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    Le Monde selon Garp
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    3,6
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    58 critiques spectateurs

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    kingbee49
    kingbee49

    38 abonnés 606 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 juillet 2023
    Très correcte adaptation du livre de John Irving. Le regard à la fois cynique et tendre du romancier sur ses contemporains est plutôt bien rendu, notamment sur le traitement assez mordant du féminisme, 30 ans avant l'ère Me Too... On pourrait presque qualifier l'oeuvre de "conte cruel" tellement il ne faut pas grand chose pour que les personnages basculent dans la tragédie. Donc, une adaptation plutôt respectueuse du matériau d'origine. George Roy Hill n'est pas un grand cinéaste mais plutôt un bon faiseur et ça se voit. Cependant, il manque un petit je ne sais quoi en regard du personnage de Garp, campé par Robin Williams. L''acteur, alors au début de sa carrière, est très bien mais il y a des moments ou il est traité de façon un peu passive. Je trouve même que Glenn Close, qui joue sa mère -l'impétueuse infirmière féministe-, lui vole presque la vedette. Mais tout le monde est impeccable, y compris les enfants. L'adaptation manque peut-être un peu de rythme, sinon, mais ça se regarde. Et longtemps après la fin, on a la chanson des Beatles qui tourne en boucle dans le crâne, comme un leitmotiv qui veut dire " la vie malgré tout"
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 1 992 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 décembre 2021
    Faisant songer à Forrest Gump par divers aspects cette biographie lyrique tant d'une mère que de son fils, tous deux singuliers par leur rapport au monde et à autrui, s'enlise dans une mise en scène bien terne qui alourdit le rythme, notamment dans la seconde partie - le personnage incarné avec détermination et dynamisme par Glenn Close conférant plus d'intérêt à la première. Robin Williams incarne ici un type qu'il retrouvera par la suite, sans éclat particulier pourtant, et qui alterne drames et réjouissances de manière attendue ou dans des dimensions peu vraisemblables, rendant difficile l'empathie voire l'émotion. Dispensable.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 517 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 avril 2021
    L'histoire est centrée sur Garp (Robin Williams) qui est le fils de Jenny Fields (Glenn Close) mais le spectateur est aussi agacé par Robin Williams que par cette expression. Jenny une femme qui déteste le sexe et les hommes conçoit Garp alors qu'elle est infirmière militaire alors qu'elle s'occupe d'un patient blessé à la tête dont Jenny profite sexuellement. Garp est apparemment le seul son que le pauvre homme peut émettre et elle décide donc d'appeler le bébé ainsi. Dans la scène d'ouverture Jenny le raconte à ses parents avec des détails atroces. Malgré le fait que l'enfant soit un garçon elle lui prodigue beaucoup d'amour et il devient un écrivain. Son parcours est fait d'amour, d'infidélité de la perte d'un enfant dans l'un des accidents les plus étranges de l'histoire du cinéma qui provoque la castration d'un autre personnage et de ses propres frustrations d'être éclipsé par sa mère qui devient célèbre lorsqu'elle écrit un livre sur ses expériences. Jenny devient le centre d'un mouvement de femmes qui semblent avoir une capacité de haine qui dépasse même la sienne. En fin de compte cela conduit à son assassinat et à des funérailles auxquelles son fils n'a pas accès simplement parce qu'il est un homme sans tenir compte du fait qu'il est en fait de la famille et qu'il pleure sa propre perte. Un vieil ennemi d'enfance le reconnaît à l'office et et le fait exploser. Le même ennemi apparaît à la fin du film et le tue avec une violence inutile pour terminer ce film tout aussi inutilement qu'il a commencé...
    Jeanne-marie
    Jeanne-marie

    20 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2020
    La meilleur adaptation de john irving. On retrouve des sensations des émotions venues des pages de ce merveilleux roman. Les acteurs ont été super bien choisis . Je recommande la lecture du livre malgré tout.
    Yetcha
    Yetcha

