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    The Souvenir - Part I
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    39 critiques spectateurs

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    FaRem
    FaRem

    8 770 abonnés 9 626 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 juillet 2019
    Il me semble que c'est le premier film de Joanna Hogg que je regarde et je ne peux pas dire que j'en garderai un grand souvenir. À travers un récit qui semble autobiographique, la réalisatrice nous fait vivre le quotidien d'une femme en école de cinéma qui jongle entre son travail, sa passion et son petit ami. Ce dernier est probablement ce qu'il y a de pire dans le film. C'est un drogué arrogant qui ne cesse de rabaisser Julie qui est incarnée par la vraie fille de Tilda Swinton. Julie n'est pas non plus en reste en étant souvent tout aussi antipathique et peu expressive. On ne peut pas dire que les deux respirent le bonheur et les scènes qu'ils partagent ensemble sont atroces. Aucune alchimie et des échanges inintéressants au possible. Le style de film est bizarre avec parfois des scènes qui commencent lorsque des conversations ont commencé et d'autres se terminent avant qu'elles soient terminées. Et parfois la réalisatrice laisse la caméra tourner pendant de nombreuses minutes alors qu'il ne se passe rien. Je pensais que cette relation étrange était une façon de parler de quelque chose de plus profond, une sorte d'image pour quelque chose de plus grand et finalement non. C'est une histoire finalement stéréotypée et surtout très prévisible. Je n'ai ressenti que de l'ennui devant ce film. C'est fade, sans vie et sans émotion. Je ne dis pas que c'est mauvais, mais ce n'était pas fait pour moi.
    SUZY AND MEE
    SUZY AND MEE

    142 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 février 2022
    On a tous une amie à laquelle on se retient régulièrement de demander " Mais que lui trouves-tu...?!"
    Durant tout le film, j'ai eu envie de dire à Julie qu'elle s'égarait auprès de cet Anthony sans humour ...:))
    J'attendais beaucoup trop de cette histoire et j'ai été déçue... la cinéaste n'est pas une débutante et le film n'est pas mauvais; c'est plutôt bien construit et l'héroïne est assez atypique ( la blanche aussi!) mais c'est lent et triste !
    Ufuk K
    Ufuk K

    522 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 février 2022
    " The Souvenir" acclamé par la critique est un drame romantique anglais très moyen dans l'ensemble. En effet ce récit qui semble extraits des souvenirs de la réalisatrice Joanna Hogg est maitrisé dans l'ensemble, j'ai aimé également l'élégance qui s'en dégage ainsi que la performance de Honor Swinton-Byrne (vrai fille de Tilda Swinton) cependant l'histoire ne décolle jamais , manquant profondément émotion et parfois d'un ennui mortel à voir pour la seconde partie sortie en même temps que la première partie et qui est annoncé comme un chef d'œuvre.
    Yves G.
    Yves G.

    1 494 abonnés 3 512 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 février 2022
    Julie est une jeune étudiante en école de cinéma. Fille unique d’un couple déjà âgé de riches propriétaires terriens, elle habite un vaste duplex dans un des quartiers les plus huppés de Londres.
    Julie s’éprend d’Anthony, un homme plus âgé qu’elle, qu’elle accueille dans son appartement et qui y vit bientôt à ses crochets. Anthony, qui prétend travailler au ministère anglais des affaires étrangères, se révèle être un mythomane et un héroïnomane.

    "The Souvenir" est un film largement autobiographique tourné en 2019 par Joanna Hogg à partir d’un épisode tragique de sa jeunesse dans les années 80. Il est constitué de deux parties, presqu’autonomes, qui, comme leurs belles affiches, se font miroir. La première se focalise sur la liaison entre Julie et Anthony. La seconde raconte comment la jeune étudiante en cinéma fera de cet idylle tragique le sujet de son film de fin d’études.

    Si l’on visionne ses deux parties à la suite l’une de l’autre, "The Souvenir" dure donc près de quatre heures. Ce n’est pas rien. Et c’est sans doute trop.

    Certes, le film nous montre, dans sa seconde partie, sur un mode quasi documentaire, comment se tourne un film, quelles questions un jeune réalisateur, pas toujours préparé à le faire, doit trancher, quelles sourdes dissensions émergent dans l’équipe de tournage au point de la fissurer. Il interroge aussi l’écriture d’une fiction autobiographique, tiraillée entre deux impératifs parfois contradictoires : la fidélité aux faits tels qu’ils ses sont déroulés et leur paradoxal manque d’authenticité si on les rejoue tels quels devant la caméra.

