Sujet intéressant mais ici traité maladroitement, brouillon et ennuyeux. Mise en scène du même acabit, sans saveur avec seulement quelques tensions ... prévisibles. 1/5 !!! A éviter.
Je ne sais pas trop quoi penser de ce film, qui à part deux ou trois moments, m'a assez profondément ennuyé. Je n'ai pas compris grand chose à l'histoire, encore moins ce final qui se situe entre le génie et la mauvaise farce. Cependant, je retiens quand même une atmosphère bien sombre et une jolie mise en scène, hélas peu aidée par un scénario peu clair. Au final, mon impression reste mitigée.
No Dormiras ? Sérieux ? Le "No" est en trop là, j'ai l'impression... Une intrigue d'une complexité complètement inutile, les scènes s'enchaînent sans liens apparent entre elles, du coup, tout est décousu, incohérent. L'accroche du film sur l'affiche : "la peur vous tiendra éveillés" : heu... pour avoir peur, il faudrait déjà pouvoir comprendre quelque chose à ce qu'on a sous les yeux, scoop! Et alors, le film ne recule vraiment devant rien, car après quelques scènes soporifiques, à intervalle régulier, apparait une scène très sombre avec un personnage qui chuchote, et là un vieux jump scare à 2 balles! Est-ce que je vous ai déjà dit à quel point je hais ces jump scares tous pourris ?! Bon, après, j'avoue, l'image est belle, les décors sont réussis, et les acteurs sont bons. Mais c'est pas ça qui sauvera ce navet du naufrage.
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1,5
Publiée le 30 juillet 2021
Je pensais que ce serait un autre merveilleux film d'horreur espagnol mais c'est une horreur de film. Je ne suis pas complètement sûr de ce que je viens de regarder probablement que j'ai manqué quelque chose d'important dans l'histoire parce que pour moi c'est une histoire mal écrite et juste ça. Le jeu des acteurs est mauvais pour la plupart des acteurs. Dans l'ensemble je ne suis pas très satisfait car je m'attendais à plus. Je lui donne une étoile et demi mais je ne suis même pas sûr que ce soit la bonne note car en fait il mérite moins...
Pour avoir tourné un film d’horreur à petit-budget d’une traite au moyen d’un unique plan-séquence (‘The silent house’, en 2010), on avait sacré, sans doute trop vite, l’uruguayen Gustavo Hernández comme “Nouvel Espoir du cinéma de genre�. Revenu à un schéma plus classique, le réalisateur prouve malheureusement qu’il n’a pas perdu de temps pour se faire avaler et digérer par le système. Le concept ici présent présentait pourtant un certain intérêt. Prête à tout pour percer, l’aspirante-actrice Bianca accepte de remettre son destin entre les mains d’une metteuse en scène radicale, qui voit dans les techniques de privation de sommeil le secret de prestations théâtrales surhumaines. Forcément, quoi de mieux qu’un asile psychiatrique abandonné pour brûler les planches...et qu’un texte écrit par une de ses anciennes pensionnaires comme support de jeu ? Si le choix du milieu théâtral reste assez rare dans le cinéma de Genre - sauf chez Argento, pour des raisons de vocation contrariée - et que l’idée de la privation de sommeil est intelligemment traitée puisque ce n’est pas l’assoupissement qui est à redouter mais l’état second induit par la privation de sommeil, ‘No dormirás’ ne parvient jamais à s’écarter de l’alpha et l’oméga du film d’horreur dans ce qu’il peut avoir de plus alimentaire, à savoir le jump-scare, qu’il soit à base d’ombres évoluant en arrière-plan, de vieilles dames hideuses ou de disparition soudaine des repères familiers. Et ce n’est même pas comme s’il s’agissait des jump-scares les plus parfaitement millimétrés qu’on ait jamais vu, que du contraire ! Ce manque d’inventivité dans les effets de manche est d’autant plus décevant que ni dans sa photographie ni dans ses dialogues, ‘No dormirás’ ne semble adhérer à ce courant du film de genre industriel et interchangeable...mais il n’en faut pas moins attendre le dernier quart d’heure pour que le film suscite un regain d’intérêt, lorsque réalité, rêve lucide et manipulation mentale se retrouvent inextricablement mélangés, sans qu’on sache si c’est la qualité du script ou la maladresse du réalisateur qui provoque ce sentiment de désorientation. Dommage qu’après ce micro climax, ‘No dormirás’ se sente à nouveau obligé de donner des gages aux amateurs d’épouvante formaté, avec une de ces fameuses scènes finales façon “Le cauchemar n’est pas terminé (et peu importe si ça ne tient pas debout)�...
