Derniers Avis : Star Wars : Episode V - L'Empire contre-attaque - Page 17

Faire une suite, c'est assez piégeux. Il faut reprendre les ingrédients du premier épisode, les mélanger avec des éléments nouveaux, tout en faisant en sorte que l'ensemble fonctionne en tant que film mais aussi en tant qu'épisode d'une trilogie. Il fallait se donner les moyens de succéder au premier Star Wars, surtout que tout le monde attendait la suite au tournant. Mais le résultat est bien là : L'Empire contre-attaque, c'est Un Nouvel Espoir en plus intense. Il suffit de prendre deux scène pour s'en convaincre. La première, c'est la bataille de Hoth qui sert d'ouverture. On commence une fois de plus in medias res, mais on prend le temps d'établir les changements dans les relations entre les personnages ainsi que la nouvelle situation des rebelles. Et soudain, survient l'attaque surprise de l'Empire. Le sentiment d'urgence est palpable, on sent l'ampleur de la scène, l'étendue de l'action. Et puis, on va pas se mentir, c'est mieux mis en scène que le précédent volet. C'est encore plus visible quand on revient sur le duel de sabre-laser entre Luke et Dark Vador. L'antagoniste bénéficie d'un traitement plus sombre dans ce film, il est plus imposant, plus menaçant, notamment parce qu'on voit (enfin) que c'est lui qui dirige. Par conséquent, lorsqu'il apparaît dans la pénombre, à demi-caché par de la fumée, c'est impressionnant. Et cela devient grandiose lorsqu'il révèle au futur Jedi le secret le plus connu du cinéma, le tout accompagné de quelques notes de la marche impériale de John Williams. Après, je ne suis pas complètement réceptif à ce que le film propose. Le milieu du film donne un peu le sentiment d'être un passage obligé, c'est un cran en dessous du reste (ce qui reste quand même de très bon niveau). Cela vient peut-être de la sous-intrigue avec Yoda, qui est lente à se mettre en place et qui aboutit un peu sur une queue de poisson. Il y a aussi le côté ridicule de ce nouveau personnage qui est bien mis en avant et qui laisse perplexe, surtout si (comme moi) on sort de la prélogie. En dehors de cela, l'épisode V fait preuve de grandes qualités techniques et cinématographiques. L'univers continue à être développé tout en mettant en place des enjeux beaucoup plus sombres, à tel point qu'il se termine mal, ce qui est peu commun mais très appréciable de nos jours. En somme, l'Empire contre-attaque a donné ses lettres de noblesse à la saga Star Wars.

"L'Empire contre-attaque" est peut-être le segment le mieux écrit de la trilogie originale, le plus sombre pour sa dramaturgie exacerbée (la révélation familiale connue de tous, entrée dans les mémoires collectives et dans la culture populaire) et pour le temps de présence à l'écran de Vador qui gagne ici en importance, le plus ambitieux et mûre dans ses volontés aussi car plus terre à terre que les autres dans ses enjeux. L'introduction du fameux thème musical impérial apporte une aura sans précédent à l'univers, et précisément à cette empire car soulignant très bien son caractère implacable, abrupte et grandiloquent. Cet épisode V est plus tendu que les autres mais il n'en oublie pas pour autant de divertir avec quelques belles batailles très impressionnantes pour l'époque (disséminées avec parcimonie à contrario du VI qui fait clairement dans la surenchère à ce niveau) et avec toujours cette touche d'humour (relation Chewbaca/C3-PO dans la cité des nuages). L'apparition de Yoda et sa philosophie clairvoyante pour Luke est en soit un grand moment. Dommage que certains effets spéciaux aient salement vieillit.

