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    Je veux juste en finir
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    103 critiques spectateurs

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    RamiValak
    RamiValak

    7 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 janvier 2021
    La culture du vide, et la vacuité de toutes choses, sont les thèmes qu'aborde joyeusement Je veux juste en finir, avec une radicalité rare, mais une pertinence certaine. L'intelligence du film réside dans la façon dont tout, que ce soit la forme, l'écriture ou la narration, tout sert le propos. L'impression de flou que dégage le film, d'oeuvre à la fois dense (l'expérience est longue et douloureuse) et creuse, la place est laissée aux dialogues, et aux pensées de l'héroïne, qui ne servent strictement à rien, l'accumulation de citations diverses, les poèmes récités, les critiques répétées, sont éparpillées, ne possèdent aucun liant, et c'est ça qui est beau : nous, qui nous croyons cultivés, et bien nous ne sommes que des éponges, vouées à vomir ses lectures, ses apprentissages, et qui n'existont que dans cette zone de clair. Le passage résumant le mieux cela est celui où Jesse Plemons invoque Tolstoï, puis que Jesse Buckley se révèle en connaître plus que lui, et que ce dernier coupe immédiatement. Il s'accroche à un savoir qu'il pense bon, complet, et le rejet instinctif qu'il émet à l'instant où apparaissent les trous, est infiniment intéressant, et pertinent à une époque où tout le monde à accès à un savoir immense, et pense connaître sus le bout des doigts un sujet dont ils ont lu la page Wikipédia. La dernière partie du film me paraît plus complexe à interpréter, à partir du moment où l'action se déroule dans le lycée, le flou s'intensifie, et que comprendre de cette chanson, de ce cochon, je ne sais.
    Pál K
    Pál K

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 février 2021
    Des gens qui s'extasient devant grand tableau blanc, c'est comme ça que vous ceux qui qualifient ce film de chef d'œuvre. Moi j'ai eu une impression d'irrespect (jusqu'au format en 4:3) de la part du réalisateur. Une purge. J'ai perdu 2h30 de ma vie. Je voulais juste en finir.
    orlandolove
    orlandolove

    137 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 décembre 2020
    L'histoire multiplie les fausses pistes et les ruptures, au point de diluer notre intérêt pourtant bien aiguisé par la première heure du film. Dans des rôles difficiles, Jessie Buckley et Jesse Plemons étalent leur indéniable talent.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 septembre 2023
    Un excellent film parce qu'il change de tout ce qu'on a pu voir, hormis peut-être les films de Quentin Dupieux. On entre ou on n'entre pas dedans, et est-ce que l'on en sort ? Mais le décalage n'est pas du même ordre.
    Qui est le personnage principal, la fille ou le garçon ? La fille existe-t-elle en fait, est-ce que tout cela n'est pas le produit de l'imagination du garçon, ou bien est-ce que la fille existe et pas le garçon ? Mais alors, qui conduit la voiture ? Voyez le genre de question qu'on peut se poser. Je vais le revoir, parce que j'ai besoin de comprendre où le réalisateur veut nous emmener. Après il y a des scènes cultes, celles de la rencontre avec les parents et le chien, le repas, la soirée, tout ça est étrange, mais le plus étrange reste la dernière scène, lorsque le garçon joue la comédie devant un parterre de quoi ? Et la scène finale, cet opéra qui ressemble à The Wall, enfin de loin. C'est la voix qui me fait penser à ça.
    En fait, à la deuxième vision on découvre des détails passés inaperçus la première fois. Comme par exemple le fait que l'actrice change de vêtements trois fois au moins, et qu'elle passe du rouge au bleu, pourrait signifier qu'il s'est passé du temps, qu'il y a des croisements de personnages, et ça reste toujours incompréhensible.
    Film qui nécessite un troisième visionnage. Je passe peut-être à côté d'un chef d'œuvre.
    Alors, la chanson de la dernière scène vient de la comédie musicale Oklahoma !
    Par certains côtés, ce film ressemble à l'histoire dans Garage, ce pauvre type simple et naïf. Le drame arrive lorsque l'on ne s'y attend pas. Ici, on s'attend à quelque chose, et à mesure qu'on se familiarise avec les personnages, on commence à comprendre ce ça se passe dans la tête de Jake. Il faut faire attention aux détails, comme les motifs des papiers peints que l'on retrouve peut-être sur la robe de la fille, mais qui n'y attraient pas au début. Le pull également change de couleurs, mais c'est subtile, on peut passer à côté. Dans la chambre de Jake, les objets ont un sens, ils ne sont pas là par hasard. On en retrouve certains dans la décoration de la scène finale, la comédie musicale, notamment l'urne funéraire du chien.
    Alors il faut voir la comédie musicale Oklahoma ! pour savoir que la scène finale est reprise du film, lorsque les acteurs sont remplacés par des danseurs. Et qu'il y a des références à cette comédie musicale. De plus, la dernière scène Lonely Room n'apparaît pas dans le film, mais suggérée musicalement. Par contre elle a été remise dans la version théâtrale que l'on ne peut malheureusement pas voir en France. L'acteur principal s'identifie au personnage secondaire de la comédie, ce pauvre garçon de ferme qui a déjà tué toute une famille en brûlant la maison (spoil de la comédie musicale).
    Pour les amoureux des faux-raccords, il y a du boulot.
    Le glacier Tulsey Town est copié sur le modèle de Dairy Queen, glacier très connu aux Etats-Unis.

