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    Love Addict
    Note moyenne
    2,3
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    214 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 septembre 2019
    Une nouvelle idée d'histoire encore jamais créé. Ce qui fait son originalité.
    J'ai beaucoup aimé.
    Convient à toute la famille 👪.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 26 août 2019
    Kev Adams, punaise. Vraiment, quel charisme de moule..
    Une voix désagréable, inadaptée au cinéma ou même à la prise de parole en public.
    Tout cela au service d'un scénario affligeant.
    Seul Marc Lavoine a su m'arracher quelques sourires.
    JMZ_1995
    JMZ_1995

    2 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 août 2019
    Nous avons ici affaire à une comédie qui mise tout son humour dans le loufoque, la bêtise et l’exagération de comportements ridicules. Si on ne prend pas ce film au 1000ème degré, difficile d'être réceptif à cet humour qui rend un Marc Lavoine tout a fait grotesque et ridicule, des gags qui ne fonctionnent pas, et un Kev Adams qui peine à faire rire. Ce constat est triste mais criant de vérité.
    La problématique même du film est complexe puisqu'elle concerne très peu le public et parait donc surréaliste : Kev Adams couche avec toutes les femmes en à peine 2 échanges ! Mais en essayant de rentrer dans ce film, tout parait incohérent : entre la "mindeuse" qui se balade nue devant son patient qui doit résister aux femmes, le détachement surjoué du copain de Marie-Zoé, l'oncle Marc Lavoine qui a des problèmes sociaux sorties de nulle part, et la femme du patron de Gabriel qui sert juste l'intrigue comme objet de tentation (qui est très mal amené par ailleurs) ; difficile de sa satisfaire d'une telle pauvreté !
    Voilà le tableau d'une comédie qui en a que le genre, ce qui est peu surprenant avec Kev Adams en tête d'affiche. et une écriture si faible.
    1,5/5
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    175 abonnés 1 748 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 août 2019
    Love Addict est une comédie légère au scénario limité pour mettre en valeur Kev Adams dans une comédie romantique. Même si le jeu de l’acteur est parfois à améliorer, ça se regarde puis ça s’oublie assez rapidement.

    Le scénario est peu épais et sans surprise . On sait ce qui va arriver dès les premières minutes.