(Cette critique concerne le montage de 1980). Bien qu'étant une petite production, La Guerre des étoiles (ou Star wars, épisode IV : Un nouvel espoir) connu un succès incroyable qui en fit le plus gros succès de l'histoire du cinéma (jusqu'à la sortie de E.T. l'extra-terrestre). Une suite était donc inévitable d'autant plus que George Lucas avait prévu dès le départ de développer son histoire sur plusieurs films (dont le récit n'a pas cessé d'évoluer au cours des différentes productions). Cependant, cette fois il laisse la réalisation à Irvin Kershner et le scénario à Leigh Brackett puis à Lawrence Kasdan se contentant de la production et de l'histoire originale.
Bien qu'il ne soit plus l'unique maitre à bord (ou grâce à cela, selon les avis), la suite nommé L'Empire contre-attaque (depuis retitré Star wars, épisode V : L'Empire contre-attaque) est d'une qualité égale à son prédécesseur et accentue l'aspect psychologique et relationnel entre les personnages spoiler: (aboutissant à la réplique qui est peut-être la plus célèbre du cinéma : "Je suis ton père")
sans pour autant négliger l'action. De plus, ce film permet d'introduire de nouveaux personnages comme Lando Calrissian, Bobba Fett (bien qu'apparu dans le téléfilm de Noël, Au temps de la guerre des étoiles) et surtout Yoda. Ce personnage mythique, très drôle et bourré de charme, est le résultat d'une animation extrêmement réussie qui est encore plus convaincante que la version en image de synthèse présente dans la Prélogie.
En outre, Irvin Kershner développe l'univers mythologique entourant l'Empire en introduisant le personnage de l'Empereur qui n'apparait qu'en hologramme. Mais le monde impérial s'enrichit également d'un point de vue musical grâce au fameux morceau, toujours signé John Williams, The Imperial March (Darth Vader's Theme) tout aussi célèbre que les autres titres phares de la saga.
Enfin, cet épisode souvent considéré comme le meilleur (notamment grâce à une réalisation encore plus efficace que celle de Lucas) se permet même de terminer sur un des cliffhangers les plus marquants de l'histoire du cinéma.
En accentuant l'aspect mythologique de la saga, L'Empire contre-attaque réussit à prolonger de manière toujours aussi passionnante l'univers Star wars et à offrir un des twists les plus cultes de l'histoire du cinéma (à un point tel que l'on peut connaître cette révélation sans avoir jamais vu le film).

Un seul plan : celui des croiseurs stellaire qui se croise, l'un d'entre eux va dans l'ombre de quelque chose, celui du Cruiser Superstar de Dark Vador. La façon dont sont fait ces plans, la gueule du vaisseau de commande, quand tu regardes à quelle époque est fait le film, 1980... c'est juste énorme.
Que dire du reste du film, les dialogues sont bons, largement mieux que la prélogie (malheureusement), et des rebondissements qui vont vraiment mettre les héros dans la mouise total. On sent que Lucas a laissé la mains à des vrais pro, qu'ils ont pas fait un scénario du genre "Eh, les méchants sont pas gentils mais comme nous on est les héros bah on va leurs donner une correction !". Non seulement ils se font bien latter comme il faut, mais en plus on peut voir à quelle point cette univers peut être sombre et sans merci. Que dire de Vador qui est impitoyable jusque dans l'os. Dans le IV on avait l'impression qu'il était un membre a part de l'Empire, un joker, ici c'est un commandant suprême à qui on n'oserait pas remettre ses ordres en question sous peine de crever. Pour l'époque, dans ce genre d'univers "extravagant" comme on disait, c'était juste inimaginable, c'en est devenu l'un des meilleurs films de tous les temps.

C'est le deuxième opus de la saga Star Wars par sa date de sortie, mais le cinquième selon l'ordre chronologique de l'histoire. Il est le deuxième volet de la trilogie originale qui est constituée d'Un nouvel espoir et du Retour du Jedi. Un opus plus dramatique et plus noir comparé à son prédécesseur. En effet, ce nouvel épisode de La Guerre des étoiles s'avère efficace et prenant dans son ensemble. Il est vrai, que les dialogues sont omniprésents et qu'il manque une certaine touche d'action au sein de l'histoire mais le spectateur est pris au piège dans cette galaxie lointaine avec ces personnages humains fort émouvants. L'affrontement entre Dark Vador et de Luke reste le meilleur passage ! Accompagnée d'une réplique culte qui reste gravée dans l'histoire du cinéma... De plus, l'apparition de Yoda est plaisante. Le scénario est plus travaillé, plus approfondi et l'humour ne manque pas, Han Solo assure le show. Evidemment, la bande son laisse à désirer et les décors sont fidèles. Bref, ce Star Wars : Episode V - L'Empire contre-attaque est un très bon film à l'époque et l'est toujours aujourd'hui... Georges Lucas est un maître, un point c'est tout !

