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    The Fabelmans
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    857 critiques spectateurs

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    l'embobineur
    l'embobineur

    3 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 juin 2023
    "The Fabelmans", à la fois drame touchant et puissante réflexion sur le pouvoir de l'image, nous laisse différents espaces de réflexion à creuser librement. Plus qu'un simple biopic, un mariage parfaitement maîtrisé avec une analyse des potentialités du cinéma qui le place assurément au rang des chefs d'oeuvre.
    OMTR
    OMTR

    18 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juin 2023
    La Puissance du Cinéma

    "The Fabelmans" ne commence pas par spoiler: la naissance de Sammy Fabelman à Cincinnati, Ohio, le 18 décembre 1946, mais lorsqu’il a six ans et qu’il découvre la magie du cinéma avec ses parents qui l'ont emmené voir son premier film : "Sous le plus grand chapiteau du monde" en 1952
    .

    C’est une révélation pour le jeune enfant, qui spoiler: passera son enfance et son adolescence à tenter de faire comprendre au monde la différence entre un hobby, une passion et une vocation
    .

    Car, ses talents innés de cinéaste s'expriment dès que spoiler: son père lui offre sa première caméra, et qu’il recrée la scène qui l'a le plus marqué dans le film de Cecil B. DeMille, à savoir la scène de l'accident de train. Une catastrophe qu'il reconstruit avec ses moyens en attendant patiemment que chaque célébration annuelle d’Hanoucca apporte un élément supplémentaire au train électrique qu'il construit dans le garage de la maison familiale
    .

    Au moment où son père est promu à spoiler: Phoenix en Arizona, la mère de Sammy vit déjà difficilement le déménagement, loin d’une partie de la famille étendue. Sammy, lui, peaufine ses talents avec un film sur une sortie familiale en camping dans la forêt, puis les courts métrages "Gun Mog" (1959) et "Escape to Nowhere" (1961), qu’il réalise avec l’aide de ses camarades, et qui confirment son sens de la mise en scène et de la direction d’acteurs
    .

    Quand son père a été à nouveau promu en spoiler: Californie du Nord, son oncle Bennie lui offre une caméra 8MM de plus haut standard, afin qu’il puisse poursuivre l’œuvre de sa vie, après que son oncle Boris lui ai fait promettre de ne jamais sacrifier l’art, et la poursuite du bonheur, pour une vie quotidienne classique
    .

    A Saratoga, spoiler: l’adaptation à la vie lycéenne n’est pas facile, notamment en raison de l’antisémitisme primaire et violent qui règne chez des adolescents endoctrinés par leur éducation suprématiste chrétienne. Sammy est un artiste, pas un sportif, et il peine un peu à s’adapter à l’équipe de volleyball de son lycée, surtout en raison des violences psychologiques et physiques qu’il subit
    .

    A la maison, spoiler: sa mère ne trouve pas l’équilibre entre son passé et ses rêves et le présent et ses réalités. Elle reproche à son mari d’accorder trop d’importance à sa carrière et tente de se réfugier dans la pratique du piano, dans laquelle elle excelle, au point d’avoir espéré en faire plus qu’un hobby. Même si son plus fidèle admirateur reste son mari, qui ne cesse de tout faire pour le bien de son couple et de ses enfants, ce dévouement ne suffit pas à Madame Fabelman, qui en arrive à vouloir divorcer. Ceci également après avoir été violente à l’encontre de son fils pour la première fois. Un électrochoc dans une famille en décomposition, qui affecte fortement les sœurs de Sammy, qui se réfugie dans la réalisation du film de fin d’année de son lycée en 16MM. La puissance émotionnelle de cette œuvre fera fortement réagir ses camarades, de diverses façons en fonction de leur profil psychologique
    .

    Un an plus tard, spoiler: Sammy vit avec son père à Los Angeles, la ville du cinéma, et parmi toutes ses lettres passionnées adressées aux studios, il reçoit enfin une réponse qui le convie à un premier entretien. Pour un poste « d’Assistant d’assistant ». Qu’importe la fonction et les conditions, Sammy a mis pied à Hollywood et il ne la quittera plus jamais, devant son Roi au fil des décennies suivantes
    .

    Malgré le génie de Maître Steven Spielberg, la perfection de la mise en scène et de l'interprétation, ainsi que la virtuosité de Maître John Williams, j'ai d'abord émis une légère réserve. Pour quelle raison ? Parce que "The Fabelmans" se termine en spoiler: 1964. Et que j'aurais aimé qu'il aborde la décennie passionnante entre cette année-là et 1974
    .