    875 abonnés 4 386 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 février 2019
    Alors je ne suis pas du tout rentré dans le trip! Premier film de Glenn Close, superbe, un Robin Williams de 30 ans, magistral et vrai, puis c'est tout car le sens de cette histoire est franchement mal fichu. Les soi-disantes dénonciations politiques partent en vrille à chaque instant et le tout est sans queue ni tête. Une grosse déception pour moi après la lecture de nombreuses critiques élogieuses de ce film.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    281 abonnés 3 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juillet 2018
    Chef d'oeuvre absolu !! J'avais déjà lu l'oeuvre de John Irving il y a un certaine temps et je l'avais déjà beaucoup aimé mais rien à voir avec ce magnifique film !! Je ne savais pas trop à quoi m'attendre en me mettant devant car l'univers d'Irving est un peu particulier et j'avais peur d'un ton un peu trop décalé mais en fait pas du tout !! Ce film est juste parfait ! Le mélange idéal entre drame et comédie !! L'histoire est prenante, les personnages attachants et la fin hyper triste ! Que demander de plus ??? Et que dire de Monsieur Robin Williams ? On le découvre ici en tout jeune homme et franchement cela fait un bien fou ! Il est adorable, drôle, touchant et on reconnait déjà sa patte qui fera de lui l'acteur le plus génial et le plus aimé de tous les temps ! Une vrai bouffée d'air frais... Merci Robin ! Vous m'avez fait passer une soirée délicieuse ! Long Live Robin !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 février 2018
    Mon avis---

    "Le Monde selon Garp" est un film merveilleux réalisé par George Roy Hill et tiré du roman du même nom de l'écrivain américain John Irving, publié en 1978 et qui a remporté le National Book Award. Ce film est même avec les années il n'a pas pris une seule ride, tout est bien réalisé et avec beaucoup de sobriété et de justesse. Un film qui se laisse voir tout simplement parce qu'il est beau et admirablement interprété par un extraordinaire "Robin Williams", à noter que tous les autres acteurs sont aussi excellents. Un film rempli de sentiments et de bonnes intentions, c'est la troisième fois que je le regarde et c'est toujours avec autant de plaisir que je me délecte de ces beaux moments.
    Audrey L
    Audrey L

    631 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 février 2018
    Le regretté Robin Williams est un magnifique Garp, à la fois grand enfant et adulte qui se cherche dans ses rapport aux autres et au monde, mais le film pâtit d'un rythme des plus mous qui gâche complètement la candeur de son récit. On s'y endort, on y divague en pensée, et cela est dommage, car lorsque l'on raccroche, on tombe sur des passages succulents et très drôles (par exemple le proviseur qui reçoit une gouttière sur la tête et à qui l'on fait croire qu'il a sauvé Garp tombant du toit), le final est un peu bancal, mais l'ensemble se laisse regarder pour peu que vous soyez dans une forme olympique (le film dure plus de deux heures... et on les sent passer). L'interprétation est géniale (Glenn Close n'est pas en reste également), et les gags sont d'une inventivité rare (la mère qui dit avoir violé un mourant pour concevoir son fils, et ce, devant son fils qui s'en accommode comme explication de sa naissance !). La musique reste discrète, la mise en image est très datée, et les doublages ne sont pas ceux que l'on préfère (notamment pour Robin Williams, qui n'a pas son doubleur fétiche). Une myriade de petits défauts qui s'ajoutent au rythme infernalement lent, pour abaisser le plaisir devant des gags pourtant bien trouvés et une poésie enfantine touchante.
    Alasky
    Alasky

    346 abonnés 3 379 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mai 2017
    Un des premiers rôles de robin Williams, déjà convaincant et efficace, dans cette comédie dramatique hollywoodienne., trop longuette pour moi mais qui se regarde tout de même.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 janvier 2017
    Le bouquin est déjà un échec monumental, il ne faut donc pas s'étonner que le film soit nullissime. Cet enchaînement de situations grotesques, cette espèce d'humour (?) décalé, la mère féministe, le fiston bête comme ses pieds, toute cette histoire inepte sans le moindre intérêt, à part faire ronfler et bailler aux corneilles à s'en décrocher plusieurs fois la mâchoire...

    On note la présence de deux stars toutes jeunettes à l'époque qui ont pris bien soin, assurément, de masquer un film aussi pitoyable dans leur filmographie par ailleurs sans conteste bien plus reluisante par la suite : on les comprend, tout le monde à sa dignité. Garp, non.
    peter W.
    peter W.

