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36 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Barry Jenkins est l’un des rares cinéastes américains à revendiquer ce romanesque pictural et musical échevelé, appelant le spectateur à ressentir le film à travers chaque couleur et chaque note. Il vous transperce par la pureté de ses images, de sa bande originale, des émotions.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Elle
par Françoise Delbecq
On redécouvre avec bonheur le style du réalisateur : gros plans, ralentis sobres et silences douloureux. A voir absolument.
Ouest France
par Thierry Chèze
Jenkins, un peintre bienveillant.
Positif
par Franck Garbarz
Formaliste inspiré, Jenkins, grâce à un travail sur les rouges et les verts proche de Douglas Sirk et à l'association des gros plans et de nappes musicales mélancoliques, porte les émotions à un degré d'incandescence rarement atteint.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Le résultat est sublime.
Voici
par Daniel Blois
Un très grand film, juste et délicat.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le film de Barry Jenkins s’inscrit dans la mouvance d’un cinéma afro-américain fort.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
BIBA
par Lili Yubari
Toujours aussi lyrique et romantique, le réalisateur oscarisé de "Moonlight" dénonce les injustices communautaires à travers une histoire d'amour pure brisée en plein vol.
Bande à part
par Olivier Pélisson
La chronique d’un amour qui surmonte toutes les embûches. Sans complaisance, sans star, et avec une délicatesse perçante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Avec cette nouvelle réalisation engagée, le cinéaste frappe fort et dénonce les injustices dont peut être victime la communauté afro-américaine, à travers l’histoire d’amour mise à mal d’un jeune couple.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Sous ses dehors de film romantique ondoyant sur une entêtante et sensuelle bande-son, Beale Street parle d’un esprit de combat. Ce qui se joue est l’histoire, sans cesse recommencée, de la lutte des Noirs dans l’Amérique blanche. Le blues ne désarme jamais.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un festin pour les yeux.
L'Express
par Eric Libiot
"Si Beale Street pouvait parler" est une belle histoire d'amour qui se mue, l'air de rien, en cri contre l'injustice et la reproduction sociale. Ce que le film peut perdre en suspense, il le gagne en empathie.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Interprète pour la première fois d’un grand rôle, Kiki Layne compose une jeune fille innocente et pleine de sagesse face à Stephan James, tous deux formidables comédiens capables de porter la richesse émotionnelle de ce jeune couple dont l’amour pur transcende la douleur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
[...] une clarté du récit, une pudeur extrême dans l'expression des sentiments, un rythme dont la lenteur est porteuse d'autant de douceur que de mélancolie, une interprétation attachante, portée par la jeune Kiki Lane, boule d'émotion contenue à elle toute seule.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’ampleur de la mise en scène n’a d’égale que l’intensité du message qu’elle véhicule avec une humanité extraordinaire.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Un élan de délicatesse qui porte au sommet à la fois la littérature et le cinéma.
Le Point
par Florence Colombani
Un film d'amour inoubliable.
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Le film de Barry Jenkins dépeint la violence de la condition afro-américaine dans les années 1970 à travers une sublime histoire d’amour. En choisissant d’adapter le roman de James Baldwin, le cinéaste lance un écho retentissant à l’actualité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Olivier Lamm
Tout ou presque s’y exprime en sourdine, y compris les coups les plus âpres, la passion la plus ardente et les échanges les plus malveillants, quand le montage, intensément soigné et sensuel, chaperonne une narration qui coule jusqu’à sa conclusion comme les volutes de cordes, cuivres et vibraphone filtrées qui l’accompagnent souvent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Frédéric Mercier
[...] Barry Jenkins s'attaque au monument blues de James Baldwin avec une conviction de chaque plan qui force le respect.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Fidèle au livre, Jenkins signe une charge d’une rare intelligence contre les dysfonctionnements d’une Amérique malade du racisme. Intelligente parce qu’elle choisit l’amour contre la haine, la douceur contre la violence, l’espoir contre l’anéantissement.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
La mise en scène, d'une élégance infinie, souligne les émotions des deux protagonistes, incarnés avec force par deux acteurs prometteurs.
