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    Une intime conviction
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    313 critiques spectateurs

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    benoitG80
    benoitG80

    3 418 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2019
    « Une intime conviction », d’Antoine Raimbault, nous relate au plus près le deuxième procès en appel de l’affaire Suzanne Viguier, à un détail près, soit la présence de Nora, totalement romancée dans ce cadre précis !
    Mais quelle bonne idée, car c’est bien elle qui va nous servir de guide, en tant que personnage complètement fasciné par cette affaire, elle va devenir ainsi notre œil indiscret en nous permettant d’assister au plus près à toutes les étapes de ce fameux procès.
    Un véritable tour de force doublé d’un excellent vecteur de la part du réalisateur, d’autant plus que Marina Foïs fait preuve d’une implication incroyable dans ce rôle pourtant fictif, mais qu’elle rend plus vrai que nature, en installant mine de rien une tension digne d’un très bon thriller !
    Comme si elle était habitée par son personnage intimement convaincu de l’innocence de Jacques Viguier, tout comme Olivier Gourmet, qui lui colle parfaitement à la peau de cet avocat au point d’imaginer l’avocat Éric Dupond-Moretti en chair et en os, tant sa magnifique plaidoirie finale fait frémir !
    Plaidoirie à la portée remarquable dans son constat qui va au delà du procès lui- même, une vraie performance d’acteur qui nous tétanise par son éloquence et sa prestance !
    Si bien que ces deux prestations fascinantes vont permettre à cette histoire oubliée de rejaillir, en mesurant toute la fragilité d’une justice, toutes les incohérences et lacunes d’une instruction, et ce que revêt la présomption d’innocence en l’absence de la moindre preuve dans cette histoire de disparition...
    Alors que cette fameuse intime conviction que tout un chacun peut ressentir, nous incite pourtant à pencher d’un côté ou de l’autre !
    Une démonstration hors pair, dont un travail de fourmi bien montré à travers ces écoutes, va pouvoir révéler et rétablir une vérité précaire et toute relative, celle que l’on croit juste ou tout au moins qu’on espère et imagine la plus juste possible, quand on considère l’état de cette enquête malmenée !
    Cette fois, et comme souvent, suspecter un coupable et le juger comme tel, amène à résoudre une équation à trop d’inconnues, ce que ce film nous prouve plus que brillamment, dans une ambiance d’un réalisme bluffant et très prenant !
    On est ainsi parfaitement immergé dans ce monde inquiétant, dans ce tribunal solennel et oppressant où chaque audience est un pas de plus vers la décision ultime du jury...
    Du cinéma précis et technique pour la bonne cause, et donc instructif et intelligent, où toutes les ambiguïtés et l’enjeu d’un jugement humain, sont brillamment mises en avant !
    Marc T.
    Marc T.

    267 abonnés 552 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juin 2020
    Quelle plaidoirie d'Olivier Gourmet bon sang ! Rien que pour ces quelques 30mn au tribunal, Une Intime Conviction vaut le détour, en nous montrant qu'on est finalement peu de chose, que l'on peut se retrouver nous aussi au rang des accusés du jour au lendemain, sur une simple présomption et des faux témoignages, témoignages fortement influencés par Olivier Durandet, amant de la disparue et accusateur principal de Jacques Viguier. Amateurs de films de procès, foncez les yeux fermés !
    AZZZO
    AZZZO

    303 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2019
    Pas question pour Antoine Raimbault de refaire l'enquête ou le procès de l'affaire Viguier, ce vieux fait d'hiver oublié des années 2000. Le film a pour but de nous montrer la différence entre juger et rendre la justice. Pour ce faire, la mise-en-scène est particulièrement habile : le spectateur suit le personnage fictif de Marina Foïs qui s'investit pour défendre un innocent, croyant que c'est elle qui va rendre la justice et son honneur à cet homme... jusqu'au choc (ou plutôt : au double choc) qui nous amène à comprendre qu'elle a perdu son objectivité (tout comme nous) et que le personnage central est en fait l'avocat, Maître Dupont-Moretti, joué avec génie par Olivier Gourmet. C'est rythmé, très bien réalisé et finement mis en scène. Un film intelligent.
    dominique P.
    dominique P.