    Une période marquée par spoiler: "Firelight" (1964), un film d'aventures de science-fiction écrit et réalisé par Steven Spielberg à l'âge de 17 ans avec un budget de 500 dollars, projeté dans un cinéma local, puis par son entrée dans le monde de la réalisation télévisuelle et cinématographique. Avec ses deux premiers longs métrages pour Universal : "Duel" (1971), qui a reçu plusieurs Prix d'Excellence, et "The Sugarland Express" (1974)
    .

    " spoiler: passera son enfance et son adolescence à tenter de faire comprendre au monde la différence entre un hobby, une passion et une vocation 0
    .

    Certains journalistes ont d’ailleurs demandé à juste titre si spoiler: passera son enfance et son adolescence à tenter de faire comprendre au monde la différence entre un hobby, une passion et une vocation 1
    »

    4.8/5
    Poethique
    Poethique

    40 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juin 2023
    Le film est tellement parfait que c'est peut-être son point faible. On passe un excellent moment, sans aucun temps mort, l'histoire de Spielberg est intéressante, touchante, sa mère est attachante, sa passion du cinéma est fascinante. On sort de la salle en ayant la conviction d'avoir vu un bon film. Mais Spielberg raconte si bien, qu'il nous laisse muet. Comme après une démonstration, on reste un peu frustrés de ne pas avoir de grain à moudre.
    Baptiste Cottel
    Baptiste Cottel

    12 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mai 2023
    Dans cette "autobiographie" de Spielberg, nous suivons une histoire de famille, très bien écrite et qui évite de tomber dans les clichés ou le mélodrame excessif. On s'immerge avec eux et on comprend la passion pour l'image du personnage principal qui remonte à son premier film au cinéma. Un point-fort du film : les scènes où ils jouent des scènes, où l'on voit les acteurs interpréter des personnages qui eux-mêmes jouent des rôles. Cela crée une mise en abyme fascinante qui touche le spectateur se posant la question du "mais comment c'est fait?" sans pour autant le sortir de l'histoire.
    Hélène Biard
    Hélène Biard

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2023
    Un très beau autobiographique de Steven Spielberg malgré quelques longueurs quand il retrace l'enfance de Burt, mais l'ensemble est plaisant. Les relants d'antisémitisme et de racisme étaient encore très forts dans l'Amérique des années 1950 et 1960 et Burt y est brutalement confronté au collège (l'équivalent de nos lycées français).

    Cela étant dit, Spielberg a réalisé un beau film avec un Paul Dano (Burt) très inspiré. Les autres acteurssont sympas mais j'en garde peu de souvenirs
    claire c
    claire c

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 mai 2023
    Note : 9/10 ramenée à 4.5/5

    Scénario : 4/5
    Tout le film retrace l’enfance de Steven Spielberg et la naissance de son amour pour le cinéma.
    Le scénario repose sur 3 grands axes :
    - Ce qui l’a amené au cinéma
    - Son histoire familiale
    - Sa relation privilégiée avec sa mère
    Le scénario est bien amené, on ne s’ennuie jamais alors qu’on suit uniquement la vie d’un enfant. Les émotions sont omniprésentes mais on ne tombe jamais dans le pathos.
    On est touché que Spielberg nous laisse rentrer dans sa vie.
    Le seul bémol est le côté « bully » du lycée, qui fait gros cliché des films américains.

    Décor / Ambiance : 4/5
    Les décors et les acteurs sont magnifiques. On a l’impression de faire partie de la famille, de rire et de pleurer avec eux.

    Interprétation : 5/5
    Les personnages sont très attachants et consistants. On s’attache à tous les membres de la famille. Bien entendu, le spectateur se range du côté du point de vue de Spielberg mais comprend les postures des autres personnages.
    Les différents acteurs jouant Spielberg aux différents âges sont tous talentueux. La mère jouée par Michelle Williams interprète remarquablement bien son rôle.