    Je viens de me rendre compte que l'avant dernière scène est un clin d'oeil au film de Ron Howard sur John Forbes Nash.
    Cinememories
    Cinememories

    487 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 décembre 2020
    Scénariste de « Confessions d'un homme dangereux » et de « Eternal Sunshine of the Spotless Mind », Charlie Kaufman revient pour un troisième long-métrage sensiblement psychologique et horrifique. Connu pour sa narration chaotique, dans le bon sens du terme, il parvient à insuffler une certaine splendeur dans ce qu’il décrit, ce qu’il regarde et ce qu’il redoute. A travers des personnages qui ne peuvent mimer par eux-mêmes leur personnalité ou leur identité, l’œuvre questionne en tout temps et fait évoluer ses enjeux, au même rythme qu’il remodélise toute la psyché d’une protagoniste torturée. Le délire mental est une source de drame qui s’agrémente ainsi de son environnement, glacial et enneigé. Ce qui nous limite évidemment aux idées les plus sombres et aux mouvements les plus brusques.

    C’est l’histoire d’une traversée, d’une rencontre et d’une séparation. Ces trois phases sont ainsi connectées à cette même problématique, qui hante une héroïne (Jessie Buckley) qu’on ne parvient ni à nommer, ni à définir dans ce monde. Pourtant, on s’y intéresse, avec patience et une atmosphère de l’étrange dont Kaufman a le secret. Il suffit de penser à son « Anomalis », cinq ans plus tôt, pour témoigner de son aisance. Ainsi, les ingrédients du malaise s’empilent, au détour d’un voyage conjugal étonnant. Le changement de ton répond à un changement de scène, voire simplement à un changement de pièce. Le foyer des beaux-parents devient un sanctuaire à remord et qui n’a pas de frontière. Tout le monde cherche ainsi le confort qui lui est propre, ce qui est parfois incompatible avec autrui, soi-même ou une autre époque. Et c’est ce qui nous rapproche un peu plus de cette impression, qui frôle nos rétines dès les premiers instants et les premiers mots prononcés. Le couple est destiné à se perdre.

    Jake (Jesse Plemons) n’est pourtant pas le petit ami idéal, mais ses efforts semblent pouvoir se briser aussi facilement que sa relation. L’intérêt qu’on lui porte n’est pas si secondaire ou abstrait, car il faudra interpréter chacun de ses mots, qui le ramène inévitablement là où il devrait être. Mais comme le mouvement est source de confusion, dans ce récit qui ne repose pas sur des lois conventionnelles. La gravité ou la simple valeur d’un plan ne sont que des restrictions bien trop linéaires dans un langage visuel. L’intrigue étire pourtant son attraction hors de l’écran, comme s’il fallait y comprendre une scission entre l’âme et le corps. Et ce sens, l’existence même nous ramène à la dépression que l’on dépeint avec l’angoisse appropriée et sophistiquée. Toni Collette et David Thewlis sont les ambassadeurs de ce constat et promettent le portrait, à terme, d’un mariage et du vieillissement. Les deux sont étroitement liés, mais chacun de son côté finit par répondre du passé, si celui-ci s’avère véridique.

