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Un visiteur
1,5
Publiée le 20 mai 2018
Avec No dormirás, l’insomnie ne vous guettera absolument pas, c’est même plutôt un effet somnifère que donnera le film. Malgré quelques bonnes idées, le film se prend trop au sérieux et rajoute encore et encore des couches d’inutilité à son scénario pour allonger les explications et le film inutilement. On peut finir par se perdre dans ce bazar ambulant même si au final, le film arrive à être tellement prévisible. Ce n’est pas les jumpscares et les screamers qui vont aider à rendre ce film intéressant, car cela se voit à des kilomètres. Quelques bonnes idées, une bonne photographie et une jolie actrice principale qui est la seule à être un minimum convaincante. Si c’était un film venu des USA, il aurait finis en direct TV ou direct DVD.
On se dit : un film sud-américain fantastique ? sur le grand écran ? allons voir ça... ( mais mystère des circuits de distribution... ) ce film enquille tous les pires clichés du genre les uns après les autres depuis 100 ans ( jump scare téléphonés, musique à base violons, puis de tuba quand ça doit faire peur, scénario improbable, jeu aléatoire, twists encore plus improbables, ( à force de twist ça fait une natte ! ) etc etc etc
Je me faisais une joie de voir ce film fantastique espagnol. Et bien je n'ai pas du tout aimé. Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu un film aussi compliqué, désagréable et pénible. La première demi-heure ça peut aller mais alors toute la dernière heure c'est sincèrement désagréable. Moi qui adore les films fantastiques normalement, je n'ai pas du tout accroché à celui-ci.
« No dormirás » est le second long-métrage du cinéaste uruguayen Gustavo Hernandez. Il s’agit d’un thriller psychologique voir horrifique pour les âmes plus sensibles. L’action se déroule en 1984 dans un hôpital psychiatrique désaffecté où une compagnie de théâtre a posé ses valises pour mettre en place une technique expérimentale de jeu en privant ses comédiens de sommeil. Après une présentation un peu bancale, les acteurs tentent de percer les secrets de cet étrange endroit. Le lieu est en effet très adéquat pour créer une intrigue sous tension. Néanmoins l’action est molle et personne ne semble savoir quoi faire. Sous ses allures de cinéma indépendant, on a tendance à offrir une chance au film en espérant un rehaussement de ton ou une conclusion explicative. A vrai dire les séquences nous emmènent peu à peu dans les limbes de l’ennui. Entre passé et présent, réalisme et hallucinations, indices fictifs et mensonges entre personnages, « No dormirás » se donne des airs surnaturels. En vérité, le film s’apparente plutôt à du cinéma d’ambiance pour bobo somnambules. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
il faut être capable de rester concentré et faire confiance à la progression de l'histoire qui met du tps à démarrer. Ce n'est que sur les vingt à trente dernières minutes que tout s'accélère. Histoire intéressante cependant.
Un vrai méli-mélo pénible et sans grand intérêt... Je me suis dit que le sujet sur les expériences de privation de sommeil pourrait être intéressant, mais ce n'est pas vraiment ce que je m'imaginais. Même si l'actrice principale possède un bon jeu, l'ensemble des acteurs m'a l'air aussi perdu que les spectateurs. C'est fouilli, avec des jump scares prévisibles, variant trop entre hallucinations et réalité, pour terminer sur une fin médiocre. Pas grand chose à retenir ce film qui tombera aux oubliettes.
Blanca est une jeune actrice qui rêve de percer sur la scène théâtrale. Elle est contactée par l'homme de confiance d'Alma Böhm, la célèbre dramaturge, qui lui propose le rôle principal de sa prochaine pièce. Mais pour le décrocher, elle devra se plier aux méthodes hétérodoxes de la metteuse en scène qui enferme ses comédiennes dans un ancien asile psychiatrique et les prive de sommeil afin qu'elles donnent le meilleur d'elles-mêmes.
Les films d'épouvante aiment les lieux clos peuplés de créatures maléfiques : les vieux manoirs victoriens, les orphelinats, les asiles... Mais, ici, les monstres ne se cachent pas dans les armoires mais au fond du subconscient des comédiennes détraquées par la privation de sommeil.
