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Résumé à la con : Une orpheline sans-le-sou mais qui visiblement arrive à se payer un appart à New York en vivant d’amour et d’eau fraîche se rend compte qu’elle appartient à une famille anglaise indécemment riche après avoir fait un test ADN. Elle décide d’aller leur rendre une petite visite et les retrouvailles ne sont pas si oufs qu’elle l’espérait.
L’avis cool : Au départ c’est le choc. Après toutes les critiques effroyables portées à nos oreilles avant visionnage, alors que le film se lance, on tombe dedans. On commence à remettre en doute nos capacités cognitives, on se demande même si on ne frôle pas la rupture d’anévrisme. Le propos, l’intrigue et la mise en place du contexte dans la première moitié du film sont largement plus sympas que ce à quoi l’on s’attendait. Certains passages prennent le temps d’installer une tension et par moments la peur est même au rendez-vous. Mais rassurez-vous, on a pas complément lâché la rampe. Maintenant on peut vous le dire, le petit intérêt de départ se carapate aussi vite qu’il est arrivé.
L’avis moins cool : Dès que l’écran de fumé se dissipe, force est de constater que l’on est sur un développement plus soporifique qu’horrifique. On touche rapidement nos vilains a priori du doigt puisque ce film d’horreur teenage-gothique se révèle finalement prévisible et sans l’ombre d’une prise de risque. L’aspect féministe, antiraciste et de lutte des classes aurait mérité d’être traité avec moins de superficialité et la volonté de la réalisatrice de raconter son film d'horreur d'un point de vue féminin ne crève pas particulièrement l’écran. Les transformations sont plus sans intérêt que monstrueuses et si encore on nous avait vendu ça à la sauce second degré pourquoi pas mais non, tout ça se prend un petit peu trop au sérieux. Largement oubliable !
D’autres films avec des gens qui auraient bien besoin d’un RDV chez le dentiste, en mieux:
- ENTRETIEN AVEC UN VAMPIRE, 1994 - Neil Jordan
- DRACULA, 1993 - Francis Ford Coppola
Pour plus de billets d’humour, c’est sur l’insta @Desflims
L’avis cool : Au départ c’est le choc. Après toutes les critiques effroyables portées à nos oreilles avant visionnage, alors que le film se lance, on tombe dedans. On commence à remettre en doute nos capacités cognitives, on se demande même si on ne frôle pas la rupture d’anévrisme. Le propos, l’intrigue et la mise en place du contexte dans la première moitié du film sont largement plus sympas que ce à quoi l’on s’attendait. Certains passages prennent le temps d’installer une tension et par moments la peur est même au rendez-vous. Mais rassurez-vous, on a pas complément lâché la rampe. Maintenant on peut vous le dire, le petit intérêt de départ se carapate aussi vite qu’il est arrivé.
L’avis moins cool : Dès que l’écran de fumé se dissipe, force est de constater que l’on est sur un développement plus soporifique qu’horrifique. On touche rapidement nos vilains a priori du doigt puisque ce film d’horreur teenage-gothique se révèle finalement prévisible et sans l’ombre d’une prise de risque. L’aspect féministe, antiraciste et de lutte des classes aurait mérité d’être traité avec moins de superficialité et la volonté de la réalisatrice de raconter son film d'horreur d'un point de vue féminin ne crève pas particulièrement l’écran. Les transformations sont plus sans intérêt que monstrueuses et si encore on nous avait vendu ça à la sauce second degré pourquoi pas mais non, tout ça se prend un petit peu trop au sérieux. Largement oubliable !
D’autres films avec des gens qui auraient bien besoin d’un RDV chez le dentiste, en mieux:
- ENTRETIEN AVEC UN VAMPIRE, 1994 - Neil Jordan
- DRACULA, 1993 - Francis Ford Coppola
Pour plus de billets d’humour, c’est sur l’insta @Desflims
Film pour adolescents en pleine puberté. Ce n’est pas un film d’horreur mais un film romantique. Tout est prévisible, on sait d’entrée qui est mauvais. Ce film mérite bien sa note.