    Mais "The Souvenir" souffre d’un défaut rédhibitoire. L’histoire d’amour entre Julie et Anthony ne fonctionne pas. Ce n’est pas la faute des deux acteurs, l’un et l’autre excellents : la jeune Honor Swinton-Byrne (dont la mère à la ville, la célèbre Tilda Swinton, une amie de longue date de la réalisatrice Joanna Hogg, joue ici le propre rôle de sa mère à l’écran) est une révélation et Tom Burke est déjà un acteur confirmé (il interprétait le personnage de Orson Welles dans "Mank"). Mais aucune alchimie ne se dégage de leur couple disharmonieux. On ne voit pas, on ne comprend pas, ce que diable elle lui trouve. Alors, certes, la seconde partie du film éclaire les mystères de cette union contre-nature. En tournant son film, Julie doit s’interroger sur les raisons profondes de sa passion et en informer les acteurs qu’elle a choisis (on reconnaît la toujours juste Ariane Labed). Sans cette seconde partie, la première aurait été lugubre. Mais avec elle, elle n’en devient pas pour autant passionnante.
    Olivier Gallais
    Olivier Gallais

    44 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 février 2022
    C'était d'UN ENNUI MORTEL!!!!!! La fille de Tilda Swinton n'a, hélas, pas le talent de sa mère qu'on voit tout au plus dix min dans le film. Des dialogues et des scènes qui n'ont ni queue ni tête. Même le film de requin avec Jason Statham était mieux.
    traversay1
    traversay1

    3 638 abonnés 4 875 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 février 2022
    The Souvenir est manifestement un film en partie autobiographique d'une réalisatrice encore peu connue en France, Joanna Hogg. Le film, situé dans les années 80, évoque ses années d'études cinématographiques et sa liaison toxique avec un héroïnomane. Fragmenté et elliptique, The Souvenir multiplie les instantanés autour de son héroïne, comme une toile impressionniste, ne distillant les informations que de façon parcellaire. On a parfois le sentiment que certaines scènes ne vont pas jusqu'au bout, comme coupées dans leur élan, et les morceaux musicaux qui les accompagnent subissent le même sort. On peut y voir une certaine suffisance dans la mise en scène, le résultat relevant d'une certaine esthétique mais totalement dénuée d'émotion. C'est d'autant plus dommage que l'actrice principale, Honor Swinton Byrne (fille dans la vie de Tilda Swinton, plus effacée dans le film), est remarquable, tout comme Tom Burke, dont le physique et le jeu rappellent certains comédiens de l'époque du Free Cinema.
    PS : revu à l'occasion de sa sortie concomitante à celle d'une deuxième partie. Même impression d'un film qui laisse beaucoup de blancs, à compléter par le spectateur, et d'un intellectualisme un peu pesant.
    Pascal
    Pascal

    163 abonnés 1 694 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 février 2022
    Une étudiante en école de cinéma pendant la première moitié des années 80, issue d'un milieu privilégié et aimant, se met en ménage avec un fonctionnaire du ministère Britannique des affaires étrangères. Peu à peu elle s'aperçoit qu'il est un junkie. Elle reste avec lui malgré cette relation toxique, malheureusement trop peu explicitée. Soutenu par la critique professionnelle ( masque et la plume et revue de cinéma Positif notamment), je suis allé voir ce film avec gourmandise. Franchement, c'est une déception ! Première partie d'un dyptique dont j'ai vu la seconde (cf avis au film correspondant) la réalisatrice propose dans ses deux films l'histoire une tentative de surmonter un traumatisme. Le personnage ( et l'auteur ?) parviendra à cette catharsis en réalisant son film de fin d'études. La première partie nous présente le traumatisme, la seconde la catharsis. Si l'intention et le prétexte ( sans doute autobiographique- le personnage principal porte les mêmes initiales que celles de la réalisatrice-) sont très intéressants le résultat projeté à l'écran est autre. Beaucoup trop long , manquant de rythme, le film est tenu par un scénario qui une fois posé le principe de départ tourne en rond. C'est la grosse réserve que je ferais à "the souvenir part 1". A l'intention du spectateur éventuel, il m'a semblé que le film se rapprochait du cinéma de Mike Leigh
    ( mais certainement pas de ses meilleurs films) voire de celui de Cassavetes ou encore des premières réalisations de Forman à son arrivée aux Usa. Si la réalisation est créative, elle donne parfois au spectateur un sentiment d'ennui. La réalisatrice n'a t elle pas un fait un film essentiellement pour elle-même ? C'est en tout cas mon sentiment. Toutefois "the souvenir part 1" n'est pas du tout un mauvais film, mais certainement pas une oeuvre majeure ( même si on n'évoque que le cinéma Britannique ) à moins qu'on ne fasse commencer l'histoire du cinéma en 2010. Par souci d'honnêteté envers le futur spectateur, il faut lui dire que n'est pas du tout un film grand public et qu'il est, à mes yeux, un peu survendu.
    Michèle M.
    Michèle M.