    Réalisation : 5/5
    La réalisation donne des effets woaw a pleins de moments du film.
    La scène du choc filmographique est prenante. Sa recherche de reconstitution de ce choc est très bien retranscrite. Visuellement, on est ébloui.
    Les scènes de jeux avec ses sœurs sont bien retranscrites. Cela nous replonge dans nos propres enfances où l’on s’amuser à se filmer. On ressent sa passion et l’âme du réalisateur lorsqu’il crée ses premiers films et sa fierté devant ses amis et ses parents à chaque projection.
    Le twist lors de la découverte du « drame familiale » est formidablement amenée au travers du cinéma.
    La scène finale clôture le film avec un jeu de réalisation très drôle sur le dernier mouvement de caméra. 5 étoiles juste pour cette dernière scène.
    mike.3594
    mike.3594

    16 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2023
    Très bon film de Spielberg mais je suis resté sur ma faim en finalité. J'aurais aimé voir ce qu'était vraiment devenu ce jeune réal en herbe.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    104 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mai 2023
    Inspiré de sa propre jeunesse, de l’histoire de sa famille spoiler: qui va progressivement se décomposer
    et de sa découverte du cinéma, The Fabelmans est le film le plus personnel de Steven Spielberg, qui s’inscrit dans une veine explorée récemment par plusieurs grands cinéastes américains (Armageddon Time de James Gray, Licorice Pizza de Paul Thomas Anderson…). Dans ce long-métrage à l’ancienne, à la qualité indéniable, le rire et l’émotion s’entremêlent alors que Spielberg dresse un portrait de l’Amérique des années 50 et 60, avec le boom de la société de consommation, une révolution féministe qui n’a pas encore eu lieu et qui empêche sa mère de vivre pleinement sa vie, et un fond d’antisémitisme très présent. Au delà de la chronique familiale, The Fabelmans est aussi une ode au cinéma, et plus encore à l’envie de faire du cinéma, avec un final génial spoiler: où le grand David Lynch interprète le rôle du non moins grand John Ford au cours d’une séquence d’anthologie.
    Une très belle interprétation de l’ensemble des acteurs, dont le jeune Gabriel LaBelle. Propre et bouleversant.
    Mysterfool
    Mysterfool

    10 abonnés 250 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mai 2023
    J'ai essayé et je n'ai pas pu aller jusqu'au bout! J'avoue que le vie de Steven ne m'intéresse pas trop. Ce qui me plait chez lui c'est Ready player one, Pentagon papers, Tintin, Gremlins, les Indiana Jones, Minority Report, Jurassic park, les dents de la mer. Pour le reste.......
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 mai 2023
    The Fabelmans de Steven Spielberg (Jurassic Park, E.T L'Extra-Terrestre, Ready Player One) avec Gabriel LaBelle, Paul Dano (The Batman), Michelle Williams (The Greatest Showman) et Seth Rogen (Nos Pire Voisins) c'est très clairement pour moi un énorme coup de coeur de ce début d'année le grand retour du maître Steven Spielberg.

    Après le magnifique West Side Story que j'ai trouvé un peut long le retour du maître du 7eme art The Fabelmans réalisé par le talentueux Steven Spielberg la question que je me suis posée et ce que j'aurais encore plus de frissons ? après avoir vue la Bande annonce, est-ce le grand retour du maître ? Et ce que le film a été a la auteur de mes attentes?
    Mais tout d'abord rembobinier la bobine, The Fabelmans et fil semi-autobiographique voir totalement autobiographique sur l'enfance de Steven Spielberg c'est tout simple vous remplacer The Fabelmans par The Spielberg on suis Sami Fabelman début de sa passion pour le cinéma après avoir vue The Greatest Show On Earth en passant par ses premiers réalisation avec sa famille ou en plus grande réalisation de court métrages plus sophistiqué mais entre famille, hobbies et projet d'avenir sont enfance va être mouvementé.