Film qui se voulait féministe et anti-raciste (je dis pas woke) mais qui fini par être un navet sans saveur.
On trouve le temps long ... Trés long.
Beurk !
On trouve le temps long ... Trés long.
Beurk !
Bonjour je suis aller hier le voir au cinema avec un pote est il est pas mal mais il est trop previsible bon film
pas mal ,c'est bien joué,un bon petit film qui détend,avec de très beau acteurs et une histoire pas trop mal
Après avoir suivi Daenerys Targaryen pendant plusieurs saisons, Nathalie Emmanuel est invitée au bal de l'enfer ! Ce film porte bien son nom, c'est quasiment l'enfer à regarder. Passé le charme naturel de l'actrice principale, on se retrouve devant un roman à l'eau de rose des plus quelconques, ça minaude grossièrement suivant un scénario très mal amené. Quand enfin les tourtereaux passent aux choses sérieuses, passe les deux tiers du film, on passe de la romance a la parodie d'horreur. Oubliez l'effroi, tout ce qui reste est bâclé et risible. On torche la fin vite fait comme les fesses d'un bébé, on remballe vite tout ça et on veut oublier ce qu'on vient de voir !
Nul, flim dit d'horreur mais pas du tout, il fait parti du même ordre que twilight. En début de flim des propos misogyne, une femme qui se fait dominé et asservire par un homme. Enfin bref rien ne va dans se flim, je ne le recommande pas.
Franchement le film est cool mais le côté horreur est très mal exploité et aurait pu être représenté d'une autre façon. La première scène du film ou on voit la femme se suicidé (c'est pas du spoil) bah ça annonce vraiment la couleur du film côté horreur, pas ouf mais je me suis pas ennuyée quand même
ConFucAmuS
Comment recommander Le Bal de l'Enfer sans devenir la cible de quolibets et autres procès en malhonnêteté ou sadisme ? Même en puisant le fond du fond de la bienveillance ordinaire, la mission donnerait à Ethan Hunt un sentiment de vertige existentiel face à l'impossible, le vrai impossible. On tente le coup ? Vous l'aurez voulu. Admettons que vous n'ayez jamais vu de film de votre vie, qui plus est dans le genre horrifique, alors il est peut-être envisageable que vous acceptiez un tel postulat dans un élan d'amnésie sélective de bon aloi. Parfois, on a juste envie de se payer une bonne frousse à peu de frais et sans se "prendre la tête" comme on dit. Un canevas plausible, une idée accrocheuse, après tout à quoi est-ce bien utile au cinéma ? C'est tellement plus pratique de mettre ses neurones en arrêt tout simplement.
Pour ses inspirations, Jessica M Thompson a jeté son dévolu sur Get Out et Wedding Nightmare. On se calme tout de suite, la réalisatrice n'a pas l'intention de s'en servir pour autre chose que le décorum. Ouf. Pendant la première heure, nous nous en tiendrons aux décors vaguement gothiques mais heureusement revus à la cosmétique javellisée bien de son époque. Il y aura des jump-scares, des mains surgissant de l'ombre, des bougies qui s'éteignent...Des choses que vous n'aurez jamais vu ailleurs sauf dans quelques centaines de films d'horreur réalisés entre les années 70 et aujourd'hui. Une peccadille.
En sus, les personnages sont finement dessinés. Un sympathique jeu de dupe se profile alors que les prestations subtiles contaminent notre matière grise (pourtant éteinte). Citons au hasard Thomas Doherty dont les apparitions soudaines et logiques - surtout au sortir d'une agression nocturne - ne sont égalées que par la tension sexuelle irrésistible et le charme innocent d'un idylle parfaitement évident avec notre chère Evie. Sean Pertwee fait montre d'un investissement irréprochable, visiblement emballé par les 2 pages de script réservées à son majordome. Difficile de ne pas évoquer Hugh Skinner, malice et sophistication furent indéniablement un sacerdoce pour traiter au mieux le cousin Oliver.