    839 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2019
    Comme j'adore Olivier Gourmet, j'avais hâte de voir ce film judiciaire.
    Cela parle d'une histoire vraie.
    C'est très intense.
    Le film est parfaitement bien réalisé et interprété.
    islander29
    islander29

    867 abonnés 2 359 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2019
    Dans les coulisses de la justice et de la passion d'une femme (Marina Fois) pour la vérité. Le film est haletant et interprété avec beaucoup de réalisme et de sérieux…..Le film est l'histoire d'un procès, d'une "injustice" , une histoire sans preuves….
    C'est très réaliste, et il y a tant d'hypothèses énoncées sur l'origine de la disparition ou du meurtre, que règne une certaine confusion pour le spectateur …Pas de panique, ce ne sont qu'hypothèses et la fin du film met un peu tout cela à plat...Le film est rythmé (parfois excessivement, comme pour semer le spectateur par un excès d'esprit, pour faire croire à une intelligence supérieure de la réalisation). Le film est dense et décrit surtout des tensions ( entre juge et avocat général, entre avocat et témoins, entre accusé et témoins, entre criminel et juge, etc...), bref toutes les tensions qu'on peut ressentir dans une plaidoirie (celle de l'avocat Olivier Gourmet en fin de film prend aux tripes à tel point que le spectateur que je suis s'est senti coupable)...c'est un film dans lequel on "entre" qu'on le veuille ou non…..Il se dégage in fine, un constat sur la précarité de tout procès, qui repose sur une grande place de subjectivité et de doute …..Cela ne donne pas vraiment envie d'être juré en cour d'assises ??? Je conseille, c'est un "thriller" sur la justice plein de qualités intrinsèques…..
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    270 abonnés 1 643 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juillet 2020
    Bon film de procès avec une mécanique narrative bien huilée et captivante, avec son lot d'ambiguïtés et de paradoxes, avec trois acteurs intenses à leur façon : Marine Foïs, Olivier Gourmet, Laurent Lucas. Belle place accordée au verbe. Sur le plan formel, pas d'originalité mais un classicisme maîtrisé.
    Caine78
    Caine78

    6 738 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mars 2019
    Difficile d'être plus éloigné des thrillers judiciaires « à l'américaine » qu' « Une intime conviction », ce qui était clairement le but affiché par Antoine Raimbault. De ce point de vue, le film est donc plutôt réussi. Aucune musique, aucun rebondissement spectaculaire, pas d'effets : le réalisateur fait le choix de coller au plus près de la réalité, le choix de l'affaire (Viguier) ne permettant pas énormément d'écarts. C'est à la fois sa force et sa faiblesse : d'un côté c'est vraiment crédible, plutôt immersif, le seul « ajout » concernant le personnage de Nora s'avérant utile à l'intrigue et à notre intérêt. De l'autre, si vous n'êtes pas fan des œuvres presque « documentaires », perdant logiquement en émotion et intensité cinématographique, le risque de ne pas être passionné est réel. Maintenant, c'est quand même pas mal. Ça se tient du début à la fin : précis, documenté, sans pour autant être trop démonstratif, le plaidoyer final d'Olivier Gourmet sachant faire son effet, la belle prestation de Marina Foïs étant également à saluer. Un bon moyen d'en savoir « plus » sur cette mystérieuse affaire pour un film-dossier solide et intelligent, à défaut d'être captivant.
    Coach Jordano
    Coach Jordano

    20 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 février 2019
    Je sors de la projection à l'instant et Waaahhh... La sensation de m'être pris une claque. En regardant ce film on est imprégné de l'ambiance lourde d'un procès et du travail considérable qu'il y a autour. Le personnage de Marina Foïs est certes fictif mais plus vrai que nature, quand à l'interprétation d'Olivier Gourmet elle est époustouflante une fois de plus, ce dernier est un acteur incroyable. Excellent film je recommande.
    ffred
    ffred

    1 711 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 février 2019
    Carton plein pour ce premier film d'Antoine Raimbault. Pour moi, rien à dire. Mise en scène solide, simple, sans fioriture. Scénario bien ficelé, un suspens croissant et haletant avec des rebondissements bien amenés, images sobres, pas de musique envahissante, interprétation au top. Marina Foïs continue de nous étonner et d'être aussi performante dans les comédies que dans les drames. Vraiment une des meilleurs actrices de sa génération. Elle est une fois de plus ici aussi convaincante, que déterminée et bouleversante. Mêmes remarques pour Olivier Gourmet. Le genre d'acteur qui ne peut pas être mauvais, même dans les mauvais films. Une fois de plus grandiose, la scène du plaidoyer est un must à elle toute seule. Sans oublier Laurent Lucas magistral. Voilà une plongée dans le système judiciaire français aussi prenant que passionnant. Ne me souvenant plus du tout de cette affaire, je suis resté scotché de la première à la dernière minute. Un premier long métrage brillant et intelligent totalement maitrisé qui frappe un grand coup. Une intime conviction se place déjà comme l'un des meilleurs films français de l'année.
    Jorik V
    Jorik V

