Avis sur The Perfection

Avec ces inspirations de Kill Bill (retour en arrière, scène dans le désordre, sang à foison), The Perfection sait où il va, un scénario travailler et pousser sans non plus tomber dans l'excès d'information. Plusieurs histoires s'entre-mêle pour n'en faire qu'une. Entre glauque, énigme et hémoglobine, ce film reprend les bases du cinéma d'horreur sans faire de cliché. J'ai passé un bon moment. Sûrment l'un des meilleurs film Netflix de l'année, qui pourtant, divise les spectateurs.

Énorme. Beaucoup de surprises, un duo d'actrices complémentaire et un scénario franchement solide. Un excellent film innatendu.

A chaud.
Je n'étais pas très enthousiaste à regarder ce film, je n'avais pas lu les critiques avant et le synopsis ne m’intéressait pas plus que ça mais je me suis quand même décidé à le regarder.
Grosse surprise, tout au long il y a des rebondissements et jusqu'au bout du film!
Je ne m'attendais pas du tout à cette histoire et à aucun moment j'ai pu anticiper le scénario.
A voir à 100%

Pas mal de surprises dans ce film !
Le scénario est pas mal, les actrices principales jouent très bien.
Quelques passages du film sont assez surprenants, des passages auxquels on s'y attend pas.

Je pense que ceux qui ose mettre 1 étoile a ce film, ne sont que des trolls !!! il faut voir les films avant de les démolir....
c'est remarquablement joué, si le début du film est un peu long c'est pour mieux comme une montage russe nous mettre la tête à l'envers par ses rebondissements et surtout l'intelligence du scénario.
Pour tous les amateurs de petits films bien ficelés on ne peut que le recommander.

Au premier abord, on pense voir un simple film de la qualité d'un téléfilm, car la base de l'histoire a déjà été traitée maintes fois dans des téléfilms seulement, le scénario de Richard Shepard qu'il a coécrit avec Eric C. Charmelo et (Supernatural, Ringer) est bien plus poussé et réserve de très nombreuses surprises. Après une mise en place très classique, l'histoire prend une direction inattendue puisque l'on change quasiment de registre, et c'est comme ça pendant tout le film, car l'intrigue évolue constamment et redistribue sans cesse les cartes avec des retours en arrière et des changements de point de vue. J'ai trouvé ce procédé très intéressant, car cela empêche l'intrigue d'être trop linéaire en plus de la rendre moins prévisible puisque l'étiquette du monstre du film change de propriétaire à de nombreuses reprises. L'histoire qui est vachement tordue est très bien ficelée et nous tient en haleine jusqu'au bout même si le dernier acte est un peu plus faible et compense par plus d'action et de scènes violentes. Au-delà de l'histoire, si le film fonctionne si bien, c'est aussi grâce aux deux actrices qui sont très convaincantes surtout Logan Browning que j'ai trouvée excellente. Avec "The Perfection", Richard Shepard qui n'avait plus réalisé de film depuis "Dom Hemingway" signe un film sulfureux, glauque et surprenant qui est vraiment réussi et divertissant. Bref, une bonne surprise.

On est très loin de la perfection cinématographique, c'est le moins que l'on puisse dire. Le scénario se veut roublard, et en cela on peut dire que le résultat est atteint : on a l'impression de voir un film de contamination et hop pirouette, on se retrouve dans un film d'un tout autre genre, et ce n'est que le début d'une multitude d'autres surprises. Mais cette "inventivité" scénaristique a un prix : la cohérence est un élément totalement sacrifié au profit des seuls rebondissements, jusqu'à en arriver au grotesque le plus risible.

Un début plutôt prometteur (même si le premier retournement de situation est gâchė par une bande annonce beaucoup trop explicite, une habitude chez Netflix) qui sombre peu à peu dans le ridicule jusqu'à une scène finale d'une bêtise affligeante. Dommage car certaines scènes (notamment celle du bus) ne sont pas dénuées d'intérêt.

