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22 critiques presse
CNews
par La rédaction
Un drame bouleversant inspiré de faits réels.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
C’est dur, douloureux, triste à crever, ça fait mal, on pleure comme rarement on a pleuré ces derniers temps au cinéma. Et Pierre Niney, subtil, à la hauteur, avec sa figure de monstre héroïque, bouleverse à chaque instant. Grand acteur.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
20 Minutes
par Caroline Vié
Une chronique aussi bouleversante qu’instructive.
Closer
par La Rédaction
Ce drame inspiré de faits réels vaut la peine d'être vu.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un drame poignant magnifiquement interprété par Pierre Niney.
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Ce film aussi émouvant que réussi est tout à la gloire des sapeurs-pompiers, ces héros du quotidien. Pierre Niney signe une performance exceptionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Disons-le tout net, Sauver ou périr est un mélo déchirant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Si la souffrance y est constamment présente, l’instinct et la force de vie traduisent la voie d’une résilience qui donne alors au titre du film tout son sens : non plus seulement “sauver ou périr”, la devise des pompiers de Paris, mais bien “se sauver ou périr”. Ce qui, pour être plus ordinaire, n’en est pas moins héroïque.
Le Parisien
par La Rédaction
« Sauver ou périr » affirme toutes les qualités d’un grand film et couvre tous les aspects d’un métier qui trouve son socle dans la caserne des Minimes, dans le IIIe arrondissement parisien.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Christophe Narbonne
Plus qu’un hommage aux pompiers, le film de Frédéric Tellier est surtout le portrait bouleversant d’un homme et d’un couple en reconstruction.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par La Rédaction
Un portrait bouleversant.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Subtil hommage non seulement aux soldats du feu mais aussi à tous ceux dont la vocation est de sauver des vies, Sauver ou périr traite surtout d’un sujet universel dont la force affective concerne chacun d’entre nous.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Antoine Le Fur
Hélas, dès que l'on entre dans le coeur du sujet (l'accident de Franck), le film remplit un cahier des charges attendu (le choc, la résignation, la résurrection), malgré trois séquences plus réussies au cours desquelles Pierre Niney tient un discours émouvant.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Avec un réalisme saisissant, ce film retrace le quotidien héroïque d’un pompier parisien puis son long parcours de souffrance dans un service des grands brûlés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Le quotidien des soldats du feu n’occupe qu’une petite partie de ce récit, qui souffre de dialogues bavards et explicites, ainsi que d’une trame sans surprises.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé Loisirs
par Émilie Meunier
Au-delà de l'hommage au courage de ces soldats du feu, le film relate la dure reconstruction d'un homme défiguré et amoindri. Pierre Niney est très convaincant.
Télérama
par Guillemette Odicino
Le drame conjugo-sentimental peine à émouvoir. Mais le film de « gueule cassée » fait surgir de douloureuses tensions et de beaux vertiges. Avec son visage ravagé, caché sous une coque en plastique ou un masque de carnaval en papier mâché, Pierre Niney est remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Tous muscles dehors, Pierre Niney est convaincant sous le casque. Il l’est moins sous les bandages d’un père de famille défiguré, obligé de renoncer à son métier et qui tente de se reconstruire.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ici, trois films en un : une apologie martiale du devoir et du sacrifice, une lutte pour la survie dans un service pour grands brûlés, une comédie de remariage. Le tout s’articule autour d’un jeune couple mis à mal par l’épreuve du feu. On vogue sur cette barque chargée entre image d’Epinal et moments d’émotion.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Pierre Niney, comme Anaïs Demoustier ou Chloé Stefani sont au top. Après, soit on plonge dans cette histoire de héros du quotidien, soit on trouve qu'ils sont tous un peu trop beaux, courageux et exemplaires.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Digne aspiration, piètre inspiration : le drame est pompier, et le mélo, faisandé. Les votants aux César n'y verront-ils que du feu ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
C’est non sans une pointe de ricanement qu’on verra donc le plutôt joyeux Pierre Niney s’adonner à cette partition d’un autre âge, si vieux jeu qu’on ne peut s’empêcher d’y chercher en vain des signes de légère ironie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CNews
Un drame bouleversant inspiré de faits réels.
