Quand on voit que Roland Emmerich est capable de sortir des films, ça donne de l'espoir à bon nombre de jeunes cinéastes... Il ne faut pas chercher de la cohérence, de la recherche ou de l'intelligence chez ce "metteur en scène". Quand dès le départ, on assiste à une scène où un personnage placarde des photos de son ex-compagne d'il y a huit ans dans une tente éphémère (psychopathe ?), on sent bien que notre bon vieux Roland reste fidèle à lui-même en placardant lui-aussi son film de facilités et autres raccourcis afin d'aider la bonne évolution du scénario, aussi aberrante soit-elle. Mais ce n'est pas tout, le jeu d'acteurs est immonde, et les dialogues sont...comment dire, impressionnant de médiocrité. Les films catastrophes de Roland Emmerich sont de vrais nanars collectors. A défaut d'assister au "spectacle", on assiste aux lacunes d'un "cinéfaste" !
Une catastrophe !!!! Le scénario, la réalisation, les acteurs, les tentatives "d'humour"... Tout est à jeter ! Bourré de clichés, les acteurs à pleurer avec entre autres, le journaliste crétin fini et macho, les nanas toutes affreusement cruches et stéréotypées (je cite "tu crois que j'aurai dû m'attacher les cheveux pour l'interview ?")... Jean Reno qu'as-tu été faire dans ce film ? Faire passer comme message aux américains que les français passent leur temps à boite du café ? Et que dire de cette blonde mièvre et tellement stupide ! J'ai prié pendant tout le film pour qu'elle se fasse bouffer ! J'ai pleuré non pas de joie de la fin téléphonée mais de dépit ! J'étais partagée entre écœurement, frustration, énervement et rire de la stupidité du scénario et des très nombreuses incohérences pendant tout le film. On en vient à avoir de la compassion pour Gozzila et ses petits ! Si c'était le but, c'est très réussi !
Quand Roland Emmerich s’attaque au monstre le plus connut du cinéma nippon il en sort un film pachydermique. Car absolument tout est pachydermique dans ce produit de consommation,qui brille par son absence de scénario de jeu d'acteurs et de mise ne scène. L'horreur n'est pas dans les rues de New York mais mise sur pellicule. Le film tient donc sa promesse de film catastrophe ça oui il est catastrophique d'un point de vue artistique c'est une évidence.
Lamentable, consternant...même pour l'époque, c'est dire... Certainement un très bon film d'action pour des gamins de 10/12 ans, ou pour des personnes qui se contentent de (très) peu pour un film du genre. Il n'y a, d'ailleurs, qu'à observer le nombre de post d' illettrés l'encensant au point de lui attribuer CINQ étoiles pour s' en convaincre.
Je viens découvrir ce film sur Nt1 qui profite certainement de la sortie du dernier Mozilla. Question : comment Réno a pu accepter de jouer dans un tel navet...?! À déconseiller d'urgence !
Mon dieu.... vu avec mon père ce week-end, moi qui pensait bien aimé, ce film est juste un navet de pure souche; seul Jean Reno s'en sort correctement. Une fin téléphoné avec une grosse bêbête pas trop mal faite mais sinon le reste est à jeter !
Bon, le scénario de Godzilla est absolument débile, c’est un fait. Il est bourré d’incohérences et, de plus, ne présente aucune originalité puisqu’il se résume à un assemblage peu harmonieux de divers éléments piqués dans d’autres films. Ainsi, si le film de Roland Emmerich prend sa source, de manière logique, dans le classique de Ishirô Honda, une grande partie de son récit est littéralement pompé sur Jurassic Park (les séquences du Madison Square Garden, qui apparaissent comme un film dans le film tellement l’ensemble est peu homogène). On retrouve aussi, bien entendu, un petit air de King Kong, alter ego américain du monstre radioactif japonais. Dans le film d’Emmerich, Godzilla ne crache plus du feu radioactif mais son haleine de poisson pourri est aussi dévastatrice. Dans Godzilla, les agents secrets français plongés en pleine observation ne pensent qu’à boire un vrai café et manger un croissant, ils se déguisent en soldats américains en mâchant un chewing-gum et quand ils partent en mission, ils oublient toutes leurs armes lourdes dans leur hangar clandestin.
Autant prévenir tout de suite. Je n'aurais jamais perdu mon temps à écrire une critique sur une bouse pareille. Mais en ce moment je suis d'humeur massacrante et j'ai besoin de me défouler. J'ai alors pensé à ce "film", blague à lui tout seul, vu il y a quelques semaines, montrant l'ignorance quasiment totale de Roland Emmerich dans le 7e art.
Je vais pas faire très long ça ne servirait à rien. Mais s'il y a bien quelque chose à retenir de ce film, ce ne sont pas les acteurs, tous plus pitoyables les uns que les autres (Jean Reno en particulier est une caricature ambulante tout le long du film), ni le scénario du film, ni le travail de réalisateur de Roland Emmerich. Réflexion faite, il n'y a absolument rien à garder dans ce film, et puis tiens je baisse ma note encore puisque c'est comme ça. Franchement, ça choque personne de voir Godzilla changer de taille entre deux plans ? Mais merde, quand on est à la tête d'un projet de ce calibre tu dois faire gaffe à tout. Là tout part en couille. Rien ne colle et je ne pensais pas que l'on tomberait encore plus dans le ridicule jusqu'à ce qu'il y ait ce plan. Une salle remplie d'oeufs. Prêts à s'ouvrir laissant s'échapper pleins de petits Godzilla. Je ne sais pas si Emmerich savait que cette scène était dans Alien... Car là c'est juste une blague sans nom et sans émotion. Ptin mais merde, Godzilla qui pond des oeufs dans le métro, faut arrêter les conneries ! Et puis faut voir la gueule des effets spéciaux. C'est dégueulasse ça dégouline sur l'écran, ça n'a aucun sens. A titre de comparaison Terminator 2 a des effets spéciaux 100 fois plus nets et propre avec un budget de 30 millions de dollars de moins... Je pourrais continuer mais comme disent nos amis anglais "I think I've made my point"
Bref si, toi lecteur, tu n'as pas vu ce film et que c'est dans tes intentions, écoute ce conseil : fuis. Fuis très loin vers des films beaucoup plus intelligents et propres techniquement. Tu ne pourras pas dire que je ne t'avais pas prévenu.