    1 274 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juillet 2019
    Pour un premier coup, c’est un coup de maître que réalise Antoine Raimbault. « Une intime conviction » est un premier film magistral et maîtrisé de bout en bout alors qu’il part d’un postulat pas forcément facile dans lequel il aurait pu se prendre les pieds dans le tapis. En effet, il prend son point de départ d’un sujet réel ayant défrayé la chronique en 2000, celui de l’affaire Viguier, auquel il rajoute un personnage central fictif permettant de rentrer dans les arcanes de la machine judiciaire française. Très délicat de ne pas s’emmêler les pinceaux dans l’histoire et/ou de ne pas s’attirer la foudre des intéressés. Mais ce qui intéresse Raimbault n’est pas tant la résolution de l’affaire puisqu’il part du principe que le spectateur la connait mais bien de décortiquer les dérèglements d’une justice complexe et de ce qui pousse une personne à être condamnée ou non. Et en cela c’est passionnant de bout en bout.



    Durant près de deux heures, on est complètement happés par cette histoire de faux semblants et de culpabilité et on veut savoir le fin mot de l’histoire (si l’on ne s’est pas intéressé à l’affaire et qu’on n’en connaît pas le dénouement) tout autant qu’on est captivés par les méandres d’un procès qui nous apparaît de plus en plus partial. Ce qui pourrait sembler complexe pour un profane en droit est ici limpide et nous permet de plonger littéralement dans les arcanes d’une justice parfois injuste et manquant de clairvoyance. « Une intime conviction » fait donc froid dans le dos car il montre quelque chose de finalement logique : il n’y pas forcément une vérité et un jugement peut être tronqué, ce qui amène des innocents en prison et des coupables en liberté. De plus, le film ne nous laisse pas une minute de répit et se pare d’une mise en scène travaillée et en phase avec le sujet (surtout que filmer un procès et une salle d’audience n’est pas forcément la chose la plus simple à rendre vivante).



    Mais pour ce qui est de la partie inventée, il est intéressant de voir à quel point l’obstination du personnage de Nora peut nuire à se santé tout comme à sa vie familiale et privée. Dans ce rôle casse-gueule, Marina Foïs fait encore montre de l’étendue de son talent et son duo avec Oliver Gourmet fonctionne à merveille. Ce dernier est épatant en incarnant le célèbre avocat Dupont-Moretti et sa tirade finale au tribunal en impose clairement. Ce postulat original et le défi qui va avec sont réussis avec brio. C’est méticuleusement écrit et réalisé et permet une réflexion intelligente sur la présomption d’innocence. Documenté, implacable, tendu, bouleversant, haletant, « Une intime conviction » est tout cela à la fois. A cheval entre le thriller et le film judiciaire ou de procès, il s’en tire avec les honneurs sur les deux versants. A ne pas louper.


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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 février 2019
    Film puissant !!
    On ressent la plaidoirie finale comme si on y était, on vit la décision comme si c'était nous...
    Personnages excellemment bien représentés, historie, bien que malheureuse soit-elle, très bien relatée.
    Enfin Le film fait prendre conscience des répercussions désastreuses que peuvent avoir Le pouvoir des médias, et les discussions de bistrot sur La Vie d'une Famille.
    Le film soulève également Les failles de notre système juridique, présomption d'innocence bafouée, enquête uniquement à charge, secret De l'instruction inexistant, témoignages sans valeurs...
    christophe R.
    christophe R.

    12 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 février 2019
    Excellent film judiciaire. On se sent vraiment au coeur du procés. Le film nous tient en haleine jusqu'au bout.
    Marina Foîs et Olivier Gourmet réalisent une performance exceptionnelle.
    A voir
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 février 2019
    Je suis aller voir ce film par curiosité, j’ai adoré tout simplement le jeu des acteurs est excellent, ce film est magnifique mixant du suspens et l’émotion. Il est a voir
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 février 2019
    Vous vous réjouissiez  rien qu'à imaginer Olivier Gourmet incarnant le plus cabotin des avocats médiatiques, Eric Dupond-Moretti, (à qui d'ailleurs il ressemble un peu)? Déchantez....  Certes, lorsqu'il est à l'image, il est impérial -en particulier dans son magnifique plaidoyer final! mais ce n'est pas lui le personnage principal. Alors, est-ce Jacques Viguier lui même? Que nenni, mâchoires serrées, expression unique, Laurent Lucas ne prononce pas trois phrases dans le film. On aurait mis une photo de Laurent Lucas, mâchoires serrées, oeil noir, ça aurait fait la rue. Mieux! il aurait suffi de prendre un figurant ça aurait coûté moins cher. 