Ce film passait hier soir à la télévision, en voyant les critiques, je n'ai pas vraiment été tentée de le regarder. Et puis dans l'une d'elles, quelqu'un a écrit le mot magique..."c'est tordu", alors j'ai regardé le film. En effet, c'est tordu....mais j'ai trouvé les critiques faites dures mais je les comprends tout à fait. En fait, à mon sens, un film est comme ça quand il est tiré d'un livre (plus riche et donc difficile a retranscrire en film), soit quand il y a eu des coupures au montage de scènes qui contenaient un élément important pour la compréhension. Le sujet du sommeil et de la folie m'ont bien plu. Le décor est glauque à souhait dans cet hopital psychiatrique démoli, le coté tordu ressort du fait de la personnalité de la femme qui met en scène la pièce et du fait que les spectateurs sont, comme des voyeurs, derrière des murs percés de trous. Ca fait glauque.... Après, attention spoiler :spoiler: J'ai bien aimé aussi le fait que l'entrée dans le monde parallèle (les limbes, entre deux mondes) soit provoquées par ces bains (glacés auraient on dit) et provoqués par la confiance totale en la femme metteur en scène, qui apparait comme une sorte de gourou pervers finalement, puisqu'elle semblait savouer l'étouffement d'une des actrices sauvées in extremis par un spectateur). Je pense que "la femme pour laquelle travaille" le gars qui recrute Bianca est en fait Cecilia. Je pense que toute cette vaste mise en scène est faite pour elle, pour que l'actrice entre dans les limbes et soit possédées par l'esprit de sa mère et qu'elle puisse lui parler et savoir si elle a véritablement voulu la noyer lors de l'incendie. Je pense que la clé est là, tout est fait par Cécilia et pour Cécilia, pour qu'elle découvre son passé, la pièce et la méthode tordue du metteur en scène étant un moyen d'accéder aux limbes. Cela se sent dans la scène finale quand elle dit à Cécilia "vas-y, elle est là" au sens où l'esprit de sa mère habitait le corps de Bianca.
Même s'il n'est pas Espagnol, ce long-métrage est dotée d'une réelle poésie comme peu d'autres pays parviennent à insuffler à leurs films d'horreur. Vous l'aurez compris : les points forts sont à trouver dans le scénario. Malgré tout, c'est dans ce même scénario que l'on y trouve les points faibles, à savoir un rythme très mal géré, une conclusion vue et revue qui n'apporte rien, et des scènes prévues pour être effrayantes mais qui se révèlent bien décevantes ou clichées. Quoi qu'il en soit, il y a un réel progrès de la part de Gustavo Hernandez, qui nous offrait un très mauvais "Silent house" dans ses débuts avec le genre.