Et si je vous disait que l un des meilleurs Thriller du moment est une production Netflix ?
Difficile à croire et pourtant The Perfection fait partie de ses films auquel je n attendais rien et qui m a mis une claque monumentale.
On peut penser aux premiers abords , a une sous copie de Black Swan , tant le film dans sa première partie , fait penser a l oeuvre d Aronofsky. Alors oui il y a un peu de l essence de Black Swan dans ce film.
Les deux films ont des thématiques communes ( la rivalité féminine , l admiration et l attirance sexuelle des deux protagonistes principales , la quete de perfection dans une univers où l erreur n a pas sa place ).
Le film s éloignera toutefois de ce modéle avec un revirement assez inattendu en cours de métrage , proposant ainsi quelques chose de totalement différent.
Ne vous attendez pas a coller une étiquette a ce film ou a vous trouvez en terrain connu , meme si le métrage n evite pas quelques rebondissements assez malvenus ou grossiers , il est constamment surprenant.
Surprenant de trouver d ailleurs , une telle qualité de mise en scéne et de direction d acteurs dans une production Netflix.
Le jeu des deux actrices principales est tout simplement bluffant ( bien qu on évite pas a quelques moments le surjeu dans les situations les plus extrêmes. ) . Après Get Out , la carrière D allison Williams et decidemment a suivre de prés. Son évolution emotionnel est assez prenant et l actrice est tour a tour touchante et totalement effrayante.
On ressent autant donc la rivalité entre ses deux violoncellistes qui ont a un moment etaient en pleine gloire , qu une certaine admiration maladive.
Ce qui est surprenant dans ce film , c est la capacité et le tour de force du film de surprendre son auditoire.
Car oui , The Perfection est un aussi surprenant , que dérangeant dans les thémes qu il ose aborder ( l abus de confiance , la rivalité malsaine naissant de la quete de perfection , les abus aussi bien spoiler: physique
que spoiler: moraux ) . , sans forcément tomber dans le voyeurisme facile . Non tout cela est traité de façon intelligente. Au niveau de la mise en scéne , il y a aussi de tres beau plans a sauver , qui insiste sur le fait que le réalisateur eut une vraie volonté de donner corps a son histoire et a ses personnages. Il y a une vision d ensemble autour de ce métrage qui n est paz un simple assemblage de séquences chocs. Une sorte de tour de force ressort au final du film , celui ci se termine comme une sorte de cauchemar éveillé pour les protagonistes , accumulant les idées tres glauques ( toujourd plus suggérées par les dialogues que montrées ). Juste dommage , que la séquence final tombe dans une sorte de [spoiler]violence gratuite
, salvatrice , mais pas forcément nécéssaire dans ce type de métrage.
Mais la encore le film a l intelligence de prendre son auditoire a revers en lui assénant le coup de grâce , avec un plan de fin aussi magnifiquement malsain que poétique.

The perfection est une curiosité comme j en ai peu vu. Le genre de film imparfait et meme maladroit , mais toujours surprenant et laissant bouche bée a plusieurs moments.
Le genre de métrage qui n a aucun mal a etre aussi ambitieux et abouti que la plupart des thrillers sortant en salles de ciné.
Il faut désormais compter sur les productions Netflix , pour rivaliser avec les meilleurs thriller sortant sur grand Ecran. The perfection en est la preuve .

La bande-annonce nous avait vendu une sorte de "Black Swan"-like, une production typique Netflix s'inspirant d'un film meilleur pour un résultat mineur. En réalité, il n'en est rien si l'on excepte l'aspect thriller psycho-horrifique sur fond de rivalité artistique, "The Perfection" va partir vers des horizons bien différents du film de Darren Aronofsky. À vrai dire, il est même très dur d'en parler sans en gâcher la teneur...

D'abord, sachez que "The Perfection" est une vraie proposition d'horreur adulte de la part de Netflix, le film de Richard Shepard va aller très loin dans le sordide aussi bien suggéré qu'explicite (de mémoire et de ce point de vue, on n'avait pas vu une production repoussant autant les limites depuis un moment sur la plateforme). Ensuite, il est très dur de proclamer haut et fort que "The Perfection" atteint justement la perfection tant sa construction à tiroirs est aussi maligne que maladroite...

Prenez la première partie du film (on ne trahit rien, c'est le pitch), elle raconte le retour à la vie normale de Charlotte, une violoncelliste de génie qui, adolescente, a dû renoncer à son art pour s'occuper de sa mère malade. Cette dernière étant depuis décédée, Charlotte, aujourd'hui adulte, part en Chine retrouver son professeur et celle qui lui a "volé" sa destinée de célébrité mondiale dans son domaine. Pendant près de 45 minutes, "The Perfection" va s'intéresser à la rencontre des deux jeunes femmes et ses conséquences pour s'arrêter sur un twist qu'à peu près tout le monde devrait voir venir, d'autant plus que le réalisateur vend une des clés du mystère en amont et se croit très malin avec un retour en arrière explicatif complétement artificiel. Si on s'arrêtait là, le film ne vaudrait pas tripette mais cette première partie s'inscrit dans un ensemble en réalité beaucoup plus vaste qui va entraîner "The Perfection" vers des ténèbres impressionnants.