    42 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 novembre 2016
    Le film profite d'un casting intéressant à tout les niveaux mais c'est Glenn Close qui se fait remarquer pour son premier film de cinéma et qui impose déjà une forte personnalité. Ensuite il faut noter l'originalité du scénario qui permet au réalisateur des scènes cocasses mais dans la même temps on voit la difficulté d'adapter un roman complexe dans le fait que le film peine à garder une consistance. On passe d'une chose à l'autre sans vraiment approfondir et certaines scènes qui semblent appeler une suite se retrouvent orphelines et on reste sur notre faim.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 388 abonnés 4 426 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2016
    Le Monde selon Garp est clairement un film qui divisera son public, compte tenu de son sujet, de son approche, et c’est un film qui appartient quand même clairement à la partie « déprimante » de la filmographie de Robin Williams !
    Le casting est tout de même plutôt attrayant, et on peut presque dire qu’il a révélé Robin Williams après le faiblard Popeye, et Glenn Close, qui était alors en début de carrière. Si Glenn Close est très convaincante dans son rôle, Robin Williams reste un peu tiédasse, notamment face aux malheurs de la vie et qui le frappe. Pas super expressif, autant il est à l’aise dès qu’il s’agit de s’amuser ou de faire rire (la scène des chevaliers), autant dès qu’il faut jouer la tristesse ici il se contente de prendre des airs renfrognés. Autour de ce duo on retiendra un excellent John Lithgow, tout en finesse et en drôlerie, et une délicate Mary Beth Hurt dont je n’ai malheureusement pas vraiment saisis tous les méandres du personnage (il a un côté versatile et tortueux peu définissable !).
    De bons acteurs au service de ce qui est l’épopée d’une vie en fait, puisqu’on suit les aventures de Garp de sa naissance à sa mort. Plutôt orienté comédie au début, le film est néanmoins traversé de drames divers et nombreux et la dernière partie se veut beaucoup plus tragique. Le mélange des tonalités fonctionnent plutôt bien jusqu’à cette dernière partie fort décevante je dois le dire ! C’est un peu comme si le réalisateur lui-même se retrouver embêté ! Il faut boucher les trous pour imaginer ce qui s’est passé, et je suis désolé mais je n’ai pas cru une seule seconde à cette reconstruction à cause d’ellipses monumentales dans cette partie ! On dirait presque qu’on a voulu expédier les 30 dernières minutes alors qu’il y avait pas mal de scènes dispensables dans la première partie du film, beaucoup moins riche en rebondissements ! C’est très dommage car du coup j’ai peiné à ressentir des émotions, alors même que ça aurait dû être l’argument majeur du film. En fait c’est du drame dévitalisé comme si le film n’avait pas assumé sa dureté ! En revanche il matraque son discours féministe, parfois avec lourdeur, arrière-plan qui semble avoir beaucoup intéressé le scénariste, mais qui se fait au détriment de la profondeur des personnages et de leurs échanges, à l’exception de celui de Close.
    Formellement le cinéma de Roy Hill c’est ce qu’on peut appeler du cinéma carré. Pas très imaginatif, c’est néanmoins toujours du travail propre, bien emballé, avec une mise en scène peu critiquable. Le film dégage une belle ambiance, avec une photographie colorée et poétique, des décors bien vus, le tout emmené par une jolie bande son, délicate. Le Monde selon Garp présente bien, même s’il manque une petite étincelle de génie, ce petit plus qui vient surligner les émotions justement, et qui aurait pu parfois rattraper le manque de vigueur du film.
    En conclusion je dirai que ce métrage ne m’a pas déplu, mais j’attendais beaucoup plus d’un film de 2 heures 15. Plus d’émotion, de vie, de profondeur, de subtilité aussi, et si je salue l’originalité de certaines idées, l’approche parfois culottée du féminisme, mon opinion reste mitigée, ayant découvert un spectacle un peu vain et superficiel, pas vraiment aidé par un Williams en-dedans. 3.
    Stephenballade
    Stephenballade