            Non, la vedette, c'est un personnage fictif, Nora (Marina Foïs), la folle de service, une sorte d'Erin Brockovich de super-marché discount (expression unique, mâchoires serrées, oeil de chien truffier sur la piste) qui s'est prise de passion pour la cause de Viguier. Elle néglige son fils de dix ans qu'elle élève seule (on comprend que face à cette furie, le géniteur ait calté....), abandonne son job de cuisinière (avant d'être renvoyée: elle ne vient plus prendre son poste, elle est aux assises!!), et Dupont-Moretti lui confie toutes ses archives audiovisuelles à écouter et décrypter. Ben voyons! Comme c'est plausible! L'idée de Dupont-Moretti prenant une folle sans diplôme pour ce qui va décider de l'issue d'un procès très médiatisé est grotesque.

            Mais tout est grotesque dans ce film: voyez les témoins de l'accusation: à la première question de l'avocat, les voilà qui se décomposent, bavent, font beu-eu-euh; le pire étant Olivier Durandet (Philippe Uchan), l'amant de Suzie, la femme disparue de Viguier, celui qui avait orienté l'enquête vers le mari, à qui on a généreusement prêté une tête de patate germée. Si Suzie l'avait préféré à Laurent Lucas, alors non seulement elle était nymphomane, mais en plus, aveugle.

            Mais où va le cinéma français pour qu'il en soit réduit à nous montrer ça? La Favorite, la Mule, Green Book, Asaki, et tant d'autres, le cinéma est une fête en ce moment. Et pas un film français...

             Tout ce qu'on souhaite c'est qu'Antoine Raimbault, après ce tour de piste, aille vite passer un CAP de boucher/charcutier. La profession recrute.
    FaRem
    FaRem

    8 704 abonnés 9 561 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juin 2019
    Après avoir dirigé Eric Dupond-Moretti dans le court-métrage "Vos violences" sorti en 2014, Antoine Raimbault adapte pour son premier long-métrage l'Affaire Suzanne Viguier qui avait vu le célèbre avocat défendre Jacques Viguier qui était accusé du meurtre de sa femme. Le réalisateur relate les faits de ce lourd procès, mais prend quelques libertés puisque comme cela est indiqué dans le film, le personnage de Nora a été inventé. Un ajout qui permet de traiter l'histoire d'un angle différent en plus d'aborder d'autres sujets autre que celui de la culpabilité ou non de l'accusé. Comme le titre l'indique, il est question d'une intime conviction, celle de Nora qui est prête à tout pour faire innocenter le mari. Tellement certaine de cela qu'elle devient obsédée par cette affaire au point de délaisser son fils et pire encore dans ce cas là de perdre son objectivité. Pendant tout le film, on suit de près cet excellent duo qui fait du très bon travail, mais qui se déchire aussi, car ils ne sont pas toujours d'accord. L'avocat doit toujours rappeler à Nora qu'une conviction n'est pas une vérité, une preuve et qu'il y a une différence entre juger et rendre la justice. Les dialogues, qui sont probablement issus du procès pour la plupart, sont très bien écrits avec certains passages qui sont vraiment marquants. Le réalisateur ne cherche pas à refaire l'enquête, ce n'est pas du tout le cas, mais il tente d'une certaine façon de décrire le rouage judiciaire et d'avertir sur les dangers quand on essaie de rendre justice en prenant quelques libertés. Au-delà de la partie judiciaire, on remarque la puissance des médias qui peuvent condamner avant l'heure une personne. Heureusement que c'est la justice qui a le dernier mot même si elle n'est pas à l'abri de faire des erreurs également... Construit comme un thriller, ce film entraîne une vraie réflexion sur l'éthique et sur la justice. Un film qui est très bien ficelé et qui est fascinant de bout en bout. Pour un premier long-métrage, c'est une vraie réussite et Antoine Raimbault a su parfaitement s'entourer. Si le film est très solide et intéressant dans son traitement, le rendu n'aurait pas été le même sans Marina Foïs et Olivier Gourmet. Les deux sont convaincants, mais ce dernier est exceptionnel dans la peau Maître Eric Dupond-Moretti. Il éclipse tout le monde lorsqu'il prend la parole et sa plaidoirie est un très grand moment. Bref, un très bon film.
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