Derniers Avis : Once Upon a Time… in Hollywood - Page 7

Je n’ai pas compris l’intérêt… vraiment trop long j’avais hâte de la fin… il ne se passe absolument rien… pas d’émotion rien…

surement le plus intimiste des films de Tarantino ! et sûrement le plus délicat à visionner car loin des précédents opus. ce qui n aidera pas le grand public.
film ultra référence d un point de vue cinématographique Tarantino rend des hommages à son cinéma, celui qui l a vu grandir qu il a admiré ses westerns , ses idoles, ses cascadeurs , son Hollywood...ce los angelles des sixties en plein ébullition. il fait ici une ode à une période révolu où Hollywood était le centre du monde , on ressent beaucoup de mélancolie d admiration tout au long du film il le fait au travers de ces deux loosers qui a force deviennent attachants. il faut reconnaître le talent incroyable de ces deux acteurs qui magnifient le film. rendant hommage à tous ces acteurs dont on oublie vite le nom dont on ne se souvient plus ou que l on n aperçoit pas , ses cascadeurs qui restent inconnus... toutes ces personnes qui font cette industrie et qui vivent avec leurs démons...il dénonce ainsi une époque revolu et une forme de maladie dont est atteint aujourd hui Hollywood, tout en nous peignant cette époque idyllique par des décors et une ambiance séduisante collant aussi à l actualité et l episode sharon tâte/ manson.
malheureusement le film est pour moi trop inégal , car en effet dans ce film il ne s y passe rien de spécial juste une tranche de vie d une journée d acteurs loosers...et c est le but raconter le quotidien de ce temps dans un contexte malheureux par deux personnages fictifs. la bande son est un ton en dessous pour le coup aussi . les dialogues tarantinesques sont la les états d ames , la violence sur le final ave beaucoup d ironie et de seconde degré...
on aime ou pas , il ya des fulgurances parfois jouissifs , parfois inégale..... pas le meilleur c est sur mais une lecon de cinéma et un hommage à l industrie de la part de l un de ses plus fervents serviteurs

Un film intéressant parce qu'il réécrit l'histoire: celle du meurtre de masse commis par 3 hippies dans la maison de Sharon Tate et Roman Polansky, en 1969. Tarantino nous donne ici ce qui se serait passé si les hippies s'étaient trompés de maison et avait choisi celle d'à côté. Au lieu de nous montrer les célébrités d’Hollywood lardées de coup de couteaux, ce sont les hippies qui se font exploser. Soit une vengeance, soit un détournement. De toutes facons, il aurait été insoutenable de nous montrer le vrai carnage. La justice américaine a commué les peines de mort à la prison à vie (et aux USA, c'est jusqu'à la mort alors qu'en France, c'est 15 ans avec les remises de peine) et deux des trois meurtriers sont encore en vie (et ont même eu droit de se marier et d'avoir des enfants). Peut-être que Tarantino fait dans son film ce que la justice n'a pas osé.
Cela dit, autant la fin est digne de Kill Bill, autant la quasi totalité du film est longue et soporifique. La bande son ne permet pas tout. heureusement, Di Caprio et Pit sont excellent et portent le film. Il faut le voir en VO, parce que les accents sont parfaits. La scène avec la famine de 8 ans est exceptionnelle. Celle dans le ranch est également forte et annonce un tournant dans le film.
Bref, quand on connait l'histoire du meurtre, c'est un film à voir. Quand on l'apprend ensuite, c'est un film qui nous interpelle.

Est ce vraiment un film de Tarantino ? La question est légitime et peut diviser les fans tant ce film est si différent du reste de sa filmographie. Les afficionados des envolées lyriques, des thèmes musicaux cultes et des giclées de sang impromptues se retrouvent confrontées à une balade dans les rues d'Hollywood en voiture, aux attentes sur les plateaux de cinéma et à l'envie qu'il se passe quelque chose dans cette monotonie. Tarantino a voulu faire du cinéma sur le cinéma et pour cela, c'est réussi, différents thèmes cinématographique s'enchaine de manière réussi, mais bon dieu, que veut on nous raconter ? Pour nous, public non américain, ces différents personnages nous sont inconnus, stars d'une série qui n'a pas franchi l'Amérique, starlette en devenir plus connue pour sa mort que pour sa carrière et terrible tueur en série dont le nom est caché. Tarantino revisite l'histoire comme il aime si bien le faire, mais se farcir 2h30 de vide pour arriver à ce qu'on attend de lui, c'est cher payé ! Oui, Once upon a time divise...

Tout ce qu'on aime chez Tarantino. Chaque scène est un petit film à déguster. On voudrait que cela ne s'arrête jamais.