    395 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 mai 2016
    Attiré par la grande notation du programme télé auquel je suis abonné, c’est confiant que je me suis lancé dans le visionnage de l’adaptation cinématographique du roman éponyme de John Irving. Si les destins croisés d’une mère et de son fils proposaient un sujet formidable propice au grand écran, à condition de le vouer à de formidables talents, le traitement fait par George Roy Hill manque sérieusement de rythme, provoquant un relatif désintéressement en moi. Limite soporifique, malgré une entrée en matière qui prête à sourire : "(…) il était sur le dos, dans un lit d’hôpital. Un soir où il était comme toujours en érection, je l’ai chevauché et l’ai mis en moi. Il a éjaculé presque immédiatement. Et maintenant j’ai un bébé superbe". Le ton est donné sur la psychologie de Jenny Fields, la mère de Garp. Je pensais alors que le film allait garder ce ton un peu olé olé, mais en fait il s’arrêtera assez rapidement, tout du moins dès qu’on découvrira Garp sous ses traits définitifs, pour prendre une tournure plus dramatique. Si Robin Williams incarne avec beaucoup de talent cet enfant devenu grand, avec l’aide précieuse de John Lithgow surprenant mais convaincant dans la peau de Roberta, il ne réussit pas à donner un vrai punch au film, du punch qui aurait réussi à donner un souffle beaucoup plus léger à l'histoire. Les deux comédiens ont beau s’en sortir avec les honneurs (surtout John Lithgow), ça ne suffit pas. La faute sans doute à une atmosphère lourde, quasiment dénuée de musique. En dépit du fait que je ne l'ai pas lu, le roman de John Irving donne pourtant des sujets de choix, comme l’absence d’un père, le féminisme, la fidélité, la tolérance, les ambitions, le but de la vie, la poursuite des rêves… Tout du moins, c'est ce que le scénario laisse apparaître. Seulement voilà : George Roy Hill signe une réalisation très académique, en tout cas bien trop plate mais aussi plutôt convenue pour réussir à retranscrire la poésie et la magie du best-seller de John Irving que bon nombre de lecteurs s’accorde à saluer. L’aspect légèrement suranné de l’image permet cependant de bien s’intégrer dans les années 60, une époque fièrement portée par l’inusable tenue d’infirmière de Glenn Close. La photographie est également intéressante, mais ces détails ne suffisent pas à effacer les manquements de la mise en scène décidément bien trop terne. Inutile de dire alors que je suis déçu, croyant un peu naïvement que le titre laissait augurer une vision du monde hors du commun par un personnage hors du commun. Il n’en est rien, nous avons seulement affaire à une personne certes procréée de façon singulière, mais à la vision somme toute commune : faire sa vie en accomplissant ses rêves, des rêves finalement assez banals. Beaucoup de spectateurs recommandent de lire le livre. D’accord, c’est ce que je ferai, bien que je considère que ce film ne fasse pas une bonne pub en faveur du roman.
    gizmo129
    gizmo129

    96 abonnés 1 519 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 décembre 2015
    Le monde selon Garp est l un des tout premiers rôles du grand Robin Williams ! La plupart des films dans lesquels il a joué ont marqué l histoire et toute une génération de spectateurs qui ne l oublierons jamais même après sa mort précoce. Malheureusement ce film ne lui donne pas l occasion d exprimer toutes les facettes de son talent. Pourtant ce film trace l histoire d un couple avec ses hauts et ses bas, ses joies et ses drames, de quoi permettre à notre acteur de jouer sur la corde sensible. Et pourtant, la réalisation est mauvaise et les dialogues pas toujours très bon, et au final on est jamais ému et pourtant l histoire regorge de moments d émotion mais au final, on s en ficherait presque du sort de nos héros...
    Le temps parrait donc très long, et on ressent un certain gâchis à la fin du film...
    Peut être que le film vieillit mal au fond ?
    Reste que Glen Close dans le rôle de la mère, est elle, magistrale.
    Black-Night
    Black-Night

    184 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 octobre 2015
    Le Monde Selon Garp est un excellent et très beau film. Adaptation du roman éponyme très connu de John Irving que je n’ai pas lu, mais qui du coup m’a inciter à le lire chose assez rare, car n’étant pas un grand lecteur. Une petite perle de la comédie dramatique, un film prenant, attachant, touchant et drôle.
    Une chronique de la vie attachante, où dès le départ l’on est tout de suite pris d’affection pour les personnages et l’histoire devient directement captivante à suivre. Nous suivons les errances cocasses d’un anti-héros, fils accablée d’une mère féministe tout en traversant de façon satirique, l’Amérique des années 1970, entre puritanisme et radicales utopies.
    Le métrage est doté d’une mise en scène fabuleuse avec un rythme sans temps morts qui allie avec brio les rebondissements rocambolesques avec un humour décalé et piquant qui fera rire plus d’une fois et les scènes plus dramatiques au registre émotionnel assez fort.
    La bande son bien qu’elle ne soit pas grandiose et pas énormément présente, reste très sympathique où l’on peut entendre une musique assez amusante des Beatles avec le titre When I’m Sixty-Four, le très bon titre Long Way To Go de Alice Cooper dans une super scène, et le très beau titre There Will Never Be Another You de Nat King Cole.
    Le réalisateur George Roy Hill nous ravit d’une réalisation excellente composée sous la forme d’une suite de saynètes de la vie de T.S Garp. Le casting qui compose ce film est grandiose avec : un Robin Williams débutant avec ici son 2ème rôle au cinéma y est extraordinaire, une impeccable Glenn Close extraordinaire, John Lithgow excellent, la jolie Mary Beth Hurt excellente.
    Une bien belle œuvre et pépite cinématographique, là où l’on ne s’attend qu’a un petit film quelconque, l’on se rend compte que le monde selon Garp est une merveille.
    Ma note : 9/10 !
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