    « Je veux juste en finir » (I'm Thinking of Ending Things) n’est donc pas un hurlement, propre aux spectateurs qui ne parviendrait pas à survivre au trajet sous le blizzard. Il s’agit d’une lettre ou encore d’un testament en hommage aux rendez-vous manqués et au bonheur que l’on a amputés. Ce sont bien des hurlements de douleur, mais qui jamais ne nous presseront vers sa destination finale. Le détour fait partie du voyage et cela se sent dans la narration et ces échanges, tantôt poétiques, tantôt crispants. C’est un véritable déluge fantomatique qui interpelle de manière à laisser le montage influencer ce qui a été piégé dans le cadre. Peut-être qu’à l’image de ses personnages, perdus dans un labyrinthe mental et obsessionnel, le réalisateur exprime la détresse du roman de Iain Reid par le biais d’une mise en scène poussée à son paroxysme, d’où la conclusion qui maintient l’étrangeté et qui célèbre pourtant une délivrance. Cela jure maladroitement avec ce qui le précède, mais tout a été dit et redis. Le temps restant servira d’extra pour une méditation qui nous rapproche de nos sentiments, sans que l’on puisse les éviter ou les isoler encore un peu plus loin dans la brume.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 26 novembre 2020
    C'est un 2/5 que j'adresse à ce film.
    2/5 car le réalisateur a (quasiment) réussi à me faire tenir jusqu'à la fin.. Pour finalement pas grand chose, pour les quelques amateurs de cinéma d'auteur, cela semble vraiment en être une parodie, malaisante par le scénario mais également par le sentiment procuré par les procédés par lesquels le réalisateur passe pour faire passer ces scènes terriblement lentes et ces dialogues décousus pour "intellectuels", ne parlons pas de ces "poèmes" cités à droit à gauche histoire de...
    Enfin le plus important dans cette "critique" : Il y a vraiment de bons films d'auteurs, de bons films dont le sens n'est pas palpable de suite, ne vous fermez pas à ce genre.. Mais celui-ci est vraiment un mauvais exemple.
    Et surtout : Arrêtez de comparer ça à du David Lynch ! PITIÉ
    Aulanius
    Aulanius

    200 abonnés 1 709 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 novembre 2020
    Une très bonne surprise. Un film expérimental comme j'aime, très imagé avec beaucoup de passages intriguants et subtils. L'actrice principale est vraiment super convaincantes et fait assez paradoxal, les autres sont plus connus dans le cinéma mais un peu moins bons... En tant que fan de Lynch, je peux le dire, il y a des certaines scènes qui font penser à son style même s'il reste inégalable. On pourrait divisier "Je veux juste en finir" en plusieurs chapitres. Le début remet clairement en compte notre existence et celle de la protagoniste, le second est un méli-mélo de plusieurs périodes de la vie en un seul dîner / ce qui tourne autour et le dernier est le plus abstrait à tous les niveaux. Je regrette un peu que par moments, ce soit un peu long surtout la fin qui selon moi est un peu "inutile". Après, c'est une question de goût car pour le reste, j'ai vraiment aimé et d'autant plus que je n'avais jamais vu un film Netflix aussi réussi auparavant. Par contre, il ne plaira pas à tout le monde car il est d'un genre assez décalé mais pour tous les amateurs de grand écran, fonçez. En résumé, une belle découverte. 13/20.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    637 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 novembre 2020
    C'est quoi ce film, sérieux ? Je n'ai absolument rien percuté à "Je veux juste en finir", que j'ai traversé comme un véritable calvaire interminable et sans but. Seul le titre, très évocateur de mon état d'esprit, faisait sens. Pourtant, il me faisait envie depuis longtemps et je suis d'habitude friand de ce genre de production barrée et bizarroïde menée par un parti pris fort de bout en bout. Mais là, cette adaptation de roman, réalisé par Charlie Kaufman (scénariste de "Eternal Sunshine of the Spotless Mind" et "Dans la peau de John Malkovich"), désintègre toutes cohérences, à commencer par son rapport dilaté au temps jusqu'aux sens des personnages et du spectateur qui se trouvent totalement azimutés. L'histoire est pourtant simple : une jeune femme prend la route avec son petit copain pour visiter les parents de celui-ci, qui vivent dans une ferme isolée. Alors qu'elle devrait se réjouir de partir à la rencontre de la belle famille, la jeune femme doute et réalise qu'elle souhaite juste en finir... Au départ, on accepte les longueurs en s'accrochant à des dialogues à huis clos étranges mais bien interprétés. S'ensuit une partie plus dérangeante et psychédélique, qui m'a le plus convaincu, où l'introduction des beaux-parents fait l'objet de réactions improbables et de sauts dans le temps. Le film oscille entre surréalisme et absurde, c'est intriguant et ennuyeux à la fois. La photographie et les décors sont superbes et sauvent les apparences, à défaut d'avoir une histoire captivante. Si poésie il y a, c'est là qu'elle se cache. La distribution est aussi intéressante (Jessie Buckley est superbe), et le jeu plutôt réaliste, mis à part le binôme de Toni Collette et David Thewlis, pantins excentriques très curieux à observer. Le final, quant à lui, nous enfonce dans les broussailles nébuleuses d'un récit déprimant, partant dans tous les sens possible et imaginable. C'est déroutant, voire indigeste. On peut néanmoins en tirer quelques thèmes principaux : sens de la vie, relativité du temps, réflexion sur l'amour et le couple, nos choix et nos rencontres qui nous définissent... "Je veux juste en finir" est une invention extravagante bavarde, suffisante et excessivement prétentieuse. Une épreuve étonnante et imprévisible de 2h14 que je recommande pour un public averti, bien (r)éveillé...
    David M
    David M

