Avis sur L'Homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot

Pour son premier film, Robert D. Krzykowski nous propose quelque chose d'assez riche qui pouvait facilement donner trois films différents avec la partie quand Calvin est chargé d'éliminer Hitler, la partie où il doit traquer la créature et la partie dramatique, car oui, "The Man Who Killed Hitler and Then The Bigfoot" est un drame et non pas un film d'aventures, d'horreur ou même un thriller. Le réalisateur dresse le portrait d'un vieil homme qui vit avec le poids de ses actes. Il fait le parallèle entre le passé et le présent de cet homme qui d'une certaine façon doit encore accomplir quelque chose pour "sauver" le monde. Calvin est un héros modeste puisque d'une certaine façon, il se sacrifie pour les autres en faisant quelque chose de contre nature pour lui dont il n'est pas fier. Cet homme a tué un vrai tyran en la personne d'Hitler et pourtant il n'est pas fier d'avoir dû tuer un homme. Et c'est le même cas de figure qui se présente quand on lui demande d'éliminer une créature. Il faut avouer que l'approche de ce film est plutôt originale, car les assassinats d'Hitler et du Bigfoot sont secondaires par rapport à l'étude faite de ce personnage qui vit avec des regrets. C'est pour cela que je dis qu'il faut s'attendre à regarder un simple drame, car les scènes sur Hitler ou le Bigfoot ne représentent que 15/20 minutes maximums. Le reste du temps, nous sommes baladés entre le présent et le passé avec des moments de vie assez ternes et des flashbacks sans grand intérêt. Il y a quelque chose d'attendrissant et parfois touchant dans ce film, mais l'ensemble est inconsistant et finalement un peu insignifiant malgré quelques bonnes idées ici et là.

Avec un titre pareil je m’attendais à une série B rigolarde et un peu forcée. Il n’en n’est rien, avec son vieil héros simple qui se sacrifie pour les autres qui vit avec ses regrets et les conséquences de ses actes c’est un film curieux qui ne va pas vraiment là où on l’attend. Un film qui a disposé visiblement de peu de moyens mais où il sont exploités au maximum. Car c’est assez soigné et on y trouve quelques plans d’une beauté fulgurante. Il y a aussi une très belle interprétation de Sam Elliot, très intériorisée et pourtant faisant passer énormément de sentiments sur ce héros au soir de sa vie. Non vraiment ce fut une belle surprise.

J'ai du mal à comprendre certaines critiques extrêmement négatives. Un grand film? Non... Un nanar? Non plus...
Le rythme est relativement lent ce qui n'est en rien gênant. Si on fait abstraction de quelques éléments qui ne collent pas, l'histoire est agréable à suivre, il faut juste un peu lâcher prise et se laisser porter...
A l'arrivée, un titre nanardesque, pour un film pas si mauvais.

Ce film tente d'être une histoire dramatique avec de l'action et échoue misérablement. L'intrigue est ridicule lente et inintéressante à moins que vous ne vous lanciez dans cette histoire de héros américain. La seule grâce qui sauve est les scènes du bigfoot de Sam Elliott qui étaient parfois hilarantes. J'attendais une explication à la fin du film qui n'est jamais venue. Il meurt et ils ont un enterrement puis il se rend à une pièce de théâtre à l'école et sa famille ne sourcille pas. Et qu'y avait-il dans la boîte je ne le saurai jamais. Un titre qui m'a intrigué mais il a fallu 60 minutes avant que BigFoot ne soit mentionné. Le budget a manifestement été épuisé à ce moment-là car le BigFoot était risible et ressemblait à un film des années 70. Le moins qu'on puisse dire c'est qu'il était embarrassant. Mais j'ai tenu bon jusqu'à la fin étant un grand fan de Sam Elliot et d'Aidan Turner mais j'ai été totalement déçu car ils ne laissent jamais voir ce qu'il y a dans la boîte. La morale de cette histoire Dieu seul le sait...

On ne comprend rien !

Au départ, le film se veut sérieux et poétique pour rapidement se faire rattraper par son ridicule. "L'Homme qui a tué hitler et puis le Bigfoot" est un film qui tourne en rond et pour rien.

La réalisation est maladroite, le scénario complétement ridicule et le montage odieux. La volonté de développer des histoires parallèles autour du personnage principale n'a absolument aucun sens, la raison étant que cela n'apporte rien à l'avancée de l'histoire.

Au départ, le film nous promettait une histoire épique, rien que le titre est évocateur et pourtant, au bout de 30 minutes, on se retrouve à subir le film et à ne pas comprendre où le scénariste veut en venir. J'accuse Robert D. Krzykowski de ne pas avoir de logique dans son film. En voulant surfer sur la vibe de "No country for the Old Men", Robert D. Krzykowski ne vise pas juste et même bien à côté.

On pourra noter la justesse des jeux d'acteurs, que ce soit Sam Elliott ou Aiden Turner, qui nous convaincs de leur sincérités pour autant le film est oubliable et on ne veut pas y retourner.

Mention spéciale au Bigfoot qui est affreux, pas affreux dans le sens où il fait peur, plutôt dans le sens où on se serait cru revenir dans les années 80 avec ces créatures laides et maladroites. A la vu de ce bigfoot, je n'ai pu esquisser qu'un sourire de moquerie.

En conclusion, le film n'est pas terrible et n'en vaut pas la peine !

Film hommage décomplexé à Sam Elliott, le projet n'aurait certainement eu aucun sens sous les traits d'un autre. Le vieux briscard à moustache aura bien mérité d'être au panthéon des cowboys et cette œuvre onirique et tendre.

