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Anthony B
1 abonné
16 critiques
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4,5
Publiée le 10 mars 2020
Un film bouleversant sublime autant dans la réalisation que dans l'interprétation des acteur(trices) tous très convaincants. Le combat mené par ce pompier mutilé et sa famille prends au tripes. A voir.
sauver ou perir qui rends un super belle hommage aux hommes qui risquent leur vie pour notre vie .tres beau et tres pudique .film qui ma touche par le cote humain et respectueux
Un film inspiré d’une histoire vrai celle d’Erick Vauthier pompier brûlé très grièvement lors d’un incendie d’entrepot. Une histoire poignante, intense et très émouvante on partage les douleurs du personnage on vit ces aventures comme si on y était. Le jeu d’acteur de Pierre Niney et de anais est parfait . Une grande admiration pour ces héros qui risque leurs vies pour sauver celles des autres respect pour eux et pour ce film
Film poignant sur l impact que peut avoir une grave blessure corporelle sur le moral. C est d ailleurs bien ça la volonté de s en sortir qui est le plus important et que le film nous laisse comme message d espoir. Les acteurs sont très bons on y croit.
Alors oui, le drame est terrible, oui, Pierre Niney est bon, mais passée la première demi-heure, le film sombre dans le pathos. On s'appesantit sur la très longue rééducation du pompier et cela plombe le rythme du film. Le drame, la rééducation, le questionnement, les sentiments… Tout cela aurait pu être mieux exploité.
Un film prenant, sur le parcours d'un pompier gravement brûlé et les difficultés qui en découlent. Malgré quelques longueurs le 2ième tiers temps est légèrement ennuyeux), la fin est plutôt belle, et le film est porté par une très bonne interprétation de Niney et Demoustier, et d'un casting top!
Difficile de rester impassible devant Sauver ou périr. Découvrir cette histoire inspirée de faits réels nous bouleverse. Voir cette famille heureuse basculer dans le drame et le combat de la reconstruction physique et psychologique nous retourne. Le film a su capter l’intérêt du spectateur du début à la fin en démarrant sur la vie à la caserne, les interventions et ensuite plus centrer sur la vie du couple dans l’épreuve. L’interprétation d’une justesse magistrale du duo Anaïs Demoustier et Pierre Niney est à voir. Le réalisateur a réussi à synthétiser à l’écran l’équivalent de 3 années de vie pour ce couple et on voit les hauts et surtout les bas qui entourent cette histoire. L’immersion dans le monde des pompiers et hospitaliers est également très juste. Pour conclure, Sauver ou périr est un film d’une grande réussite sur tous les points.
Extrêmement poignant, impossible de ne pas se projeter dans ce que vie ce grand brûlé et ses proches. Niney s'offre un super rôle qu'il porte à merveille.
On est plus dans une réalisation pour un documentaire que pour un film. Il semble moins y avoir le soucis de développer l'histoire et l'intérêt pour le personnage principal que faire l'éventail du quotidien des pompiers et du service des grands brûlés. Il y bien une belle histoire derrière, mais ça s'arrête trop souvent en surface, il y a peu de contenu.