    Malgré tout cela on rigole un peu notamment avec la bande des quatre garçons de la boîte de lingerie.
    Ceci permet de viser tout juste la moyenne.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    685 abonnés 3 006 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 août 2019
    Love Addict répète, inlassablement, que « l’amour est enfant de bohème » et n’a « jamais connu de loi », à l’instar de son protagoniste principal, véritable don juan des temps modernes. Et là réside l’intérêt dudit film : le donjuanisme est-il encore possible dans une société où règne la diabolisation croissante de toute forme de séduction masculine ? Il n’est pas anodin que le métrage se construise sur des échos de l’opéra bizetien : il pose la question de l’obsession amoureuse, et la musique qui revient sans cesse traduit le désir, cet inépuisable désir qui condamne Kev Adams à succomber, encore et encore, aux femmes qu’il rencontre. En ce sens, Gabriel (au nom angélique) se rapproche davantage d’un Casanova, son amour n’étant jamais feint mais bien réel. Nous le voyons d’ailleurs corriger un chauffeur de taxi parce que ce dernier manque de respect à la femme qu’il transporte. Love Addict porte dans son titre le nom d’une maladie, d’une étiquette qui rangerait l’homme ainsi désigné parmi les marginaux contraints de se soigner pour trouver une place dans la société. C’est reconnaître que la séduction compulsive ne peut, aujourd’hui, qu’être traitée de façon clinique. De la mise sur écoute aux électrodes, du pot de miel aux interventions castratrices, tout est fait pour freiner l’art d’aimer, désigné telle une pathologie dangereuse pour l’ordre sociétal. Pourtant, si le film ne prône nul libertinage, il perce dans son chemin rédempteur quelques voies sinueuses où s’engouffre l’interdit. Et cet interdit, c’est Marie-Zoé, elle aussi marginale – elle vient d’être renvoyée pour faute professionnelle – et dont le prénom annonce d’entrée de jeu la surdose de féminin. Surdose d’indépendance, puisque ce personnage est le seul à ne pas nous être présenté par le regard de Gabriel, puisqu’il dispose de sa propre focalisation et n’hésite pas à lutter contre le masculin parasite (son petit-ami). Surdose hiérarchique, surtout, qui fait d’elle une proie inaccessible. Love Addict met donc en conflit deux points de vue hégémoniques incarnés par les deux sexes et autour desquels gravitent des cœurs perdus. Il n’aboutit au triomphe d’aucun, mais privilégie le risque et la liberté, conditions sine qua non de la rencontre : sur un lit d’hôpital, Marie-Zoé transforme son élève en amant pour impressionner sa mère, Gabriel renonce à rencontrer sa belle-famille et se rend à une soirée où il sera tenté par la femme de son patron. Curieuse façon de se ranger. Et pourtant unique façon de maintenir ardent un impétueux désir. En dépit de ses situations parfois très convenues et de la facilité de ses bascules dramatiques, Love Addict est la peinture burlesque d’un art d’aimer impossible et qui, dans la mesure où il se considère comme tel, s’accomplit.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 680 abonnés 12 411 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 juillet 2019
    Il faut bien reconnaître que le scènario pèche par son manque d'originalitè! Ni bonne ni mauvaise, cette comèdie dans la lignèe d'un "Crazy Stupid Love" tente avant tout de mettre en èvidence le charme et la fantaisie de ses interprètes! Du romantisme, de l'èlègance, des clins d'oeil ("Grease", "Lethal Weapon"...) mais aussi du dèjà vu et du très prèvisible! Le pitch ? Simple et classique! Dans le film, Mèlanie Bernier, aux mèthodes bien particulières, soigne l'addiction de l'amour pour le personnage de Kev Adams qui porte pour la première fois un costume trois pièces au cinèma! C’est un produit assez minime dans le genre « comèdie romantique à la française » mais bon au moins on ne s'ennuie pas! Dans un rôle qui lui convient, Kev Adams fait le taf sans pour autant casser des briques! Cependant la maladie de son personnage peut faire sourire car pour calmer les hardeurs de ce « love addict » , Bernier ira jusqu'à utiliser une ceinture èlectrique! Aïe [...] Quant à Marc Lavoine, il fait dans le cabotinage jubilatoire (« finita la poitrina ! »)...
    Zipzap
    Zipzap

    9 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juin 2019
    Honorable dirons-nous. En particulier grâce à la bonne idée du film, à savoir Marc Lavoine dans un rôle de Tonton haut en couleurs et en pathologies. Voilà pourquoi j'ai poussé la note à 3 étoiles. Si le charme de Mélanie Bernier opère, comme toujours, on a un peu plus de mal à croire à Kev Adams en grand séducteur et on se demande ce que le film aurait par exemple donné avec un Pio Marmaï. Quoi qu'il en soit, Kev Adams à la bonne idée de jouer avec le pied sur le frein, histoire de compenser avec les quelques lourdeurs et clichés qui plombent le film. Ceci étant dit, quelques répliques bien senties viennent rehausser ce divertissement, malheureusement sans surprise. Si la rencontre entre les deux protagonistes était arrivée plus tôt ( et non après le premier tiers du film), cela aurait laissé le temps au réal de développer un peu mieux les sentiments. Du coup, on hérite d'un final bâclé, avec visiblement une envie pressante de prendre un raccourci pour en finir avec cette histoire dont tout le monde connaissait la fin avant même le générique de début. Ce n'est pas tant le problème d'ailleurs : la marchandise était clairement identifiée. Mais au moins, on fait semblant de croire au minimum à ce qu'on raconte. Donc pour résumer : Lavoine et Bernier sont deux raisons suffisantes pour occuper - à minima - un dimanche après-midi pluvieux avec Love Addict.
    alouet29
    alouet29