N importe quoi ... l avantage c est que l on ne s attends pas aux événements du film, même avec le titre improbable, mais si ce titre décrit bien l histoire de cet homme. Scénario abracadabrant, scènes gores, jeu approximatif, bon et bien ... bon courage pour le visionnage d un film qu il vaut mieux prendre au second degré ... tellement c est debile

Nazis ne parlant pas allemand ! Ou qui se trompent de bras en saluant. Uniformes trop grands d un Hitler de supermarché. Dialogues abscons et incompréhensibles au service d une histoire absurde Ennui mortel. Monstre de plastique tellement low cost qu il est comique. Serions nous dans les monty Python ? Une comédie comme le titre semble en être l indice ? Que nenni. Tromperie sur la marchandise. Ce film prétentieux se veut très sérieux et très profond ....

Ah oui c'est un titre assez.....Curieux... Le film l'est tout autant avec un personnage principal étonnant et original. La principale motivation de regarder ce film est justement ce décalage. Je ne parviens pas à donner un avis construit... Il est plutôt bien film, les acteurs sont bons, certains moments sont touchants, on adhère sur de nombreuses réflexions.... Curieux, étonnant et décalé.

Plus une série B... scénario assez simpliste... sans grande consistance.. à voir une fois.. 2 étoiles et demie.

Le titre m'a évidemment interpellé, et il ne ment pas ! Ce qu'il ne dit pas, c'est que le film mêle maladroitement trois voire quatre récits, sans véritable liant et surtout sans émotion ni rythme, d'où un ennui qui pointe rapidement. C'est dommage, car il y a une mise en scène, un casting, des idées fortes, mais en vain. Dommage.

Le titre ne peut pas laisser indifférent, associer le dictateur allemand à cette créature imaginaire relève de la pure fantaisie. L’homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot se montre plutôt passionnant dans sa première partie grâce notamment à un impeccable Sam Elliott. On accompagne cet homme dans ses souvenirs mais on partage aussi la solitude dans laquelle il est désormais plongé. Toutefois, au générique de fin, on en est même à se demander si la partie du bigfoot n’a pas juste été ajoutée simplement pour éveiller notre curiosité. La traque de la créature arrive assez tardivement et semble même expédiée tenant tout au plus sur 20 minutes. Le film nous laisse donc avec ce sentiment mitigé qu’il n’a pas tenu toutes ses promesses et on en sort avec une certaine déception.

Voici quelque chose qui défie largement les conventions avec lesquelles on appréhende d’habitude le cinéma de genre. En se fiant au titre, on pourrait trop facilement assimiler ‘The man who killed Hitler and then the Bigfoot’ à une production Troma et s’il s’inflige, par les faiblesses d’une mise en scène souvent incertaine, un statut proche d’une lettre indéfinie quelque part entre B et Z, le réalisateur vise largement plus haut que le simple produit d'exploitation débile et se démène suffisamment pour que son film échappe à toute classification trop hâtive. D’un point de vue technique et visuel, l’ensemble reste d’une relative médiocrité…mais pas suffisamment pour qu’on puisse parler d’une purge, tout en n’étant jamais suffisamment maîtrisé, audacieux ou surprenant pour qu’on puisse s’émouvoir du triste sort d’un hypothétique génie du cinéma entravé par les maigres moyens mis à sa disposition. Il n’empêche qu’avec un titre aussi tape-à-l’oeil, on ne peut s’empêcher de guetter le moment où le film va virer à la grosse guignolade grindhouse, parce qu’il semble absolument impossible de pouvoir faire tenir cette double idée au sein d’un seul scénario sans accepter d’y laisser un peu de sa dignité. Et pourtant, Robert D. Kryzkowski se débrouille pour y arriver parce que jamais il ne fait reposer son film sur la facture forcément incongrue du projet. Ce n’est pas ‘Abraham Lincoln chasseur de vampires’, ce n’est pas ‘Iron sky’...au contraire, ‘The man who killed…” est un film d’une intense mélancolie, consacré à un homme qui a accompli quelque chose d’incroyable, tué deux bêtes immondes, sauvé le monde le même nombre de fois, sans jamais être reconnu pour ses actes, et qui n’a plus que les souvenirs de ce qu’il a sacrifié à sa mission pour pouvoir se dire que tout cela en valait la peine. Pendant une bonne heure, on guette l’arrivée du rire geek, puis du rire nanard, mais aucun des deux ne surviendra jamais. L’étrangeté de la proposition, et plus encore de la manière inattendue dont elle est abordée, devrait en tout cas permettre à ce film étrange de s’assurer une certaine notoriété au sein des cénacles spécialisés. Quant à l’apprécier et y voir un grand film malade ou une perle méconnue, c’est une autre paire de manche, la disparité entre l’ambition et l’esprit d’une part, l’exécution et le rendu d’autre part, est trop manifeste pour que le résultat ne donne pas l’impression de marcher sur un seule jambe.

Un film sobre et efficace. Avec un sam elliot parfait . Alternant passer et présent jusqu'à la traque du bigfoot . Une belle découverte

J'ai pas compris l'intérêt de ce film... Ni l'intérêt de le faire ni l'intérêt de le regarder.... Intrigué par le titre et aimant bien Sam Elliott j'ai été extrêmement déçu..... Où est l'histoire ? dialogues incohérents, but incompréhensible .... Le bigfoot (j'ai bien compris qu'il ne devait être qu'anecdotique) est surtout risible et pathétique....tout ça pour quoi ..... ? je cherche encore