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Puss D
17 abonnés
45 critiques
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4,0
Publiée le 22 décembre 2018
Le film raconte un drame celui de Frank sapeur pompier qui se scarifie pour sauver ses collègues.. Le jeu de Pierre Niney est impressionant , et on n'apprend bcp de choses sur ce fabuleux métier dédié à la vie et au devoir qui va au delà de la vie..je dirai aussi que c'est un film qui rend hommage aux pompiers bien sur mais aussi à toutes ces personnes invisibles et qui les soutient au quotidiensurtout qd ils se retrouvent eux mêmes victimes comme l'infirmière qui n'a jamais cessé de l'encourager à garder espoir malgré toutes les souffrances qu'il traversait..UN film bouleversant à voir absolument
Larmoyant à souhait. Des longueurs, des lenteurs (sûrement pour nous faire vivre le rythme de vie après l’accident ?), et au final de l’ennui car on ne voit pas trop où le réalisateur veut nous mener. Reste fort heureusement un bon jeu d’acteurs (même s’ils passent leur temps à pleurer donc bon, on a compris qu’ils veulent nous arracher une larme...). Et des sujets de fond intéressants malgré tout (vie de pompier, le handicap et le regard des autres, le sacrifice et la culpabilisation), ce qui sauve le film, bien qu’il finisse par faire périr le spectateur. Dommage...
Deuxième long métrage réalisé par le talentueux cinéaste Frédéric Tellier qui avait fait "L'affaire SK1" que j'avais adoré qui se passait dans le milieu de la police alors que la, avec "Sauver et périr" , cela se passe dans le milieu des pompiers et c'est pas mal !! Franck, jeune sapeur pompier professionnel marié à une femme aimante et père de deux enfants, a un boulot qui lui plait et devient chef d'équipe. Au cours d'une mission dans un batiment fortement incendié, Franck est brulé de partout et sera hospitalisé pour des soins intensifs et sa vie va changer à son insu. une oeuvre touchante et humaniste que nous concocte le metteur en scène Frédéric Tellier avec une première partie très descriptive du métier de pompier et une deuxième partie avec une nouvelle vie pas facile a avaler pour le héros qui souffre et son entourage aussi. Un film porté par un Pierre Niney jouant de la lumière à la gravité de façon inspiré entouré par de bons comédiens comme Anais Demoustier jouant sa femme, Vincent Rottiers et Sami Bouajila entre autres.
En plus de l’histoire qui est rude mais magnifique. Le film nous interroge sur notre perception de la beauté, en particulier la manière dont on s’apprécie. C’est le vrai plus d’un scénario qui de base est tout simplement magnifique. Mention spéciale à Pierre Niney qui encore une fois crève l’écran et à Anais Dumoustier qui est d’une justesse incroyable dans ce rôle d’épouse.
Film très dur mais superbement réalisé d'autant qu'il est tiré d'une histoire vraie Pierre Niney nous livre une prestation époustouflante ont tremble pour lui et avec lui le reste du casting est également irréprochable , bref une très belle réussite malgré la dureté du sujet
Les acteurs jouent à la perfection. Film très émouvant, assez difficile, qui fait passer plein de messages. Bonne leçon de vie Je recommande aux âmes qui ne sont pas hypersensibles
démarrage plutôt lent et brouillon ; à partir de l'accident le film devient prenant poignant ,émouvant ! interprétation magistrale de pierre niney ; très bel hommage aux pompiers
Un film extrêmement intéressant mais " "raté" " dans la mesure où on ne passe pas loin d'un petit bijou, à cause d'un manque de densité. Si on peut à la rigueur admettre que les (très) longues scènes de désespoirs participent à la dynamique finale du récit, la thématique de la vie de caserne (même si c'est fidèle et intéressant) crée un deuxième film dans film. Bref, il y avait de quoi faire un excellent reportage et un film particulièrement intense... mais les deux combinés donnent un film moins fort et un tantinet indigeste.
Le film a le mérite de rendre hommage aux pompiers et à leur héroïsme, il se déroule en 3 parties. La première a la forme d’un documentaire qui raconte la vie des pompiers de Paris : leur entraînement, la vie à la caserne, leurs interventions : la description est forte et efficace. Vient ensuite l’étape de la reconstruction au service des grands brûlés, le réalisateur a voulu trop montrer la douleur, les séquelles handicapantes, la difficulté de s’accepter jusqu’au rejet de soi, mais c’est trop long, trop pesant. Il faut attendre la 3ème partie pour ressentir l’émotion, l’empathie pour les héros dans leur quête vers l’espoir et la renaissance. Pierre NINEY est remarquable, son interprétation subtile et bouleversante.
Tous simplement un chef d'oeuvre il mériterai même d'avoir un Oscar. J'étais pas convaincu du film au début mais il à réussi à me moucher et même à me faire pleurer. Ne jamais vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué et bah pareille avec se film ne jamais le critiquer avant de l'avoir vue !!
Un bon moment ciné, mais pas l'un des très bons films de l'année ! J'avais été bouleversée par "l'affaire SK1", mais là je ne sais pas trop pourquoi, le film m'a un peu déçue... Est-ce parce que ayant un peu travaillé en milieu hospitalier j'ai été agacée par la scène de cette chambre stérile où on rentre sans chausses, calotte et masque, où l'infirmière fait une toilette en repassant un coup sur l'épaule après avoir fait l'aisselle ?? Ou est-ce parce que je pensais que la plus grosse partie du film serait consacrée au quotidien des pompiers, ces hommes incroyablement courageux... ? L'accident est arrivé si vite, alors qu'on découvrait la réalité de ce métier, un de plus beaux du monde ! Ou parce que la psychologie des personnages et certaines scènes sonnaient souvent faux (le refus du cadeau pour leurs filles par Elodie qui le plante devant l'école est une scène très violente ... et la fois d'après, un costume de clown et une coiffe d'indien scellent une réconciliation quasi-immédiate...) et manquaient de subtilité, contrairement à "l'affaire SK1", film périlleux traitant d'un sujet extrêmement complexe... Il me semble que Pierre Niney était meilleur quand il incarnait des personnages forts et avec un "truc" spécial (un homme parfait, YSL, ou Frantz) mais là, même si le sujet d'un pompier grand brûlé est un sujet fort, sans doute le personnage de Franck lui-même et le démêlé conjugal trop présent manquent d'envergure et ne semblent pas l'avoir inspiré...