Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Express
par Marie Marvier
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro Magazine
par Nicolas Rey
Film d'anticipation futé et sentimental, il est assez probable que cette histoire fasse date. Un jour, les gestes virtuels de Thomas n'auront rien à voir avec de la science-fiction.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde.
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Jean Roy
Le procédé, immédiatement identifié comme tel par le spectateur, pourrait sembler lassant. Il parvient à ne l'être jamais, comme le film parvient à ne pas succomber au démonstratif.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
(...) Pierre-Paul Renders arrive à nous captiver, malgré un personnage principal invisible mais audible. Parce que, tout en faisant preuve d'imagination futuriste, le réalisateur nous confronte aux problèmes et aux tendances de notre vie actuelle (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par n.c.
Faire un film entièrement virtuel sans que le personnage principal y montre jamais le bout de son nez : l'idée était culottée. Benoît Verhaert ne s'en sort pas trop mal. Ce premier long-métrage fourmille de trouvailles et laisse imaginer ce qui pourrait peut-être un jour nous arriver à tous.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
On pourrait croire que tout ça est bien oiseux, un ersatz orwellien parmi tant d'autres. Mais le film est diablement habile (...). Le dispositif limitant les possibilités fictionnelles, le réalisateur en a tiré le meilleur parti possible.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
(...) l'inventivité de la réalisation, l'intelligence du scénario alliée à l'excellence de l'interprétation font de Thomas est amoureux une belle découverte et une excellente surprise.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
par Remi Jimenez
(...) Thomas est amoureux demeure un petit objet intrigant finalement assez sympathique, faute de mieux !
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
On saluera l'audace de principe. (...) A ce genre d'audace formelle, il faut un imaginaire riche afin de casser la raideur du dispositif. Elle est vite monotone, la ronde d'individus à l'excentricité appliquée, ressassant des banalités aseptisées (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Sans action, avec comme seul guide un personnage fantôme, le film peine à faire diversion. Le titre nous apprend que Thomas finit quand même par s'en sortir - en tombant amoureux. Rien de moins certain.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
(...) ce qu'on voit, ce n'est pas un regard (qui exige cadrage et recadrage permanent de la chose vue, un "point de vue" en somme), c'est la vision d'une webcam qui observe une autre webcam, dans un rapport tristement binaire et objectif. Les humains s'agitent mollement devant ou derrière, mais, manifestement, les webscams n'en ont cure.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Ecran Fantastique
par Stéphanie Vandevyer
(...) est-ce une allégorie d'un futur proche, de notre présent ou déjà d'un passé révolu ? Le film est un huis clos d'autosatisfaction où la technique prend le pas sur l'histoire, où le minimalisme est de rigueur, et dans lequel Pierre-Paul Renders s'est pris pour le nouveau Big Brother
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Ce (mince) sujet de nouvelle appelait au cinéma une idée forte de stylisation, que les gadgets visuels bariolés et le vieux trucs de la caméra subjective ne sauraient remplacer. Dès lors, les mésaventures de Thomas restent comme ses interlocuteurs : virtuelles.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Didier Péron
Thomas est amoureux, film belge, Grand prix du festival Fantastic'arts de Gérardmer, aurait pu être un court-métrage à peine amusant. La laideur de l'ensemble (...) évoque un Cédric Klapish inédit et particulièrement raté. Tous aux abris.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par n.c.
Petit écran, petits moyens, petite ambition. Morale boy-scout faussement généreuse qui milite pour la normalité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Urbuz
par Vincent Malausa
(...) film déjà dépassé dans sa forme, grotesque dans son projet (à peine un argument de court-métrage), Thomas est amoureux afflige dans son incapacité à dépasser le stade de la fable opportuniste, dans sa façon racoleuse et puérile de brasser les fausses-idées, à l'évidence présentées comme visionnaires, pour n'en tirer qu'une aberrante métaphysique de foire aux lampions.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro Magazine
Film d'anticipation futé et sentimental, il est assez probable que cette histoire fasse date. Un jour, les gestes virtuels de Thomas n'auront rien à voir avec de la science-fiction.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Le procédé, immédiatement identifié comme tel par le spectateur, pourrait sembler lassant. Il parvient à ne l'être jamais, comme le film parvient à ne pas succomber au démonstratif.
Le Figaroscope
(...) Pierre-Paul Renders arrive à nous captiver, malgré un personnage principal invisible mais audible. Parce que, tout en faisant preuve d'imagination futuriste, le réalisateur nous confronte aux problèmes et aux tendances de notre vie actuelle (...)
Le Parisien
Faire un film entièrement virtuel sans que le personnage principal y montre jamais le bout de son nez : l'idée était culottée. Benoît Verhaert ne s'en sort pas trop mal. Ce premier long-métrage fourmille de trouvailles et laisse imaginer ce qui pourrait peut-être un jour nous arriver à tous.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
On pourrait croire que tout ça est bien oiseux, un ersatz orwellien parmi tant d'autres. Mais le film est diablement habile (...). Le dispositif limitant les possibilités fictionnelles, le réalisateur en a tiré le meilleur parti possible.
MCinéma.com
(...) l'inventivité de la réalisation, l'intelligence du scénario alliée à l'excellence de l'interprétation font de Thomas est amoureux une belle découverte et une excellente surprise.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
(...) Thomas est amoureux demeure un petit objet intrigant finalement assez sympathique, faute de mieux !
Télérama
On saluera l'audace de principe. (...) A ce genre d'audace formelle, il faut un imaginaire riche afin de casser la raideur du dispositif. Elle est vite monotone, la ronde d'individus à l'excentricité appliquée, ressassant des banalités aseptisées (...)
Aden
Sans action, avec comme seul guide un personnage fantôme, le film peine à faire diversion. Le titre nous apprend que Thomas finit quand même par s'en sortir - en tombant amoureux. Rien de moins certain.
Cahiers du Cinéma
(...) ce qu'on voit, ce n'est pas un regard (qui exige cadrage et recadrage permanent de la chose vue, un "point de vue" en somme), c'est la vision d'une webcam qui observe une autre webcam, dans un rapport tristement binaire et objectif. Les humains s'agitent mollement devant ou derrière, mais, manifestement, les webscams n'en ont cure.
L'Ecran Fantastique
(...) est-ce une allégorie d'un futur proche, de notre présent ou déjà d'un passé révolu ? Le film est un huis clos d'autosatisfaction où la technique prend le pas sur l'histoire, où le minimalisme est de rigueur, et dans lequel Pierre-Paul Renders s'est pris pour le nouveau Big Brother
Le Monde
Ce (mince) sujet de nouvelle appelait au cinéma une idée forte de stylisation, que les gadgets visuels bariolés et le vieux trucs de la caméra subjective ne sauraient remplacer. Dès lors, les mésaventures de Thomas restent comme ses interlocuteurs : virtuelles.
Libération
Thomas est amoureux, film belge, Grand prix du festival Fantastic'arts de Gérardmer, aurait pu être un court-métrage à peine amusant. La laideur de l'ensemble (...) évoque un Cédric Klapish inédit et particulièrement raté. Tous aux abris.
Première
Petit écran, petits moyens, petite ambition. Morale boy-scout faussement généreuse qui milite pour la normalité.
Urbuz
(...) film déjà dépassé dans sa forme, grotesque dans son projet (à peine un argument de court-métrage), Thomas est amoureux afflige dans son incapacité à dépasser le stade de la fable opportuniste, dans sa façon racoleuse et puérile de brasser les fausses-idées, à l'évidence présentées comme visionnaires, pour n'en tirer qu'une aberrante métaphysique de foire aux lampions.