Mon compte
    Super Size Me 2: Holy Chicken!
    Note moyenne
    3,7
    110 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Super Size Me 2: Holy Chicken! ?

    6 critiques spectateurs

    5
    2 critiques
    4
    1 critique
    3
    2 critiques
    2
    0 critique
    1
    1 critique
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Yo Y
    Yo Y

    11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 octobre 2023
    Juste pwa!
    Il attaque le fast en créant le sien afin de dénoncer l'hypocrisie des grandes chaînes et plus particulièrement la mafia américaine du poulet.
    Stéphane D
    Stéphane D

    119 abonnés 2 126 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 juin 2022
    Wow grosse surprise!!!
    Je me rappelais du 1er doc où on voit juste un mec s'empiffrer de burgers pour prouver que c'est mauvais pour la santé. Ce "2e épisode" n'a rien à voir et l'angle d'approche est incroyablement intelligent et audacieux (à des années lumière du pachidermique Michael Moore). C'est déjà captivant jusqu'à l'ouverture du restaurant annoncée dès l'introduction mais le résultat n'est à surtout pas spoiler.
    Objectivons
    Objectivons

    315 abonnés 2 938 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 novembre 2021
    Un concept fort intéressant, avec la fin de l'hypocrisie affichée aux yeux de tous à l'ouverture du restaurant... et filmée.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2020
    Brillant. Contrairement aux autres commentaires, je pense qu'il faut effectivement faire parti d'un système pour le renverser. Un film/documentaire peut choquer, mais il est éphémère, contrairement à l’ouverture de franchises à travers un pays.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 226 abonnés 7 515 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mai 2020
    Morgan Spurlock, son nom ne nous disait rien au début des années 2000. Arrivé de nulle part, ce dernier avait déclenché un séisme (mondial !) avec son documentaire choc Super Size Me (2004), en révélant aux yeux du monde, à quel point les fast-foods étaient néfastes pour notre santé (aussi bien physique que mental).

    15ans plus tard, il est de retour, avec les mêmes convictions, le même combat, la même hargne, celle de faire éclater au grand jour, les vices de l’industrie agroalimentaire.

    Avec Super Size Me 2 : Holy Chicken ! (2019), Morgan Spurlock reprend les codes qu’il avait utilisé avec Super Ca$h me (2011), avec cette fois-ci, dans l’idée d’ouvrir un fast-food afin de tester la crédulité des consommateurs américains, de dévoiler à quel point l’industrie à la main mise sur les éleveurs (avec des paysans pris à la gorge financièrement) et de montrer par la même occasion, de quelle manière l'industrie de la restauration a radicalement changée au milieu des années 2000 (tout juste après la sortie de Super Size Me).

    Et le réalisateur démarre fort, en nous montrant à quel point l’USDA (le département de l'Agriculture des États-Unis) n’a aucun pouvoir pour obliger les industriels à mettre en place des mesures ou des normes (environnementales ou liés au bien-être animal). L’USDA délivre des permis à qui en veut, sans le moindre contrôle, c’est effarant.

    On découvre aussi le monopole des industriels de l’agroalimentaire (contrairement à l’Europe, où une "Autorité de la concurrence" empêcherait une telle mainmise et notamment, sur le poulet, puisqu’il est question de cela dans le film). Résultat, les éleveurs se retrouvent pieds et poings liés, submergés de dettes.

    Bien évidemment, on n’échappe pas à ces images de poussins élevés en batterie, nourris porc (!) et qui grandissent bien plus vite que ce qu’avait prévue Dame Nature. Résultat, les poulets meurent de crises cardiaques ou ont des problèmes de croissances (prenant du poids bien trop vite, leurs os ne peuvent pas suivre, ils finissent donc par rompre ou se tordre).

    Sans oublier le fameux "greenwashing", dont l’industrie de la restauration rapide s’est empressée de mettre en place à marche forcée, après la tornade qu’a représentée Super Size Me. Souvenez-vous, au milieu des années 2000, lorsque McDonald’s a subitement changé de code couleur, changeant son logo (en gardant ses arches jaunes) passant d’un logo à fond rouge, à… vert ! Ce n’était absolument pas anodin. Idem pour le relooking de ses restaurants, aussi bien extérieurs qu’intérieurs (et tous ses concurrents ont fait de même). Et cela, Spurlock le montre très bien, en allant dans chacun des fast-foods qui pullulent aux States (Chick-fil-A, Wendy's, Burger King, Subway, Chipotle, Carl’s Jr, …).

    Le réalisateur ne nous épargne rien et nous montre les rouages d’un système qui abuse de la confiance des consommateurs, en se disant plus sain, plus vertueux, plus vert et respectueux de l’environnement (il n’y a qu’à voir les campagnes marketings de McDonald’s France de ces dernières années pour s’en convaincre).

    En mettant au point son propre fast-food, il nous dévoile les coulisses peu reluisantes de l’industrie agroalimentaire fourbes & malhonnêtes et les combines de l’industrie de la restauration rapide pour mettre au point un "greenwashing" savamment et sournoisement redoutable et qui est entré dans les habitudes des consommateurs.

    C’est effarant de ce dire que finalement, rien n’a changé 15ans après qu’ils les aient tous cloué au pilori.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Shiwamada
    Shiwamada

    40 abonnés 556 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 février 2020
    Je pensais que l'objectif du documentaire était de dénoncer les dérives du commerce du poulet, montrer dans quelles conditions ils sont élevés, vérifier leur origine... En gros, montrer à l'image du premier film, à quel point la malbouffe est un travers. Au lieu de ça, le documentaire commence par une dégustation de burgers au poulet tous aussi gras les uns que les autres, et si cela part bien avec quelques critiques sur le fait que les sauces ressemblent à ce que produit un bébé, Spurlock décide de... créer son propre fast-food. Au lieu de dénoncer les grandes corporations et leurs pratiques insensées, il rentre dans leur jeu ! On a donc droit à Spurlock qui monte son élevage de poussins pour faire prospérer son affaire. Comment peut-on dire avec un calme olympien à propos des poussins "Leur seul but est de grossir vite et de terminer dans notre ventre" !? Pas de moralisation sur le tri et l'abattage des poussins, au contraire cela est fait sur une douce musique. Bref, là où le premier Super Size Me avait l'avantage d'être un documentaire solide sur le fait que manger ce type de nourriture de façon répétée ne pouvait avoir que des conséquences néfastes sur la santé, celui-ci a l'objectif absolument opposé. Consternant.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top