Télérama
par Louis Guichard
La fin de Beale Street est émouvante, tant elle superpose, implicitement, l’hier et l’aujourd’hui. Entre résignation et fidélité à eux-mêmes, les deux jeunes parents n’ont plus qu’à croire dans un avenir où leur enfant, au moins, vivra mieux… Ensemble, ces trois-là forment une belle allégorie de l’endurance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Barry Jenkins capte, avec grâce, une magnifique histoire d’amour érigée en rempart contre l’injustice et la haine.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Adaptation incroyablement soignée, mais terriblement cadenassée du brillant texte de James Baldwin.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
Esthétisant, presque naïf dans sa démonstration, "Si Beale Street pouvait parler" ressemble à un mélo sixties d'Elia Kazan (grand admirateur de Baldwin) filmé par le Wong Kar-wai d'"In the Mood for Love ". Le geste paraît anachronique. On rêverait que le racisme le soit aussi.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Comme dans "Moonlight", la maîtrise est forte, même s’il joue trop sur la longueur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Jenkins a un sens infini du romanesque et on pardonne quelques scories (un personnage de flic au-delà du caricatural...) pour saluer cette réussite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Que les héros aient le cœur pur n’est pas le problème, mais la mise en scène consiste à interroger un scénario, plutôt que l’orner de rubans.
Critikat.com
par Josué Morel
Difficile d’être touché par un film aussi enjôleur et propret.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Julien Rombaux
A force d’être timoré, le réalisateur peine à hisser ses personnages à la hauteur des enjeux du livre. Cette propreté visuelle devient symptomatique de la superficialité de l’ensemble, le premier émerveillement cédant la place à un ennui poli. Pire encore, le soin apporté aux costumes font davantage songer à des pages de Vogue qu’aux rues d'Harlem décrites par Baldwin.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si Jenkins s’escrime à magnifier ces beaux losers blacks, il élimine en même temps ce qui fait le sel de l’existence : les imperfections. Un exercice stylé mais intemporel, dévitalisé, voire virtuel. Une vision aseptisée du ghetto.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Etienne Sorin
Après l'oscarisé « Moonlight », Barry Jenkins déçoit avec cette adaptation de James Baldwin.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Enfermés dans leur écrin de beauté, les personnages finissent par devenir d’unidimensionnelles figures de papier glacé, censées nous émouvoir par injonction davantage que par une tension patiemment construite.
Sud Ouest
par Sophie Avon
« Si Beale Street pouvait parler » possède une douceur qui va contre toute idée de rancœur ou d’âpreté. Mais le jeu ralenti et comme contraint des acteurs et l’enluminure de la mise en scène donnent plus de maniérisme que de poésie à ce tableau d’un bonheur confisqué.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
CinemaTeaser
Barry Jenkins est l’un des rares cinéastes américains à revendiquer ce romanesque pictural et musical échevelé, appelant le spectateur à ressentir le film à travers chaque couleur et chaque note. Il vous transperce par la pureté de ses images, de sa bande originale, des émotions.
Elle
On redécouvre avec bonheur le style du réalisateur : gros plans, ralentis sobres et silences douloureux. A voir absolument.
Ouest France
Jenkins, un peintre bienveillant.
Positif
Formaliste inspiré, Jenkins, grâce à un travail sur les rouges et les verts proche de Douglas Sirk et à l'association des gros plans et de nappes musicales mélancoliques, porte les émotions à un degré d'incandescence rarement atteint.
Rolling Stone
Le résultat est sublime.
Voici
Un très grand film, juste et délicat.
20 Minutes
Le film de Barry Jenkins s’inscrit dans la mouvance d’un cinéma afro-américain fort.
BIBA
Toujours aussi lyrique et romantique, le réalisateur oscarisé de "Moonlight" dénonce les injustices communautaires à travers une histoire d'amour pure brisée en plein vol.
Bande à part
La chronique d’un amour qui surmonte toutes les embûches. Sans complaisance, sans star, et avec une délicatesse perçante.
CNews
Avec cette nouvelle réalisation engagée, le cinéaste frappe fort et dénonce les injustices dont peut être victime la communauté afro-américaine, à travers l’histoire d’amour mise à mal d’un jeune couple.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sous ses dehors de film romantique ondoyant sur une entêtante et sensuelle bande-son, Beale Street parle d’un esprit de combat. Ce qui se joue est l’histoire, sans cesse recommencée, de la lutte des Noirs dans l’Amérique blanche. Le blues ne désarme jamais.
Femme Actuelle
Un festin pour les yeux.
L'Express
"Si Beale Street pouvait parler" est une belle histoire d'amour qui se mue, l'air de rien, en cri contre l'injustice et la reproduction sociale. Ce que le film peut perdre en suspense, il le gagne en empathie.
La Croix
Interprète pour la première fois d’un grand rôle, Kiki Layne compose une jeune fille innocente et pleine de sagesse face à Stephan James, tous deux formidables comédiens capables de porter la richesse émotionnelle de ce jeune couple dont l’amour pur transcende la douleur.