    28 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 novembre 2020
    On s'est tous dit la même chose " je veux juste en finir"
    La première partie était assez intéressante mais la dernière partie interminable et sans vraiment de sens.
    A la base je suis fan de ce genre de film absurde mais là ça allait trop loin. Dommage
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 octobre 2020
    J’aime cette façon d’aborder le cinéma. C’est un film intrigant qui demande réflexion, qui nous donne envie de le revoir pour éclairer certaines parties qui nous échappent. Je trouve cela décevant que les gens qui n’ont pas compris son sens réfutent que cela puisse être un bon film, triturez vous les méninges, débarrassez vous de vos « œillères » Et débarrasser-vous de l’image dont doit être monter un film. Très original et déroutant.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    179 abonnés 1 165 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 octobre 2020
    Charlie Kaufman dont les qualités de scénariste ne sont plus à démontrer signe ici un film presque expérimental et presque réussi. Difficile de rentrer dans cette histoire verbeuse souvent énervante voire éreintante et qui semble dire quelquefois au spectateur "je suis plus intelligente que toi". En voulant réaliser un film où la réalité se dissout peu à peu dans l'étrange le réalisateur se prend les pieds dans le tapis neigeux, n'est pas David Lynch qui veut.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    416 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 octobre 2020
    A tous les spectateur.trice.s qui râlent après les histoires complexes de Christopher Nolan, comprenez bien que Tenet n’est rien à côté de Je veux juste en finir. Netflix nous propose un film qui se situe à l’apogée des longs-métrages incompréhensibles et absolument inutiles. Pire qu’un navet c’est une ignominie. Comment oser proposer une œuvre qui n’a pour scénario que l’absence de scénario ? C’est la question qu’on peut poser au réalisateur et scénariste. Aurons-nous une réponse ? Pas si sûr. Devant les interrogations d’IndieWire Charlie Kaufman déclarait : « Je ne suis pas vraiment doué pour expliquer ce que sont les choses », refusant ainsi de nous guider et dans le film et en dehors. Faisant plutôt appel à notre discernement : « Je laisse les gens vivre leurs expériences, donc je n’ai pas vraiment d’attentes quant à ce que les gens vont penser. Je soutiens vraiment l’interprétation de chacun ». Trop facile lui répond-on.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 octobre 2020
    Long, très long, très très long, très très très long.
    Pourtant les plans sont beaux, mais certains inutiles, longs et sans compréhension. L'histoire ne prend pas, ne décolle pas, ne trouve pas son intérêt. Je crois que ce réalisateur aime les films longs qui ne prennent pas et honnêtement je n'arrive à comprendre ni à aimer et parfois à tout regarder. Honnêtement passer votre chemin !!!
    ffred
    ffred

    1 730 abonnés 4 021 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2020
    Sortie direct sur Netflix pour ce nouveau Charlie Kaufman. Absent depuis le très beau Anomalisa son film d'animation, en 2015. Comme d'habitude il ne faut pas chercher de réalisme ni essayer de comprendre. Entre rêves et cauchemars on suit cette histoire d'amour (qui finit ?) entre fascination et intrigue. Mise en scène et direction artistique sont splendides. L’interprétation on ne peut plus convaincante. Jessie Buckley et Jesse Plemons dans le rôle du jeune couple d'un côté, Toni Collette et Thwelis dans le rôle des parents de l'autre côté, sont tous formidables. Étrange et prenant, un Kaufman bon cru.
    Emilie P
    Emilie P

    1 critique Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 octobre 2020
    « Je veux juste en finir » c’est ce que je me suis dit pendant tout le film...Et il est long.
    Si la performance des acteurs est indéniable, le film n’a ni queue ni tete. Il n’a d’ailleurs ni début ni fin. Je suis allée jusqu’au bout me disant que ça ne pouvait pas se résumer à ces scènes successives et sans transition de situations plates et absurdes... même pas
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