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    The Souvenir - Part I
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    39 critiques spectateurs

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    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 juin 2023
    Malgré un titre qui fait référence au petit tableau (25 cm x 19 cm) « Le souvenir » (1775) du peintre français Jean-Honoré Fragonard (1732-1806), exposé à la Wallace Collection de Londres et où une jeune femme grave les initiales de son amoureux sur l’écorce d’un arbre, le synopsis est peu original ; c’est l’histoire à Londres, dans les années 1980’ (information donnée par l’usage d’une machine à écrire, l’absence de téléphones portables et la prise d’otages à l’ambassade de Libye en avril 1984), alors que Margaret Thatcher (1925-2013) est première ministre (1979-1990), de Julie (Honor SWINTON-BYRNE), 25 ans, étudiante en cinéma (elle fait un film sur l’attachement d’un garçon à sa mère dans un milieu populaire, de façon théâtrale et sans décors) et d’Antony (Tom BURKE), dandy au métier indéfini et qui lui fait découvrir, entre autres, le tableau de Fragonard. Pendant (à 1mn près) 2 h, la narration du film est lente, ennuyeuse, soporifique, au sujet abscons et aux nombreuses scènes inutiles [ spoiler: déjeuner chez les parents de Julie (dont la mère est jouée par Tilda SWINTON, mère de l’actrice jouant Julie) puis promenade dans la campagne anglaise, explosion d’une voiture piégée dans le quartier du couple
    ]. Au bout de 45 mn, on découvre, comme Julie, au détour d’une conversation avec des amis, que son amant Antony (enfin confirmé par une scène de sexe à Venise) est héroïnomane. Comme tout artiste qui se respecte, il y a, bien sûr, une part autobiographique, tant sur un épisode de sa vie amoureuse, que sur le cinéma [les étudiants, dont Julie, citent Godard, Rivette et Beineix qui vient de sortir « 37°2 le matin » (1986)] et qui en accentue l’égotisme et le narcissisme. Le film est très, trop, intellectuel mais adapté à un public de festival (il a obtenu le grand prix à celui de Sundance en 2019) et aux critiques des revues de Télérama et des Cahiers du cinéma. Rédhibitoire pour aller voir la seconde partie.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 355 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 novembre 2022
    The Souvenir - Part I de Joanna Hogg est un drame amoureux délicat et à fleur de peau. La deuxième partie sort le même jour.
    Nadia T
    Nadia T

    3 abonnés 428 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 août 2022
    J'ai aimé ce film... Je l'ai regardé car la partie 2 est sortie... Mais je recommande... On se rend compte que le femme finalement nets pas si stupide à gober tout ce que lui fais croire son compagnon... Mais par amour elle accepte, elle accepte en connaissance de cause. C'est beau l'amour... Quelques longueurs surtout au début
    Passion.culture
    Passion.culture

    2 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 juin 2022
    The Souvenir - Partie 1 est une pépite, de sa première à sa dernière seconde. ❤😍

    Chaque plan de ce film déborde d'amour pour le Cinéma, est admirablement classieux, chaque ligne de dialogue y est d'une remarquable limpidité (par conséquent les liens entre les différents personnages y sont d'une très plaisante fluidité), ces derniers sont beaux, tout autant que le film, dont l'un des sujets est très difficile (l'un des deux personnages principaux, pour le dire de façon à ne rien vous révéler, est "victime" d'un mal qui complique sa vie et, par extension, celle de la jeune femme partageant son quotidien) mais est traité avec une très grande délicatesse qui se marie très bien avec celle qui se dégage déjà de tous les autres aspects de ce long-métrage.

    Ce qui est intéressant à propos de ce film est que sa réalisatrice parvient, tout en nuances, à explorer cette question très difficile, avec une telle sincérité et une telle clarté que le visionnage est, vous pouvez me croire, très touchant, ce que l'on doit à la qualité de son écriture et à la pureté de jeu de ses comédiennes/comédiens, mais pas que.

    Ce long-métrage est un drame ne tombant pas dans le mélodramatique ni dans l'extrême inverse, et parvenant à nous émouvoir sans artifice, nous exposant ce qui s'y déroule sans rien exagérer.