À la grâce d'un rebondissement inattendu (évidemment) en plein banquet, Le Bal de l'Enfer démarre les hostilités. Et de quelle façon, mes aïeux ! Ça pétille dans tous les coins : effets de flou, montage qui s'emballe, repères géographiques ou temporels chamboulés, prestations qui mutent en...euh...autre chose,...Un délice. Même Nathalie Emmanuel - pourtant timorée jusque-là - se joint à la fête. Grand bien lui en a pris. Le scénario habile permet à Evie de rejoindre la quantité non-négligeable d'héroïnes de slashers type Urban Legend, Souviens-toi l'Été Dernier ou Mortelle Saint-Valentin dont on félicite la profondeur et la sagacité. Enfin, le dernier acte assume un versant bien apprécié du public, en mixant buffet pour longues canines à vigilante movie. Que demander de plus ?
Il n'y a pas de mal à se faire du bien. Les manoirs lugubres, les types aux sourires carnassiers, les tentations copulatoires, les promesses trop faciles, et le renversement des rôles. Ah oui, on peut en faire des choses avec tout cela. Jessica M. Thompson et Blair Butler le font...à leur façon. Voilà. Gloire leur soit rendue : Le Bal de l'Enfer est bien positionné sur le podium des séances les plus...insolites de l'année 2022. Officieusement ? Une fois les lumières rallumées, faîtes en autant pour vos neurones et allez prendre l'air. Sinon, pour les frissons et le plaisir, rattrapez Xde Ti West quand il sortira.
Pour ses inspirations, Jessica M Thompson a jeté son dévolu sur Get Out et Wedding Nightmare. On se calme tout de suite, la réalisatrice n'a pas l'intention de s'en servir pour autre chose que le décorum. Ouf. Pendant la première heure, nous nous en tiendrons aux décors vaguement gothiques mais heureusement revus à la cosmétique javellisée bien de son époque. Il y aura des jump-scares, des mains surgissant de l'ombre, des bougies qui s'éteignent...Des choses que vous n'aurez jamais vu ailleurs sauf dans quelques centaines de films d'horreur réalisés entre les années 70 et aujourd'hui. Une peccadille.
En sus, les personnages sont finement dessinés. Un sympathique jeu de dupe se profile alors que les prestations subtiles contaminent notre matière grise (pourtant éteinte). Citons au hasard Thomas Doherty dont les apparitions soudaines et logiques - surtout au sortir d'une agression nocturne - ne sont égalées que par la tension sexuelle irrésistible et le charme innocent d'un idylle parfaitement évident avec notre chère Evie. Sean Pertwee fait montre d'un investissement irréprochable, visiblement emballé par les 2 pages de script réservées à son majordome. Difficile de ne pas évoquer Hugh Skinner, malice et sophistication furent indéniablement un sacerdoce pour traiter au mieux le cousin Oliver.
À la grâce d'un rebondissement inattendu (évidemment) en plein banquet, Le Bal de l'Enfer démarre les hostilités. Et de quelle façon, mes aïeux ! Ça pétille dans tous les coins : effets de flou, montage qui s'emballe, repères géographiques ou temporels chamboulés, prestations qui mutent en...euh...autre chose,...Un délice. Même Nathalie Emmanuel - pourtant timorée jusque-là - se joint à la fête. Grand bien lui en a pris. Le scénario habile permet à Evie de rejoindre la quantité non-négligeable d'héroïnes de slashers type Urban Legend, Souviens-toi l'Été Dernier ou Mortelle Saint-Valentin dont on félicite la profondeur et la sagacité. Enfin, le dernier acte assume un versant bien apprécié du public, en mixant buffet pour longues canines à vigilante movie. Que demander de plus ?