Le Dauphiné Libéré
[...] une clarté du récit, une pudeur extrême dans l'expression des sentiments, un rythme dont la lenteur est porteuse d'autant de douceur que de mélancolie, une interprétation attachante, portée par la jeune Kiki Lane, boule d'émotion contenue à elle toute seule.
Le Journal du Dimanche
L’ampleur de la mise en scène n’a d’égale que l’intensité du message qu’elle véhicule avec une humanité extraordinaire.
Le Monde
Un élan de délicatesse qui porte au sommet à la fois la littérature et le cinéma.
Le Point
Un film d'amour inoubliable.
Les Fiches du Cinéma
Le film de Barry Jenkins dépeint la violence de la condition afro-américaine dans les années 1970 à travers une sublime histoire d’amour. En choisissant d’adapter le roman de James Baldwin, le cinéaste lance un écho retentissant à l’actualité.
Libération
Tout ou presque s’y exprime en sourdine, y compris les coups les plus âpres, la passion la plus ardente et les échanges les plus malveillants, quand le montage, intensément soigné et sensuel, chaperonne une narration qui coule jusqu’à sa conclusion comme les volutes de cordes, cuivres et vibraphone filtrées qui l’accompagnent souvent.
Transfuge
[...] Barry Jenkins s'attaque au monument blues de James Baldwin avec une conviction de chaque plan qui force le respect.
Télé 7 Jours
Fidèle au livre, Jenkins signe une charge d’une rare intelligence contre les dysfonctionnements d’une Amérique malade du racisme. Intelligente parce qu’elle choisit l’amour contre la haine, la douceur contre la violence, l’espoir contre l’anéantissement.
Télé Loisirs
La mise en scène, d'une élégance infinie, souligne les émotions des deux protagonistes, incarnés avec force par deux acteurs prometteurs.
Télérama
La fin de Beale Street est émouvante, tant elle superpose, implicitement, l’hier et l’aujourd’hui. Entre résignation et fidélité à eux-mêmes, les deux jeunes parents n’ont plus qu’à croire dans un avenir où leur enfant, au moins, vivra mieux… Ensemble, ces trois-là forment une belle allégorie de l’endurance.
aVoir-aLire.com
Barry Jenkins capte, avec grâce, une magnifique histoire d’amour érigée en rempart contre l’injustice et la haine.
Ecran Large
Adaptation incroyablement soignée, mais terriblement cadenassée du brillant texte de James Baldwin.
L'Obs
Esthétisant, presque naïf dans sa démonstration, "Si Beale Street pouvait parler" ressemble à un mélo sixties d'Elia Kazan (grand admirateur de Baldwin) filmé par le Wong Kar-wai d'"In the Mood for Love ". Le geste paraît anachronique. On rêverait que le racisme le soit aussi.
Paris Match
Comme dans "Moonlight", la maîtrise est forte, même s’il joue trop sur la longueur.
Première
Jenkins a un sens infini du romanesque et on pardonne quelques scories (un personnage de flic au-delà du caricatural...) pour saluer cette réussite.
Cahiers du Cinéma
Que les héros aient le cœur pur n’est pas le problème, mais la mise en scène consiste à interroger un scénario, plutôt que l’orner de rubans.
Critikat.com
Difficile d’être touché par un film aussi enjôleur et propret.
Culturopoing.com
A force d’être timoré, le réalisateur peine à hisser ses personnages à la hauteur des enjeux du livre. Cette propreté visuelle devient symptomatique de la superficialité de l’ensemble, le premier émerveillement cédant la place à un ennui poli. Pire encore, le soin apporté aux costumes font davantage songer à des pages de Vogue qu’aux rues d'Harlem décrites par Baldwin.
L'Humanité
Si Jenkins s’escrime à magnifier ces beaux losers blacks, il élimine en même temps ce qui fait le sel de l’existence : les imperfections. Un exercice stylé mais intemporel, dévitalisé, voire virtuel. Une vision aseptisée du ghetto.
Le Figaro
Après l'oscarisé « Moonlight », Barry Jenkins déçoit avec cette adaptation de James Baldwin.
Les Inrockuptibles
Enfermés dans leur écrin de beauté, les personnages finissent par devenir d’unidimensionnelles figures de papier glacé, censées nous émouvoir par injonction davantage que par une tension patiemment construite.
Sud Ouest
« Si Beale Street pouvait parler » possède une douceur qui va contre toute idée de rancœur ou d’âpreté. Mais le jeu ralenti et comme contraint des acteurs et l’enluminure de la mise en scène donnent plus de maniérisme que de poésie à ce tableau d’un bonheur confisqué.