Dernières Nouvelles d'Alsace
C’est dur, douloureux, triste à crever, ça fait mal, on pleure comme rarement on a pleuré ces derniers temps au cinéma. Et Pierre Niney, subtil, à la hauteur, avec sa figure de monstre héroïque, bouleverse à chaque instant. Grand acteur.
20 Minutes
Une chronique aussi bouleversante qu’instructive.
Closer
Ce drame inspiré de faits réels vaut la peine d'être vu.
Femme Actuelle
Un drame poignant magnifiquement interprété par Pierre Niney.
Franceinfo Culture
Ce film aussi émouvant que réussi est tout à la gloire des sapeurs-pompiers, ces héros du quotidien. Pierre Niney signe une performance exceptionnelle.
La Voix du Nord
Disons-le tout net, Sauver ou périr est un mélo déchirant.
Le Dauphiné Libéré
Si la souffrance y est constamment présente, l’instinct et la force de vie traduisent la voie d’une résilience qui donne alors au titre du film tout son sens : non plus seulement “sauver ou périr”, la devise des pompiers de Paris, mais bien “se sauver ou périr”. Ce qui, pour être plus ordinaire, n’en est pas moins héroïque.
Le Parisien
« Sauver ou périr » affirme toutes les qualités d’un grand film et couvre tous les aspects d’un métier qui trouve son socle dans la caserne des Minimes, dans le IIIe arrondissement parisien.
Première
Plus qu’un hommage aux pompiers, le film de Frédéric Tellier est surtout le portrait bouleversant d’un homme et d’un couple en reconstruction.
Voici
Un portrait bouleversant.
aVoir-aLire.com
Subtil hommage non seulement aux soldats du feu mais aussi à tous ceux dont la vocation est de sauver des vies, Sauver ou périr traite surtout d’un sujet universel dont la force affective concerne chacun d’entre nous.
L'Express
Hélas, dès que l'on entre dans le coeur du sujet (l'accident de Franck), le film remplit un cahier des charges attendu (le choc, la résignation, la résurrection), malgré trois séquences plus réussies au cours desquelles Pierre Niney tient un discours émouvant.
La Croix
Avec un réalisme saisissant, ce film retrace le quotidien héroïque d’un pompier parisien puis son long parcours de souffrance dans un service des grands brûlés.
Les Fiches du Cinéma
Le quotidien des soldats du feu n’occupe qu’une petite partie de ce récit, qui souffre de dialogues bavards et explicites, ainsi que d’une trame sans surprises.
Télé Loisirs
Au-delà de l'hommage au courage de ces soldats du feu, le film relate la dure reconstruction d'un homme défiguré et amoindri. Pierre Niney est très convaincant.
Télérama
Le drame conjugo-sentimental peine à émouvoir. Mais le film de « gueule cassée » fait surgir de douloureuses tensions et de beaux vertiges. Avec son visage ravagé, caché sous une coque en plastique ou un masque de carnaval en papier mâché, Pierre Niney est remarquable.
Le Journal du Dimanche
Tous muscles dehors, Pierre Niney est convaincant sous le casque. Il l’est moins sous les bandages d’un père de famille défiguré, obligé de renoncer à son métier et qui tente de se reconstruire.
Le Monde
Ici, trois films en un : une apologie martiale du devoir et du sacrifice, une lutte pour la survie dans un service pour grands brûlés, une comédie de remariage. Le tout s’articule autour d’un jeune couple mis à mal par l’épreuve du feu. On vogue sur cette barque chargée entre image d’Epinal et moments d’émotion.
Ouest France
Pierre Niney, comme Anaïs Demoustier ou Chloé Stefani sont au top. Après, soit on plonge dans cette histoire de héros du quotidien, soit on trouve qu'ils sont tous un peu trop beaux, courageux et exemplaires.
L'Obs
Digne aspiration, piètre inspiration : le drame est pompier, et le mélo, faisandé. Les votants aux César n'y verront-ils que du feu ?
Les Inrockuptibles
C’est non sans une pointe de ricanement qu’on verra donc le plutôt joyeux Pierre Niney s’adonner à cette partition d’un autre âge, si vieux jeu qu’on ne peut s’empêcher d’y chercher en vain des signes de légère ironie.