Une prémisse intéressante pour une exécution poussive. L'équipe qui a fait le pas terrible "La casa muda" en 2010 (adapté sous le nom de "Silent House" aux USA un an plus tard) est de retour avec un nouveau film d'horreur et ce 4 ans après le plus discret "Dios Local". Gustavo Hernández s'attaque à un thème en vogue à savoir le sommeil qui récemment a été mis à toutes les sauces (paralysie du sommeil, cauchemars, etc.) sauf qu'ici c'est le manque de sommeil dont il est question avec des comédiens qui s'en privent pour donner leur meilleur d'eux-mêmes et être au plus près de leurs personnages. Une base intéressante voir même originale même si certains aspects rappellent les films sur la paralysie du sommeil avec ces gens qui se privent justement du sommeil, mais qui pouvait permettre aux personnages de vivre des situations extrêmes au fur et à mesure de cette longue descente aux enfers et cette dégradation de l'état psychologique, car se mettre dans un état pareil s'accompagne de nombreuses et dangereuses conséquences. Du moins normalement, car ici, cette expérimentation se déroule tranquillement et facilement hormis quelques expériences surnaturelles qui en plus n'ont rien à voir avec le manque de sommeil du moins, c'est des scènes que l'on aurait pu retrouver dans n'importe quel film d'horreur se déroulant dans un endroit hanté par exemple. C'est ce que je trouve dommage, c'est qu'une fois de plus il s'agit d'un prétexte pour nous servir une histoire des plus classiques. Elle n'est pas mauvaise, elle se laisse suivre sans déplaisir et réserve même quelques surprises, mais bon, je suis resté sur ma faim. Au-delà de l'histoire et tout ça, j'ai trouvé que même en tant que film d'horreur ou thriller psychologique c'était décevant. Une ambiance pas terrible, un rythme trop tranquille et cela manque d'action. Le réalisateur n'utilise pas bien son cadre et est incapable de créer une ambiance oppressante avec cette situation censée être inquiétante. Bref, un film moyen.
J'ai mis ce film, car le scénario m'intriguait, malheureusement ,même si il a quelques bonnes idées comme l'histoire du sommeil ou de la possession, l'histoire est mal amené du coup on s'y perd. De plus des éléments se rajoutent (la plupart inutiles) qui embrouille encore plus . Au final on a une histoire assez plate qui endors presque le spectateur avec un final compréhensible tout de même mais assez prévisible . La photographie rattrape un peu le tout, avec des bons choix au niveau de la colorimétrie. Avec ce film on ne risque pas de souffrir d'insomnie mais on aurait plutôt besoin d'un somnifère pour rester éveillé.
La note moyenne spectateur de 1,9/5 ne rend vraiment pas hommage à ce film !!! L'idée de base est purement géniale ! Il est toutefois vrai que la seconde partie n'est pas à la hauteur du début du film et qu'il y a des choses qui auraient méritées d'être un peu mieux travaillées mais le film reste quand même très bien !
Je n'ai pas accroché à ce film, j'ai trouvé le scénario pas fou. Pourtant il y avait matière à faire quelque chose de bien en prenant le thème de l'insomnie. Il y a trop de longueur dans ce film, les twists ne sont pas très bien amenés, et l'utilisation de jump scares tombe à plat. Pas grand chose à retenir de No Dormiras, l'histoire est un peu brouillonne et soporifique, ce qui est assez ironique vu le thème abordé. Bref ce n'était vraiment pas terrible et ne laissera aucun souvenir au cinéphile que je suis.
Personnellement je l'adore on peut voir différente chose: - sois ce dire, que l'on duplique nos forces, lorsque l'on ne dors pas pendant un moment et perçois des chose que l'on ne perçois pas quand notre cerveau est dans l'habitude, lorsque nous somme fatigué on sort de l’habitude du train train quotidien, et on s'aperçois de chose que ne prête plus attentions dans le quotidien. est ce qu'on appelle hallucination? peut être pas, on ouvre simplement une porte de notre cerveau qui est bien sécurisé. On exploite jamais notre cerveau entièrement, il faut poussez son corps à l’extrême pour y arriver à développer celui-ci. Je l'adore même si il est très dur à comprendre. Car illusion ou réalité, fou ou en-train de jouer un rôle. En parlant de rôle, le fil nous montre aussi que pour jouer un rôle il faut s’imprégner entièrement de celui-ci sans en perdre la vue que ce n'est qu'un rôle, attention à ne pas perdre le contrôle de sois, de son corps et rester bloquer dans le rôle du personnage que l'on joue.
quand je vois un film je ne cherche pas à ce qu'il révolutionne le genre dans le quel il s'inscrit, j'espère être étonné. surpris, ici rien n e l'est en soit ça ne me dérange pas de ne pas l'être. Les personnages sont des clichés d'acteurs de Thaïlande, la musique du frissons est la même que dans tous les films d'horreur post 2000 et ce que je préfère : un triple twist final.
Le scénario est pas assez travaillé et donc incompréhensible. De plus, il est assez prévisible. C’est dommage parce qu’il semble intéressant et d’autre part original.