AlloCiné
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Votre avis sur Sauver ou périr ?
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Ce film est en trois partie. la première est d'un réalisme incroyable mais fallait-il montrer toutes les facettes du métier de pompier? Pas sûr que les images du secours à domicile par exemple apporte quelque chose d'important. Mais la vie de la caserne et l' intervention pour feu introduisent bien le scénario et ne font pas "studio" comme souvent. La troisième partie est plus forte que la deuxième, un peu décousue car très riche, peut-être trop complète. Les acteurs sont tous formidables, pas de fausse note, ils jouent juste et sont constants. Enfin, ce film nous pousse à réfléchir sur le handicap, sur l'amour, sur la famille, sur la passion, sur la solitude, sur l'espoir, sur la solidarité... sans nous engager dans quoi que se soit. Une réussite.
beau film sur le monde des pompiers de Paris mis à l'épreuve ces derniers temps un bel hommage à eux de la part des acteurs
magnifique ! grandiose ! incroyable ! sublime ! émouvant ! une œuvre remarquable ! un travail colossal d’acteurs merveilleux. bravo pour le scénario captivant
Film juste magnifique j'ai adoré, beaucoup de larmes car il prend aux trippes.. Pierre Nigay juste formidable dans son rôle. J'ai vraiment adoré l'histoire
Pierre Niney est exceptionnel. C'est bouleversant de voir comment cet homme perd tout en donnant tout aux autres. Une vie bouleversée du jour au lendemain et une longue et difficile reconstruction.
Un peu long a démarrer..... mais très beau film qui représente la réalité des pompiers... mais surtout comment on se reconstruit quand on a subit un traumatisme physique et corporel !!!
Joli film, émouvant , on rentre vraiment dans la vie d’un pompier et de sa famille. Seul bémol un peu long ...
J’ai beaucoup apprécié la a première partie présentant la vie en caserne. J’ai regretté que le film tourne assez vite sa la vie de l’acteur principal. Le film est beau et émouvant. Le jeu d’acteur est remarquable. Mais ce n’est pas à ça que je m’attendais.
Bonjour à tous,
C'est ma première critique et elle sera brève.
Je pense qu'on ne peut pas - comme je l'ai lu - critiquer la prestation excellente de Pierre Niney dans ce rôle très difficile à jouer.
C'est un très bon film, bien traité, profond, et dur dans le fond.
Pour moi un sans faute pour ce bel hommage aux pompiers et au don de soi. Excellent.
C'est ma première critique et elle sera brève.
Je pense qu'on ne peut pas - comme je l'ai lu - critiquer la prestation excellente de Pierre Niney dans ce rôle très difficile à jouer.
C'est un très bon film, bien traité, profond, et dur dans le fond.
Pour moi un sans faute pour ce bel hommage aux pompiers et au don de soi. Excellent.
Tout simplement un chef-d’œuvre. Je n’ai jamais ressenti autant d’émotions en si peu de temps. Les acteurs sont incroyable, le scénario aussi, vraiment rien à dire. Merci merci merci merci merci énormément.
Un très beau film avec un Pierre Niney au top tellement il est bouleversant du début à la fin. Totalement crédible en sapeur pompier de la fameuse brigade des sapeurs pompiers de Paris qui rend des services immenses aux parisiens tout au long de l'année dans toutes sortes de situation allant de l'incendie grave, de l'attentat jusqu'à la "bobologie" liée aux innombrables appels quotidiens reçus. Déjà c'était un challenge athlétique que Pierre Niney a relevé mais le talent s'est exprimé aussi et surtout dans la deuxième partie où il joue un grand brûlé de façon magistrale avec tous les problèmes que cela pose, toutes ces souffrances qui ne nous sont pas épargnées, les doutes sur son couple, ses deux filles qui ont peur de lui, sa perte d'identité et de moral, ses tentations suicidaires...malgré la présence d'une femme assez forte et aimante qui le soutient. Il faut saluer l’interprétation d'Anaïs Demoustier qui est à la hauteur de son partenaire, ce qui est à la fois beaucoup et important. J e n'ai pas souvenir de film sur les pompiers ainsi montrés de l'intérieur et je m'étais dit que ce serait un sujet intéressant mais là Frederic Tellier a largement réussi ce pari utile en ayant choisi de filmer la vie de ce sapeur Franck qui a existé. C'est intéressant de constater une fois de plus que la réalité fait de très bons scenarios. Bravo ! A voir absolument. 4,5/5
C’est un très beau film, éprouvant, intense, remarquablement interprété. Un grand bravo pour la performance d’acteur de Pierre Niney. J’ai adoré !