Une fois une seconde révélation intervenue, le potentiel glauque du film éclate au grand jour ! L'atmosphère devient aussi pesante qu'une brouette d'enclumes sur les épaules du spectateur. Richard Shepard, que l'on sentait toujours prompt à prendre des risques à la réalisation à travers quelques chouettes plans malgré un aspect téléfilm, se libère complètement derrière la caméra, conscient de l'opportunité que lui offre ce climat étouffant désormais bien installé. "The Perfection" propose enfin les belles choses (enfin "belles", cinématographiquement parlant, hein !) que son titre suggérait et va s'aventurer dans une violence psychologique et même physique d'une radicalité rare dans la masse de ce genre de propositions. On est comme sonné et imprégné par l'ambiance de ce qui est maintenant un huis-clos dont on ne distingue plus aucune issue pour reprendre son souffle.
Viendra un twist de conclusion, sans doute celui de trop, histoire de délier un peu trop facilement les noeuds d'une situation inextricable. Cette solution sera toujours dans la même donne extrême que les événements précédents mais elle aura un arrière-goût de porte de sortie un peu plus logique (et donc attendue) que ce vers quoi "The Perfection" commençait à se diriger...

En définitive, "The Perfection" est un bon film mais un bon film tout de même très bancal. La proposition audacieuse de cinéma est bel et bien là ne serait-ce que pour la maturité et l'originalité de thriller horrifique qu'elle représente dans le paysage actuel aseptisé (surtout venant de Netflix), toutefois, elle est aussi très maladroite dans sa construction (même si sa première partie fait partie d'un tout plus important, il est impossible de ne pas se dire qu'on nous a baladé sur une vraie/fausse piste pendant la moitié du film pour quelque chose d'une importance bien moindre que l'ensemble). En fait, si on devait le caricaturer, "The Perfection" est vraiment parfait lors de son ultime scène, comme si toutes les bonnes choses que l'on avait y vu jusque-là se conjuguaient dans une osmose de cruauté à se damner de beauté morbide. Certes, le film offre un voyage inégal mais tout ce que vers à quoi il se destine en fait une proposition fascinante et à découvrir. Rien que pour ça, il mérite d'être saluer...

Très bon concept, assez proche de l'actualité de ces dernières années vis-à-vis des abus constatés dans les milieux du show-biz, un détail durant le film nous font penser à une provoque un peu trop communautariste spoiler: (lorsque l'actrice principale enlève sa perruque pour montrer ces cheveux courts, cela fait penser à une marque d'appartenance assez connu dans les milieux féministes)
hormis ce détail un peu trop cliché, le film est bien amener et la tension est palpable tout le long du film, on ne s'ennuie que rarement. Le coup du rembobinage en plein film à plusieurs reprises est assez bien trouvé pour pouvoir montrer toutes les faces cachées du film sans débattre 107 ans pour savoir comment cela se fait que ... On ne s'attend pas du tout d’ailleurs à la fin qui est servi. Les acteurs jouent plutôt bien, mais l'actrice principale ne doit pas trop se regarder dans une glace avant de jouer une scène tragique, car celle-ci rit même dans les situations catastrophiques. Les scènes sont très bien filmées ce qui permet de savourer ce film tranquillement.

Autant Netflix assure pas mal dans ses choix de séries autant je les trouve à la peine en longs'métrages. the perfection en est un exemple criant. Le scénario est improbable au possible et fait si cheap avec ses " rembobinages" explicatifs.Allison Williams qui est tràs convaincante dans"Get out" est ici prévisible au début et cliché sur la fin!Quant à Logan Browning, on sent qu' elle n' y croit pas une seconde! Passer du film de contamination au film de viol un peu mystique n' est pas crédible une seconde. Le chapitrage ajoute à l' effet cheap et peu inspiré dans les transitions. spoiler: Après un point personnel pour moi est que quelqu' un qui me fait perdre ma main et ma carrière; même si c' est pour mon bien,j' aurais du mal à pardonner
. La fin est ridicule et ne fait même pas peur.
A éviter.

FUYEZ !!!

Rarement j'ai vu un film aussi nul, aussi mal fait, aussi amateur.
Provocation gratuite dans un but de cacher la misère d'idées.
Violence à foison pour cacher un script tellement mauvais qu'il fait passer Christian Clavier par du Bergman profond.
Même Ed Wood aurait mieux fait.

Un film avec de surprenant rebondissement, plutôt bien tourné et bien joué. J'ai été agréablement surpris !

Je me demandais à quoi rimait cette romance homosexuelle au début et il faut attendre malheureusement trop longtemps avant que l'intrigue se mette en place. Mais à partir de ce moment c'est une suite ininterrompue de surprises dans une histoire de vengeance qui dépasse ce qu'on pouvait imaginer. Certains y verront de l'outrance, mais j'ai bien apprécié ce changement de genre continuel avec les flashback explicatifs et une montée en puissance de la perversité.