Star Wars: l'empire contre-attaque, toujours aussi bon par son histoire, simple mais réussie, comme par ses effets spéciaux qui ont quand même un peu vieilli, autant que l'épisode lV, un nouvel espoir. Il reste tout de même nécessaire de voir ce film ainsi que tous les autres!

Après le succès monumental de La guerre des étoiles, l'épisode V arrive en 1980 sous le nom badass de L'Empire contre-attaque. Malgré la destruction de l'Etoile Noire dans la précédent opus, l'Empire maintient son emprise sur la galaxie et lancent leurs assauts sur les rebelles une fois retrouvés sur Hoth, la planète glacée. Tandis que Leia, Han Solo, Chewbacca et C-3P0 se dirigent vers la planète Bespin afin d'y retrouver Lando Calrissian (ancien compagnon d'Han Solo), Luke suit les instructions d'Obi-Wan et se rend vers lA planète marécageuse Dagobah afin d'y recevoir l'enseignement de Yoda, le dernier maître Jedi.

Si George Lucas reste au scénario, il laisse la place de la réalisation à Irvin Kershner, qui réalisera Jamais plus jamais et RoboCop 2 quelques années plus tard. L'Empire contre-attaque marque l'arrivée du personnage de Yoda, maître Jedi empli de sagesse et ayant une grande maîtrise de la Force ; en sanskrit, son nom signifie "guerrier", en hébreu "celui qui sait" et "je sais" en grec ancien. S'il fait partie des plus emblématiques de la saga, le film ne le rend pas encore bien marquant, tout comme l'entraînement de Luke reste trop abstrait et élusif.

Le film est surtout rythmé par le très imposant thème impérial, de nombreuses fois réarrangé selon les passages, et au ton bien plus grave que le thème principal de l'épisode IV. Malgré cela, la plupart des scènes peinent à tenir en haleine et quelques longueurs s'installent. Si le duo R2D2 et C-3P0 reste toujours comique, Chewbacca n'est pas vraiment valorisé, tout comme Han et Leia avec leur petite romance. Fort heureusement, la dernière partie du film rattrape largement le tout spoiler: alors que Dark Vador leur tend un piège et affronte enfin le jeune Luke engaillardi.


Le combat est bien plus long et rythmé que celui de l'épisode IV, et également scénarisé avec un Dark Vador bien déterminé à rallier Luke à sa cause. spoiler: Alors que ce dernier se fait priver de son sabre et se retrouve avec une partie du bras coupée (alors que le coup porté à Obi-Wan l'avait étrangement fait disparaître),
une des scènes les plus cultes de la série s'engage sous fond d'une version dramatique du thème impérial, spoiler: avec la fameux "Luke, je suis ton père".
Absolument novateur et cinglant à l'époque, elle respire aujourd'hui un côté nanardesque avec la VF ultra cliché de Luke et ses "non, ce n'est pas vrai [...] NAAAAAAAANNNNN !!", réplique parodiée de nombreuses fois dans des films comme Toy Story 2, Austin Powers 2, Mais qui a tué Pamela Rose ? ou encore Les nouvelles aventures d'Aladin.

spoiler: Battu et traumatisé, Luke s'échappe in extremis à la fin, tandis qu'Han Solo se retrouve emprisonné dans un bloc de carbonite.
A noter que l'Empereur Dark Sidious fait une brève apparition virtuelle dans une séquence où il parle à Dark Vador, ce qui promet du lourd pour la suite. Plus inégal que l'épisode IV, L'Empire contre-attaque reste un film important qui vaut surtout pour sa dernière partie.

Vraiment celui que je préfère, de loin parmi les 6 autres...
on creuse le personnage de Vader, l'intrigue est à moitié révélée... et on reste scotché sur les paysages de glace, et de la cité dans les nuages.
interprétation impeccable, rythme soutenu et fin sur un cliffhanger... bref le chef d'oeuvre de la série

L'empire contre-attaque est le meilleur épisode de la première trilogie (et de la saga). On retrouve tous les ingrédients de la mythologie Star Wars avec un Dark Vador surpuissant, un Yoda en instructeur, un Luke essayant d'être un Jedï et le faucon millenium avec son duo Chewbacca/Ian Solo. Bref suspense, aventures, science fiction, le film n'a pas pris une ride 30 ans après. Le chef d'oeuvre de science fiction de George Lucas.