Il n'y a pas de mal à se faire du bien. Les manoirs lugubres, les types aux sourires carnassiers, les tentations copulatoires, les promesses trop faciles, et le renversement des rôles. Ah oui, on peut en faire des choses avec tout cela. Jessica M. Thompson et Blair Butler le font...à leur façon. Voilà. Gloire leur soit rendue : Le Bal de l'Enfer est bien positionné sur le podium des séances les plus...insolites de l'année 2022. Officieusement ? Une fois les lumières rallumées, faîtes en autant pour vos neurones et allez prendre l'air. Sinon, pour les frissons et le plaisir, rattrapez Xde Ti West quand il sortira.
La première demi-heure installe une atmosphère intéressante dû notamment à des décors plutôt réussies, puis d'un coup d'un seul le film commence à s'enliser dans un scénario pataud pour finir dans un ridicule abominable. Sorte de pot-pourri de divers films à succès, tel Wedding nightmares, Twilight, voir 50 nuances de Grey, le tout donne un résultat indigeste déjà que les films dont il s'inspire sont loin d'être des chefs-d'œuvre le résultat ne pouvait qu'être bancale. Une production pseudo-horrifique de plus au rabais.
Aurait pu être mieux, aurait mérité mieux, mais trop de faiblesses !!
Mou par moment, des pseudos scènes horrifiques qui ne sont pas à la hauteur, mal filmées et pas détaillées.
Par moment, j'ai cru regarder 50 nuances de Grey version gothique.
La chose qui m'a plu, c'est l'ambiance gothique assez conforme avec une déco du manoir en raccord.
Mais le pire, c'est la fin, qui me semble bâclée, trop facile et pas trop cohérente.
Dommage, ce film avait du potentiel mais mal exploité.
Mou par moment, des pseudos scènes horrifiques qui ne sont pas à la hauteur, mal filmées et pas détaillées.
Par moment, j'ai cru regarder 50 nuances de Grey version gothique.
La chose qui m'a plu, c'est l'ambiance gothique assez conforme avec une déco du manoir en raccord.
Mais le pire, c'est la fin, qui me semble bâclée, trop facile et pas trop cohérente.
Dommage, ce film avait du potentiel mais mal exploité.
Une jeune fille un peu naïve croit rencontrer le prince charmant lors d'un mariage dont elle est la mariée, sans le savoir. Ça commence plutôt bien puis dès que les canines sortent des gencives le film se transforme en bleuette pour collégienne alors qu'il aurait pu déployer sa cape dans la veine féministe et anti-raciste de son début. Le seul intérêt, et il est maigre, est la présence de Missandei de GOT qui si elle continue ce genre de choix cinématographique devrait avoir la même carrière que sa copine Daenerys, à peu près nulle.
Déjà le titre en français est faux, il n'y a pas de bal, ensuite j'ai l'impression de voir the wedding nightmare avec une conscience politique à la get out, en beaucoup moins bien. Le film suit un personnage peut attachant, dans une histoire difficilement crédible ou l'horreur s'invite par petits coups dans des scènes ou il fait tellement sombre, que l'on voit rien. On devra juste se contenter d'un flirt avec le maitre de maison, qui plombe une heure et quart de film. Il faudra attendre la dernière partie du film pour que cela bouge enfin, mais à quel prix tant c'est ridicule, et bâclé. Revoyez Wedding Nightmare c'est 100 fois mieux.
Je pensais avoir vu ce qui se fait de pire dans le genre vampire avec twilight et bien faut il croire qu'il faut s'attendre à tous dans la vie. Ce film est un condensé des pires clichés du genre qu'on a déjà vu un milliard de fois chaque scène est prévisible mal filmé mal joué... Une honte
J'adore le film horreur et on a souvent de sombres navets dans le genre malheureusement mais celui là tient largement le haut du panier
Nullissime !
J'adore le film horreur et on a souvent de sombres navets dans le genre malheureusement mais celui là tient largement le haut du panier
Nullissime !
Que dire.... on part sur une rencontre à la 50 nuances de Grey, mâtiné à la sauce Carpathes... c'est bien gentillet, et puis, on se rends compte qu'on bascule dans le piège et le film d'horreur commence... Rien de nouveau sous le soleil : et comme les vampires ont horreur du soleil....
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