Le problème de "No dormirás" est d'être à cheval sur deux registres. D'un côté la réflexion, assez stimulante, sur le métier d'acteur, les concessions qu'on est prêt à faire ou pas pour l'exercer. S'y ajoute une réflexion stimulante sur le rôle que peut jouer le théâtre dans la cure psychiatrique (on pense à la psychothérapie institutionnelle pratiquée à la clinique de La Borde dont les patients montent chaque été une pièce de théâtre). Et aussi une dimension politique à peine esquissée qui se cache derrière l'époque où sont censés se dérouler les faits : 1984, temps de dictature en Argentine où les opposants politiques, quand ils n'étaient pas froidement exécutés ou poussés en haute mer depuis un hélicoptère, étaient enfermés dans des asiles psychiatriques et soumis à des traitements dégradants.
De l'autre, le film d'épouvante plus classique, avec ses codes et ses règles, ses jump scares, ses revenants, ses allers-retours pas toujours très lisibles entre la réalité et le cauchemar. C'est un genre cinématographique qui ne me plaît guère. Je n'aime pas avoir peur ; je n'aime pas être cloué à mon fauteuil par l'effet un peu facile d'un monstre hurleur qui jaillira par une porte grinçante qu'une héroïne en robe de nuit semi-transparente ouvre craintivement. Du coup, comme il l'était prévisible, "No dormirás" m'a terrifié. D'une terreur que je ne valorise pas mais que d'autres que moi, moins allergiques au genre, apprécieront peut-être.
Comme dans The silent house (2010), Gustavo Hernández inspire le récit fictionnel de No dormirás de faits réels. Une première filiation qui en appelle d’autres puisque ces deux films, outre d’appartenir au même genre cinématographique (film d’horreur), voient leur déroulement ancré dans le passé. Mais il faut souligner que No dormirás emprunte plus généreusement que son aîné aux codes du thriller. Ainsi, cette caractéristique anime le dernier opus du cinéaste uruguayen d’une plus grande ambition visible en salle dès ce 16 mai. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
Si si je vous conseille ce film tellement il est ennuyeux, sans intérêt. Mauvais scénario qui se prend au sérieux avec un côté prétentieux. Insupportable. Fuyez...
Sans être non plus un ratage puisqu'il offre quelques séquences dramatiques et de terreur plutôt réussies, un casting solide avec les performances brillantes qui en découlent et un concept enthousiasmant, No Dormirás déçoit un peu. La faute à un contexte mal dessiné, des intentions floues et un récit hermétique et nébuleux qui devient forcément moins passionnant lorsqu'il s'éloigne de son sujet principal. Critique complète : http://www.terreurvision.com/2018/11/no-dormiras-2018-de-gustavo-hernandez.html
Moyen pour ne pas dire pas terrible, histoire de rester dans la moyenne! Bien par contre pour les 30-40 dernières minutes. Les actrices jouent bien mais ça suffit pas au scénario trop faible qui manque de surprise pour ce film urugayen. Mais bon sur que SI j'avais regardé ça à la TV : j'aurais très surement zappé.
Il est dommage que No Dormiras possède quelques longueurs au niveau de son récit et un scénario quelque peu brouillon, ce qui l'empêche d'être véritablement marquant. Car ce film d'horreur uruguayen possède une interprétation de qualité de la part de son casting, notamment celle concernant la belle révélation qu'est Eva De Dominici, une mise en scène plutôt inspirée sur les séquences où apparaissent les fantômes et une ambiance assez glauque.
Le concept est vraiment pas mal car je pense qu’on ne pense jamais vraiment à l’effet que le manque extrême de sommeil peut avoir sur nous. Par contre, j’ai un avis assez mitigé sur le film qui n’était pas si époustouflant que ça.
Le film est assez intrigant, mystérieux et nébuleux pour intéresser... L'histoire est malsaine, tordue, cousue de fils blancs parfois, mais au final intéressante...
L'idée de départ n'état pas si mauvaise que ça. Ca m'a même fait penser un peu au film français ''Martyrs'' en moins abusé. Malheureusement je ne peux même pas le considérer vraiment comme un film d'horreur. Ironie du sort le film s'appelant ''no dormiras'' il m'a donné plus envie de dormir qu'autre chose. Je le trouve parfois même un peu dfficile à suivre, même si ma langue maternelle est l'espagnol. Belén Rueda n'arrive toujours pas à me convaincre comme actrice....bref il y a bien mieux dans le cinéma espagnol d'horreur que ce film.