Attendre plus d'1h avant qu'il ne se passe enfin quelque chose... Sons hurlants et criards sans pause, extrêmement bavard pour ne rien dire, images saccadées pseudos hommage au cinéma pop 70, l'impression d'être dans un clip d'images se succédant mimant une parodie.
Il me faudra attendre l'arrivée des hippies pour qu'il se passe enfin quelque chose, et qu'un début de d'histoire démarre.
J'adore le génie de Tarantino sur certains films (Réservoir dogs, Jackie Brown, Pulp Fiction...), moyennement convaincue par d'autres (Kill Bil, Django Unchained...). Mais là, je suis déçue. J'aime le film de mi parcours à la fin, mais attendre la moitié du film, c'est limite.
J'ai tenu la 1è moitié uniquement parce que c'était Tarantino. Je voulais espérer un miracle. Jamais venu.
Il me fait définitivement penser à notre Gaspard Noé, capable de nous faire des films-clips à chier comme des chefs d'œuvres. Sauf que j'attends bien plus d'un Tarantino que d'un Noé.
Bref, je crois que je ne me déplacerais plus en salle pour lui.

Je m'attendais à ne pas aimer ce film, mais finalement il est plutôt bien passé. La reconstitution de la fin des années soixante est magnifique, à aucun moment je n'ai été saoulé par des dialogues interminables, le film est plutôt bien équilibré en terme de rythme, il n'y a que la fin purement tarantinesque qui dénote. Et cette fin justement, elle ne m'a pas fâché, sans doute parce que je la connaissais d'avance et que j'en avais intégré la volonté et le sens. Mais si je l'avais vu à sa sortie sans y être préparé, je pense que j'aurais été extrêmement choqué, et même si là ça n'a pas été le cas, je regrette quand même qu'un petit bandeau qui dise se qu'il s'est passé le 9 août 1969 ne vienne clôturer le film, par respect pour les victimes. A part ça, même si je n'ai rien trouvé d'extraordinaire à l'ensemble, "Once upon a time" est sympathique à regarder.

Je suis partagé sur la critique : d'une part un film qui part un peu dans tous les sens à la Tarantino qui a du mal à me convaincre, mais d'autre part un régal absolu de passer 2h avec Di Caprio et Brad Pitt avec une pincée d'Al Pacino.
Le style est classe, dommage pour l'histoire...

Magnifique !!! Que je ne m'ennuie pas une seconde grâce au casting incroyable et au jeu d'acteur époustouflant est assez rare. Effectivement, l'histoire en elle-même n'a rien de fou mais le fait que cela croise un vraie histoire qui à marqué les années 70 avec Charles Manson et ses meurtres perpétré par sa secte rende quelqeu chose que l'on a l'impression de vivre de plus près et donne des émotions sans pareil. Je me répete mais les acteurs sont purement fabuleux, donne de la matière à leur personnages, a tel point que l'on prends du plaisir à regarder quelqu'un changer une antenne sur le toit (scène du film) juste car il est magnifiquement bien jouer. Le style Tarantino rajoute sans constetaion quelque chose qui se fond parfaitement à l'univers et à l'intrigue du film.
MERCI DiCaprio et Brad Pitt !!!

Excellent film, un peu long mais il pose les elements necessaire a une fin grandiose ou tout se dénoue en un clin d'oeil. Brad Pitt est incroyable.

Alors oui c'est du Tarantino, donc on s'attend à avoir des dialogues longs et soignés et une action lente. Effectivement c'est bien le cas mais le scénario n'arrive pas à faire décoller le film, sans doute le film de Tarantino que j'ai le moins apprécié, dommage car le casting est top.

Quelle prétention de faire un film de 2h40 avec un scénario si pauvre. Pendant deux heures, c'est d'une platitude sans nom, mortellement ennuyeuse car rien ne se passe. La dernière demi-heure, cela s'anime. Evidemment il y aura une phase d'ultra violence comme dans tous les films de Tarentino. Le résultat, c'est un film vraiment raté.

Un vide structuré avec de bon acteurs, un film qui en se réveil jamais, qui se repose uniquement sur la notoriété de ses acteurs souproudrès de rappel historique pour tenir l'ennui

Je n'ai compris qu'à la fin qu'il s'agissait d'un Tarantino... et ça change toute la lecture du film.
C'était pourtant évident : qui d'autre que lui peut se permettre un film aussi long, un gros budget, les meilleurs acteurs, les références ciné à la pelle sans oublier l'envers du décor, etc. Lenteurs et scènes a priori inutiles mais tellement fignolées (Kill Bill). La fin marque indéniablement sa signature spoiler: à coup d'ultraviolence sans transition, en revisitant l'histoire à sa sauce sans aucune subtilité (Inglorious Basterds)
.
Scène après scène, les sentiments changent avec force (et transition) : drôle, mélancolique, ridicule, etc. Le décor et l'ambiance 60s est superbe.
Mais ce film manque totalement de scenario, la pauvre Sharon Tate est une potiche, certaines scènes sont totalement plates, la fin est absurde (quel est le but ? montrer que Brad Pitt aurait dû être présent ?). Bref, malgré toutes ses qualités, ce film manque cruellement de fond .
Un film qui réussit à être à la fois extrêmement riche... et creux.

Ce film ce déroule dans un monde alternatif dans la quelle le meurtre de Sharon Tate n’a jamais lieu,
une actrice des années 60 assassiné par des Hippies en 69 .


Leonardo DiCaprio et Brad Pitt sont excellent acteurs.

L’époque des années 60 est parfaitement bien représenté par ses décors.


L’intrigue est excellente mais la façon comme c’est raconté est particulier.


Ce film n’est pas destiné aux grands publics mais aux cinéphiles