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 février 2022
    Bavard, intello, et pour tout dire chiant…je suis restée jusqu’au bout par curiosité…mais non décidément rien dans ce film ne m’a accroché…
    Même pas un côté esthétique pour se rattraper…juste Tilda Swinton……
    Christoblog
    Christoblog

    834 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 février 2022
    Quel film froid et compassé que celui-ci !

    Joanna Hogg nous propose un condensé de cinéma d'auteur prétentieux : auto-portrait en creux, rythme indolent, longueurs inutiles, images dans le film illustrant le film en devenir du personnage / réalisatrice, intérêt dramatique inexistant, confusion volontaire de la réalité et des songes, cadres savants mais dépourvus de sens, regards caméras sur-signifiants, photographie éteinte, plans fixes sur la nature accompagnés d'une voix off pontifiante, temporalité bousculée, ruptures de ton incessantes, etc.

    Difficile d'imaginer un cinéma plus intellectuel, plus poseur et moins sensuel : on est quelque part entre Chris Maker et Kelly Reichardt, mais sur un mode "film de fin d'étude" bricolé dans sa chambre d'étudiante.

    C'est peu dire qu'on se contrefout de cette histoire d'amour à la sensualité de hareng saur, et à laquelle on ne croit pas un seul instant.

    L'actrice principale, Honor Swinton-Byrne, tourne aux côtés de sa maman, Tilda Swinton. Les deux ne sont pas mauvaises, mais ne sont pas aidées par le charisme d'épagneul breton de l'acteur Tom Burke.

    Une expérience de la fadeur la plus extrême, qui ne m'encourage pas à aller voir la deuxième partie.
    Sara H.
    Sara H.

    44 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 février 2022
    Quelle expérience de cinéma ! J'ai pu voir les deux à la suite, et on vit pendant 4h au rythme de Julie. Quelle merveille de pouvoir la voir évoluer, vivre, se trouver, être aidée par le Cinéma. Un bijou !
    kristin75
    kristin75

    11 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 février 2022
    Découvert au festival de Dinard, le film ne ressemble à rien de déjà-vu. Histoire d'amour tragique, plongée dans l'Angleterre des années 80 avec beaucoup de délicatesse. On y découvre Honor Swinton, fille de Tilda Swinton (qui joue sa propre mère dans le film). Décidément, le talent touche toute la famille!
    Même si on peut voir chaque film séparément, il faut absolument voir le 1 avant le part 2. C'est un peu comme un disque avec sa face A et sa face B, clin d'oeil aux amateurs de Vinyl!
    On découvre la réalisatrice Joanna Hogg, qui n'est pourtant pas une débutante. Son cinéma fait penser à Mia Hansen-Love, et plus loin celui de Jean Cocteau avec cette presque relecture de la Belle et la Bête. Une déclaration d'amour au cinéma!
    Spider cineman
    Spider cineman

    159 abonnés 2 056 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 juillet 2021
    Drame sentimental, restituant en partie l expérience de sa réalisatrice ce film est éprouvant. Aussi éprouvant que l expérience sentimentale ? Si c est l exercice c est réussi... les dialogues et le rythme nous plongent dans l ennuie, question émotion ou passion le message passe difficilement, le jeu des acteurs ? Bof ! Film sélectionné en festival par le jeu des relations privilégiées du réalisateur du film ? Un piston ? Rien d autre a présenté ? C est une question, tant j ai du mal à trouver ce film intéressant et suffisamment intriguant...
    Cinememories
    Cinememories

    487 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 février 2022
    Après les douze chapitres de Joachim Trier, la Norvégienne Joanna Hogg (Unrelated, Archipelago, Exhibition) nous propose deux volumes sur sa Julie. Cette première partie se consacre à la découverte d’un point de vue, qui peine malheureusement à atteindre l’objectif de l’héroïne, miroir romanesque de la cinéaste elle-même. Nous sommes à mi-chemin vers l’autobiographie, qui la ramène à ses fins d’étude, où un film devra attester de son vécu et de son apprentissage. Autant affirmer de suite que l’on se dirige vers une élocution méta, toujours bienvenue et stimulante, dès lors qu’il sache faire parler les émotions. Et c’est le cas. Une histoire d’amour, ce n’est pas l’accroche la plus originale, ni la plus provocante, mais avec un autant de sincérité dans le non-dit, Hogg conte parfaitement sa jeunesse à travers les fragments d’un amour fragile.

