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    Domino - La Guerre silencieuse
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     Kurosawa
    Kurosawa

    587 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 novembre 2019
    Renié par De Palma lui-même, charcuté au montage et sous-produit, "Domino" est un pâle thriller sur le terrorisme islamiste. Le film ressemble en effet à un brouillon qui serait seulement composé d'une seule colonne vertébrale et auquel il manque les articulations nécessaires pour faire sens. Il est difficile d'imaginer ce qu'aurait pu être le film tel que De Palma l'avait imaginé – le premier montage prévu durait environ 2 h 30 – mais on peut parier qu'il n'y avait guère moyen de réaliser un grand film, tant les scènes qui sont proposées dans cette version font peine à voir, comme en atteste la séquence finale de la corrida. En une suite de ralentis et un montage alterné bien tenu, un suspense se crée à partir d'un possible attentat mais la résolution est absolument ridicule. Ce sabordage dit bien le manque d'inspiration d'un cinéaste qui a toujours manifesté son intérêt pour le mauvais goût, mais le kitsch légendaire de De Palma devient ici inopérant car il se trouve en total décalage avec la pesanteur du sujet. Quand on combine les causes évoquées plus haut, une interprétation globalement mauvaise, un récit démembré et une schématisation des personnages et des enjeux, on se retrouve avec l'un (le ?) des plus mauvais films d'un immense cinéaste.
    benitoberlon
    benitoberlon

    57 abonnés 971 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 octobre 2019
    On apprend de la bouche de son réalisateur (Brian de Palma Himself) que le film a eu des problèmes de financement. On comprend donc mieux pourquoi on a eu tout le long du film l'impression de regarder qu'un vulgaire téléfilm...le manque de moyens est criant, en plus d'un scénario basique. Bref, malgré Guy Pearce, c'est franchement pas terrible!
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    397 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 juin 2019
    De Palma revient du désert avec tout l’attirail qui a fait de lui un réalisateur de renom, on retrouve sa maitrise, son tempo, ses gimmicks, mais avec des moyens dérisoires et un directeur photo absent, ce qui créé un certain décalage cheaposs, à l’image de l’utilisation de la musique par exemple, remarquable dans l’action et assez ridicule dans l’émotion. Un thriller qui aborde le sujet du terrorisme islamiste en montrant ce que le spectateur n’a pas forcément envie de voir, notamment en se servant des techniques généralement utilisées via les réseaux sociaux par Daesh, ce qui donne une résonance à sa propre technique formelle, comme le split-screen, la réappropriation est plutôt habile. L’écriture n’est toutefois pas extraordinaire, sans doute charcutée car prenant des virages avec un peu trop de hâte, rien que pour le rôle de la CIA ou de la vengeance du personnage de Carice Van Houten, j’en veux pour preuve une des scènes finales censées être son climax mais ne reste qu’un moment à peine surprenant.
    Le résultat reste passable et agréable, sorte d’ébauche de thriller notable des années 90 fourvoyé par la politique des studios actuels qu’on nous jète à la tronche en Web-dl, espérons maintenant pour De Palma qu’il connaisse le même destin que Verhoeven entre son Tricked et Elle.
    Hotinhere
    Hotinhere

    560 abonnés 4 972 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 août 2020
    Faut vraiment se pincer pour croire que De Palma a réalisé ce thriller sous fond de terrorisme et de radicalisation islamiste, digne d'une mauvaise série B (voir navet), pas même sauvé par une interprétation désastreuse.
    Thomas Roavina
    Thomas Roavina

    24 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 novembre 2019
    Pas excellent, très classique dans sa forme narrative, peu d'audace au niveau de la mise en scène, surfant sur la vague des films a terroriste, De Palma n'apporte rien de nouveau, enchaîne les clichés, aucun suspense, un humour qui tombe à plat et des acteurs qui semblent peu concernés. C'est très décevant de la part d'un grand maître du cinéma. Peut-être manqué t-il de motivation pour un sujet éculé mais en tout cas ça lui permet de se remettre en selle. Je suis surtout déçu de ne pas voir la pâte du réalisateur américain hormis quelques plans de grue et de séquences bien sentit mais il n'y a rien à se mettre sous la dent, l'histoire tire en longueur alors que sur le papier y'a pas trois ligne bref un ratage. Aprés celui de Passion, il ne faudra pas que De Palma nous habitue à ce rendement.
    Chikun G
    Chikun G