    Moteur, Action on a la un casting 5 étoile commencer par Michelle Williams qui incarne Mitzi Fabelman que j'ai trouvé exceptionnel elle m'a donné des frissons artistes elle aussi elle joue du piano elle va pousser Sami a sont rêve conparer a sont père Burt Fabelman incarné par Paul Dano qui voit plus ça comme un loisir je l'ai énormément adoré c'est tellement un personnage attachant avec son grand cœur qui cherche a faire le bonheur des autres plus on avance dans l'histoire plus on a mal au cœur pour lui qui fait certe des erreurs concernant la VF c'est Donald Reignoux qui le double au début je pensais que sa allais pas faire sérieux puisque Paul Dano a un rôle plutôt strictes et je me suis trompé cette VF lui va très bien on a la a ma grande surprise Seth Rogen que je ne voyais pas tu tout de ce genre de film un peut sérieux surtout que je l'avais vue dans Nos Pire Voisins qui et une comédie il m'a beaucoup surpris il et la pour rajouter un peut d'humour mais plus on avance dans l'histoire moin on a d'apathie pour lui d'ailleurs j'ai mit du temps avant de le reconnaître comme quoi la barbe fait tout puis on a Gabriel LaBelle qui incarne Sami Fabelman qui m'a très clairement époustouflé les frissons qui m'a donné quand il y avait des gros plans sur lui avec la musique de piano en fond et que la caméra tourne au tour de lui qui apparait, on a Judd Hirsch qui incarne Boris Podgorny qui m'a impressionner ce qui en fait un de mes passages préfère de ce film surtout le moment où il dit "La famille, L'art sa va te déchirer en deux" ce qui en fait une de mes phrases préfère du cinéma bien sûre après la phrase mythique "J'ai dépensé sans compter" (pas besoin de vous dire d'où sa vient)
    on a vraiment le ressenti de voir un Spielberg dans sa manière de réaliser on a par exemple ce plan ou Sami project l'image sur ses mains et la caméra recule on a des moments très poétique par exemple quand Mitzi dance avec le phare de la voiture allumé, quand Sami découvre que sa mère mène une double vie avec en fond Mitzi qui joue du piano ce qui en fait que la B.O et excellente qui ajoute de l'harmonie a certain moment et qui accentue la tristesse a certain passage des moments où il y a aucune parole que de la musique j'ai beaucoup aimé le fait de retrouver plein de clin d'œil ou Spielberg a eu ses inspirations par exemple la scène ou le train ce crash sa me fait beaucoup penser au film Super 8 de J.J Abrams et d'autres références certain plans qui sont filmés d'une manière qu'on retrouve dans d'autres de ses film ou voit de comment il a commencé et de comment il c'est inspiré il y en a tellement d'autres des références.
    Ce n'ait pas que un film dramatique il y a quelques moments marrant on traite aussi le sujet d'harcèlement et le fait que Sami et juif des moments qui on marquer l'enfance de Spielberg qui vous retransmettre à l'écran, pour parler du scénario certaines personnes diront que le film et long d'autres pas abouti puis que on traite uniquement la jeunesse de Spielberg et moi je l'ai trouvé très complet comparer a certain film ou sa part dans tous les sens où on ne comprend rien que ce soit de sa première scéance, sa première caméra de voir sa famille se déchirer au fur et à mesure qu'on avance dans l'histoire qu'on le fond le piano qui accentue entre les graves et les aigus qui et plus doux et qui se met à accélérer quand Sami comprend et qu'il coupe la bande pour nous faire comprendre sa réaction sans parler, on nous montre aussi a certain moment la tristesse de Sami dans sont silence le fait de garder le secret va que faire empiré comme le moment où la mère de Mitzi décède et que Burt demande un peut de force de faire un mini film pour lui remonter le moral alors que c'est pas ce qu'il veut faire lui il veut faire une autre réalisation qu'il a créé on montre beaucoup de passion et un belle hommage en vers le cinéma tout comme Babylon de Damien Chazelle sortie quelques mois plus tôt le fait que c'est un passionné depuis le début en utilisant des techniques bien a lui les pétard pour simuler la balle d'une arme ou le papier toilette pour faire un costume de zombies beaucoup d'imagination déjà le moment où il s'endort avec sa caméra allumé sur lui un peut comme sa berceuse un scénario complet aussi sur les dialogues pas de trou a part pour les moments musicaux il y a pas des moments où sa veut rien dire, des dialogues en trop, il y a des moments où sa rajoute un côté comique par exemple en pleine dispute où le ton est élevé la mère qui dit d'une manière douce "j'ai commencé une thérapie" ou comme le passage où Sami rencontre une fille qui et très chrétienne du coup sa donne un moment assez cocasse mais marrant j'ai beaucoup aimé aussi le moment où Sami ce venge de son agresseur en le mettant en valeur d'en une de ses productions qu'il a réalisé pour sont école en le mettant en valeur sa change des grosses scènes remplis d'action pour vaincre le méchant et puis que parler du clap final qui et juste magnifique Sami qui va décrocher sont premier rôle sont père qui promet de ne plus faire les mêmes erreurs et de faire tout ce qu'il y a de bien pour sont fils, quand Sami et dans le bureau de la secrétaire de John Ford où on a la caméra qui tourne et qui montre des affiches de film populaire de l'époque puis le moment où Sami va rencontrer John Ford incarné par David Lynch on le voit notamment lui donner des conseils en cadrage
    "Quand l'horizon est en bas du tableau c'est intéressant.
    Quand l'horizon est en haut du tableau c'est intéressant.
    Quand l'horizon est au milieu c'est mort tellement chiant."
    Et la le clap final où on voit Sami dansé de bonheur dans les studios où on voit la caméra s'incliner vers le haut pour cadrer l'horizon en haut comme les conseils de John Ford un hommage a l'un de ses premiers professeurs du cinéma et la clap fin sa laisse sans voix mais que du bonheur c'est la qu'on ce dit c'est le début d'une des plus grande carrière du 7eme art.