    Lorsque des événements difficiles viennent peu à peu compliquer la vie de ses personnages et que le film pourrait nous enfermer visuellement et narrativement dans le cauchemar que traverse l'homme du couple, la réalisatrice ne fait pas l'erreur de changer brusquement de ton, ni celle de soudainement se focaliser sur un aspect précis de son œuvre, en délaissant d'autres: Elle nous permet de continuer à suivre cette belle histoire d'amour et les vies respectives de ses personnages, tout en traitant de façon décente le sujet difficile évoqué à maintes reprises dans ces lignes.

    Ce film est une grande réussite sur tous les plans (dont j'ai essayé de ne pas trop vous en dire afin de ne pas vous en gâcher la découverte), plaçant la barre très haute dès début 2022, ce qui est très prometteur pour les prochains mois, espérons-le ! ❤

    Instagram: @passion.culture
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 mars 2022
    Julie est une jeune étudiante en cinéma, réalisatrice en devenir. Elle fait la connaissance d’un homme plus âgé et charismatique. Si Julie trouve à Anthony un charme mystérieux, il devient évident pour son entourage ainsi que pour le spectateur que son mystère cache en réalité une violente addiction à l’héroïne. Joanna Hogg dresse – en deux tableaux – le portrait fataliste d’une rencontre vouée à la séparation.

    Les circonstances de la rencontres interéssent moins la cinéaste que ses répercussions. La première partie de The Souvenir nous plonge sans concession dans les tumultes de cette relation passionnelle mais dangereuse. Une séparation immédiate s’opère alors entre ce qui nous est conté et ce qui nous est montré. Hogg filme ces vertigineux méandres émotionnels avec une douceur plastique implacable. L’œuvre prend la forme de souvenirs, parfois confus, souvent segmentés et presque toujours chimériques. Là où le spectateur voit la désintégration d’un couple, les signes manifestes d’un échec, Julie voit des moments de partage utopiques et précieux.

    lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2022/02/12/the-souvenir-part-i-ii/
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    167 abonnés 532 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 mars 2022
    Difficile de commenter ce premier opus quand les circonstances nous ont privé de voir le second. Il arrive que des panneaux peints de diptyques soient séparés par des océans dans deux musées différents, et qu'il faille s'exprimer sur l'un sans jamais voir l'autre. Pas très aisé, pas très rigoureux, pas très juste sans doute. The Souvenir part I est un film qui vaut surtout par ses ambiances british très particulières : les restaurants chics, les hôtels vénitiens, un appartement arty à la spatialité fort complexe, etc. Les comédiens participent de cette étrangeté anglo-saxonne, tout comme le récit qui ne révèle pas immédiatement l'emprise de la drogue sur ses protagonistes. Cependant, au final, l'histoire se résume au témoignage d'une redoutable emprise virile, sociale, psychologique qui se mue en torture culpabilisatrice. Le ton est parfois poseur et c'est sans doute trop long. Mais c'est honorable. Seul le pile de ce face ou le face de ce pile, à savoir The Souvenir part II, permettrait de parfaitement saisir où tout cela nous mène...
    Regine C.C
    Regine C.C

    35 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 février 2022
    Une jeune anglaise tombe amoureuse d'un dandy sans le sou. Elle finit par comprendre qu'il est avec elle plus par intérêt que par amour car il souffre d'une toxicomanie suite à des traumatismes de guerre qu'il n'a pas les moyens d'assumer. Surmontant un premier réflexe de colère, elle mettra toute son empathie pour l'aider à surmonter sa toxicomanie en vain.
    Film très psychologique qui traite des difficultés relationnelles surtout quand les non-dits s'accumulent
    Scénario un peu lent mais scènes avec des jeux de lumières très esthétiques.
    Mumuse777
    Mumuse777

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 février 2022
    que ce soit le I ou le II, c'est un genre de film un peu à part par son rythme, bien interprété, belle "camera", et le bouquet (du II) est très réussi
    Christoblog
    Christoblog

    825 abonnés 1 673 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 février 2022
    Quel film froid et compassé que celui-ci !