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 octobre 2019
    Au secoure !! l'ennuis est au rendez vous, j'ai eu l'impression de voir un épisode de Dérick, les acteurs jouent tellement mal que ça en devient presque comique, quel choc quand j'ai vu à la fin Brian de Palma.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 610 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 août 2020
    Il est difficile de croire que De Palma, le gars qui a réalisé de grands films comme Blow Out et Scarface ai réalisé ce terrible film. La direction est terrible et c'est peut-être l'une des pires de De Palma. Un exemple de l'une des pires parties de ce film est la scène de poursuite sur le toit dans les vingt premières minutes du film. C'était tellement nul et le travail de la caméra est terrible. L'un des pires films de tous les temps. La scène au stade est stupide au-delà de l'imagination si vous y arrivez votre téléviseur doit être éteint mais ne perdez pas votre temps a la regarder...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    693 abonnés 3 019 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 octobre 2019
    On entend dans Domino à la fois la dichotomie thématique qui oppose voire réunit (on parle alors de « doubles ») les deux faces d’une même pièce, la chaîne de figures qui résulte de l’échange ludique et l’idée de stratégie qui conduira le plus habile des joueurs à se rendre maître du hasard pour (espérer) gagner la partie. Ces deux acceptions définissent le dernier film de Brian de Palma : deux mondes mis en face l’un de l’autre et qui s’engagent dans une course au terrorisme, deux mondes caractérisés par leur rapport au virtuel, deux mondes qui partagent cependant une interdépendance que le cinéaste révèle avec intelligence. Car il semble que le vieux monde des agents ait besoin, pour s’accomplir, de diriger ce nouveau monde de la terreur technologique et en partie dématérialisé qu’incarnent les islamistes radicalisés. Il n’y a qu’à considérer le transfert raté qui intervient en guise de dénouement pour comprendre les jeux de pouvoir inhérents au terrorisme contemporain, jeux dans lesquels les États-Unis apparaissent tel l’instigateur privilégié. De Palma enracine le vieux monde – incarné par les agents – dans un corps de pratiques aussi lourd que fragile, et confère au nouveau monde la rapidité que suppose sa virtualité. Un flic oublie son arme chez lui, un autre est immobilisé sur son lit d’hôpital, tous scrutent leurs écrans de contrôle dans l’espoir de déchiffrer un signe, de débusquer un ennemi ou une action en train de s’accomplir. Il faut du temps pour prendre la voiture puis l’avion, se rendre à l’étranger, flairer la piste des terroristes ; il ne faut pourtant que quelques minutes pour dévaster les marches d’un festival. C’est dire que le virtuel court plus vite que le réel. L’art de la demi-bonnette chère à De Palma bénéficie aussitôt d’un regain d’intérêt, puisqu’en refusant la profondeur de champ qui sépare deux êtres, il élabore un domino visuel qui prend soin de mêler les deux mondes : une figure de l’autorité ancienne – l’agent qui retient l’ennemi – à côté d’une menace dont la virtualité a retrouvé le chemin de la concrétude la plus frappante. Les vieilles puissances subissent les aléas des affects alors que la nouvelle, du fait de sa virtualité, ne se laisse émouvoir par rien, place sa foi dans la vie éternelle qu’on lui garantit post mortem. Éminemment polémique, la démarche du cinéaste entend transformer le terrorisme en réservoir de fiction à effet de réel. C’est ici qu’intervient la réflexion sur les focalisations utilisées. Les différents procédés de mise en mouvement de l’image construisent un climat de paranoïa aiguë : longs zooms sur le balcon calfeutré d’une tour d’habitation, plans fixes au sein de véhicules qui rappellent le dispositif de caméra embarquée, vues de jumelles, d’un drone ou d’un jeu vidéo à la première personne (où le regard du spectateur participe à l’immédiateté de l’action), extraits de vidéos postées sur les plateformes numériques, plans issus de webcam, demi-bonnette généreuse. On trouve même un toit éclairé par des néons de couleur bleue ! Brian de Palma a pensé son film comme un kaléidoscope de dispositifs et donc de points de vue. Sa démarche nous convie à nous demander qui capte l’image rapportée. Dans quel regard projeté-je le mien ? Car l’enchaînement de mouvements n’obéit pas aux desiderata maniéristes d’un auteur à bout de souffle : une telle lecture est bien aveugle… Si Domino repose sur un enchâssement de mouvements épars qui finissent par converger lors de l’apothéose finale, les dispositifs relatifs au traitement de l’image sont aussi des regards narratifs qui doivent éveiller le spectateur sur son rapport (quotidien) aux écrans. Faut-il prendre tout ce que je vois pour argent comptant ? L’image équivaut-elle à la réalité ? au vrai ? De Palma se propose de faire parler les images : la course-poursuite qui ouvre le long-métrage pense la fenêtre comme une frontière entre deux points de vue, l’un omniscient qui suit l’agonie d’un policier, l’autre engagé dans l’action et qui ne perçoit du policier que son image de coéquipier soucieux de mettre la main sur son bourreau. Dans l’immeuble se vit la souffrance, à l’extérieur s’appliquent les exhortations. Une même scène, deux focalisations, deux interprétations. Pullulent un peu partout des critiques qui rapprochent Domino du téléfilm lambda. C’est ou ne rien connaître au cinéma de Brian de Palma, ou ne pas chercher à dépasser les apparences dont le film se joue ouvertement. Car l’impression d’amateurisme a un sens, elle inscrit son sujet dans le quotidien, elle rend palpable la menace et accessible ses conséquences les plus fatales. Un zoom léger se rapproche d’un automobiliste stationné pour finalement capter les flux d’images qu’il consomme. C’est une vidéo : un jeune soldat radicalisé proclame sa foi. Le danger à nos portes, dans nos rues, au sein d’une arène de toréadors ! De cette frénésie collective, De Palma extrait des vignettes idéologiques qu’il assemble les unes aux autres. Il pense les images comme des dominos que l’on fait coïncider par superposition de deux valeurs identiques. Subtile métaphore du montage, de l’image-mouvement formée d’une somme d’images accolées les unes aux autres jusqu’à former une chaîne visuelle, un réseau analogique. Domino traite donc du spectateur aveuglé, incapable de décrypter les coutures ayant donné naissance au mouvement qu’il dévore des yeux, chosifié. De ce spectateur englouti par les vagues sonores et visuelles qui l’assaillent et l’engouffrent. Le monde de De Palma est hanté par des images qui renvoient à celui ou celle qui les regardent l’impression désagréable d’être à son tour regardé, violés dans son intimité. Ainsi le cinéaste décline-t-il, par des mises en abyme permanentes, son art en une somme de fragments réflexifs dans lesquels se projettent une vision d’artiste, une instance narrative et une réception critique. Il nous réapprend à regarder, ou plutôt à voir mieux.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    204 abonnés 1 910 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 juin 2020
    On a du mal à croire qu'on a affaire au réalisateur de Body double et Pulsion. Ce serait insulter les bons réalisateurs de téléfilms de comparer ce navet à un téléfilm. Clichés et personnages stéréotypés s'accumulent, y compris celui du "bon Arabe", policier de son état, qui a désormais succédé au "bon Indien" d'Antan qui guidait les soldats bleus contre ses frères. Jamais on ne retrouve, même pour une courte séquence, la patte du maître. Pitoyable naufrage.
    clki
    clki