    Clap Action !
    Pour résumer ce film et très clairement pour les passionnés du cinéma ce qui voulait un peut voir a l'image l'enfance de Spielberg et les curieux je me sentais dedans j'avais l'impression de réécouter des phrases qu'on m'a déjà dit "Le cinéma n'est qu'un loisirs" le film pour certains peuvent paraître très long mais c'est bien une des premières fois que j'ai été a fond dans le film du début a la fin sans bouger j'étais paralysé tout y est la casting de la talentueuse Michelle Williams que ce soit l'attachant Paul Dano en VF Donald Reignoux qui le double incroyablement bien et Gabriel LaBelle qui a dû avoir une pression énormément mais qui et juste époustouflant, un scénario réussi une histoire bien traité du début à la fin qui ne nous laisse pas sur le côté j'ai été plongé dans l'histoire des le début des scènes très marquant des manières de filmer et un montage qui accentue la scène et une B.O excellente qui nous offre des moments poétique, triste a certain moment joyeux dans d'autres en globalité j'ai passé un excellent moment ce qui en fait mon film préféré de 2023 a l'heure actuelle a voir ce que va proposer la concurrence qui et élevé mais sa sera dure de faire mieux pour moi et pour répondre à la question c'est un grand oui le retour du maître ce qui en fait certe pas la meilleure mais une des meilleures réalisation du pure Steven Spielberg un de ses film les plus intimiste.
    Je suis ravi que The Fabelmans soit ma 100eme critique j'en suis honoré grand film d'auteur qui méritait largement plus d'entrés et beaucoup plus de pub et j'ai envie de dire au suivant ! Le fait que Steven Spielberg et enchaîner deux film plutôt calme West Side Story, The Fabelmans j'aimerais le retour d'un bon film S.F a la Ready Player One peut être un Ready Player Two !! Et coupez, c'est dans la boîte.

    Je voulais aussi me prononcer sur la cérémonie des Oscars je m'attendais vraiment que ce soit Michelle Williams qu'elle ait l'Oscar de la meilleure actrice parce que elle et juste talentueuse j'en ai encore des frissons mais c'est Michelle Yeoh dans le film Everything Everywhere All At Once où elle et excellente mais vue l'interprétation c'était beaucoup plus Michelle Williams qui le méritait.
    The End
    jean occupetoidetesfesses
    jean occupetoidetesfesses

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 mai 2023
    Énième scénario vu, revu et répété depuis des décennies par Spielberg et encensé par la critique.. à ne plus rien y comprendre sauf peut être corruption des critiques de cinéma?
    ISA8877
    ISA8877

    5 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mai 2023
    Bons acteurs, histoire intéressante mais le film est malgré tout "plat" et bien loin de ce que je pouvais attendre pour un Spielberg
    Thibaut Clement
    Thibaut Clement

    3 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 mai 2023
    Quel film, et quel autobiographie de Monsieur Spielberg ! L'histoire est touchante et très bien écrite. Ce film sera un classique dans quelques années ! 5 étoiles, rien à redire, je me suis pas ennuyé ...
    VOSTTL
    VOSTTL

    96 abonnés 1 939 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2023
    Que dire ? Que penser ? Qu’écrire ?
    Tout a été dit et écrit avec tant d’éloges que je me sens piteux à l’idée de ne pas partager cet enthousiasme débordant.
    Enthousiaste, je l’ai été en prenant place devant l’écran.
    Pour l’anecdote, nous étions deux ! Une séance privée en soi, un privilège !
    Enthousiaste, je l’ai été durant de longues minutes.
    Puis peu à peu, l’enthousiasme s’estompe petit à petit.
    Comme à l’image de Sammy (Gabriel LaBelle) quand il finit par délaisser sa caméra quand celle-ci révèle une réalité qui ne correspond pas avec sa conception du cinéma.

