première
Soit le rêve de tout acteur et l’idée maîtresse de Shut Up And Play The Piano, documentaire cannibalisé par son sujet (c’est presque un autoportrait) où l’accès au réel est une manière comme une autre – mais pas la moins efficace - de perpétuer la fiction.
Le Monde
Le documentaire autour du pianiste rappeur se refuse à explorer ses zones d’ombre.
Télérama
« Si vous êtes fan de ma musique, il va vous falloir apprendre à me détester », prévient celui qui a collaboré avec les Daft Punk ou la chanteuse Feist. Il fait bien de nous prévenir : ses traits d’humour, ses charges contre les journalistes et ses provocations sexuelles ont la légèreté d’un tank américain.