    2 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 juin 2020
    Une très mauvaise série B mal jouée, mal tournée avec un scénario inexistant
    Mais ou est passé le génial De Palma ?
    Navet de chez navets
    Georges P.
    Georges P.

    72 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 octobre 2019
    Pas le meilleur De Palma mais une honnête série B. On retrouve toutefois la patte du maître dans certaines séquences et un appui immodéré de la musique.
    A priori on devrait assez vite oublier ce film.
    Mon' S
    Mon' S

    17 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 août 2019
    Film très intelligent et bien ficelé! L'ambiance est très bonne, la musique aussi, et les acteurs sont convaincants. Ce n'est pas un film à gros budget mais il très bien fait. Respect à De Palma!
    Le suspense est au rendez-vous.
    pierrre s.
    pierrre s.

    435 abonnés 3 309 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juin 2020
    Après sept ans d'absence Brian De Palma est de retour. Force est de constater que si le résultat n'est pas flamboyant, Domino, est tout de même un bon film. Mêlant action et espionnage, le réalisateur place son intrigue sur fond de Daesh et de terrorisme international. Le rythme du film est bien tenu et l'histoire nous tient en haleine. On regrettera seulement un dernier plan outrancier et malvenu.
    Audace26
    Audace26

    7 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juin 2020
    Thriller rythmé mais totalement caricatural d'une enquête terroriste qui débute au Danemark et finit en Espagne. Clichés et poncifs sur une bande son assez réussie au demeurant. Pas terrible donc.
    Shelby77
    Shelby77

    164 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 juillet 2020
    Un film moyen pour un réalisateur de la renommée de Brian Palma. Le début du film est compréhensible, mais passée l'heure trop de personne entre en jeu et la narration devient complexe. Au finish on ne sait où donner de la tête.
    Les meilleurs films de tous les temps
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