    Je dois reconnaître que ce passage est d’une force saisissante.
    Steven Spielberg traduit ainsi que le cinéma peut se montrer cruel dès qu’il touche à la réalité.
    Ainsi Sammy voit à travers sa caméra une sortie à sa réalité, à toutes les réalités. Il manipule la réalité, il la malaxe avec trucages, avec inventivité.
    Le cinéma doit être synonyme d’aventures, de mondes extraordinaires. Sa caméra n’a pas pour fonction de saisir la réalité. En tout cas pas la sienne, pas durant son adolescence, et encore moins celle qui concerne sa mère, Mitzi sous les traits de Michelle Williams, touchante.
    spoiler: Après avoir longuement délaissée sa caméra, Sammy acceptera la réalité mais s’emploiera à lui donner un peu de corps, de joie comme ce film de fin d’année dans son université.


    Steven Spielberg nous conte son enfance, sa jeunesse avec ses parents et ses soeurs. Avec un père interprété par Paul Dano, bien ancré dans la réalité où tout doit être expliqué et sous contrôle spoiler: et peu enclin à l’encourager dans sa passion
    ; et une mère légère, artiste, sensible, très encourageante spoiler: et malheureuse.

    Il est pris entre le réel et l’imaginaire.

    Au bout du compte, moi qui croyais être transporté, « The Fabelmans » révèle un récit somme toute assez ordinaire avec de très bons moments comme les petits films que Sammy enchaîne.
    A ce propos, c’était passionnant à suivre mais les séquences s’enchaînaient trop vite, son processus de création trop survolé, trop survolté !
    Et un moment de grâce avec sa mère qu’il filme en train de danser sous les phares de leur voiture.
    Steven Spielberg n’a sans doute pas osé donner à sa bio une dimension extraordinaire, parce que comble de l’ironie, il a opté pour une réalité.
    Une réalité sans fard, sans poésie.

    spoiler: Mon enthousiasme repart avec sa rencontre avec John Ford
    . spoiler: Je pensais le voir enfin à la tête de sa première réalisation professionnelle. Voir ses premiers pas. Je n’en demandais pas davantage. Malheureusement, l’enthousiasme retombe aussi vite qu’il est apparu avec le générique de fin qui se conclut sur une ligne d’horizon à bien placer dans un plan !


    Le film, un tantinet longuet, raconte une histoire ordinaire d’un futur génie du cinéma.

    Si je regarde bien, tous les films de Steven Spielberg qui logent dans ma dévéthèque sont des histoires qui sortent de l’ordinaire, qui me sortent de Mon ordinaire : de « Duel » aux « Dents de la mer », de la saga Indiana Jones à « La guerre des mondes », de « Always » à « Rencontre du Troisième type » en passant par l’émouvant « E.T », de « Jurassic Park » à « Minority report » en passant par « Ready player one » ; seul « La liste de Schindler », comme toute règle, confirme l’exception.

    J’en attendais sans doute trop.
    Certainement.
    Cependant, « The Fabelmans » me permet d’en apprendre un peu plus sur Steven Spielberg et suis ravi qu’il se soit enfin confié sur son enfance, sa jeunesse et sur ses parents.
    « The Fabelmans » c’est aussi et avant tout un hommage au cinéma, à son cinéma, à sa vision du cinéma, laquelle je partage dans sa très grande totalité. Et je le remercie de m’emporter dans son univers.
    Et surtout merci à ses parents.
    A voir en V.O si possible.
    Fab Siv
    Fab Siv

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 mai 2023
    Apparemment Spielberg à laisser l'horizon au milieu durant tout le film ( petite référence à la phrase de Ford, pour ceux qui n'ont pas compris) c'est " foutrement chiant".
    Ce n'est pas 2h de perdues ! mais 2h30, même en x1.5 je pense que c'est soporifique.
    Une daube, dire que beaucoup ne comprenaient pas pourquoi il ne fonctionnait pas au box office, on t'il vu le même film?
    les critiques presse et spectateurs à 4.3 étoiles! pourquoi? même God of Egypt est moins long et tout aussi insupportable !
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