    76 abonnés 1 514 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 mai 2019
    Kev Adams est capable du meilleur comme du pire. Ici, le film est décevant, plein de clichés et d'un ennui abyssal. Même Marc Lavoine n'arrive pas à entraîner ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 6 mai 2019
    Je pense que ce film est un mensonge parce qu’ont m’a fait croire qu’il pecho alors que c’est pas vrai c’est de la fiction ! MENTEUR , ESCROC , MANIPULATEUR .
    J’exige un remboursement dans le cas contraire nous réglerons ça avec les services compétents de la gendarmerie.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 juin 2019
    On sait dès le départ comment ça va finir !! Arrêtons les mauvaises critiques car si on va voir un film comme ça on sait à quoi s attendre ! Je trouve qu il répond à tout pour ce genre de film : humour et scènes décalées, sentimentalisme à l eau de rose ! Les acteurs sont au top ! Une petite comédie canapé popcorn !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 avril 2019
    Un film drôle et agréable à écouter, l’un des meilleurs films de Kev Adams d’après moi, de bonnes blagues... Le tout pour passer un bon moment. Ce n’est pas au summum du cinéma français, mais c’est le film parfait pour relaxer et délirer. Un très bon casting. Film à revoir.
    Jérémie C-35
    Jérémie C-35

    1 abonné 129 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 avril 2019
    Comédie assez basique, trop prévisible... Mélanie Bernier s’en sort bien, mais mauvais jeu de Kev Adams et de Marc Lavoine. Film qui passe le temps avec quelques gags amusants.
    Alexis H.
    Alexis H.

    1 abonné 24 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 mars 2019
    Pas crédible, vide, prévisible et terriblement ennuyeux.
    Le scénario tiens en 3 lignes et l'ensemble des gags de cette comédie sont soit ultra prévisible ( ce qui les dégonfles avant même qu'arrive la chute) soit tellement gros et absurde que ça en devient navrant.
    Si vous avez du temps à perdre...
    Audrey L
    Audrey L

    632 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mars 2019
    Moins affligeant que les Aladdin ou Gangsterdam, même si le seul public que Love Addict peut contenter est celui des fans inconditionnels de Kev Adams. Les gags sont complètement nuls (mention à Marc Lavoine qui met mal à l'aise tellement son personnage est beauf et pas drôle) et Adams est toujours loin d'être un acteur, il se contente (encore) de distiller ses blagues à la Soda, mais le scénario rend le tout un peu plus supportable que d'habitude. La bonne idée est cette intrigue de l'homme qui a le trouble compulsif de draguer les femmes qu'il croise mais qui engage une coach pour parvenir à se contrôler le temps de signer un contrat avec une femme (et son mari jaloux). Bien sûr, la fin, on la connaît dès la première minute de film (et même à la lecture du synopsis), mais elle reste assez sympathique à voir. Quelques situations auront même le mérite de m'avoir faite sourire : la scène du bar avec des déformations des prénoms donnés et une reprise de You're The One That I Want (Ooh ooh ooh... Honey. Les fans de Grease ne pourront pas s'en empêcher). Pour une fois le pire personnage n'est pas celui d'Adams mais celui de Lavoine, une prouesse. Vraiment pas terrible sur la finesse et l'efficacité de l'humour, mais cela reste plus supportable que la filmographie précédente du "comique".
    moket
    moket

    523 abonnés 4 326 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 mars 2019
    La fraicheur de Mélanie Bernier ne suffit pas totalement à rehausser le niveau de cette comédie d'un autre temps. Malgré quelques bonnes idées et quelques sourires, le film use de grosses ficelles et se montre parfois étonnamment puritain. La faute sans doute à la moyenne d'âge du public habituellement drainé par Kev Adams.
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