    Joanna Hogg nous propose un condensé de cinéma d'auteur prétentieux : auto-portrait en creux, rythme indolent, longueurs inutiles, images dans le film illustrant le film en devenir du personnage / réalisatrice, intérêt dramatique inexistant, confusion volontaire de la réalité et des songes, cadres savants mais dépourvus de sens, regards caméras sur-signifiants, photographie éteinte, plans fixes sur la nature accompagnés d'une voix off pontifiante, temporalité bousculée, ruptures de ton incessantes, etc.

    Difficile d'imaginer un cinéma plus intellectuel, plus poseur et moins sensuel : on est quelque part entre Chris Maker et Kelly Reichardt, mais sur un mode "film de fin d'étude" bricolé dans sa chambre d'étudiante.

    C'est peu dire qu'on se contrefout de cette histoire d'amour à la sensualité de hareng saur, et à laquelle on ne croit pas un seul instant.

    L'actrice principale, Honor Swinton-Byrne, tourne aux côtés de sa maman, Tilda Swinton. Les deux ne sont pas mauvaises, mais ne sont pas aidées par le charisme d'épagneul breton de l'acteur Tom Burke.

    Une expérience de la fadeur la plus extrême, qui ne m'encourage pas à aller voir la deuxième partie.
    isakkk
    isakkk

    14 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2022
    Beau voyage dans les années 80 à Londres, un étudiante en cinéma, un caractère qui se forge, un amour qui se construit sur de mauvaises bases... et une belle BO
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    79 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2022
    Retour sur un cinéma « à la Rohmer » ?

    Film intimiste s’il en est, mais avec beaucoup de modernité y compris dans le montage, parfois déroutant.
    Par contre, contrairement à ce que j’ai lu dans le « pitch » , j’ai vu un couple du même âge ce qui ne nuit pas à l’histoire.
    Une histoire d’amour, années 80…...

    Deux comédiens parfaits, dont sa fille, entourés par Tilda Swinton (discrète)
    « Les histoires d’amour finissent mal……en général » Rita Mitsouko

    sous le charme; on court voir la 2ème partie
    prenom nom
    prenom nom

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 février 2022
    Etonnant de voir le grand écart entre les avis plutôt unanimes des critiques professionnels et ceux des spectateurs. Ces films ne méritent en aucun cas les lauriers qui leur ont été attribués.Ce sont deux pensums interminables, mal écrits et mal filmés, qu'une espèce de consensus inexplicable dans la critique a rendu incontournables. Mon conseil: contournez-les, vous gagnerez quelques heures !
    Dans le genre film lent, mais mis en scène et avec de la vie dedans, je vous conseille plutôt First Cow.
    Muriel F.
    Muriel F.

    53 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 février 2022
    Oui la critique a encensé ce film, et non la spectatrice que je suis ne partage pas cet avis. Plus exactement, en sortant du film, je ne savais pas quoi en penser. Mais des sentiments réels d'un film trop long, de moments intéressants mais aussi d'ennui. Le personnage d'Anthony qui cristalise l'amour de Julie n'est pas attachant du tout et on a du mal à partager l'intérêt qu'elle lui porte. C'est tout de même lui qui fait les rares sorties verbales les plus humoristiques du film (trois sourires de ma part). Je ne dis pas "à voir" mais plutôt "à expérimenter avec circonscription". Et pour sûr, je n'irai pas voir la deuxième partie.
    Willie Cicci
    Willie Cicci

    26 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mars 2023
    On s'amuse à découvrir le visage et le corps imparfaits de ce couple hasardeux qui ne semble pas promis au bonheur.
    Les silences en disent plus que leurs dialogues, maladroits mais sincères.
    L'aspect "méta cinéma" est touché avec beaucoup de pudeur et par la biographie de la réalisatrice qui met de toute évidence beaucoup d'elle-même dans les traits de sa belle héroîne.
    ynnkel
    ynnkel

    5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 février 2022
    prétentieux et stupide, creux et lourdingue, fade et hideux, une gigantesque merde !
    comment peut-on faire un truc pareil aujourd'hui ? c’est ça, la meilleure réalisatrice anglaise actuelle ? c’est une blague machiste ???
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