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Chaîne 42
139 abonnés
3 072 critiques
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4,0
Publiée le 12 janvier 2021
Joli dessin animé fantaisiste et plein de mélange d'autres histoires héroïnes Disney et autre mais au contraire d'un méli-mélo je l'ai trouvé plein de fantaisie et bien rythmé et s'il y a un manque d'originalité c'est un peu faire la fine bouche car pour moi les couleurs et le charme slave qui transparait légèrement fait un petit différentiel bienvenu avec les grosses production qui gomme les imperfections.
Foutage de goule impérial ! Non seulement ce dessin animé est nul, lourd, brouillon & truffé d'humour pas drôle mais surtout il est pompé comme jamais sur Aladdin !! Une princesse qui s'enfuit du palais pour échapper à un mariage forcé, des brigands qui veulent la détrousser, un vaurien qui se fait passer pour quelqu'un d'autre qui vole à sa rescousse, un voyage aérien en amoureux... ça ne vous rappelle rien ??!! Franchement ils ne se sont pas foulés et moi ça m'a mis en colère de dénaturer une si belle histoire pour en faire un navet pareil... Grrrrr !
Un film d’animation assez sympa, mais très peu original : des idées prises un peu partout dans les Disney existant. Et comme c’est « cousu de fil blanc », on voit la suite assez facilement ce qui enlève de l’intérêt.
Grand succès du cinéma ukrainien tant national qu’international, premier film ukrainien à gagner les écrans chinois, première œuvre d’animation 3D bénéficiant d’un budget suffisant – quoique limité si on le compare à celui d’un blockbuster américain lambda – pour proposer un divertissement regardable, Vykradena pryntsesa: Ruslan i Lyudmyla pâtit pourtant d’une identité bâtarde parce qu’incapable d’articuler aux codes hollywoodiens, ici omniprésents, sa matière orientale, comprenons celle, littéraire, du poème de Pouchkine et de l’opéra de Glinka qui ont consacré le conte ici représenté, et celle, strictement plastique, d’une animation d’inspiration traditionnelle – il suffit de se référer aux divers dessins et gravures illustrant ce conte.
Et si l’ouverture, qui impose d’emblée tous les clichés de la fantasy actuelle, figure un Malafar fidèle aux représentations russes et ukrainiennes, comme lors de l’édition du poème russe en 1887 réhaussée des lithographies de Shcheglova, les autres personnages semblent sortis de Tangled (Nathan Greno et Byron Howard, 2010) ou de toute autre production Disney récente. Le lissage numérique n’a d’égal qu’un lissage thématique, et l’univers tout à la fois sombre et épique du conte devient le prétexte à une histoire d’amour basique sur fond de libération des corps et des esprits hors des carcans sociétaux : un artiste incompris, qui se rêve chevalier sans atteindre la démesure d’un Don Quichotte, une jeune femme féministe dans l’âme qui refuse le mariage arrangé – pour ne pas dire forcé. Le film parle de son temps et parlera à un jeune public, ce qui n’est pas une moindre qualité. Pour autant, sur le plan strictement cinématographique, rien de neuf sous le soleil : voilà un divertissement passable, pas désagréable mais qui ne restera pas dans nos mémoires.
Surpris par cet excellent film d'animation, rafraîchissant. Il s'agit d'une version édulcorée (du fait qu'elle soit destinée aux enfants :)) du conte "Ruslan et Ludmila" d'Alexandre Pouchkine, bien connu en Russie et en Ukraine. L'histoire est certes classique (une princesse est enlevée par un sorcier, et le héros (ainsi que ses "concurrents") tentent de la retrouver), mais l'animation est bien faite, le rythme agréable et l'histoire bien construite. Autre point positif pour ma part : une seule partie chantée dans ce film : )). Excellente surprise. Mes enfants adorent.