Un très bon film sur une thématique intéressante et difficile. Les acteurs sont bons et Pierre Niney, parfait dans son rôle. On découvre un pan oublié de la vie de pompier, tout comme l'inquiétude, le stress, la douleur des familles qui vivent auprès de ces derniers. Le film traite avec finesse et psychologie la vie avant, pendant, après un événement tragique, tout comme la longue reconstruction de vies ayant été brisées, tel un véritable parcours du combattant. C'est beau et émouvant, et Pierre Niney nous embarque complètement avec lui. Il m'a juste manqué un petit quelque chose pour que ce film soit excellent
“Sauver ou Périr“ a des intentions louables, un sujet qui force le respect et l'empathie, et est suffisamment bien réalisé pour ne pas tirer à boulet rouge. Néanmoins, c'est la déception qui s'impose à la vision de ce film qui n'arrive qu'au bout de 1h30 de pellicule à enfin susciter une vraie émotion. Alors qu'on assiste longuement dans une première partie à la vie de la caserne, puis dans une seconde aux soins et à la rééducation, il faut attendre les 30 dernières minutes, à la sortie de l'hôpital et au retour à vie extérieure, pour comprendre enfin que derrière toute la panoplie de blessures physiques et morales, du personnage de P.Niney comme de son entourage et de sa famille, se cache donc derrière toutes ces souffrances ... des hommes et des émotions. Et lorsque F.Tellier remet l'humain et les sentiments au premier plan, qui fait par essence vibrer le spectateur, “Sauver ou Périr“ parvient enfin à son but, mais bien trop tard. Avant tout cela, nous sommes témoins d'une histoire instructive mais au scénario peu surprenant, très mécanique et trop démonstratif: un documentaire sur le sujet n'aurait presque pas fait mieux à raconter les douleurs plutôt qu'à les faire vivre. C'est assez cruel car les acteurs sont parfaits, la technique de belle facture, le sujet méritait d'être mis à l'honneur, mais la mayonnaise émotionnelle ne prend que trop tardivement pour convaincre totalement.
Le film « Sauver ou périr » est une hommage au dur travail des sapeurs pompiers dans sa routine quotidienne pour sauver les personnes et les biens matériels. Le scénario montre de façon réaliste le sacrifice personnel de cette profession vénérée par la population, confrontée au danger d'accomplir sa mission. Le drame raconté dans le film montre qu'un pompier qui a eu une grande carrière et qui était très fier de son métier tombe dans une grande dépression parce qu'il ne peut plus être le grand homme qu’il était devenu après s’être tant battu. J'avais l'opportunité de voir ce film pendant le Festival Varilux de Cinéma Français de l’année 2019, qui s’est déroulé dans toutes les capitales brésiliennes au mois de juin. Je suis sapeur pompier à la retraite et ai vecu pendant plus de trente ans les actions que se développent dans les scènes de ce film. Au début de ma carrière, pendant une intervention d'incendie, j’ai souffert un accident qui m’a presque fait perdre mon oeil droit. Mon accident est loin d’être comparable à la brûlure de Frank, personnage que l’acteur Pierre Niney joue avec brio, ce qui rend l’histoire du film très vraie. Le pire cauchemar pour un pompier est de ne pouvoir plus faire son travail, car pour devenir pompier il faut renoncer à beaucoup de choses qui nous donnent une satisfaction et faire face à une formation exhaustive, préparant ainsi le corps et l'esprit à des situations très dangereuses. Les gens qui connaissent ou admirent la routine des pompiers apprécieront sûrement ce film fantastique. J'ai éprouvé une grande emotion à retrouver cette vraie histoire des héros de notre vie quotidiennne, à travers des dialogues bien écrits et interprétés, un bon scénario, des acteurs remarcables et une réalisation impecable. Le succès est pleinement merité.
C'était une immersion instructive au début, la capitale secourue par sa brigade de sapeurs-pompiers, faire la planche comme conditionnement physique. Une bande annonce qui m’avait fait pensé à une publicité interview et le film, un documentaire émission au titre parole donné aux grands brûlés. La mise en scène de l’histoire arrive jusqu’à la gravité que l’on connaît des risques du métier, la brûlure profondément douloureuse. Au fur et à mesure que les séquelles avancent, l’écoute de l’infirmerie en mode alerte émotion pleine, c’était tellement pathétique le cadrage. Ennuyeux personnage au vaillant sacrifice dévoué, un vrai défiguré où le pire de l’atrocité fut évité.
La mentalité dans l'âme au cœur lourd, la terre entière lui tombe sur sa tête, il y a beaucoup de frustration dans ce scénario. Ce masque à la forme atypique de protection dans malades contagieux tels des pestiférés, étaient aussi pour visages sensiblement hideux, il permet de mieux comprendre maintenant. La reconversion pédagogique en fantôme de l’opéra tend à s’éloigner vers le conte fantaisie terrible, finissant par se vautrer sur le canapé.