    C’est évidemment le point fort de cette narration, qui ne cesse de surprendre dans son découpage, où les ellipses s’enchaînent avec une décharge émotionnelle ou à défaut de réflexion. Julie ambitionne fortement une carrière de réalisatrice, mais elle trébuchera sur assez d’obstacles, qu’elle ne parvient plus à tenir correctement sa caméra. Elle s’efface dès l’instant où nous la rencontrons, car elle peine à exister dans un récit qui ne semble pas lui appartenir. Vivant au gré de ses amis ou sa famille, notamment en demandant sans cesse des fonds auprès de sa mère, son quotidien devient une étrange métaphore de la construction de soi. Nous avons beau découvrir chaque miette de sa personnalité, mais ce sera rarement elle qui viendra les ramasser pour les regrouper. Honor Byrne-Swinton et sa mère Tilda, se réconfortent alors mutuellement dans leur rôle sur-mesure, jusqu’à ce que le charismatique Anthony (Tom Burke) débarque dans le champ de vision d’une Julie, en manque d’inspiration.

    Leur vie commune à Londres est alors ponctuée de musiques pop, qui contraste avec le décor luxueux et bourgeois d’un appartement londonien, qui ne ressemble pas tout à fait à cette apprentie cinéaste. Il s’agit pourtant d’un piège inévitable, qui la retient dans cette cage blanche et dorée, où les reflets révéleront bien plus de faille dans sa relation que son manque d’assurance, lorsqu’il s’agira de faire appel à son imaginaire. La rupture avec la réalité ne fait aucun doute, mais comment la dissocier du mal qui s’est invité chez elle, chez eux ? La drogue aura son mot à dire et plus encore sur l’aspect perfide, mythomane et cleptomane de son compagnon, qui souffre également d’une double identité. Pourtant, Julie ne cède pas à la confrontation ou à la violence, quand bien même Anthony se réfugie dans une dépendance autodestructrice, car bien qu’il n’implose pas toujours, Julie en fait les frais, en observant les malaises de ce dernier et en s’enfilant une cape de culpabilité, dont elle gardera encore le souvenir amer.

    Entre les personnages qui s’affirment et se déchirent, Julie s’engouffre dans un désespoir malsain, mais dont l’histoire d’amour reste sincère. Ce dilemme aurait déjà sonné la révolte, à l’image des genres musicaux, qui relativisent sur leur époque, sans oublier d’évoquer des attentats locaux, qui génèrent plus d’anxiété dans la vie de l’étudiante amoureuse et perdue. « The Souvenir - Part I » ouvre ainsi les portes et porte un regard sur le monde extérieur, que l’héroïne sera en droit d’obtenir, dès lors qu’elle réalise ce qui a compté dans son couple. Hogg ouvre son diaphragme sur la lumière après les ténèbres, que l’on retrouve dans un second acte, indissociable de cette mise en bouche bouleversante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 mars 2022
    Julie est une jeune étudiante en cinéma, réalisatrice en devenir. Elle fait la connaissance d’un homme plus âgé et charismatique. Si Julie trouve à Anthony un charme mystérieux, il devient évident pour son entourage ainsi que pour le spectateur que son mystère cache en réalité une violente addiction à l’héroïne. Joanna Hogg dresse – en deux tableaux – le portrait fataliste d’une rencontre vouée à la séparation.

    Les circonstances de la rencontres interéssent moins la cinéaste que ses répercussions. La première partie de The Souvenir nous plonge sans concession dans les tumultes de cette relation passionnelle mais dangereuse. Une séparation immédiate s’opère alors entre ce qui nous est conté et ce qui nous est montré. Hogg filme ces vertigineux méandres émotionnels avec une douceur plastique implacable. L’œuvre prend la forme de souvenirs, parfois confus, souvent segmentés et presque toujours chimériques. Là où le spectateur voit la désintégration d’un couple, les signes manifestes d’un échec, Julie voit des moments de partage utopiques et précieux.

    lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2022/02/12/the-souvenir-part-i-ii/
    cinono1
    cinono1

    309 abonnés 2 064 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 février 2022
    Paradoxalement, un film vibrant et froid. Récit d'une relation amoureuse, la mise en scène est épistolaire, tentant de raconter son histoire par des sensations plus que par un arc narratif. Cela a le mérite de faire participer le spectateur mais cela finit aussi par desincarner le film qui devient un bel object arty mais dépourvu de passion. Un vrai manque, vraiment dommage quand on pense à la qualité de la mise en scène et au casting sans faute, avec une Honnor Swinton Byrne amenée à faire de belles choses.
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