On ne peut que saluer et apprécier l'opus le plus apprécié de la saga Star Wars. En effet, celui-ci a énormément gagné en maturité. L'action est un peu passée au second plan pour développer encore plus l'histoire, les personnages et la personnalité de Dark Vador, qui n'hésite pas à tuer les personnes travaillant avec lui, jugées incompétentes. On alors droit à des dialogues très bien écrits mais aussi à des scènes plus que mémorables

Star Wars Épisode 5: L'Empire Contre Attaque, sorti en 1980 est le second épisode de la trilogie originale de George Lucas. Attention, il ne s'agit pas d'un simple épisode, mais un des meilleurs épisodes de la Saga (après La Revanche des Sith). Après le très bon Un nouvel Espoir et le succès qu'il a rencontré à l'époque, les studios de Century Fox décident finalement de laissé libre cours à Lucas pour entamer un nouvel épisode et créer ainsi une grande trilogie qui deviendra culte. Lucas se surpasse, après avoir révolutionné le cinéma avec La Guerre des Étoiles, il parvient à faire encore mieux avec ce nouvel épisode. L'Empire Contre Attaque réussit avec succès à aller encore plus loin dans la mythologie Star Wars et surtout dans l'univers de la SF. George Lucas peut enfin concrétiser son histoire qui a été introduit dans l'épisode 4 mais qui n'a pas pu être plus développé puisqu'il n'était pas encore question d'en faire une trilogie. C'est ce qui a permis à L'Empire Contre Attaque d'avoir une histoire encore plus riche et profonde, il s'agit là du deuxième épisode le plus sombre de la Saga. Ce film est quasiment un sans faute, c'est du grand spectacle à l'état pur, il n'a pratiquement pas vieilli, les effets visuels, malgré les retouches faîte en 1997, sont toujours aussi réaliste et tout aussi impressionnant que dans l'épisode 4. Les acteurs sont toujours aussi bons et charismatiques, gros point fort pour Harrison Ford en Han Solo et Carrie Fisher en Leïa, qui jouent super bien leur histoire d'amour naissante entre les deux. Mark Hamill est un peu plus en retrait dans cet épisode, mais cela n’enlève en rien à son charisme et à son jeu d'acteur parfait. Cet épisode à la particularité de montrer de nouvelles têtes, passant de Lando Calrissian, joué par l'excellent Billy Dee Williams, allant Yoda et passant par Boba Fett. 3 nouveaux personnages aussi charismatiques qu'importants. Surtout Yoda le plus grand maître Jedi dont Luke devra suivre son entrainement et écouter ces conseils pleins de sagesse pour devenir un grand et bon Jedi. D'ailleurs la marionnette de Yoda est très bien détaillée, réaliste et semble réelle. Le scénario et l'histoire sont un des points forts du film, c'est à la fois prenant, passionnant, profond et captivant, le scénario tient la route du début à la fin. Lucas a le don de bien raconter les histoires et situations des protagonistes, toutefois ce n'est pas lui qui est derrière la caméra mais Irvin Kershner, ce qui permet de donné une autre vision au film et un dynamisme aux situations. Au niveau de l'action le film surpasse et va plus loin dans la mise en scène que dans l'épisode précédent. Le film commence fort avec la bataille sur la planète Hoth, on ne s’ennuie pas une seconde, cet épisode est rempli de scènes cultes. La rencontre et l'apprentissage de Luke avec Yoda, la poursuite dans le champ d'astéroïdes, le combat au sabre laser entre Luke et Vador qui est bien mieux que le duel avec Obi-Wan dans l'épisode 4, il est plus intense, violent et surtout plus émotionnelle. Dark Vador nous révèle tout son potentiel de méchant, c'est durant ce duel culte qu'une phrase devenue célèbre fit prononcer par le seigneur Sith, le fameux "Je suis ton père" qui a surpris plus d'un à l'époque. En bref ce film est un bijou du cinéma, on fait la rencontre de nouveau personnage attachant tout en creusant le passé de certains, les acteurs jouent encore mieux. Les effets spéciaux jolis, le doublage excellent, la B.O de John Williams toujours aussi grandiose, bref un chef-d’œuvre à voir et revoir sans hésiter.