Trè beau film touchant . Un film psychologique sur la réeducation , la reconstruction d'une personne mais aussi du dévouement sans limite du métier de pompier.
Une histoire extrêmement touchante et émouvante, c'est avec des films comme celui ci qu'on voit la vie d'une manière optimiste.
La première partie du film nous fait pénétrer dans le quotidien d’une caserne de pompiers.
Rigueur militaire, relations figées dans une hiérarchie intemporelle, adresses nettes brèves bien éloignées de la cordialité affichées des collègues de bureau, saluts et gardes à vous, prises d’armes dans la cour, lever des couleurs, exercices d’une brutalité toute virile comme les pompes interminables ou les montées à la corde raide à la force des bras… Force du symbole, sur-préparation physique, importance du diplôme acquis à coups d’acide lactique et de longs bachotages, place de la famille, soutien fidèle et nécessaire au long d’une vie fatalement ponctuée par la mort ou les accidents des proches.
Étonnant qu’on puisse trouver au beau milieu de Paris, de ce Paris bohême et hédoniste, toute une série de micro-sociétés où règnent une rigueur et une discipline que l’air du temps semble avoir disqualifiées jusqu’à en nier l’existence : qui n’a pas eu la tentation d’affirmer bêtement que l’esprit de sacrifice s’est perdu ? Et pourtant ce sont ces gens-là, presque invisibles tant leurs sirènes et leurs casques astiqués semblent partie d’un folklore anodin, qui sont prêts à risquer leur vie, quand le coup dur est là, pour sauver les amateurs de concerts festifs et de plaisirs nocturnes.
La seconde partie, après le drame, conte le long combat d’un homme brisé par l’accident qu’il a subi. C’est dérangeant, terrible, et l’on comprend que certains critiques, déjà éprouvés par la militarisme de la première partie, n’aient pas aimé la seconde. Un peu moins les mots méprisants qu’on pouvait lire ici ou là.
Rigueur militaire, relations figées dans une hiérarchie intemporelle, adresses nettes brèves bien éloignées de la cordialité affichées des collègues de bureau, saluts et gardes à vous, prises d’armes dans la cour, lever des couleurs, exercices d’une brutalité toute virile comme les pompes interminables ou les montées à la corde raide à la force des bras… Force du symbole, sur-préparation physique, importance du diplôme acquis à coups d’acide lactique et de longs bachotages, place de la famille, soutien fidèle et nécessaire au long d’une vie fatalement ponctuée par la mort ou les accidents des proches.
Étonnant qu’on puisse trouver au beau milieu de Paris, de ce Paris bohême et hédoniste, toute une série de micro-sociétés où règnent une rigueur et une discipline que l’air du temps semble avoir disqualifiées jusqu’à en nier l’existence : qui n’a pas eu la tentation d’affirmer bêtement que l’esprit de sacrifice s’est perdu ? Et pourtant ce sont ces gens-là, presque invisibles tant leurs sirènes et leurs casques astiqués semblent partie d’un folklore anodin, qui sont prêts à risquer leur vie, quand le coup dur est là, pour sauver les amateurs de concerts festifs et de plaisirs nocturnes.
La seconde partie, après le drame, conte le long combat d’un homme brisé par l’accident qu’il a subi. C’est dérangeant, terrible, et l’on comprend que certains critiques, déjà éprouvés par la militarisme de la première partie, n’aient pas aimé la seconde. Un peu moins les mots méprisants qu’on pouvait lire ici ou là.
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