Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Aussi agressif qu'incapable, Bucquoy attendrit par sa sincérité, amuse en exhibant sa médiocrité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
On peut se tromper, mais on imagine que Jan Bucquoy se verrait bien dans la peau d'un Michael Moore ("Roger et moi", "The Big One"). On ne sait s'il en a le talent et l'intelligence, il ne fait aucun doute qu'il n'en a pas le courage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Christophe Carrière
Ce n'est pas tant que Bucquoy se répète, c'est plutôt son manque d'ambition cinématographique qui désole. À moins que l'art soit incompatible avec la révolution...
La critique complète est disponible sur le site Première
Repérages
par Teddy Roudaut
à la désinvolture vient s'ajouter une sorte de je m'en foutisme pseudo révolutionnaire assez révoltant et de plus en plus agaçant au fur et à mesure que le film avance.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Télérama
par Jacques Morice
Curieuse foirade qui s'assume comme telle. On croyait Bucquoy épicurien devant l'éternel, on le découvre masochiste chiant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Aussi agressif qu'incapable, Bucquoy attendrit par sa sincérité, amuse en exhibant sa médiocrité.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Obs
On peut se tromper, mais on imagine que Jan Bucquoy se verrait bien dans la peau d'un Michael Moore ("Roger et moi", "The Big One"). On ne sait s'il en a le talent et l'intelligence, il ne fait aucun doute qu'il n'en a pas le courage.
Première
Ce n'est pas tant que Bucquoy se répète, c'est plutôt son manque d'ambition cinématographique qui désole. À moins que l'art soit incompatible avec la révolution...
Repérages
à la désinvolture vient s'ajouter une sorte de je m'en foutisme pseudo révolutionnaire assez révoltant et de plus en plus agaçant au fur et à mesure que le film avance.
Télérama
Curieuse foirade qui s'assume comme telle. On croyait Bucquoy épicurien devant l'éternel, on le découvre masochiste chiant.