Nous y voilà, ce fameux épisode 5, considéré par beaucoup comme le meilleur de la saga mais au delà de ça un des plus grand film de science-fiction de tous les temps. J'avoue avoir du mal à départager "Un nouvel espoir" de celui-ci dans mon coeur, le tout premier ayant un charme fou et ayant également marqué l'histoire du cinéma d'une empreinte indélébile mais il faut l'avouer aussi qui a un peu plus vieilli que "L'empire contre-attaque". Ce dernier est une pure merveille que ce soit au niveau de l'intrigue ou des effets spéciaux, il est jalonné de scènes plus cultes les unes que les autres, la plupart me foutant les poils à chaque coup. L'attaque sur la planète Hoth, Luke rencontrant pour la première fois Yoda dans ce sombre et glauque système Dagobah, la cryogénie de Solo, Luke face à Vador et ses propres démons, c'est simplement génial du début à la fin, on perd également cet aspect simpliste et sympatoche de l'épisode 4 pour un univers beaucoup plus sombre et les enjeux se dévoilent enfin. Que dire également de l'apprentissage de Luke avec les leçons enseignées par Yoda qui vont bien au delà du simple apprentissage Jedi, ce sont des leçons de vie et le combat intérieur entre le bien et le mal commence véritablement pour Luke. Ce film touche du doigt la perfection, je n'ai rien à dire de négatif dessus, mon unique regret étant de ne plus être surpris comme la première fois par les révélations sur les liens familiaux de Luke, malgré tout certaines répliques gardent la même puissance dramatique que la première fois que je les ai entendus. Un véritable régal, de bout en bout, et une ouverture au top vers l'ultime (pour le moment ...) volet de la saga. Merci Georges Lucas pour tout ça, on en oublierait presque que c'est Irvin Kershner le réalisateur de celui-ci !

L'épisode qui a rendu la saga légendaire, ni plus, ni moins. Celui dans lequel George Lucas s'est le moins investi également (ce n'est pas un avis, c'est un fait). Concluez-en ce que vous voulez.

Le scénario est d'une inventivité inouïe et la mise en scène d'une efficacité sidérante. Épique, sombre, intriguant, drôle, poétique, dramatique, chaque facette du film est maitrisée, c'est un space opéra comme il n'en existe aucun autre, captivant du début à la fin.

Il faudrait écrire un roman pour expliquer tout ce qui fait de ce film une réussite, les acteurs, les effets spéciaux.... La romance entre Han Solo et Leia, l'apprentissage de Luke Skywalker par Yoda....le nombre de scènes et répliques passées à la postérité est incalculable. Sans oublier Dark Vador, sans conteste le méchant le plus célèbre de l’histoire du Cinéma.

L’histoire est bien plus intéressante, les personnages plus développés, la mise en scène bien plus sophistiquée, c'est l'archétype de la suite qui surclasse totalement son prédécesseur. Pour finir, un mot sur la musique de John Williams, exceptionnelle, je pense sincèrement que jamais il n'a été autant inspiré que dans ce film (la marche impériale, vous connaissez?). S'il fallait ne voir qu'un épisode de Star Wars, ce serait celui-là.

Le meilleur de la série porté à bout de bras par la marche envoutante de l'empire et le personnage fantasmatique de Dark Vador.

Maître Yoda prend ses quartiers, le "je suis ton père" le fameux l'irrésistible, c'est ici que çà se passe. Le film à lui tout seul porte la saga. Véritable poids lourds du XXème siècle, le film porte en lui des millions de fans exacerbés. La bible de la science-fiction tel qu'on l'a connaît en 2015. Avec néanmoins ce double paradoxe, car je ne me lancerai pas dans une critique inutile : le film véhicule certainement ce qui se faisait de plus novateur à l'époque, mais aujourd'hui reflète tout un pan du cinéma d'aventure made in ultra-commercial, qui pourrit dans nos têtes. Vu comme un chef d'oeuvre, c'est un fait. Mais gare aux fanatiques de garder le mythe bien vivant, car pour la jeune génération la comparaison pourrez être difficile.